Messager Grec 4

La Thessalie, des plaines grasses et verdoyantes où paissaient les meilleurs chevaux de grèce. C'était très dépaysant par rapport aux collines que je voyais d’ordinaire. Alors certes vous vous demandez ce que je faisais si loin de mes routes habituelles routes. C'est tout simple nous avion besoin d'un cheval de race à sacrifier en l'honneur d'Hélios et j'étais le meilleurs des coureurs.

Cela faisait près d'une année que la bataille de marathon s'était déroulée et que la déesse Athéna m'avait pris comme amant. C'était une relation particulière, elle apparaissait sans aucun signe, même si je savais désormais quand je la croiserai. Nous avions aussi des discussions mais bon, Je ne voyais pas ou cela pouvait nous mener. Non que je m'en plaigne mais aussi présomptueux que cela puisse paraître j'aurai souhaité plus, ce n'était pas Aphrodite.

J'avais quitté les plaines pour passer par des bois et profiter de l'ombre. Je n'étais guère fatigué mais ce n'était pas une raison pour ne pas faire attention. Je me serais aussi attendu à croiser la déesse mais cette fois rien, pas de silhouette dans les arbres, de hoplite dans une armure d'argent accroupit près d'une mare. Hmm même les dieux ont leurs obligations .

Passé les bois je passais à coté de baies juteuses et désaltérantes. Je me servis comme un mulot avant de me rendre compte que je n'étais pas seul. Une jolie fermière qui devait être venue pour profiter aussi de l'endroit. Je me débarbouillais rapidement et lui adressait un sourire.

-J'espère que je vous en laissé...
-Oh oui il y en a toujours assez, mais cet endroit étant censé être Mon jardin.
-Je vous assure que c'est complètement fortuit !
-Je sais je sais, je ne vais pas te reprocher le hasard. Mais cela met à mal mes petites habitudes.
-Désolé, je vais repartir vite et vous laisser à votre promenade.
-Je ne parlais pas de promenade messager...

Ah on dirait qu'une nouvelle fois mes cicatrices allaient m'offrir des possibilités, et ma réputation aussi.

Depuis l'attaque illyrienne et ma survie que je ne devais qu'à l'intervention de ma déesse protectrice nombreux étaient ceux (et celles) qui avaient entendus parler d'un messager au corps encore plus défoncé qu'un spartiate. C'est ce que mes amis pensaient. .

En réalité...Ce n'était plus pareil. Vis à vis de moi même en fait....J'avais l'impression que ce n'était pas tant pour moi que pour mon image que les jeunes femmes me désiraient désormais. Aussi je tournais les talons et me préparais à repartir. Je ne fis que deux pas avant qu'elle me saisisse par le bras.

-Attends ! Pourquoi tu pars ?
-Je...
-Je ne te plais pas ?
-Non c'est moi qui...Enfin écoute tes charmes ne sont pas en causes. C'est tout.
-Je vois. Tu crois que tu n'es plus un homme parce que tu n'es plus un Achille. Je n'ai pas été assez claire sur mes habitudes,. Tu pourrais être un estropié ou un aveugle que cela ne changerait rien pour moi. Tes cicatrices ne m'inspirent rien, du respect si mais j'ai pas pour envie de m'offrir à toi pour assouvir un fantasme. Viens.

La paysanne m'entraina vers l'étang et me força à regarder la beauté ravagé de mon corps dans l'eau. Que voyais je ? Hmp, Athéna me désirait avant mes blessures c'était cela la différence avec les autres femmes depuis.

