Alexandra A Décidément Toujours Chaud Aux Fesses !!

Résumé de l'épisode précédent : la T-girl Alexandra vient de terminer un tournage X. Elle est attendue ailleurs. Le temps presse.

J'ai à peine le temps de me remaquiller et de changer de vêtements. J'ai une quarantaine de kms à parcourir jusqu'à mon rendez-vous suivant. En soi, ce n'est pas une grande distance mais nous sommes en pleine heure de pointe et la circulation est dense.
J'ai rendez-vous pour un "quickie", un coup à la va-vite, dans une camionnette. Ce ne sont pas les plans que je préfère mais je connais mon partenaire, il est fiable et je sais que je lui fais beaucoup d'effet. Je le vois en général une fois par mois dans un tout autre contexte mais il ne cesse de me relancer pour le rencontrer plus souvent. Aujourd'hui, en acceptant cette rencontre, je lui fais une fleur.
J'arrive dans le patelin mais je ne retrouve plus l'endroit exact où se situe notre coin discret. Je l'appelle et nous nous donnons rendez-vous près d'un cimetière. En convoi, nous nous dirigeons vers un parking, situé juste en face d'une église, dans un petit village de la périphérie bruxelloise. Seuls 2 ou 3 véhicules sont stationnés ici et il n'y a pas âme qui vive. Mon "amant d'un instant" gare sa camionnette en marche arrière, à quelques centimètres d'un mur de bosquets. Je me gare juste à côté de son véhicule. Les portes arrières s'ouvrent, l'homme me fait signe de le rejoindre. Vêtue d'une mini-jupe et de bas auto-fixants noirs, je n'ai que quelques pas à faire sur le sol composé de graviers et de terre boueuse.
Une fois que je suis arrivée dans la camionnette, l'homme ne se contrôle plus, il est très excité. C'est un fétichiste des bas nylon et je porte exactement le genre de tenue qui le fait bander instantanément. Une veste est posée sur le sol inconfortable du véhicule, je m'agenouille pendant que le mec déboutonne son pantalon. Il en extrait un sexe déjà bien dur sur lequel je me penche pour le prendre en bouche. Tout en le suçant, l'homme caresse mes jambes.

Le contact de ses doigts sur mes mollets et mes cuisses gainées de nylon le rend dingue. Il veut aussi me sucer, il veut me faire bander et je l'y autorise mais sans trop y croire, surtout quand, par sécurité, il recouvre mon sexe encore mou d'un préservatif. Sa caresse buccale incertaine et son manque d'expérience ne me font aucun effet. Il se décide alors à passer aux choses sérieuses. "Je veux te baiser !" "OK, pas de soucis. Levrette ?" "Non, je veux te regarder pendant que je te baise, mets toi sur le dos et relève les jambes". J'obéis, mes chevilles sont posées sur ses épaules. Quand il se redresse, le mouvement fait office de levier, mes fesses se décollent du sol, ma chatte anale est dans l'axe de sa queue. Il l'introduit, je le sens bien en moi. Mes jambes sont écartées, l'un de mes talons est calé sur l'une des parois du véhicule, l'autre talon est collé au plafond. La situation est très excitante. Tout en me baisant le cul, l'homme commence à me lécher les jambes, son fétichisme du nylon va bien au-delà de la simple caresse. J'apprécie ce qu'il me fait mais il a de la barbe et la douceur du baiser est atténuée par les poils drus de son menton. En même temps, il continue ses va et vients et sa bite, toujours bien dure, s'enfonce profondément dans mon cul. Nous décidons de changer de position et je me mets à 4 pattes afin qu'il me prenne en levrette. Même si le parking reste désert, nous tentons de rester discrets, il me demande de garder la tête baissée et de ne pas gémir trop fort. Malgré cela, j'ai vue sur l'église, et je trouve marrant et excitant de faire "ça" sous les yeux de Jésus, qui nous observe de son regard triste du haut de sa croix. "Je sens que ça va venir" me dit mon partenaire. "OK, tu veux jouir où ? Sur mon visage, dans ma bouche ? Sur mes fesses ?" "Non, retourne toi, remets toi sur le dos, je veux encore un peu te baiser comme tout à l'heure". Je m'exécute et il me baise à nouveau en me regardant tout en mordillant mes mollets, mais après seulement quelques mouvements, la sensation est trop forte.
"Crache ton jus sur mes bas !" Pas besoin de lui dire 2 fois, je pense d'ailleurs qu'il en rêvait. Il plaque sa queue contre ma jambe, je vois le gland qui gonfle et un premier jet puissant, blanc et crémeux qui en sort, suivi de 2 ou 3 autres. Mon partenaire râle de plaisir. Une fois les couilles vides, il étale avec sa bite, toujours en érection, sa crème sur mon bas noir, comme s'il s'agissait de confiture sur une tartine. Nous n'allons pas nous éterniser, il était convenu que ce serait un "quickie" et c'est très bien ainsi. Sa femme l'attend à la maison, quant à moi, ma soirée n'est pas finie, loin de là.

