Véhicule Motorisé, Dans Le Chalet, Chapitre 4, Volet 1

Véhicule motorisé,
Dans le chalet.
Chapitre 4, volet 1

Je me remets lentement des sensations que je viens de connaître.
Je me lève du divan-lit et je me dirige vers la porte qui est située dans le coin de la chambre.
Je l'ouvre
Tel que je le pensais, c'est une salle de bain : tout y est.
Des débarbouillettes et des serviettes pour la douche, du shampoing pour les cheveux, du savon pour le corps, de la crème de rasage, et un séchoir à cheveux.
Il y a même des « Fleet » sur le dessus comptoir : produits recommandés pour des adeptes de la sodomie.
Avant de prendre ma couche, je décide d'en utiliser un pour me faire un léger lavement afin de purifier mes intestins de mes sécrétions intestinales ainsi que du sperme que Charles y a été propulsé. Je me doute que mon cul devrait être appelé à être violer à nouveau une fois que je serai dans le chalet.
Par la suite, je prend une douche très chaude et je donne un shampoing à mes cheveux même s'ils sont très court.
Une fois propre, je sort de la douche, je m'essuie, je me sèche les cheveux, je me brosse les dents et je me gargarise la bouche pour enlever la mauvaise odeur de mon haleine causée par l'utilisation qu'en a fait mon Maître.
Étant imberbe du visage avec des traits loin d'être masculins et le reste de mon corps épilé au laser, mon corps ne porte aucune trace de poils qui pourraient déplaire à certains hommes comme mon Maître Charles et son Mentor, le Doc Maurice.
Une fois propre de la tête aux pieds en passant naturellement par mes organes génitaux et mon cul, je sort de la salle de bain.
Avant de quitter le motorisé, Charles m'a dit d'ouvrir le garde-robes double et de me servir de tout ce qui pourrait me plaire comme vêtements, sous-vêtements et chaussures.
J'ouvre les portes du garde-robes pour constater que celui-ci est rempli de vêtements et de sous-vêtements de femmes ainsi que de nombreuses paires de souliers à talons hauts.


Parmi toutes les vêtements qui s'y trouvent, une magnifique tunique romaine attire mon attention : elle est de couleur blanc cassé avec une encolure de fils dorés. Attachée à son support, il y a un cordon de taille agencé à la couleur de l'encolure de la tunique.
Je me dis :
« Comme je vais être excitante dans cette tenue : je vais surement plaire aux bourreaux qui m'attendent dans le chalet. »
Je sort la tunique du garde-robes et je la dépose sur le divan-lit.
Je m'agenouille par terre à la recherche de souliers qui pourraient exciter les deux hommes qui m'attendent.
Je trouve une paire de sandales romaines à talons hauts qui s'attachent à l'aide de cordons qui montent et qui se croisent jusqu'à mi-jambes.
La beauté de mes pieds va surement être mise en valeur en portant ces magnifiques sandales.
Je poursuis en regardant sur une large tablette, des perruques disposées sur des têtes de polystyrène blanc. Mon regard s'arrête sur une perruque rousse avec des cheveux bouclés.
Je la prend, je me place devant un miroir et je l'essaie : elle me va à merveille.
Je termine mes recherches en ouvrant quelques tiroirs : j'y découvre une série de petites culottes pour femmes, en satin, très sexy et vaporeuse.
J'en choisit une dont la couleur s'harmonie avec celle de la tunique.
Elle a deux ouvertures : une sur le devant faite pour donner accès aux parties les plus intimes de la femme et une autre à l'arrière, permettant l'accès à l'orifice qu'un homme recherche particulièrement pour sodomiser sa belle.
Je la revêt, puis j'introduis mes pieds nus dans les sandales romaines à talons hauts.
Je tresse les cordons jusqu'à ce qu'ils atteignent le haut de mes mollets et je les boucle.
Je passe ensuite la tunique au dessus de ma tête et je la laisse choir. Le bas descend vers mes pieds et s'arrête au niveau de mes chevilles.
Je passe le cordon autour de taille et je le noue sur le coté.