-Je sais ce que tu vois. C'est ce que les autres voient aussi.
-Alors pourquoi me le montrer ? S'il te plait je n'ai aucun plaisir à me voir, je ne veux pas te donner ce que tu veux.
-Regarde messager. Tu crois que je veux quoi ? Tu es beau enfin regarde ton visage. Et tes bras ou tes cuisses ? Ne sont -elles pas sculptées dans du marbre ? Tu es tellement obnubilé par tes blessures que tu as oublié TOUT ton corps. Tu n'es pas un coureur tant vanté pour la beauté visible de ton corps. C'est juste toi qui as changé car c'est ce que tu crains. Tu n'es pas le premier homme ainsi que je décide de m'offrir, arrête avec ça et fais plaisir à une femme qui ne demande que ça.
..
-Tu es bizarre pour une paysanne...
-Ah les hommes je te jure ! On est pas toute des Hélène ! Bon maintenant que ta crise philosophique d'idiot est finit tu peux me faire le plaisir de me regarder comme tu le dois !

Ce que je fis. Elle était blonde, de grands yeux verts, une peau d'albâtre et une paire de sein comme je n'en avais jamais vu. Ils déformaient sa tunique et étaient une invitation au plaisir, en fait tout son corps. Elle m'adressa un sourire magnifique de ses lèvres pulpeuses et m'invita d'un geste à la suivre.

L'endroit était vraiment très beau, il y respirait une certaine douceur. Les branches masquait une partie du soleil mais laissait filtrer la lumière en donnant l'impression d'être dans un cocon. Les arbres étaient recouverts de mousses, l'herbre chatouillait (un peu) et il y avait des buissons moelleux ici et la.

La paysanne se défit de ses sandales et se laissa tomber dans l'un des buissons aussi moelleux qu'un matelas. Je me laissait tomber à coté d'elle en me disant que j'avais été idiot oui. Une déesse m'avait sauvé et permis de garder ma force physique malgré des blessures qui auraient du me condamner à l'inaction, quasi totale, sexuelle comprise...

Penché l'un contre l'autre nous nous embrassions, elle nettement plus fougueuse que moi mais n'allant pas plus loin, pour le moment. Je remontais lentement ma main contre sa jambe et sa cuisse pour ensuite aller vers son entrejambe mais elle me repoussa et s'écarta un peu. Elle se redressa un peu et m'adressant un sourire coquin descendit les franges de tissu sur ses épaules, les dénudant lentement avant que je ne me redresse aussi et que je l'embrasse.

Ses seins énormes et lourds retenait sa tunique que je fis glisser d'un geste. La jeune paysanne se les caressa sous mes yeux avides de désir et d'un mot de sa part je plongeai mon nez dedans. Ils étaient chauds et je ne pouvais m'empêcher de sucer ses gros tétons encore et encore et de la malaxer comme si c'était la premire paire que je découvrais.


Loin de rester inactive elle m'avait défait mon pagne pendant ce temps la et je ne m'en rendis compte que lorsque elle empoigna ma verge en érection. Si avec Athéna j'avais pris l'habitude de faire durer les préliminaires, en cas la j'étais impatient d'entendre les cris de ma partenaire et de sentir le frottement de ses cuisses.

Je la fis retomber dans le buisson frais et lui laissait le temps de se démener pour enlever sa tunique qui recouvrait son bas ventre, ce qu'elle ne fit pas. N’empoignant par les bourses elle me força à venir sur elle et cala va verge dans sa lourde et énorme poitrine. Je gémis en sentant mon membre viril dans cette chair moelleuse et me demandait bien comment ce serait ensuite.

- - -

Caché derrière un arbre la femme regardait avec un certain intérêt le spectacle. Ce n'était pas son habitude de jouer ainsi les voyeuses mais la c'était une très bonne raison de l'être. Elle sentit une chaleur s'allumer au coeur de ses cuisses en entendant les gémissements du jeune homme et les rires de la femmes.
Elle alternait massages lents qui lui permettaient de lécher me bout du gland du messager avec des rapides qui faisait s'entrechoquer sa poitrine qui claquait alors. Le garçon avait les yeux fermé et poussait alors un grand cri en redressant la tête. Son membre rouge de désir semblait sur le point d'exploser et s'agitait devant le regard gourmand de la paysanne.

