Ma Belle-Mère (Suite 1)

Le reste de la journée, Martine, ma belle-mère, m'a semblé bien plus souriante qu'à son habitude. Je n'ai pas eu à subir de réflexions désobligeantes ni de remontrances sur mon manque d'implication dans les tâches ménagères ni aucunes autres remarques qu'elle avait l'habitude de me lancer. Cela dit, je ne l'ai pas beaucoup revu de la journée et le fait de lui avoir complètement explosé le cul devait sans doute y être pour quelques chose.
Malgré tout, mes pulsions sexuelles, bien qu'assouvies provisoirement, étaient loin d'être satisfaites, si bien que j'ai passé quasi tout le repas avec une belle érection à fantasmer sur ses énormes seins, en lui lançant des sourires coquins qu'elle me rendait timidement, les joues légèrement rosées, dès que mon père avait le dos tourné.
Le lendemain, après un réveil tardif, j'avais entrepris une petite séance de branlette sous la couette pour me soulager un peu avant de prendre mon petit déjeuner.
J'étais donc avec ma demi-molle à la main, feuilletant une revue cochonnes quand Martine fit irruption dans ma chambre.
"- Putain Martine, tu peux pas frapper avant d'entrer!
- On dit bonjour déjà, espèce de petit con! Et je vois que tu est encore en train de te masturber! T'en as pas marre à la fin!
- Bah t'as qu'à venir me sucer plutôt,  si tu veux pas que je me branle!" Lui répondit-je du tac au tac, sans même réfléchir.
Elle prit une mine amusée, son regard alternant entre le mien et mon sexe, pendant plusieurs secondes.
Vite agacé, j'enchaîna d'un ton autoritaire:
"- Ben te fais pas prier! Soit tu sort, soit tu t'occupes de ma bite!"
- Tu te sent pousser des ailes toi, depuis hier!
- Tu vois bien que c'est pas une aile qu'est en train de pousser! Viens t'occuper de ma bite, ta bouche sera toujours plus utile à ça que pour parler!"
Elle s'approcha du lit d'un pas vigoureux et au lieu de me gifler, ce à quoi je me serais plutôt attendu, elle se pencha et commença à caresser mon sexe lentement.

Elle avait les mains douce et c'était la première fois que je m'en rendais compte, qui plus est de la plus agréable des manières.
Toujours est-il que je voulais bien plus, je me suis donc glissé hors des draps pour me placer au bord du lit, assis, en appui sur mes coudes, tout en lui ordonnant:
"- Mets toi à genoux et montre moi ce que tu sais faire!"
Elle obéit sans broncher, excissant juste un petit sourire.
Sa langue se posa d'abord sur mes boules qu'elle se mit a lécher lentement, l'une après l'autre, comme si c'était un cornet de glace à deux parfum, tout en exerçant de léger va et viens sur ma tige avec sa main, pour ensuite les gober, chacune leur tour, sans oublier de les caresser avec sa langue à l'intérieur de sa bouche.
Ma queue se raidit inévitablement sous se traitement divin et sa langue finit par délaisser mes couilles pour se concentrer désormais sur ma hampe. Elle me lécha de bas en haut, lentement, ne délaissant aucune parcelle de ma tige avec sa petite langue chaude et humide, remettant par moments quelque petits coups de langue sur mes bourses.
La sensation de la voir me lécher comme une chatte le ferait pour nettoyer ses petits à vite fait de me faire bander comme un âne.
Elle passa ensuite à l'étage supérieure, déposant d'abord quelques baiser sur mon gros gland gonflé avant de le flatter avec sa langue, titillant mon frein, mon prépuce et tournoyant autour de ma corolle. Le moins qu'on puisse dire, c'est que cette salope avait faim et qu'elle se régalait avec mon morceau.
Ce traitement fut rapidement insupportable et je ne put m'empêcher de la saisir d'une main par les cheveux pour la forcer à la prendre en bouche.
Elle semblait beaucoup apprécier car je pouvais l'entendre commencer à gémir. Positionnée à quatre pattes, j'avais tout le loisir de contempler son gros cul se tortiller légèrement, fidèle à son comportement de chienne, heureuse de satisfaire son maître.
C'était plus qu'une pipe, je me branlait littéralement avec sa bouche, l'utilisant comme un sex-toy, choisissant à ma guise le rythme et la profondeur.

Cependant, la position n'étant pas ma préférée, je me suis mis debout, face à elle, tout en la tirant par sa chevelure, l'obligeant à se mettre à genoux, sans pour autant sortir ma bite de sa bouche. Ce que je ne fit que pour la biffler bruyamment, sans ménagement, ce qui, malgré sa surprise, ne lui ôta ni son attitude de soumission, ni son sourire de satisfaction.
J'en profita pour lui lancer:
"-T'es vraiment une belle salope! Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire! Suces moi comme si ta vie en dépendait! Je veux que tu avales ma bite comme si c'était la dernière que tu verras!"

