Elle Suce Encore Son Pouce

Elle suce encore son pouce

Jpj, Montpellier, juillet 2021

Quand j’ai ramené cette jolie blonde chez moi, j’étais juste dans l’idée de la sauter en conclusion sympa de cette soirée d’été cocktail tapas en plaine viticole biterroise. Chaleur d’août et robes légères des filles du cru. Les filles d’ici n’ont pas froid aux yeux. D’ailleurs elles n’ont froid non plus à aucune autre partie de leur corps. Chaleureux le dit corps. De partout. Toutes.

La blonde était gaie et roucoulait sur le siège de droite de mon automobile tandis que nous roulions à vive allure sur les routes étroites de campagne direction mon appart centre ville. Elle était balançée de droite de gauche et aimait ça.
Sa robe remontait et elle l’a coincée, prude, entre ses cuisses pour camoufler la blancheur de sa culotte.

Moi je pensais, petite tu ne perds rien pour attendre. Et je la voyais déjà toute nue dans mes bras allongée sur la couette. Dessus et non pas en dessous d’icelle vue la chaleur extrême de la soirée.

Mais il est vrai que ce geste élégant de discrétion m’a bien plu.
En sus il a eu pour effet de remonter la robe très haut, découvrant ses hauts de cuisse, indécemment.
Elle était bien faite. Assurément une fille sportive aux gambettes fines et dures. Je l’imaginais en athlétisme sur la cendre du stade ou aux barres parallèles en exercices gymniques.

Cette blonde était une fille bien sérieuse qui n’a pas posé sa main sur mon paquet, comme font tant de ces jeunes femmes d’aujourd’hui, malaxant outrageusement couilles tige et gland. En façon d’intimité. En intro aux coquineries qu’elles espèrent des garçons de rencontre.
Attitude très rock’n roll, mais qui, faut le reconnaître, gêne assez la conduite des automobiles. Pire que le smartphone au volant.
J’ai ainsi pu me concentrer sur le pilotage et nous sommes très vite arrivés à destination, à mon loft d’Ecusson.



On avait mangé à satiété de petites nourritures locales, huîtres de Bouzigues, petits pâtés de Pézenas, pointus mayonnaise, anchoïade de légumes variés camarguaise, tellines du Grau du Roy ou d’Espiguette. On était rassasiés.
On avait bu, modérément, toutes sortes de vins régionaux Picpoul de Pinet, rosé de Terrasses du Larzac, rouge riche épais de Daumas Gassac, muscat sec de Terres blanches léger mais fort goûteux.
On avait bu sans retenue du San Pellegrino lourdement chargé en bulles de CO2 et l’on se méfiait des conséquences plus tard lors des exercices amoureux.

Chez moi, on est directement passés tous nus à la douche, ensavonnés glissants sous le flux puissant un peu tiède presque froid, à se palper mutuellement avec tendresse et appétence.

La messe était dite, sex-friends assumés sans complexe aucun. En pays qu’on était, intimes avant même de se connaître, car issus du même terroir, biterrois.
Terroir de plaine, de vignes, sans mer ni montagne, terroir exacerbant la libido des filles comme celle des garçons dans la chaleur de l’été.

C’est ce qui a été et je ne vous raconte rien car il n’y a rien eu que de simple et normal dans cette affaire sur cette couette ce samedi soir d’août en Montpellier, métropole brûlante de canicule. Quatre mains, une minette trempée et un bitos bien raide. Le bonheur, quoi … la pleinitude.

C’est au matin bleu du lendemain que la chose importante fut.

Quand je m’éveillai, elle était inondée de lumière d’aube dans un rayon de soleil échappé aux volets entrebâillés, couchée endormie en chien de fusil. Elle était blonde le visage poupin, elle était belle. Sa peau était dorée.

Et puis elle avait le pouce de la main droite à fond de gosier, charnu au menton, à l’inverse des bébés et elle suçait, suçait, suçait.
Aspirant intensément.
Elle dormait et pourtant son activité suceuse ne faiblissait pas de léthargie, d’endormissement, de son sommeil.

Elle dormait en suçant. Ou alors, elle suçait en dormant.
Je dirais même plus aurait dit l’un des Dupondt, peut-être même les deux l’eussent dit.

Elle m’a bien plu, cette jolie fille endormie qui suçait son pouce dans la lumière chaude du soleil de matin d’été sur sa tignasse blonde.
Elle m’a d’autant plus bien plu que nous avions tous deux vécu ensemble jolie aventure d’été. Rencontre mondaine dans les jardins brûlants de fin d’après-midi en ce château viticole des hauteurs de Béziers, discussions conviviales de séduction mutuelle, échappée sexy en auto par les routes de traverses, découverte sympa de sexe partagé dans la nuit torride et puis ce matin de dimanche ensoleillé ouverture à plongée en Mediterranée et déjeuner en paillote de bord de plage.

Je n’ai pas du tout pensé qu’elle était gamine retombée aux premiers âges de l’enfance. Non, j’étais sincèrement ému des complexes d’ado attardée qui la faisait ainsi régresser. Et je pensais, peut-être peux-tu trouver, toi, nouveau copain, les leviers psychanalytiques qui la libèreront de cette addiction.

Mais j’avais aussi une pensée un peu trouble … un peu lubrique, un peu floue, un peu louche. Une pensée de mauvais garçon.

Je me disais, si cette fille aime tant sucer de bouche ardente de palais prégnant de lèvres charnues laborieuses de langue dansante quelque soit l’objet du délit, foure lui donc ta bite en bouche et profite !!!

En fait, elle était là la bonne idée.

Mais je n’ai pas osé profiter de son sommeil. J’ai juste pensé, ce dimanche soir, après jolie journée à la mer, tu la ramènes chez toi et tu la gardes mais tu planques l’oreiller.
Tu lui diras, pose donc ta tête sur mon ventre qui est doux et tendre. Et endors toi.
Avec un peu de chance, dans les vapes de son endormissement, elle ne prendra pas son pouce mais la bite que tu auras préparée là innocemment disponible pour toute éventualité.

Te faudra faire effort pour que celle-ci reste en statut flacide et facile à engober.


*

A ce jour, la fille n’est pas du tout guérie de son addiction mais … franchement, je puis vous le dire, ici tout va vraiment très bien.

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