Famille Recomposée. 1/6
Famille recomposée. 1/6
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Elle sappelle Stéphanie et est divorcée. Elle a deux jumelles, Béatrice que tout le monde appelle Béa et Célia. Stéphanie les a inscrites dans un rassemblement pour jumeaux et ses deux filles ont bien sympathisé avec deux garçons. Des jumeaux bien sûr.
Il ny a pas queux qui ont sympathisés. Leur père et Stéphanie ont eu un coup de foudre et comme il était divorcé lui aussi, dix mois après ils formaient une famille recomposée.
Tout le monde a dû trouver ses marques. Ils ont emménagé dans une maison plus grande avec plein de chambres.
Les années ont passées et leurs s se sont transformés en de grands adolescents.
Noé et Anthony sont très sportifs et ont des corps sculptés par les entrainements. Les filles ont pris des formes qui commencent a attirer les regards de la gente masculine.
Les quatre sentendent comme cochon et sont toujours fourrés ensemble.
Lors dun déplacement pour son boulot, Stéphanie reste en contact avec eux par « visio ».
Mais elle a eu une drôle de surprise hier. Elle était en pleine conversation avec Béa voyant se refléter sur la grande glace de la chambre la douche de la salle de bain quand lun des jumeaux en sortait et traversait la pièce complètement nu.
Stéphanie na pas élevé ses s en femme pudibonde. Elle est assez cool mais il y a quand même une limite à ne pas franchir. Ça navait pas lair de déranger Béa qui tournait la tête pour le suivre des yeux. A peine avait-t-il disparu de lobjectif que son frère passait dans lautre sens dans la même tenue. Le spectacle de ces deux corps nus, bien que sublimes, est un peu incongru. Stéphanie pense quil faudra mettre des limites à un tel laisser-aller à son retour.
Elle fait comme si elle navait rien vu avant dinterrompre la conversation.
De retour à la maison, dans lintimité de la chambre parentale, elle sépanche de son problème à son mari Léo.
-Tu sais, je suis bien consciente que la question se poserait un jour. Mais il va falloir que nous parlions de sexe à nos s sinon nous risquons de voir la situation nous échapper.
Ce nest pas que nous ne soyons pas un couple ouvert, nous aimons trop faire lamour pour en priver nos s, mais il faudrait faire leur éducation sexuelle !
Elle se souvient de ce qui sétait passé il y a quelques temps. Elle était dans la chambre avec Léo qui commençait à déboutonner son corsage. Elle répondait à son attente en se déshabillant mutuellement.
Léo lavait soulevée pour la porter sur le lit, lui écartant les cuisses pour poser sa bouche sur la vulve bombée, sefforçant de la faire jouir avec laide de ses doigts.
Elle gémissait doucement à cause des s :
- Ouiii ! Encore Mmmh ! Aaahh !
Un orgasme la secoua. Léo était heureux dêtre arrivé à ses fins et la regardait reprendre lentement ses esprits.
Elle lui rendait la pareille en semparant de la verge dressée, la portant en bouche pour le faire gémir à son tour de plaisir.
Ils ne se sétaient pas aperçus que Béa et Célia pour une raison quils ignorent encore, avaient poussé la porte de la chambre qui nétait pas fermée à clé. Les deux filles étaient restées immobiles en voyant le spectacle de leur beau-père et de leur mère, complètement nus.
Léo avait les yeux fermés et un grand sourire illuminait son visage, accompagnant dune main la tête de Stéphanie qui montait et descendait sur son bas-ventre.
Elles nétaient quand même pas des oies blanches et devinaient que Stéphanie faisait « un pompier » à leur beau-père. Elles ne croyaient pas que leurs parents sadonnaient à de telles pratiques à leur âge, les croyants réservés aux films pornos ou à la fougue de la jeunesse.
Elles avaient conscience de violer leur intimité mais narrivaient à détacher leur regard du sexe de leur beau-père. La hampe luisante de salive de ce pénis dressé leur faisaient réaliser lautre fonction de cet organe, transmettre la vie.
