Les Jouets D'Une Gourmande

Depuis deux ans que j'ai été muté dans ce coin reculé de la France profonde, Sandra n'a jamais retrouvé de travail. J'ai la chance d'avoir un bon poste et de gagner suffisamment pour que nous puissions vivre confortablement. Cela étant, l'inactivité lui pèse et elle continue d'explorer les différentes possibilités qui s'offrent à elle. Du coup, je n'ai pas été très surpris quand, rentrant un soir à la maison, Sandra m'a accueilli en m'annonçant qu'elle avait trouvé un travail.
Mais j'ai trouvé étrange son attitude embarrassée, comme si elle redoutait ma réaction. Méfiant, j'ai souhaité avoir plus d'informations: "C'est où, loin d'ici?"
"Ce sera un travail à domicile, je n'aurai même pas à aller au bureau!" me rassura-t-elle.
Je n'étais pas rassuré pour autant. Je savais qu'elle passait beaucoup de temps sur Internet et j'étais bien conscient des pièges du soi-disant travail à domicile.
"Alors, que devras-tu vendre?" J'ai demandé avec un soupir.
"Ce n'est pas de la vente, chéri. Je devrais juste tester des produits puis rédiger un rapport sur ce que je pense d'eux!"
J'étais perplexe: "Des produits … Quel genre de produits?"
Sandra hésita un instant, les yeux fixés sur ses chaussures: "Des jouets ..."
Je la brusquais: "Comme des poupées, des jeux de société où d'autres trucs?"
Sandra continuait de regarder ses chaussures: "Heu ... des jouets … pour adultes!"
Un instant, je restai bouche bée, regardant ma femme à l'air si pudique. Je savais que Sandra, dans l'intimité de notre chambre, pouvait être un peu salope, mais c'était quand même une sacrée surprise!
"Quoi, tu veux dire des vibrateurs, des godes, des trucs comme ça?"
Sandra secoua la tête, acquiesçant silencieusement.
"S'il te plaît, chéri" me supplia-t-elle, "dis-moi que tu es d'accord! Je veux vraiment faire quelque chose. Et l'argent supplémentaire me sera utile!"
Je me marrais en pensant: "Ce n'est pas la seule chose qui va lui arriver, je vais tester ces jouets sur elle!"
J'avais toujours un peu de mal à croire tout cela.

"Tu es au travail toute la journée et ... eh bien ... parfois j'ai besoin d'un petit extra ... quelque chose. Tu sais? Au moins, je ne suis pas infidèle!"
Bien sûr, je savais que Sandra avait un jouet dans le tiroir de sa table de nuit, mais je croyais qu'elle ne l'utilisait que quand nous étions ensemble. Mentalement, j'imaginais ma femme se donnant du plaisir pendant mon absence. Mes pensées salaces ont réveillé ma libido et j'ai commencé à m'exciter tout seul!
"Quand vont-ils t'envoyer les premiers échantillons?" lui ai-je demandé.
"En fait, le premier lot est arrivé cet après-midi," répondit Sandra. "J'attendais que tu rentres pour l'ouvrir. Tu veux voir?"
La bouche sèche, j'ai acquiescé d'un signe de tête. J'ai desserré ma cravate et je me suis assis dans mon fauteuil préféré pendant que ma femme disparaissait dans la cuisine. Elle revint presque immédiatement, portant une boîte en carton. C'était encore scellé et je compris qu'elle m'avait gardé la surprise. Sandra s'est agenouillée à mes pieds et a commencé à déchirer l'emballage. Elle était excitée comme une qui déballe son cadeau pour Noël. Je la regardait déchirer les scellés de la boîte avec un long ongle peint. Je baissais mon regard sur elle pour la regarder œuvrer, et j'en profitais bien sûr pour admirer sa gorge gonflée dans l'échancrure de sa robe qui s'écartait au gré de ses mouvements.