Puis j'ai lâché mon emprise pour lui laisser libre cours à ses talents. Ce qu'elle fit volontiers.
Après avoir fait parcourir lentement sa langue de mes couilles jusqu'à mon gland, tout en me fixant dans les yeux, elle m'a saisi de ses deux mains par les fesses et c'est empalee brusquement l'orifice bucal sur mon pieux, presque jusqu'à la garde, au fond de sa gorge. Malgré quelques haut le cœur, elle maintenait la pression, pour s'introduire toujours plus loin ma queue dans son œsophage. J'avais vraiment affaire à une cochonne de concours, capable de s' toute seule avec ma bite, sans même la forcer. Jamais on ne m'avait avaler la queue aussi profondément.
Elle finit toutefois par lâcher prise, reprenant son souffle, haletante, les yeux embuées, puis cracha sa salive sur mon membre avant de reprendre sa fellation sans se faire prier.
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle était experte, maîtrisant à la perfection sa succion, la pression exercé par ses lèvres, sa langue. Elle lechait, sucait, aspirait ma bite et mes couilles comme rarement on l'avait fait auparavant. Elle venerait ma grosse queue, n'ometant aucun cm carré à déguster comme si c'était le met le plus délicat, précieux et savoureux que la terre n'ait jamais porté.
Cette fellation était de loin la meilleure qu'on ne m'avait jamais prodiguer, ma belle mère semblait comme possédée, prise dans un élan frénétique de sucage de bite, comme en totale .
.....
Je ne manquait jamais de l'insulter, la complimenter ou même de la gifler avec mon sexe, enduit de sa salive, pour l'encourager, la motiver tout en lui permettant de ne pas oublier où était sa place, à savoir à genoux comme une chienne à me faire du bien, soumise à mon plaisir et à ma queue.
Malgré la taille et le diamètre de mon sexe, elle n'avait pas l'air de fatiguer, l'engloutissant presque en totalité pendant ses gorges profondes, ce qu'elle semblait mettre un point d'honneur à effec et à réussir, jusqu'à être à seulement quelques millimètres de pouvoir me lécher les boules, tout en ayant mon vit de 23cm planté tout au fond de sa gorge, deglutissant pour me procurer un maximum de plaisir. Elle bavait comme une chienne l'aurais fait devant une côte de bœuf, sa salive dégoulinant sur mon morceau jusqu'à mes boules, qu'elle récupérait par moment avec sa langue pour mieux la recracher ensuite et recommencer à engloutir mon sexe.
Ce fut un effort constant de faire tout mon possible pour me retenir d'ejaculer tant elle était doué. Et malgré le diamètre de mon sexe, qui lui distendait sa bouche, l'obligeant à ouvrir la mâchoire au maximum, elle n'avait aucunement l'air de fatiguer et semblait pouvoir continuer ainsi pendant des heures, alternant gorge profonde, pompage, suscotage de gland et léchage de couilles. Elle semblait même aux anges lorsque par moment, après m'être saisit de sa tête à deux mains pour lui asséner de rapide vas et viens dans sa gorge, elle se contentait de me sourire en me regardant droit dans les yeux, satisfaite.
Jamais une bouche ne m'avait procurée autant de plaisir, son talent dépassant de loin celui de toutes les jeunes filles de mon école réunis.
Néanmoins, il me restait un dernier test à effec, pour vraiment m'assurer qu'elle méritait amplement le titre d'esclave sexuelle, et que je sois certain qu'elle soit apte à supporter toutes mes envies. De plus, je ne pouvais pas me permettre de finir en lui laissant l'avantage, il fallait absolument que je lui fasse comprendre qui menait la dance, quoi qu'il arrive.