La voyeuse attendait le moment où le liquide sortirait de toutes forces mais fut légèrement déçue. Au lieu de cela la paysanne s'extirpa un peu et mit la verge à hauteur de son bas ventre. La femme derrière l'arbre glissa sa main sous sa tunique et commença à se caresser, attendant la pénétration...

Qui la aussi ne vient pas ! Mais pour le grand bonheur de tous puisque la paysanne masturba oan amant avec une grande expérience de la chose. Surpris celui ci ouvrit la bouche mais n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit qu'il jouit à grands jets sur la paysanne.
La voyeuse vit distinctement la semence jaillir pour recouvrir la poitrine et le ventre de la jeune femme et eut un orgasme en s'imaginant les recevoir, sentir la force des jets. Il s'effondra sur la paysanne terrassé par ce plaisir incroyable

La voyeuse était effondré aussi, sur la mousse fraiche qui ajoutait à son plaisir diffus. Elle attendait de voir le jeune homme s'allonger sur le dos pour voir son corps musclé et sa verge. Il se redressa et elle écarquilla les yeux. Sa verge était toujours tendue ! Impossible, pas après le spectacle orgasmique qu'elle avait vu ?

Et pourtant si, à peine remis de cette masturbation intense il se positionna au dessus du bassin de la paysanne et commença à la pénétrer à toute vitesse de toute la longueur de son membre. Elle gémit puis embrassa son partenaire avec fougue. Et ses fesses musclées...Elle arracha presque sa tunique pour se caresser derechef encore plus intensément, son jus de plaisir coula le long de ses cuisses et contre la mousse, oh quelle voulait le sentir en elle.

La femme poussa un grand cri de jouissance bras écartés. Le messager cogna encore son bassin un moment puis éjacula puissamment en hurlant dans le cou de son amante. Il resta agité de soubresauts de longues minutes en gémissant dans les caresses de la paysanne. Et la voyeuse était allongée sur le sol les deux mains sur son sexe repus de plaisir. Et le rire cassant qu'elle connaissait bien retentit.

-Hahaha ! Dis donc ma sœur je ne t'avais jamais vu en train d'imiter les nymphes. La femme se redressa en serrant les dents autant en colère contre elle même que son interlocuteur. Mais je dois reconnaitre qu'il y a de quoi. Allons les rejoindres.
-Tu pourrais au moins faire semblant de détourner le regard Arès. Athéna se releva sans se revêtir. Depuis quand joues tu les espions comme Hermès ?
-Allons ma sœur ne m'insulte pas, en fait c'est MON amante que je regardais comme chaque fois qu'elle couche avec un mortel. Hinhin le ruse te fait défaut sur certains points je crois.
-Attends....APHRODITE ! Poings serrés la déesse se dirigea vers le couple en fulminant. Si au moins elle avait été prévenue.

- - -

Je me jetais hors du lit de mousse en voyant ma déesse tutélaire nue, enragée et accompagnée d'un homme de grande taille vêtu de noir et d'une lance d'argent. Arès, le dieu de la guerre furieuse et versé...mais si il était la alors....Je comprenais d'un seul coup pourquoi j'avais repris vigueur aussi vite et pourquoi j'avais jouit aussi fort...

Je reculais un peu et vit la déesse du plaisir s'étirer voluptueusement en balançant sa lourde poitrine. Elle sourit à Athéna, se fichant complètement de la fureur de ma déesse tutélaire. Arès lui se dirigea vers moi avec un clin d’œil.

-Eh bien Platéen. J'admirais déjà ta bravoure à Marathon mais la tu m’impressionnes. Réussir à faire jouir et à faire preuve d'autant d'endurance m'impressionne franchement. Et je me rends compte que j'ai manqué à mon devoir divin en te laissant à tes doutes. Heureusement qu'elle est la pour rattr mes erreurs.

Quelque peu déconcerté par cet échange je me recentrais sur les deux déesses. Athéna hurlait qu'elle aurait voulue savoir. Passé sa furie elle croisa ostensiblement ses bras sous sa poitrine.