Avec un cri de joie, ma femme a extirpé une petite boîte du carton. Je pouvais voir la photo sur le dessus, un gros vibromasseur, la taille indiquée sur la boîte précisait que le jouet devait mesurer environ 30 centimètres. Soudain, je suis devenu dubitatif en me demandant si elle pourrait essayer un engin aussi énorme, vu que le diamètre semblait en rapport avec la longueur!
Elle ne perdit pas de temps pour ouvrir la boîte et en sortir l'objet de sa convoitise. Il avait l'air long et massif avec une tête bulbeuse en forme de gland. Elle fit pivoter la base et la chose vibra dans le vide.
"Ooh ... mais cela me paraît très intéressant!" gloussa-t-elle alors que ses doigts glissaient de haut en bas autour de la tige en plastique, imitant un geste coquin.
Je me forçais à sourire en la regardant manipuler l'instrument de . Je pouvais sentir ma bite durcir dans mon pantalon en pensant à la sensation que je ressentirais si ses doigts venaient me porter la même attention.
"Je vais devoir me mettre à mon aise pour apprécier correctement ce grand garçon", dit-elle avec un sourire polisson. "Et à en juger la bosse qui orne le devant de ton pantalon, Robert, je ne pense pas que tu sois contre, n'est-ce pas?"
Elle avait raison. Ma bite était maintenant en semi-érection et assez inconfortable dans mon pantalon. Tout mon corps aspirait à un peu de détente!
Se relevant, elle ouvrit sa robe complètement pour révéler son corps un peu lourd, ses hanches pleines et ses gros seins. Sa chatte au buisson soigneusement taillé était visible sous une fine petite culotte. Bien sûr, je connaissais le corps de ma femme par cœur, mais l'excitation du moment la faisait paraître nouvelle et fraîche.
"Pourquoi n'essayerais-tu pas ce machin sur tes mamelons, bébé?" J'ai demandé d'une voix qui ressemblait à un croassement.
Sandra sourit en jouant avec les diverses vitesses du vibrateur et posa doucement l'extrémité sur son sein gauche. En soutenant sa grosse mamelle d'une main, elle caressa le mamelon, contournant le téton avant d'appliquer la pointe de l'objet directement dessus. L'effet fut étonnant. C'était comme si la vibration électrisait tout son corps. Elle ferma ses jolis yeux, sa tête se pencha en arrière pendant qu'elle caressait doucement son mamelon avec le jouet. Un bref instant, elle arrêta sa caresse pour sucer ses doigts afin d'humidifier le téton turgescent. Elle a répété la même procédure sur son sein droit jusqu'à ce qu'elle se fasse gémir et que ses tétons soient rouges et gonflés.
C'est à ce moment-là qu'on a entendu la porte du jardin s'ouvrir et la voix de la voisine Jeanne appeler:
"Bonjour? Il y a quelqu'un? Sandra?"
La surprise nous a cloué le bec. Il était trop tard pour faire quoi que ce soit avant que Jeanne n'entre dans le salon. Elle eut une sorte de hoquet en découvrant la scène. Les joues de Sandra s’empourpraient, agenouillée sur le sol en petite culotte, les genoux écartés, une tache d'humidité bien visible sur le devant de sa petite culotte. Le vibromasseur dans sa main vibrait sa propre vie.
"Oh merde! Désolée!" s'exclama Jeanne, en mettant sa main devant sa bouche. "Je n'avais pas .. je .. juste ..! Mais bon, ne vous arrêtez pas pour moi! On dirait que l'on s'amuse bien, ici!"
Jeanne affichait un grand sourire. J'ai regardé Sandra qui m'a fait un clin d’œil puis simplement haussé les épaules. Il semblait qu'elle était heureuse avec un public plus nombreux!
Jeanne s'installa par terre devant mes pieds. J'étais un peu troublé par sa proximité. Mon érection devenait douloureuse et j'étais sûr qu'elle pourrait voir la bosse de mon pantalon. Je ne connaissais pas sa réaction.