Leur beau-père étant bien équipé, elles se demandaient comment une telle chose pouvait pénétrer le vagin dune femme.
Mais réalisant enfin ce quelles faisaient, elles sétaient retirées en silence. Mais elles avaient avoué un peu plus tard à leur mère ce quelles avaient surpris.
Elles en ont aussi parlé aux jumeaux. Elles avaient une folle envie de faire comme leur mère mais les garçons nétaient pas daccord. Il faut dire quils navaient pas assisté au spectacle.
Depuis, elles se consolaient entre filles quand un soir, rentrant du cinéma, leurs frères dadoption les ont surprises toutes nues, se branlant en regardant un film porno sur leur ordi.
Profitant du double spectacle, ils se sont mis à bander. Dans le film, deux ravissantes blondes suçaient des pines immenses de blacks.
La suite, vous la devinez. Elles les ont vu et ont continué à se donner du plaisir. Ils ont sorti leur queue pour se soulager comme elles le faisaient.
- Venez près de nous, nous allons jouir ensemble ! Les invective Béa.
Ils se rapprochent et pendant de longues minutes, chacun sactive dans son coin.
Mais voyant la scène à lécran, Célia les apostrophe :
-Putain les garçons ! Vous ne croyez pas que ce serait plus agréable si cest nous qui vous sucions !
Et elle vient se mettre à genoux entre les jambes de Noé pour prendre en main sa teub.
-Elle nest pas aussi grosse quà lécran mais bien plus belle que celle de Léo !
Noé bande de plus belle quand elle la prend dans sa bouche. Voyant cela, Anthony et Béa font de même.
Le spectacle est surréaliste, on croirait voir comme dans un miroir cette fellation en double.
Malgré leur inexpérience, les filles ont vite raison des garçons qui se vident pratiquement en même temps dans les bouches accueillantes.
-Pouah, sexclame Béa, tu aurais pu prévenir !
-Moi jai bien aimé, rétorque sa sur, le goût est bizarre mais pas désagréable ! À votre tour de nous faire jouir !
Les filles prennent place sur leur chaise et écartent les cuisses, les garçons se regardent puis prennent exemple sur les deux blacks de la vidéo en train de dévorer la foufoune des blondes.
Béa, les jambes ouvertes, incite Anthony à les imiter:
- Suce-moi !
- Maintenant? Tu es sûre ?
- Lèche-moi la chatte, petit con !
Il lui obéit, cest la première fois quil suce sa (sur), il lèche tout ce quil trouve avec un peu de maladresse, particulièrement le petit bouton quil titille dun doigt. Il est étonné par le goût mi-sucré mi-salé qui suinte sur sa langue. Elle pose ses mains sur la tête du garçon quand il a un geste de recul au moment ou elle se vide dans sa bouche. Elle a un clitoris petit mais hyper-sensible qui la propulse dans des jouissances quelle na pas connues sous ses propres attouchements.
Lautre binôme fait de même et découvre les mêmes effets.
Cest maintenant devenu un rituel. Pratiquement tous les jours, les quatre se font mutuellement jouir. Mais ils nont jamais osés aller plus loin.
Mais ce petit manège devait bien un jour être découvert malgré les précautions quils prenaient.
Aujourdhui, Stéphanie a décidé de parler à ses filles. Elle prend lescalier qui mène vers leur chambre. Avant dentrer, elle colle son oreille à la porte. Elle entend des soupirs qui ne laissent guère de doute sur ce qui se passe dans la chambre.
Mais Stéphanie est loin de se douter de ce quelle va découvrir. Quand elle entend les garçons grogner de concert, elle ouvre brusquement la porte.
La scène est assez hot, Les deux garçons sont cote-à-cote, la bite à la main. Les filles à genoux devant eux, ont des filets de foutre plein le visage.
Ils sont complètement affolés, les filles se relèvent en essuyant le sperme du mieux quelles peuvent. Les garçons rangent leur matériel difficilement dans leur pantalon.
-Je me doutais bien de quelque chose, sénerve Stéphanie, Mais là, il va falloir quon ait une longue conversation !
(À suivre)
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