Nos Chaudes Retrouvailles - Volume 2

Depuis nos chaudes retrouvailles, il ne s’est pas passé un jour où je n’ai pas dû honorer mon épouse. Elle était devenue insatiable.
Profitant d’un mois de permission suite à ma longue absence, j’ai entrepris les gros travaux d’entretien de la maison. Pelouse, taille des haies, des arbres fruitiers, peinture, un peu de plomberie etc…
Nous sommes vendredi. Les s, finement aiguillés par Sophie, veulent aller chez mes beaux parents après la sortie des classes. Une fête foraine d’envergure ouvre samedi, à ROUEN, tout près de chez eux. Affaire rondement menée. Il est convenu que beau-papa et belle-maman viennent les chercher à la sortie du collège et à celle du lycée. Ils viendront nous les ramener le dimanche en fin d’après midi. Le soir, ils mangeront avec nous. Chouette !! Un weekend pour nous tous seuls !!!
Après une bonne journée passée à couper les haies, tondre la pelouse, réparer la barrière qui ne fermait plus correctement, j’étais vanné ! Mon épouse rentrant du travail, me tint ces propos :
« Quel travail accompli. Je crois que tu en as assez fais pour aujourd’hui ! Allez, hop ! À la douche !! »
En rigolant, je me mis au garde à vous en lui répondant « Chef oui Chef !! »
Vite dans la salle de bains, sous la douche à l’italienne. L’eau bien chaude coule et ça fait un bien fou. Je reste un moment les yeux fermés quand je sens une main sur mon corps et une autre sur une partie précise de mon anatomie. Je sursaute et ouvre les yeux. Ma chérie est venue me rejoindre avec une idée derrière la tête on dirait bien !! Après un tendre baiser où nous nous serrons très fort dans nos bras, elle se met accroupie et vient gober mon sexe qui commence à prendre vie. Elle se dévergonde ma belle Sophie. C’est bien la première fois qu’elle fait ça mais ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Elle me malaxe les bourses en faisant une gorge profonde. Presque par réflexe, j’avance encore un peu plus mon sexe vers l’avant, ce qui pour effet de la faire hoqueter un peu mais elle tient bon.

Sa main libre me caresse les fesses. Je ne résiste pas longtemps à ce traitement. Comme le jour de nos retrouvailles, elle avale tout. Et elle ne lâche pas ma bite qu’elle veut ardemment nettoyer. Comme elle est accroupie, j’ai une vue magistrale sur sa croupe, mouillée par l’eau qui tombe de la douche, luisante. Ses efforts, pour me rendre un chibre tout propre, conjugués la vue que j’avais m’ont redonné de la vigueur. Je la fais se relever, la plaque contre le mur, lui saisis sa poitrine et vient la posséder par derrière. Elle m’aide en me guidant dans son fourreau brûlant. C’est toujours aussi bon ! L’eau de la douche lubrifie naturellement ce coït. Une de mes mains descend sur son petit abricot et fouille pour aller chercher son clito gorgé de désir. Je m’en empare et le titille, ce qui a pour effet de la faire chavirer. Elle se met à haleter. Elle essaie de parler entre deux inspirations. Il n’y a que des bribes de mots qui sortent de sa bouche. J’arrive à comprendre « vas-y encore !! », ce qui me fais redoubler d’effort dans mes allers et retours dans son conduit en fusion et la trituration de son appendice caché entre ses lèvres. La sève monte, je l’avertis. Elle ne peut que me répondre « ouiiiiii !! », un orgasme la submergeant aussi fort que le flot de sperme qui sort de ma bite, inondant sa matrice.
Nous reprenons notre souffle. De mieux en mieux ! À croire que j’ai épousé une autre femme que celle il y a 18 ans. Nous nous lavons mutuellement. Les caresses sur nos corps respectifs sont lascives et pourraient nous faire basculer dans un nouvel acte mais nous restons sages sur les consignes de Sophie.
Sortis de la douche, secs, nous traversons la maison dans le plus simple appareil, les s n’étant pas présents, pour aller chercher des vêtements propres dans la chambre. Sophie me demande de m’asseoir sur le lit et de fermer les yeux. On dirait qu’une autre surprise m’attend. Je l’entends fouiller dans le dressing.
« Tu met de nouveaux sous-vêtements ? »
« Attends, tu va voir ! »
Je sens Sophie arriver sur le lit.

