Comment Pimenter Des Tests Médicaux: Deuxième Rendez Vous

Arrive enfin le vendredi, je me réveille vers 8 heures même si mon rendez vous n’est qu’à 11h. Mon string et laver et sécher, après la douche je l’enfile. Je ne sais pas comment font les filles pour tout le temps avoir une ficelle dans le cul. La sensation n’est pas désagréable mais pas confortable non plus.

Boulevard Voltaire, la même adresse que la dernière fois. J’arrive quelques minutes en avance, je m’arrête à l’accueil, aujourd’hui c’est un homme mais il m’indique le même chemin que la dernière fois. Arrivé dans la bonne section cette fois je suis accueilli par une autre infirmière.

Celle ci m’indique la salle d’attente après avoir pris mon numéro de dossier. Cette bien l’infirmière blonde de la dernière fois qui vient me chercher après 20 minutes d’attente, je sens que ça frétille dans mon string. Nous allons dans un autre bureau beaucoup plus spacieux. Elle me demande de me déshabiller immédiatement.

De dos pour enlever mon pantalon et lui dévoiler mon string, je jette un coup d’oeil rapide derrière mon épaule, elle mate. Une fois uniquement en sous vetement, elle me demande d’aller m’assoir sur la table d’auscultation. Je prends tout mon temps pour y aller. C’est seulement quand je suis assis qu’elle plonge la tête dans ses dossiers.

Elle me rejoint et avec le stéthoscope, elle écoute au niveau de mon torse, où les poils commencent à repousser puis mon dos. Ensuite elle m’allonge, palpe mon abdomen et quand ses doigts passent sous l’élastique de mon string et commence à me tripoter la queue, elle me demande:
« Vous avez déjà eu un examen des testicules? »

Furtivement je lui dis que oui au moins pendant les 3 jours mais jamais d’échographie ou autre. Ses mains descendent jusqu’à toucher mes couilles, qu’elle caresse rapidement puis elle lâche le string. Elle me donne le nom de différentes maladies je dois lui dire si je les ai contractées (Il y a des MST au milieu, je n’en ai jamais eu).

Elle fait la même chose avec des médicaments alors qu’elle examine chaque parcelle de mon corps.

Grâce à une petite tape sur ma hanche pendant une question je comprends que je dois me retourner. Elle examine d’abord mon dos puis mes jambes et quand elle commence à toucher mes fesses elle s’y attarde un bon moment. Se sont plus des caresses que des examens qu’elle fait. Elle retire la ficelle de ma raie, écarte mes fesses et appuie sur mon oeillet en me demandant si j’ai déjà subi un toucher rectal.

Hésitant à lui répondre que oui mais pas médicalement je me résous à lui répondre tout simplement:
« Non »
Elle me prend la tension au niveau du poignet mais aussi à la cheville. C’est la première fois que je vois ça, je me demande si ce n’est pas pour fixer mon entrejambe. Si elle voulait vérifier si je réagis elle ne va pas être dessus!

« Ici et là vous avez quelques grains de beauté qu’il va falloir surveiller. »
Elle me dit en posant sa main sur mon corps mais même là où je suis sûr que je n’en ai pas. Quand sa main reste un long moment sur mes cuisses je bande tellement qu’elle ne peut pas l’ignorer surtout que mon gland dépasse. Comme par hasard elle me demande d’enlever mon string.

Je m’exécute un peu étonné mais pas autant qu’elle quand elle remarque en plus de mon érection que je n’ai aucun poils en dessous, je me suis totalement rasé . Lundi j’ai remarqué que j’avais pas mal de poils qui sortait de mon triangle de tissu alors j’ai voulu y remédier. Elle me fait plier et relever les jambes et commence à toucher mes couilles qu’elle examine consciencieusement l’une après l’autre en les faisant, rouler, les écrasant…

« Klap » fait son doigt quand il tapote la goutte qui coule de mon méat. Elle rigole alors que je rougis. Elle repose sa main sur mes testicules et me demande si pendant l’examen j’ai eu mal aux bourses. Je lui réponds que non du coup elle me demande si j’ai déjà eu des douleurs auparavant, je réponds aussi négativement.


La bite déjà bien raide maintenant elle l’empoigne en son milieu avec ses deux mains. Elle pose ses pouces sur mon gland et commence à appuyer à différents endroits. Ensuite elle fait tourner un seul de ses pouces, sous le replis de mon gland. Quand elle est au niveau du frein elle presse son doigt dessus, elle me gratouille même avec son ongle.

Mon méat éjecte un long filet translucide qui coule jusqu’au doigt de l’infirmière. Quand elle sent le contact du liquide elle fait remonter son doigt pour le récupérer. Maintenant qu’il est bien humide elle tourne sur mon gland alors qu’avec l’autre elle continue à me triturer le frein. Ses deux mains se calme rapidement.