Je me regarde dans le miroir et ce que je vois me plait, même, m'excite.
Je me dis :
« Que réservent à cette beauté que je suis, les deux monstres aux quels je vais me livrer! »
Je quitte le motorisé et je monte les marches qui donnent accès au perron arrière du chalet.
Je frappe à la porte.
La lourde porte s'ouvre.
Je vois que la pièce est fortement éclairée.
La première chose que je vois et qui est directement devant moi, éclairée par un puissant projecteur, c'est une croix de St-André en bois pâle vernis.
Je remarque que les montants inférieures de la croix son rapprochés l'une de l'autre alors que les montants supérieures sont écartés en V.
À ses cotés, sous le même éclairage, le Doc Maurice est debout : son visage est dissimulé derrière une cagoule de cuir noir perforée de trois trous pour ses yeux, son nez et d'une ouverture pour sa bouche.
Son torse est nu.
Il porte des pantalons de cuir noir maintenus à ses hanches par une large ceinture de cuir de la même couleur.
Ses pieds sont chaussés de bottes de cuir noir.
Je ne peux m'empêcher de frissonner à la vue de la croix et du bourreau qui se tient à ses cotés.
Le mur qui se trouve en arrière de la croix est couvert de dries en velours rouge foncé alors que les mus adjacents sont recouvert de dries en velours noir.
Un coup d'oeil rapide de la pièce me laisse voir une longue table en métal située le long du mur gauche par rapport à la croix et sur laquelle sont disposés une panoplie d'instruments.
Pour la première fois, je repense aux 10 000,00$ que j'ai accepté pour être la vedette d'une vidéo sadomasochiste.
Je ne peux dissimuler un léger mouvement de recul : il est cependant trop tard pour ne pas me soumettre à ces deux monstres qui vont surement me faire endurer les pires sévices.
Le Doc s'adresse à moi :
« Que vous êtes magnifique, belle dame! »
« Docteur, je vous plais? »
« La tunique que vous portez me rappelle les jeunes vierges romaines qui étaient vêtues de la sorte lorsqu'elles se présentaient devant la foule au Colisée de Rome pour être sacrifiées aux Dieux.
 »
« Je me sens réellement comme elles vêtue de la sorte. »
« Malheureusement pour vous, l'homme que vous tenter de dissimuler sous les traits d'une très jolie femme m'excite au plus haut point. »
« Docteur, ce qui m'attend, m'effraie : je vais cependant respecter notre entente. »
« Vous avez raison d'être effrayée. »
« Vous allez me conditionner avant de commencer à me r? »
« Bien sur! »
Vous aimez ma coiffure? »
« Votre coiffure vous va à merveille et je ne peux que saliver sur vos pieds chaussés de ces magnifiques sandales. »
« Je sais que mes pieds vous plaisent et vous excitent! »
« À propos de notre entente, j'ai communiqué avec le propriétaire du site web à qui vendons nos vidéos et je lui ai fait part de la qualité exceptionnelle de notre nouveau candidat. Le propriétaire m'a assuré qu'il me verserait un montant beaucoup plus supérieur à ceux qu'il nous verse habituellement. Je vais donc vous offrir plus du double du montant de 10 000,00$ sur lequel vous vous étiez entendu avec Charles. Je vous offre 25 000,00$ »
« Vous m'offrez 25 000,00$? »
« Oui, 25 000,00$ mais je vous préviens que vous allez les mériter. »
«  J'accepte votre nouvelle offre et bien sur ce qui vient avec! »
« Bien, si nous commencions par les préparatifs : avancez-vous vers le croix! »
Je m'avance vers le croix.
« Montez sur les blocs de bois fixés aux pieds de la croix, posez vos pieds de sorte que vos talons soient bien appuyés contre le bois des montants. »
Je monte sur les blocs de bois.
Je prend la position demandée.
« Je retire mes sandales? »
« Surtout pas. »
« Appuyez le bas de votre dos contre le centre de la croix. »
Je me plie à la demande du Doc.
« Charles, aidez-moi à remonter les fermoirs-éclair situés de chaque coté de la tunique de notre invité. »
Le Doc se place du coté gauche de la croix tandis que Charles prend position du coté droit.