« Surtout tu n’ouvres pas les yeux !! »
Le lit ne bouge plus.
« Vas-y, ouvre ! »
Je vois ma douce, bien calée avec deux oreillers derrière elle, les cuisses largement ouvertes et avec un vibromasseur dans la main droite !!
« Je te présent monsieur Paul. Je l’ai trouvé dans une boutique érotique du Havre ». Le vibro a un nom !! Quelle idée ! Mais j’aime bien !! Il est rose, de taille moyenne, voire un tout petit peu plus petit que mon sexe en pleine vigueur.
« Que veux-tu en faire ? »
« Tu ne sais pas ? Regarde ! » Tenant son jouet dans la main droite, elle se sert de sa main gauche pour écarter ses grandes lèvres puis les petites, laissant découvrir un sexe déjà luisant de désir. Elle approche M. Paul de son sexe, se caresse avec, de bas en haut, puis se l’enfonce avec une délectation non contenue. Heureusement que je suis assis sinon je serais tombé par terre !! Je n’en reviens pas, ma femme est en train de s’enfoncer un sextoy dans son puits d’amour ! Quelle mouche a pu la piquer ? Elle commence à accélérer le mouvement et active les vibrations de M. Paul. Elle ferme les yeux et halète de plus en plus fort. A croire que le vibromasseur propage ses ondes sur tout le corps de ma moitié car elle se met à trembler et à dire des choses difficilement compréhensibles. Elle finit par exploser dans un orgasme digne de ce nom. Sophie reprend son souffle, me laissant éberlué devant ce spectacle qu’elle vient de m’offrir.
« Ça t’a plu mon amour ? »
« Si ça m’a plu ? C’est carrément hallucinant !! Te voir t’offrir à moi de cette façon, je n’y aurais jamais pensé, même dans mes rêves les plus fous. J’en ai attrapé une gaule monstrueuse, regarde !! » Joignant le geste à la parole, je lui montre mon sexe tendu au maximum.
« Eh bien, viens me rejoindre en prenant sa place !! » Elle sort le vibromasseur de son être, luisant, enduit de ses sécrétions.
« La place est chaude ! » Rajoute-elle. Sans ménagement, je m’introduis en elle, le chemin ayant préparé par M.
Paul. Ça rentre tout seul, son conduit étant bien lubrifié. Quel plaisir de la posséder ainsi. Je mets une ardeur non contenue à combler les désirs de ma femme. Elle repart dans un délicieux délire. Soudain, elle me demande d’arrêter.
« Ça ne va pas ? »
« Si si mais j’ai une idée ! » Elle se dégage de moi, prend les oreillers sous sa poitrine et son ventre, et comme le jour de nos retrouvailles, elle commence à prendre de sa mouille sur ses doigts et vient titiller son anus. Waouh ! Cela augment encore mon degré d’excitation. Elle joue avec ses doigts qui disparaissent fréquemment vers son fondement. Quand elle estime qu’elle est assez préparée, dans un demi-souffle, elle m’invite à la posséder. Je viens la prendre dans son sexe pour bien me lubrifier puis me positionne sur son petit trou.
« Vas-y !» Avec précaution, j’exerce une pression constante sur sa porte qui cède un peu plus vite que la première fois. Le gland passe. Je fais une pause, histoire qu’elle s’habitue à ma présence puis commence à aller et venir tel un métronome. Il n’y a pas à dire, quelle sensation !! C’est vraiment exquis de la posséder par cette voie si étroite. Je la sens se relever de ses oreillers et la vois attr son sex-toy pour se l’enfiler d’un coup dans son sexe !! Ça devient presque irréel. Ma chère et tendre prise par les deux trous. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais osé penser que ma femme verrait ses deux trous comblés !! Ça devient encore plus exquis quand je sens M. Paul derrière la mince paroi qui nous sépare. Mon épouse pousse le vice à activer les vibrations de son jouet. Les vibrations décuplent nos sensations et me poussent à la pilonner comme jamais. Elle se met à hurler de plaisir et pousse un feulement comme jamais je n’en ai entendue quand mon chibre se met à vibrer à l’unisson du gode et cracher un flot ininterrompu de sperme brûlant, déclenchant un lame de fond chez Sophie qui la fait chavirer de plaisir. Cela la laisse groggy un instant.

« Merci ma chérie pour ce cadeau ! »
« Non, merci à toi, pour ne pas me juger, me dire que je suis une dépravée ! »
« Non, au contraire, tu es loin d’en être une. Tu découvre une autre partie de ta personnalité, sûrement bien cachée !! Je peux t’assurer que cette facette de toi me plaît beaucoup !! J’adore participer à ton épanouissement. » Elle m’attire dans ses bras et nous nous embrassement tendrement, amoureusement. Elle m’avoue alors : « ça tombe bien que tu aime ça car j’ai quelque chose qui me trotte dans la tête depuis longtemps et je n’osais pas t’en parler. Je crois que c’est le moment….. »
Merci de vos commentaires.

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