Retrouvailles Étudiantes

Caroline était une amie que j’avais connu à l’âge de 18-20 pendant les études mais étant tous les deux en couple à l’époque, nous n’avions rien entrepris en termes physiques. Il y a bien eu quelques photos échangées mais c’est tout.
Caroline a 1 an de moins que moi, autant dire que la différence n’est pas visible. C’était une fille, maintenant une femme, qui me plaisait beaucoup à l’époque. Une jolie blonde vénitienne, aux yeux bleus et mesurant environ 1m65. Physiquement généreuse, elle ne manquait pas d’outils de séductions, mais n’était pas le genre à aguicher n’importe qui n’importe comment et ne portait que rarement des jupes, décolletés et autres vêtements sexy.
Nous sommes tout de même restés en contact par les réseaux sociaux depuis sans évoquer rien de plus que la routine avec les s et notre passion commune pour nos clubs de foot respectifs.
Et puis un jour, Caroline était de passage dans ma région. Elle m’a contacté pour boire un verre un soir car cela faisait environ une dizaine d’années que nous nous étions vu.
J’ai pu accepter de la rejoindre et nous avons donc continué d’évoquer des banalités mais aussi cette petite période où nous nous étions échangés nos photos intimes. Pour préserver nos couples, ni l’un ni l’autre ne les avait gardé à l’époque.
Caroline s’était vêtue d’une jolie robe légère, relativement courte. Sa robe était aussi relativement décolletée et on devinait sans problèmes qu’elle avait une poitrine très généreuse, mais ça, je le savais déjà… C’était le genre de vêtement qu’elle ne portait pas à la fac à l’époque. Maquillée à souhait, Caroline continuait de me plaire grandement.
Comme il y avait un film sympa à l’affiche au cinéma non loin du bar dans lequel nous étions, nous y sommes allés.
Caroline avait changé un peu de comportement, était plus détendue qu’au début suite à nos 2-3 bières dégustées au bar. Elle parlait plus librement, et moi aussi sans doutes, de nos vies intimes, nos envies dans nos couples respectifs.

Puis nous sommes entrés dans la salle de cinéma et nous avons donc changé de conversation et nous nous sommes fait plus discrets.
Comme dans de nombreux films, il y avait dans celui-ci plusieurs scènes d’amour.
Au cours de l’une d’elles, j’ai osé poser ma main sur la jambe de Caroline. Sans doutes avais-je oublié la façon dont elle était habillée, mais ma main est donc venue se poser directement sur sa peau. Caroline n’ayant pas esquissé de mouvement de refus, je l’ai donc regardé pour m’assurer de son consentement. Ce à quoi elle m’a répondu par un simple baiser. Je ne m’y attendais pas et elle a ensuite continué à m’embrasser plus langoureusement tout en commençant à me caresser le torse.
Ayant des voisins de fauteuil pas loin, nous en sommes restés au stade des baisers et caresses sensuelles tout en continuant de regarder notre film.
Une fois le film terminé, nous sommes ressortis le sourire au lèvres en se remémorant ce qui venait de se passer au cinéma.
J’ai proposé à Caroline d’aller dans un hôtel pour poursuivre plus sérieusement nos ébats. Nous sommes entrés dans notre chambre d’hôtel et avons commandé deux bouteilles de pétillant afin d’égayer un peu plus notre soirée qui commençait tout juste.
Pendant la première bouteille nous avons continué à parler de ce que nous aimerions faire sans vraiment oser passer à l’acte. Je matais de plus en plus sérieusement l’entrejambe de Caroline qui était face à moi dans son fauteuil et, l’alcool aidant, avait ouvert légèrement ses jambes. J’eu remarqué qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte qu’elle portait et que j’avais pu deviner lors de nos caresses cinématographiques.
C’est alors qu’elle décida de remonter sa robe, comme si elle me lançait défi, pour que je vienne la rejoindre. Je ne me suis pas fait prié et ai commencé un bon petit cunilingus.
Caroline jouit alors au bout de quelques minutes. J’ai senti ensuite qu’elle avait définitivement oublié ses a priori et autres barrières « psychologiques » et que nous pourrions passer une belle nuit ensemble.
Nous sommes allés dans la salle de bain pour nous dénuder entièrement et prendre une douche à deux.
Caroline m’a proposé de me sucer mais j’ai préféré refuser, temporairement, car l’espace était exigu dans cette douche. Elle n’a pas eu l’air de regretter lorsque je me suis mis derrière elle, la queue coincée entre ses deux fesses volumineuses et que je me suis mis à prendre ses seins dans mes mains. L’eau de la douche aidant, mon sexe s’est « accidentellement » introduit dans son vagin. Nous avons alors entamé une danse sous la douche, Caroline remuant son bassin à merveille au rythme de nos vas-et-viens. J’ai jouis assez vite au contraire de Caroline. La situation était si bonne que j’étais resté en elle, et Caroline a repris les vas-et-viens pour me faire durcir à nouveau et commencer réellement notre relation sexuelle. J’étais alors prêt à la prendre comme il se doit. Le rythme était soutenu et je me tenais tantôt à ses hanches, tantôt à sa généreuse poitrine. Pour accélérer sa jouissance, je stimulais ses jolies petites lèvres.
Nous prenions un tel plaisir que je fus presque surpris quand elle s’est retirée sans avoir jouit. C’était pour m’introduire la verge dans son cul et sentir plus encore le volume de ses fesses contre mes testicules. Nous avons jouit alors sans trop tarder.

Nous sommes ensuite sortis de la douche et sommes allés nous coucher dans le plus simple appareil nous promettant de nous réveiller l’un l’autre si nous avions une soudaine envie nocturne.
J’étais alors endormi profondément quand mon corps se réveilla. J’étais entre deux eaux et ne savait pas distinguer encore le rêve du réel. Caroline avait retiré la couette et me réveillait en plaçant ses lèvres sur les miennes. Sauf que la bouche de Caroline était sur mon sexe. Caroline savait que j’adorais le 69 et il ne me fallu peu de temps avant de prendre conscience de la situation et de commencer la introduire ma langue dans son intimité.
De l’autre côté, Caroline me suçait sans vergogne et la vue de son cul juste devant mes yeux et ma langue m’excitait au plus au point.
J’avais tellement fantasmé sur Caroline durant toutes ces années que mes rêves se déroulait sous mes yeux.

Nous avions du nous endormir l’un dans les bras de l’autre en cuillère et au petit matin, j’étais éveillé en premier. Ayant tous les deux perdus les effets de l’alcool, j’avais alors tout le loisir de peloter les seins de Caroline mais j’étais plus anxieux de sa réaction. Je ne savais pas si Caroline serait à nouveau d’accord pour continuer ce que nous avions entamé la veille. J’étais bien dur et ait décidé de caresser ses seins. Je sentais qu’elle commençait à se réveiller mais très doucement. Caroline esquissait quelques mouvement du bassin, comme pour m’inviter à la pénétrer. S’en sont ensuit de longues pénétration, pendant peut-être 1/2h – 3/4h, le temps que nos sens soit pleinement éveillés
et que nous atteignîmes notre ultime orgasme.

Ayant tous les deux une journée de travail à faire, nous nous sommes quitté là, en se promettant de se recontacter si l’un de nous deux venait dans la région de l’autre pour pouvoir recommencer...

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