Entre Hammam, Sauna Et Forêt

Nous en étions donc au hammam, dans lequel je venais de rentrer et dans lequel je commençais peu à peu à devenir enivré de cette belle ambiance, avec Maëva, la jolie jeune femme de 25 ans et sa très belle poitrine, assise à ma droite, Camille, l’amie de Maeva, un peu plus grande et plus en chair mais très désirable aussi, allongée à côté de Maëva et Carole, la quadragénaire blonde et sexy.
Je regardais tour à tour ces trois jolies jeunes femmes et celle qui faisait le plus d’effet sur mon sexe était sans nul doute Maëva et ses seins qui ne demandaient qu’à être libérés, sucés ou tout autre plaisir charnel.
Mais il y avait également Carole, jolie milf d’une quarantaine d’année que je pouvais mater sans aucune crainte. Je la voyais d’ailleurs discrètement se toucher l’entrejambe… pour plus de détails, n’hésitez pas à aller relire de le début de ma précédente histoire. Pour celle-ci, on repart donc sur le même début, la même ambiance, sauf que la suite ne se passe pas avec la belle Maëva.
J’étais donc avec ces trois jolies jeunes femmes, que je commençais à mater sans vergogne, ayant observé qu’elles fermaient les yeux de façon quasi permanente.
Au bout d’un moment, Maëva et Camille se sont échappées du hammam, me laissant seul avec Carole qui ne bougeait pas plus que ça, mais qui touchait régulièrement son petit bouton à travers son maillot de bain. Cela commençait à me titiller l’esprit, ce spectacle qui laissait place à mon imagination qui peut être débordante dans ce genre de situation.
De temps en temps, quelques personnes allaient et venaient, mais sans éveiller en moi de nouveaux désirs.
Carole était partie à un moment, puis est revenue.
Elle aurait pu s’installer plus loin de moi, mais s’est à nouveau allongée à mes côtés, je pouvais à nouveau la contempler. Étant seul avec elle, et n’ayant donc qu’elle à regarder, je me suis allé à doucement apprécier chaque partie de son corps. Son visage, les traits un peu tirés, elle devait prendre soin d’elle.

Carole épilait ses sourcils, se maquillait sans doutes, se mettait du mascara et ses lèvres peintes d’un joli rouge à lèvre rouge. Le rouge franc est assez rare chez les femmes mais donne un côté hyper sexy en un rien de temps. Le haut du corps de Carole était agréable aussi, bien que disposant d’une capacité respiratoire bien moins importante que Maëva… Ça n’empêchait pas les tétons de Carole de poindre à travers son haut triangle. Le bas du maillot, très échancré laissait voir un peu plus que l’essentiel mais pas trop pour tomber dans le vulgaire.
Si on pouvait encore en douter, la brume du hammam pouvant tromper le regard, je la voyais maintenant se passer les mains sur sa poitrine. Elle se faisait clairement plaisir et ça devait lui procurer une certaine excitation de se sentir probablement épiée. Je devinais très nettement ses tétons dressés de désir. Carole avait cependant toujours les yeux clos.
Puis elle a mis sa main gauche sous son bas tout en se touchant maintenant directement les tétons.
C’est à cet instant précis que j’émis un petit râlement de plaisir.
Toujours les yeux clos, mais ayant sans doute entendu mon encouragement, Carole a relevé son haut. Elle était à présent seins nus, devant moi, mais sans qu’à aucun moment nos regards ne se soient croisés.
Je me suis alors rapproché afin qu’elle comprenne que son invitation avait été acceptée.
Carole a alors cessé de se caresser la poitrine pour venir me caresser les cuisses dans un premier temps. Je me languissais pour qu’elle daigne remonter dès à présent sa main mais elle jouait clairement avec moi.
Effectivement, c’est le moment qu’elle a choisi pour remettre son haut, se relever et partir.
Ayant vue sur l’entrée des deux saunas qui font face au hammam, j’ai pu savoir qu’elle allait dans le sauna « light » (sec mais température moins importante que le deuxième).
Mes intentions étant claires, et Carole les ayant assimilées, je décide de la suivre quelques instants plus tard.