Jeanne encouragea Sandra: "Vas-y, reprends juste là où je t'ai interrompue!"
Sandra ne se fit pas prier et reprit son mouvement lascif. Cette fois, elle a pressé ses seins l'un contre l'autre d'une main, et utilisé le vibrateur en le faisant coulisser entre ses mamelles, simulant une cravate espagnole. Elle avait un geste lent et lascif et quand elle m'a regardé en humectant ses lèvres avec la pointe de sa langue, j'ai senti ma queue se contracter sauvagement.
Jeanne qui étudiait la notice contenue dans l'emballage du jouet déclara avec désinvolture:
"Il est dit là-dessus qu'il possède plusieurs vitesses de vibration, peux-tu essayer plus vite?"
À la demande de Jeanne, Sandra a répondu en augmentant la vitesse de vibration et l'ampleur de sa caresse. Bientôt, un long et faible gémissement de ma femme nous apprit que le travail du vibrateur portait ses fruits.
"Oh mon Dieu!" haleta Sandra "je vais jouir !!!"
Je sursautai légèrement en sentant Jeanne agripper mon genou et me transmettre son excitation. Le visage de Sandra était déformé par l'extase tandis que l'orgasme secouait son corps. Bouche ouverte, regard de folie, tremblante, haletante, soumise au vertige de l'ivresse de ses sens, Jeanne et moi pouvions assister au charmant spectacle qui se déroulait sous nos yeux.
"Ooh .. ce jouet a l'air amusant!" dit Jeanne. Sa main est restée sur mon genou. "J'aimerais voir l'effet qu'il produit sur ton clitoris!"
"On va bientôt le savoir, mais je suis restée trop longtemps agenouillée et j'ai du mal à me relever pour ôter ma culotte. Pouvez-vous m'aider?"
Nous nous sommes relevés pour l'aider. Je soutenais ma femme sous les aisselles tandis que Jeanne glissait la petite culotte le long de ses jambes, plaisantant tout le temps à propos de la lubricité et de l'érotisme du moment.
Nous reprîmes chacun nos positions, Sandra entièrement nue s'installa face à son auditoire, jambes écartées.
Sandra commença lentement à se caresser avec le jouet vibrant, le promenant sur ses seins, son ventre, l'intérieur de ses cuisses ...
"Pourquoi n'aiderais-tu pas Robert, Jeanne?" demanda-t-elle, "il a l'air tout malheureux à l'étroit dans son pantalon!"
"Je pensais que tu ne demanderais jamais!" s'exclama Jeanne. "Es-tu d'accord, Robert? Je pourrais jouer avec ta bite et toi avec mes seins!"
Clairement, je ne pouvais pas refuser cette offre proposée de manière aussi charmante! Rapidement, j'ai dégrafé mon pantalon et sorti ma bite durcie, Jeanne a ôté son pull et son soutien-gorge. Ses seins se balançaient joyeusement devant mes yeux. Sa poitrine n'atteignait pas le volume de celle de ma femme, mais l'ensemble était néanmoins attrayant. Je frissonnais lorsque ses doigts froids entourèrent mon sexe et je palpais sensuellement ses mamelons, sentant ses tétons s'ériger sous ma caresse.
Sandra gémit sourdement, attirant notre attention, nous rappelant à notre rôle de voyeurs.
Sandra haletait et gémissait presque continuellement. Cela était dû au fait qu'elle venait d'insérer environ dix bons centimètres du vibrateur profondément dans sa chatte distendue par le volume de l'engin! Je retins mon souffle en voyant ses efforts. Bouche ouverte, yeux fermés, front crispé, on pouvait lire sur son visage à la fois la difficulté de l'opération et le plaisir qu'elle en retirait.
Tandis que Jeanne secouait fermement mon sexe, je pressais doucement son mamelon.
"Hum… c'est gentillet!" soupira Jeanne "appuie un peu plus fort, Robert, serre-le plus fort!"