Après l'avoir biffler une fois de plus, faisant claquer mon sexe gonflé, enduit de sa salive, bruyamment sur ses joues, je l'ai attr par les cheveux pour la ramenant brutalement à ma hauteur et lui glisser à l'oreille:
"Maintenant tu vas t'allonger sur le dos la tête au bord du lit, et je vais baiser ta petite gueule de pute, comme j'ai baiser ton cul hier!"
Elle s'exécutat immédiatement, sans broncher, comme si c'était secrètement son vœux le plus cher, mais avec toujours son petit sourire narquois aux lèvres, avec comme un air de me mettre au défi, ce qui a le dont de m'énerver et de me m'exciter à la fois.
Une fois installée dans la position idéale pour une irrumation sauvage, elle entreprit immédiatement, une fois mon sexe à la portée de sa bouche, de me gober, lecher, aspirer, les boules, le gland et la hampe. De mon côté, sa poitrine opulente devant les yeux, je ne put me retenir d'ouvrir son chemisier, d'un mouvement brusque, faisant sauter plusieurs boutons au passage, puis de dégager ses énormes seins qui ne demandaient qu'à être libérer de son soutien-gorge.
J'ai ensuite malaxé ses énormes seins, pincé ses tétons, les tirant, les faisant rouler sous mes doigts, ses gémissement couvrant à peine les bruits de succion de ses lèvres sur mon gland.
Je me suis amuser ainsi, tout en ondulant du bassin, frottant sur son visage ma grosse queue qu'elle léchait de long en large.
Après quelques instants, je me suis reculé légèrement, présentant mon gland à l'entrée de sa bouche grande ouverte qu'elle se mit instantanément à lécher et sucer. Puis j'ai commencé à la limer, d'abord doucement, augmentant petit à petit l'amplitude et la rapidité de mes vas et viens dans sa bouche.
Contrôlant mon excitation, j'aurais pu aisément continuer comme ça pendant des heures, mais il était hors de question que je la laisse s'en tirer aussi facilement et que je vienne de cette manière.
-"T'es vraiment une grosse cochonne Martine! Ta bouche est aussi bonne que ton cul! Mais je me demande quand même si t'arriveras à la gober en entier...
-Mmpfffglouprfffmffplgrouplllf!!" Fut le seul son qu'elle arriva à produire.
Je lui ai mis une petite claque sur la joue tout en la sermonant:
"-Tu perts tes bonnes manières Martine! C'est pourtant toi qui n'arrete pas de me dire de ne pas parler la bouche pleine! Enfin, c'est pas grave, voyons jusque où on peut enfoncer cette bite."
Tout en prononçant ces mots, j'ai enfoncer lentement ma queue dans sa gorge jusqu'à ses amygdales qui, une fois dépassées,  procura une très agréable sensation à mon gland. La salive aidant, j'ai continué à pousser ma bite, cm par cm, jusqu'à ce que mes couilles viennent complètement s'écraser sur son visage. Je suis resté figé ainsi quelques secondes, profitant du massage effectué par les muscles de son coup et de sa glotte. Puis je me suis retiré, la laissant respirer quelques secondes, avant de recommencer, encore et encore si bien qu'il ne fallut que peu de temps avant que je me mette à lui baiser sa gueule de chienne. Malgré quelques hauts de cœur, elle encaissait à merveille mon pillonage, mes couilles claquant sur son visage dégoulinant de saliver à chaque coups de reins.
Je profitait également des moments où je la laissait respirer pour me masturber entre ses seins, ce dont j'avais toujours eu envie depuis que j'étais en âge de bander, je reprenait ensuite ma sailli buccale, profitant du spectacle de la bosse que formait ma bite a l'intérieur de son cou et des gargouillis provoqués par sa salive.
J'étais au bord de l'explosion, fourrant sa gorge frénétiquement, râlant de plaisir comme une bête, quand je me suis finalement figer une dernière fois au plus profond, mes boules plaquées, lui recouvrant presque entièrement sa face.
La première giclée m'arracha un puissant cri de plaisir. Les suivantes ne semblait pas vouloir s'arrêter, chaque spasmes déversant toujours plus de foutre dans son œsophage. Je la gavai comme une oie, les contractions des muscles de sa gorge et son cou, me massant la bite à chaque jet de sperme.
Mon orgasme fut un des plus puissant et a duré de longues secondes, si bien que j'en ai presque oublié de la laisser respirer.
Quand je le réalisa, elle était en train de suffoquer et se mit à prendre des grandes bouffées d'air dès que j'ai dégagé ma bite de son orifice buccal.
Je reprenai mes esprits quelques instants, les yeux clos, la laissant reprendre son souffle également quand je senti de nouveau sa langue s'activer sur mon gland. Elle suscotait et léchait ma bite qui commençai à débander, tendrement, pour ne pas perdre la moindre goutte de la précieuse liquideur dont je venais de lui remplir l'estomac.
Ce n'est que lorsque que je me suis décidé à délaissé sa bouche pour remettre mon caleçon qu'elle se résignat à arrêter de me pomper. Tout en me rhabillant, je lui ai dit sans ménagement, d'un ton autoritaire, pendant qu'elle se relevait pour me faire face:
"-Je vois que tu as bien compris quel était ta place désormais! A partir de maintenant ta bouche et ton cul sont à moi!

C'est ainsi que ma belle-mère devint ma soumise, mon esclave sexuel.
Il ne suffit que de quelques jours pour qu'elle se procura un plug de taille XXL, qu'elle porta pendant quelques semaines. Par la suite, mes sodomies quotidiennes, parfois même plusieurs fois par jour, lui laissa l'anus prêt à chaque instants. Et à dès que j'en avais envie, je l'enculai, parfois directement dans la cuisine pendant qu'elle préparait le repas, quand je rentrai de l'école, me contentant de lui baisser son pantalon ou de lui relever sa robe, cracher sur sa rosette pour lui prendre l'anus sans aucune pitié, sans même lui avoir dit bonjour. D'ailleurs, plus j'étais brutal et sans ménagement, plus elle prenait son pied, laissant parfois des flaques de mouille sur le sol. Elle étaient complètement soumise à ma queue, son petit trou était devenu mon vide couille, mieux que n'importe qu'elle coquine de mon bahut. Sa bouche et sa gorge n'était pas épargnées non plus.

Il se passa encore pleins d'aventures avec elle. Mais je vous le raconterai une autre fois.

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