Heureusement, Carole était seule dans le sauna. Elle était assise, les jambes allongées sur le bois. J’en fi de même face à elle. Nous pouvions nous contempler, échanger nos regards mais aucun mot ne sorti de nos bouches. Pour l’instant.
Carole me regardait fixement, d’une telle manière que regarder son corps m’était impossible. Carole dégageait un tel charme avec son seul regard que cela me suffisait. Nos jambes se touchaient mais n’était pas suffisamment longues pour atteindre le sexe opposé.
C’est pourquoi j’ai décidé de m’allonger afin de positionner l’un des pieds de Carole contre mes testicules. Elle ne s’y attendait pas vraiment et a d’abord effectué un mouvement de recul avant de comprendre la finalité de mon mouvement. Elle remis alors son talon contre mes testicules.
Carole remuait son talon avec beaucoup d’adresse et cela me faisait un effet certain. J’ai alors retiré mon maillot de bain afin que les caresses soient suivies d’un plaisir visuel pour Carole. Elle a fait de même en retirant à nouveau son haut.
Je me suis aperçu à ce moment qu’elle disposait finalement d’une poitrine relativement bien fournie contrairement à ce à quoi je m’étais imaginé. Ce n’était pas des seins refaits, ça se voyait, mais quel pied !
Puis nous avons aperçu une ombre passer devant la porte. Pris d’une petite panique, nous décidions de nous assagir et de remettre nos maillots de bain.
Carole m’indique alors qu’elle va en profiter pour aller voir son mari pour le prévenir de son départ, prétextant qu’elle avait des courses à faire. Son mari pouvait alors profiter encore 1 heure ou 2 pour se relaxer..
Je l’attendais dans l’espace des douches afin de poursuivre nos plaisirs charnels. Carole vint alors et me fit comprendre qu’elle ne souhaitait pas prendre de douche avec moi.
Ça m’a quelque peu refroidi et me suis demandé quoi faire car j’avais pensé comprendre que le prétexte des courses était fait pour se couvrir afin d’aller plus loin avec moi.
J’ai donc pris ma douche seul, en l’imaginant se frotter, se savonner nue…
Carole est décidément surprenante.
Je suis sorti de la douche et l’ai aperçu dans les vestiaires en train de partir : elle était allé vite pour se doucher et s’habiller.
Ni une ni deux, ne voulant pas rater le wagon, je me suis empressé de me changer et d’aller au plus vite sur le parking pour voir si j’arrivais à la voir encore. Malheureusement, elle semblait partie.
J’ai senti alors à ce moment une main délicate se poser sur ma fesse droite. Main à laquelle je répondis d’une autre main vers son pubis. Carole s’était cachée pour me surprendre à nouveau.
C’est un jeu auquel je commençais à prendre goût. Carole jouait avec moi, avec mon excitation et sans doute cela l’excitait aussi.
Carole se dirigea vers sa voiture et moi vers la mienne. Nous avons convenu que je la suivrai pour qu’elle me conduise chez elle.
Mais elle n’habitait visiblement pas en ville, environ à 3/4h de la piscine. Nous étions en pleine campagne quand elle a tourné dans un chemin en terre, dans lequel nous roulions au pas pendant 15 bonnes minutes. C’était long, et je ne voyais toujours pas d’habitation. J’étais à la fois anxieux et excité.
C’était l’été, il faisait assez chaud, et la situation était telle que même la clim ne me suffisait plus. J’ai alors ouvert la vitre et malgré la vague de chaud qui entra dans la voiture, je me sentais mieux.
Carole s’est arrêté quelques instants plus tard, et nous n’étions donc pas chez elle, mais au beau milieu d’une forêt.
« Nous serons mieux ici, personne ne viendra nous chercher et il fait si chaud que l’ombre nous fera du bien ».
Soit.
Carole sorti un matelas gonflable de son coffre et je l’aidais à installer une grande serviette qui fera office de drap.
Je voyais clairement la poitrine de Carole lorsqu’elle se penchait en avant en s’appliquant à préparer le matelas. Sans doute pressée et excitée, Carole n’avait pas pris le temps de remettre de sous vêtements et la vue qui m’était offerte était très agréable.

« J’aime beaucoup ta façon de faire Carole, j’aimerai maintenant apprécier ton corps, laisse moi te déshabiller ».
N’ayant qu’un haut léger et un shorty (au passage hyper court et si moulant que je voyais sa fente par transparence), Carole se trouva rapidement nue.
Carole me dénuda aussi rapidement et s’allongea sur le ventre sur le matelas. Quel fessier ! Carole, sans que je ne lui demande rien, écarta ses jambes et se cambra légèrement. J’hésitais entre la pénétrer directement et la remercier de se spectacle en lui offrant un joli cunnilingus.
La deuxième option fut finalement retenue. Carole se retourna afin que je puisse la lécher avec plus d’aisance et pour ressentir plus de plaisir. Je pouvais alors prendre ses seins dans les mains et jouer avec ses tétons qui m’avaient donné le tournis dans le hammam.
Une fois la jouissance venue, Carole ne s’est pas mise à genoux face à moi pour me faire une fellation mais s’est glissée sur moi de sorte que j’avais encore sa chatte au bout de la langue et ma verge était à présent engloutie par sa bouche.
Carole était un peu plus grande que moi et elle était obligée de me dresser le sexe de manière assez forte pour aller au bout. C’était presque douloureux au début puis les mouvements de va et vient me firent oublier la douleur qui s’était à présent transformée en bonheur. Carole était une des rares femme à me faire une fellation sans s’aider de ses mains. Elle gardait toujours une partie de ma queue dans sa bouche.
C’est alors qu’elle me fit jouir dans sa bouche. Carole avala avec quelques râlements de plaisir puis vint m’embrasser.
Nous nous sommes reposés un peu et je dis à Carole, si elle n’était pas au courant, que j’avais aperçu une étendue d’eau à travers des arbres à quelques dizaines de mètres de notre campement.
Totalement détendus, nous sommes allés à la découverte de cet endroit qui s’est avéré être un étang dans lequel nous nous sommes rapidement glissés. Carole profitait de ce moment pour se saisir de ma verge et se la fourrer entre les cuisses. J’étais à nouveau complètement dur juste avec le va et vient de ses cuisses. Nous nous embrassions aussi à pleine bouche et Carole sentait encore le sperme. Je sentais sa ferme poitrine contre mon torse et je dirigeais à présent mon sexe à l’intérieur du sien.
La portée de l’eau aidant, je saisis Carole par les fesses afin qu’elle m’entoure les hanches de ses jambes et voici Carole se secouer sur mon sexe. Ses seins étaient maintenant à la portée de ma langue et je m’amusais à lécher et mordiller ses adorables tétons.
Plus ça allait plus j’accompagnais fortement les mouvements du bassin de Carole avec mes mains collées à ses fesses. Je voulais me sentir entièrement elle puis complètement en dehors à chaque va et vient.
Je sentais Carole venir à nouveau mais j’en étais encore loin. Elle est venue rapidement puis n’ayant pas encore jouis, Carole a collé plus fortement sa poitrine contre mon visage, c’était sauvage et a terminé de convaincre ma verge de jouir en elle.

Nous nous sommes alors lavés mutuellement dans l’eau puis nous avons rangé nos affaires. Nous sommes ensuite rentrés chacun de nos côtés...

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