-Athéna Athéna. Tu avais dit clairement que nul mortel, ou non ne pourrait attirer ton attention. Alors comprends moi quand je t'ai vu t'offrir à ce beau jeune homme, qu'elle était donc son secret ? Et je dois dire que son volontarisme est...très très plaisant.
-Et ça justifie de me mettre au secret !?
-Oh Athéna arrête. Tu as bien apprécié le spectacle comme moi non ? Intervint Arès
-....
-Et si nous demandions au messager ce qu'il pense ?
-Hahaha voila une bonne idée.
-Bon, son avis sera le mien. Elle s'était calmé, considérant que moi le trompé plutôt qu'elle.

J'étais dans une situation assez....étrange. Entre le fait d'être avec trois dieux de l'Olympe, dont une mon amante, nu après une partie de sexe et le naturel irréel du moment il y avait de quoi. Bon cela dit c'était pas non plus une nouvelle pomme de discorde, quoique Aphrodite était très cruelle...

-Déesses, dieu. Je suis surpris et même si j'ai eu énormément de plaisir ô belle Aphrodite je dois reconnaitre que je me sens quelque peu...coupable d'avoir ainsi trompé ma déesse tutélaire. Avec une mortelle cela n'est rien mais avec une immortelle les choses me semblent...différentes. Je ne saurais te dire si j'aurais refusé ou non tes avances mais...
-Hahaha ! Allons beau jeune homme je ne vais pas me vexer, tu n'es pas mon amant.
-J'ai adoré ce moment sans aucune honte mais je n’apprécie pas d'être un objet dans vos discordes qui ne me concernent pas. Déesse.
-Il parle comme un fouet tu ne trouve pas Arès ?
-Il est le premier.
-C'est...nouveau.
-Tu le touche Aphrodite et tu finiras comme ce gringalet d'Ajax !
-Dans le bon sens ma sœur. Et sinon platéen, qui t'a donné le plus de plaisir ?
-Athéna bien sur.
-....Comment ?.....Tu n'as jamais pris d'amant.
-Tu voudrais une démonstration tant que tu y es ?
.Pourquoi pas je suis curieuse de voir.
-Je ne suis pas un....
-Très bien ! Viens ici mon messager. Et non tu n'as pas le choix, c'est une question de sœur par de déesses !

Elle me jette carrément dans un buisson et s'agenouilla sur moi. Son visage grave que j'avais déjà vu déformé par le plaisir ou la tendresse était cette fois plus sauvage, enragé peut être. Je compris qu'elle voulait surtout me prouver et aussi se prouver à elle même qu'elle était la meilleure pour me donner du plaisir.

Je répondais par la douceur en caressant doucement ses bras et sa tête. Elle m'embrassait avec une fébrilité que je ne lui avais pas encore vu et que je n'aimais pas, elle n'était pas elle même. Je l'enlaçais avec force et la calmait par des baisers. Une fois qu'elle eut repris le contrôle d'elle même elle me jeta un autre regard, déterminé celui la et recula sans me quitter des yeux.
Sous le regard enflammé d'Aphrodite qui enlaçait son compagnon elle comprima ma verge entre ses seins et commença des vas et viens. Je me redressais sur mes coudes et lui adressais un sourire d'encouragement. Se prenant au jeu elle alterna entre des mouvements lents et d'autres ou elle enfouissait mon gland dans sa poitrine menue.

Après ce délicieux moment nous nous enlacions pendant de longues minutes jusqu'à être imprégné de l'haleine de l'autre de son regard éperdue qui ne demandait que le désir. Couchés sur le flanc sous la canopée nous ne faisions pas attention a nos deux observateurs. Alors que je m’apprêtais à la pénétrer après lui avoir soulevé la jambe nous avons été attiré par un petit rire. Le dieu de la guerre était nu, hormis sa cape et la déesse charnelle rayonnante contre lui en train de le masturber avec délectation.