J'ai apprécié le fait que Jeanne était assez ouverte d'esprit pour me dire ce qu'elle aimait. J'aurais aimé caresser sa chatte aussi, mais je ne voulais pas rompre le charme par un geste précipité.
Jeanne me masturbait plus lentement maintenant en regardant ma femme jouer du vibromasseur alternativement sur son clitoris, puis l'enfoncer profondément dans sa chatte humide. Sandra gémissait et respirait difficilement maintenant que le jouet vibrant l'amenait aux limites du plaisir. Pour ma part, je savais que j'étais proche de jouir et je me demandais comment Jeanne réagirait lorsque je me déchargerais sur sa main.
"Tu crois que tu peux l'enfiler dans ton cul?" suggéra Jeanne soudainement. Je sentais sa main se crisper sur ma bite quand elle a posé cette question.
"Oh mon Dieu, oui!" cria ma femme. Ses spasmes semblaient presque continus tandis qu'elle glissait le jouet de haut en bas dans sa fente trempée.
Sandra s'allongea en arrière en repliant ses jambes. Elle posa ses pieds au sol pour soulever son bassin. Écartant largement ses cuisses, elle présenta le jouet vibrant contre le trou étroit de ses entrailles. J'étais inquiet à l'idée de jouir et de manquer une partie du spectacle.
Tous les trois, nous avons retenu notre souffle lorsque Sandra a enfoncé le jouet en plastique dans son anus. Avec beaucoup d'astuce, elle a réussit à caler le jouet contre son talon pour l'empêcher de ressortir, puis commença à relever et abaisser son bassin, entraînant le gode à entrer et ressortir de son anus.
C'était trop pour moi. Comme Jeanne continuait de me branler, je pouvais sentir mon sperme commencer à bouillir dans mes couilles.
"Je ne vais pas laisser gaspiller cela, n'est-ce pas?" Jeanne posa sa bouche ouverte sur ma bite.
Dès que ses lèvres chaudes et humides se sont refermées autour de mon gland, j'ai lâché la purée. Je me suis vidé dans la bouche ouverte et consentante, la regardant baver mon sperme qu'elle ne pouvait contenir tellement la quantité était importante. Mon regard voyeur alternait entre son visage couvert de sperme et les hanches déchaînées de ma femme; Sandra avait maintenant deux doigts dans sa chatte tandis que son cul baisait le vibrateur, le poussant jusqu'à la garde dans son corps.
Mon cerveau s'embrumait dans la luxure qui m'entourait, ces deux femmes m'entraînaient dans l'extase, l'une en assurant le spectacle de son cul ravagé par un énorme gode, l'autre en suçant mon foutre comme si c'était une liqueur divine. Pendant un bref instant, je me suis demandé si ces évènements étaient fortuits ou préparés, mais après avoir joui avec autant de force, je dois bien avouer que je m'en fiche un peu!
Jeanne est restée jusque tard dans la nuit. Il était évident que nous ne pouvions pas nous arrêter en si bon chemin. Jeanne était désireuse d'essayer elle aussi le nouveau jouet vibrant. Les deux femmes ont échangés leur place afin que Sandra et moi puissions la regarder se masturber la chatte et le cul en modifiant la vitesse de vibration, jouissant autant d'orgasmes satisfaisants que Sandra.
Après cela, la soirée s'est transformée en orgie! Nous nous sommes mélangés tous les trois dans de nombreuses positions différentes.
Notre voisine est maintenant souvent chez nous et il n’est pas rare, lorsque que je rentre du travail, d'être accueillit par deux belles femmes nues. Sandra travaille toujours pour la société qui distribue les jouets sexuels et reçoit régulièrement un lot de nouveautés que nous devons tester et juger. Bien sûr, Jeanne et moi sommes devenus testeurs par la force des choses, mais qu'importe laquelle de ces deux femelles teste le jouet, l'autre se comporte comme une vilaine petite fille avec moi!