Normalement je lui aurais demandé de continuer ou je me serais jeté sur elle mais je suis assez conscient pour me rappeler que je suis en plein « examen médical ». Une fois qu’elle abandonne ma queue complètement raide, elle enfile un gant et me demande de relever mes jambes le plus possible et de les maintenir avec mes mains pour le toucher rectal.

On aurait pu croire que je sois mal à l’aise mais pas du tout, si elle est aussi délicate avec mon petit trou qu’elle l’a été avec ma queue je vais avoir du mal à me retenir de gémir. Je la vois mette du gel entre mes fesses mais également sur sa main gantée, je commence à avoir peur je ne peux pas accueillir tous ses doigts.

Pour me détendre je repense à ce qu’elle vient de me faire et ça va encore mieux quand je sens que deux doigts me masser la rondelle. Une fois qu’elle la juge assez souple elle me dit:
« Détendez vous et pousser comme si vous étiez aux toilettes. »
J’hésite à lui répondre que je connais mais elle m’enfonce déjà un doigt dans les entrailles.

Quel bonheur de sentir son majeur s’enfoncer en moi tout doucement! Il me pénètre entièrement sans rencontrer de résistance. Ensuite elle le fait ressortir tout aussi doucement et ne me laisse qu’une phalange à l’intérieur.
Elle fait le tour de l’intérieur de ma rondelle.

Rapidement je sens qu’elle augmente la largeur de ses cercles pour agrandir le diamètre de mon trou. Comme pour se justifier elle me dit:
« Votre anneau est plutôt souple c’est bon signe. »
Elle retire son doigt remet du gel et cette fois en insère deux en même temps qu’elle rentre à moitié.

Silencieusement je me laisse faire ensuite elle me demande de contracter à plusieurs reprises. Elle a l’air satisfaite du résultats. Elle enfonce un peu plus ses doigts et commence à taper la prostate. Ma bite se raidit encore plus, j’adore cette sensation de plénitude et ses répercussions. Elle continue comme ça un moment avant de déculer.

Trois doigts sont maintenant dans mon cul, je ne pensais pas qu’il s’élargirait autant. Elle les fait aller et venir en moi en finissant toujours par atteindre ma prostate. Comme si je n’étais pas assez excité elle avance entre mes jambes et gobe directement mon sexe. Après une dizaine d’allers retour sur ma bouche et dans mon cul, ses doigts continuent leur travail alors que sa bouche enferme mon gland et son pouce me titille le frein.

Un petit moment de ce traitement me suffit pour ne plus arriver à me retenir. Entre deux gémissements je la préviens que je vais jouir, sa langue n’arrête pas de titiller mon méat. J’ai tout juste le temps de souffler que je sens la première giclée lui envahir la bouche. Son pouce m’abandonne pour me sucer sur tout la longueur de ma tige et bien avaler les jets suivants.

« Vendredi prochain je suis prêt à faire des heures sup pour toi! »
C’est ce qu’elle me dit immédiatement après avoir abandonner ma bite alors qu’un filet de sperme coule sur son menton. Quand elle le sent elle le ratt et l’avale. Elle retire ses doigts un à un de mon cul et en retournant à son bureau elle dit à voix haute:
« Tout me semble parfait »

Wagnérien, c’est comme ça que j’imagine son orgasme pendant que je la lime et qu’à mon tour je lui rentre un doigt entre les fesses.
Alors que je l’écoute parlé je n’arrête pas de me demander si je la relance à propos de vendredi prochain. J’ai très envie de vérifier mon avis sur son plaisir mais je ne sais pas trop comment l’aborder surtout qu’elle n’arrête pas d’écrire. Je n’ai pas le temps de faire quoi que ce soit car elle se lève pour me ramener à la porte, elle m’accompagne jusqu’à l’accueil et me tend une enveloppe avec une carte de visite.

Xéres Cynthia, se n’est pas banale comme non! Par contre je ne me vois pas du tout l’appeler au centre et demander à lui parler. J’ouvre l’enveloppe avant de quitter les lieux et je recompte mon argent. Je suis plus riche de 350 francs et franchement je suis prêt à recommencer tous les jours.

« Youpi », c’est ce que je me dis quand je vois qu’au dos de sa carte elle m’a laissé son numéro de portable. Je vais pouvoir à mon tour jouer au docteur avec elle. Je réalise en commençant à fantasmer sur elle que je n’ai pas du tout vu son corps ni ses formes à part ses seins très généreux qui débordaient de sa blouse.

Zapper, merde j’avais zapper la soirée chez Amélie heureusement qu’elle m’appelle pour me demander de ramener un dessert. Sur le chemin je suis à la recherche d’une pâtisserie quand je passe devant un magasin de pyjama et sous vêtements. Je rentre un peu gêné demander s’ils vendent des strings pour homme. Comme ça m’a bien porté chance je décide d’investir et je repars avec un bleu, un bordeaux et un blanc. Je me demande déjà lequel je vais porter ce soir….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!