Ils remontent les fermoirs-éclair jusqu'à ce qu'ils soient à la hauteur de mes hanches.
« Charles, fixez solidement les jambes de Madame contre le bois de la croix légèrement en haut des chevilles avec une bande de velcro. Comme vous le savez, Charles, les chevilles de Madame doivent demeurer libre de toutes entraves pour ce que nous allons leur faire subir»
« Bien sur, Maître! »
Charles s'agenouille devant moi et exécute l'ordre de son Mentor.
Le Doc s'agenouille à coté de Charles.
« Charles, localisez-moi les points d'entrés des mèches que je vais faire pénétrer à travers les os du dessus de ses pieds ainsi que de ses chevilles. Je vais les identifier à l'aide de minuscules point à l'encre rouge. »
Je sens un bout de doigt sonder le dessus de mon pied gauche et finalement s'arrêter à un endroit précis.
Je sens la pointe d'une aiguille se positionner à cet endroit et à peine pénétrer dans mes chairs.
« Une première identification : passez à son autre pied. »
Charles en fait de même avec le dessus de mon pied droit.
Nouvelle petite piqûre d'aiguille au même endroit précis que sur mon pied gauche.
Charles passe maintenant le bout d'un doigt contre l'intérieur de ma cheville gauche et s'arrête à un endroit précis.
Même petite douleur à cet endroit de ma cheville gauche puis de ma cheville droite.
« Pourquoi me faites-vous ça? »
« Vous le saurez bien assez tôt. »
Charles et le Doc se relèvent.
« Chérie, restez bien appuyée contre la croix. Elle va se positionner à l'horizontale. »
J'entend un léger bruit et la croix d'en position verticale qu'elle était placée, elle s'incline lentement jusqu'à ce qu'elle devienne en position horizontale.
Simultanément à ce changement de position, les montants verticaux sur lesquels mes pieds ont été attachés, s'écartent de sorte que mes parties intimes soient à la portée de la personne qui se glisserait entre ces montants.
Le devant de ma tunique glisse entre mes jambes laissant deviner l'érection de mon pénis.
« Ça vous excite de vous sentir attaché de la sorte? »
« Ouiiiiiiiii, Maître! »
« Relever vos bras. »
Je relève mes bras.
Charles passe derrière la croix et place une planche de bois entre les montants écartés de la croix à la hauteur de me tête.
« Appuyez votre tête. »
J'appuie me tête contre la planche.
« Charles, passez une large bande de velcro directement sur l'abdomen de notre petite chérie et fixée la solidement. Cette bande pourrait servir à supporter le poids de Madame lorsque ses jambes ne seront plus en état de le faire »
« Bien sur, Maurice! »
Charles s'exécute.
« Placez maintenant le dos de vos mains contre les montants de la croix. »
Je pose le dos de mes mains contre le bois de la croix..
« Charles, fixez deux bandes de velcro aux avant bras de Madame et deux autres sur l'intérieur de ses mains. Elle ne doit absolument pas être capable de bouger ni des bras, ni des mains. Ses poignets doivent être libres de toutes attaches. »
Je suis maintenant fixé à la croix par les pieds, par le thorax et par les mains.
Le Doc s'avance vers moi entre les montants qui maintiennent mes jambes. Il prend le pan avant de ma tunique par le bas et le tourne jusqu'à ce que mes parties génitales ne soient dissimulées que par ma petite culottes.
Bien entendu, le devant de ma petite culotte est bombé dissimulant à peine l'état de mon pénis.
« Ma petite chatte, vous êtes à demi excitée? »
« Sûrement pas pour longtemps? 
« Charles, n'est-ce pas qu'elle vous excite sa petite culotte? »
« Oui, Maître, mais pas seulement sa petite culotte mais son corps au complet. »
« Espèce de sadique, je sais à quoi vous pensez : votre heure va bientôt venir! »
Le Doc glisse deux doigts dans l'ouverture avant de ma petite culotte et il en ressort mon pénis qui palpite déjà.
« Charles, approchez-vous! »
Charles s'approche de Maurice.
« Charles, ça vous tenterais de..........? »
« De, de mordre ce gland gorgé de sang? »
« Charles, regardez comme il est beau et tentant : son gland se gorge de sang à vue d'oeil! »
« Je peux? »
« Bien sur que vous pouvez mais sans lui faire perdre connaissance. »
À la pensée de ce que je vais subir, tous les muscles de mon corps se raidissent.
Je sens le sexe bandé du Doc se frotter contre l'intérieur de ma jambe. Il se sert de ma jambe pour se masturber.
« Charles, prenez le gourdin qui est sur la table et introduisez le dans la bouche de notre pute. »
Charles prend le gourdin.
« Sale pute, ouvrez votre bouche! »
J'ouvre ma bouche.
Le gourdin est inséré entre mes dents.
« Refermez votre bouche. »
J'obtempère.
« Mordez le si la douleur est trop vive. »
Je fais un oui de la tête.
« Allez-y Charles, faites-vous plaisir! »
Charles entoure mon pénis de sa main droite ne laissant que le gland dégagé.
Le Doc ne peut résister à tant d'excitations : il sort son pénis de son pantalon et il se masturbe.
Charles approche sa bouche de mon gland.
Il entrouve sa bouche, il humidifie ses lèvres du bout de sa langue.
Je sens la chaleur de son haleine sur mon gland.
Il passe sa langue sur le bout de mon gland.
Je bande comme un démon : je mord le rondin
Il force l'introduction du bout de sa langue dans mon urètre.
« Charles, ne faites pas trop languir notre poupée d'amour : allez, mordez le avant que j'éjacule »
Je sens ses dents contre mon gland : elles s'enfoncent dans mes chairs.
Mon bassin se soulève et je mord le rondin de toutes mes forces.
La douleur est intolérable :
« Aaaaaaiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeee! »
Mon bassin retombe lourdement sur la croix.
La douleur s'amenuise lentement.
J'entends le Doc qui s'adresse à Charles tout en continuant à se masturber.
« Charles, vous savez que vous m'excitez au plus haut point quand vous êtes aussi sadique. Agenouillez-vous devant moi et ouvrez votre bouche. »
Le Doc approche son pénis du visage de Charles : il éjacule de longs jets de sperme qui atteignent son visage et l'intérieur de sa bouche.
« Esclave, avale tout et nettoie mon pénis avec ta bouche. »
Charles embouche le pénis de Charles et il appuie ses lèvres contre le membre encore rigide de son Maître.
Il fait aller et venir le membre de son Maître dans sa bouche jusqu'à ce que toutes les traces de sperme aient été nettoyées.
Le Doc sort son pénis de la bouche de Charles :
« Très bien, Esclave : je vais te donner la récompense que tu mérites. »
« Nooooonnnnnnn, Maître! »
« Tu me refuses ton cul? »
« Maître, je vous en supplie, pas aujourd'hui, les plaies causées lorsque vous m'avez sodomisé la dernière fois, me font encore mal! »
« Je verrai le moment venu! »
« Merci Maître! »
« Nous allons maintenant nous occupez de notre jolie petite pute. »

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