Ma dernière étape pour ce soir me mène chez un ami italien, de passage à Bruxelles. Il a loué un loft immense, bien trop grand pour lui seul. Il m'a demandé si je pouvais trouver quelques personnes sympathiques pour " le temps d'agréable manière". En l'espace de quelques heures, j'ai pu persuader 3 personnes de nous rejoindre. Nous serons 2 T-girls et 3 mecs. On fait dans l'international ce soir puisqu'ils sont tous d'origine différente : on a un italien, un turc et un Black.
Ce dernier arrive avec un peu de retard mais il ne tarde pas à me faire comprendre qu'il n'est pas venu pour faire de la figuration. Il pose ma main sur son pantalon, à hauteur du sexe, et je réalise que je n'aurai pas besoin de le chauffer longtemps.
C'est ainsi que va démarrer la soirée. Ma copine va s'occuper de notre hôte italien, je vais être prise en main par le Black, quant à mon ami turc, il va faire l'aller-retour d'un couple à l'autre, son endurance lui permettant de participer sans discontinuer à tous les jeux.

Mais moi, je profite au maximum de cette grosse queue noire, ce BBC, comme disent les anglo-saxons (pour "Big Black Cock", rien à voir avec la télé anglaise...) un mets ô combien trop rare dans nos contrées. Alors qu'à Londres ou à Paris, les Blacks intéressés par les T-girls sont légion, il n'en est malheureusement pas de même par chez nous, à Bruxelles.
Ou alors ils se cachent bien. Alors quand j'en croise un, je ne le lache plus. Et lui aussi semble accro. Nous allons baiser non-stop pendant 1/2h ou 3/4h, changeant régulièrement de position. Parfois, mon ami Turc se joint à nous. Je me retrouve alors avec une queue en bouche et une autre qui me défonce l'arrière train. Ils inversent aussi les rôles, pour pouvoir goûter à toutes mes saveurs. Mais c'est quand même le Black qui se mange la plus grosse part de gâteau. Et moi, je déguste comme jamais ! A genoux sur le divan, je m'agrippe au dossier, pendant que, derrière moi, le piston ne cesse de faire des aller-retour dans mon cul. J'en redemande car, si au début j'avais un peu de mal à gérer la taille et l'épaisseur du sexe, à présent, je m'y suis totalement habituée au point que je le rejoins dans ses mouvements, offrant mes fesses bien ouvertes pour ne rien perdre de ses coups de reins. "Clac clac clac !" Ses couilles couleur d'ébène tapent contre ma chair blanche. Je me sens tout excitée, je m'imagine être une de ces actrices porno dans un scénario "Black on Blondes". Ca faisait longtemps qu'on ne m'avait plus baisée comme ça. A présent ce sont les fessées qui suivent et les mots crus. "T'es vraiment une grosse cochonne, une salope qui aime la queue de Noir" "Oh ouiiiiii j'adore ça !" Il s'amuse à extraire son sexe de ma chatte anale pour l'y réintroduire sans aucune peine. J'ai l'impression d'être ouverte comme je ne l'ai jamais été, je vis un moment unique et inoubliable. Pendant ce temps-là, dans la chambre voisine, nous entendons nos "équipiers" qui, eux non plus, ne sont pas en reste. On s'attendait à une soirée très chaude et nous ne sommes pas déçus.
Mais même les plus endurants ont leurs limites et mon partenaire sent qu'il ne pourra plus tenir très longtemps. Il m'en averti et je m'agenouille devant lui afin de récolter son jus quand il sortira. Je lui lèche les couilles pendant qu'il se branle et soudain, il lache la crème en visant mon visage. J'ouvre la bouche et je récolte un beau jet que je vais avaler sans grimacer.
"Tu vois, c'est ça aussi que j'adore avec les Travs. Non seulement vous adorez l'anal mais en plus vous prenez tout en bouche et vous avalez sans qu'on vous le demande ! Ma femme n'accepterait jamais de faire tout ça !" Et bien oui, c'est une réalité : nous sommes des êtres plus que parfaits, fallait-il encore le démontrer ?

FIN.

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