D'une main Athéna tourna ma tête et je l'embrassais tout en la pénétrant. Elle n'avait rien à me prouver. J'avais pris bien plus de plaisir avec Aphrodite qu'avec ma chère déesse tutélaire et je savais très bien vers qui je balançais, en fait non je n'avais aucune hésitation. Les mains d'Athéna n'avaient pas cette chaleur, ses lèvres n'avaient pas ce gout fruité si puissant et sa peau cette douceur.

J'étais heureux comme ça, nos hanches qui s'entrechoquaient et sa gaine autour de mon sexe. J'agrippais sa cuisse pour la pénétrer avec plus de force , lui faisant échapper un hoquet de plaisir. Ma déesse passa sa langue sur ses dents blanches et me surprit en agrippant mes fesses pour aller à moi avec plus de force aussi. Passé ce moment nous étions complètement absorbés l'un pour l'autre en ne retenant pas nos gémissements. Elle était complètement abandonnée sa tête plaquée contre mon torse meurtri et musclé contre laquelle je plaquai mon menton.

Nous aurions pu jouir comme cela si nous n'avions pas été interrompues par l'autre couple divin que nous avion oublié. Aphrodite se tenait juste devant nous avec un sourire mutin et le dieu de la guerre juste derrière elle qui, il semblerait, passait par la petite porte de la cité.

-Oooooh....aaaaah...Le sentez vous ce plaisir qui vous lie ? Aaaaah il n'y a aucun plaisir à se refuser...Vas y...Je la sens bien...Dis moi Athéna..Ne regrette tu paaaaaas...de t'y être si longtemps refusée ?
-Hmmm..Hmmm....Non...J'ai...j'ai...j'ai trouvé mon amant parfait..Oh oui tu l'es.....Recule je veux tes lèvres...Mais je dois te dire....ouh...ma sœur...que je ne m'y refuserais plus...oh oui mon cou...
-Hahaha, pfiou voila une belle manière de vous rapprocher mes sœurs...Tu as le corps le plus sculpté de toute la grèce Athéna tu aurais du le montrer bien avant....han...Je ne me lasserai jamais de tes globes Aphrodite...Tu es si parfaite....pfouu...tu sais mon amour...Ce jeune platéen à largement mérité tes faveurs....Il serait dommage de l'en priver...han....aaaaah....je suis le meilleur pour le savoir.
-Aaaah...Oh mon Arès....Je crois...que notre sœur n'y.....ooouuuh....verra pas d'objections...Hmmmm dès qu'il s'agit de pénétrer quelqu'un tu es le meilleur...
-Hin...mon...beau....messager.....Aaaah....Fais ce qu'il te plait....oui...je te connais...
-Déesse..Je ferais...ha..ha...ha...comme je voudrais mais....ouh..ouh..ouh..aaaaah oui...tu es la première et la seule...aah...aaaah...AAAAAH !!

Je jouis comme jamais dans ma déesse, l'emplissant de mon affection et de mon fluide viril. Je me vidais jusqu'à la dernière goutte et fut rejoins dans cet orgasme magnifique par ma déesse. Nous restâmes je ne sais combien de temps dans cet état de plaisir sublime qui était permis grâce à la déesse des plaisirs. Elle même se plaqua contre son amant quand elle jouit bruyamment et ce dernier se déversa à son tour dans ses reins sublimes et ils tombèrent à coté de nous.

Après cet intense moment nous nous somme lavé dans l'étang clair et nous sommes installé dans l'herbe grasse en laissant les rayons épars séchés nos corps. Un mortel aux coté des dieux....et accepté.... Arès se revêtit non sans que sa compagne lui prodigue une fellation sous nos yeux qui finit par sa poitrine recouverte de semence et une nouvelle baignade. Le dieu de la guerre partit avec un clin d’œil à mon égard.

Les deux déesses et moi finîmes allongés dans un buisson qui nous entoura tel un duvet chaud et soyeux et nous nous endormirent les uns dans les autres.

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