Jonathan, Sa Passion Pour Les Camions Lui Fait Découvrir Les Hommes

J’adore partager avec vous mes aventures sexuelles passées et présentes mais j’aime aussi beaucoup lire vos commentaires ou recevoir vos mails. J’ai reçu un très long message de Jonathan S. qui a découvert mes histoires à travers la série d’Albert. Il m’a expliqué que depuis tout petit il a une passion pour les camions, des majorettes au réels bahuts.

Il m’a aussi parlé de sa vie sexuelle, au collège, pendant deux ans, il a eu une petite copine. Ca a commencé par de petits baisers quasi innocents et ils sont allés, uniquement, jusqu’aux relations bucco-génitale. Un peu après il a goûté aux hommes et depuis il n’a jamais arrêté.

Aujourd’hui Jonathan a presque 60 ans, il tient la boutique de son père depuis des années. Il vit avec un homme depuis 15 ans, son couple est très épanouie sur tous les domaines. Il m’avoue que depuis qu’il a découvert ma série d’histoires sur les routiers, il repense beaucoup à sa jeunesse et à ses premières relations sexuels.

Après pas mal d’échanges j’ai réussi à lui faire me raconter son histoire et même à la partager avec vous. J’espère que l’initiation au sexe entre hommes de Jonathan vous plaira autant que j’ai pris plaisir à l’écrire. Pour que l’histoire soit plus fluide j’utiliserai le « je » à la place de notre héros.


Je m’appelle Jonathan, aujourd’hui j’ai 59 ans, je suis grisonnant et bedonnant mais je n’ai pas toujours été comme ça. Plus jeune, j’étais brun et assez musclé, les filles m’appréciaient beaucoup. J’ai eu une longue relation au collège avec Marie mais nous n’avons jamais vraiment couché ensemble. Avec le recul, je me dis que je ne devais pas vraiment avoir envie, parce que elle…

Les files ne m’ont jamais plus attiré que ça, mais les camions oui et encore plus quand j’ai appris qu’on les surnommait des « gros culs ». En plus le meilleur ami de mon père, qui est aussi mon parrain, était camionneur. A chaque anniversaire il m’offrait quelque chose en rapport avec les camions.



L’année de mes 13 ans, mes parents m’ont fait un cadeau que beaucoup n’aurait pas apprécié mais j’étais aux anges. Je suis parti avec Hubert, mon parrain, pour un périple de 2 nuits et 3 jours en Italie et bien évidement en camion. C’est devenu les plus belles vacances de ma vie, du moins jusqu’à ce moment.

Ce périple s’est très bien passé, nous dormions dans la cabine derrière les fauteuils. Il avait un grand matelas et en « mezzanine » un plus petit lit. La journée j’en prenais plein les yeux et je m’amusais beaucoup avec la cibi. J’ai aussi beaucoup apprécié les échanges avec les autres chauffeurs dans les airs de repos. Hubert me faisait passé pour son fils, je ne sais pas pourquoi certains de ses collègues rigolaient mais j’étais fier.

Au retour mes parents m’ont vu tellement enchanté qu’ils ont accepté de renouveler l’expérience. Du coup chaque année j’ai eu le droit à mon petit voyage de 2 ou 3 jours avec mon parrain. Ca m’a permis d’être encore plus complice avec lui, je lui ai même demandé d’essayer de convaincre mes parents de me laisser partir avec lui plus loin et plus longtemps.

Ca n’a jamais marché, mais cette année je vais avoir 18 ans et j’attends avec impatience mon « week end » de l’année avec Hubert. Aujourd’hui c’est mon anniversaire, je viens d’avoir mon bac et j’espère du coup recevoir un beau cadeau genre mon permis, une voiture…

Mes parents ne m’ont pas déçu ensuite il me donne un tout petit paquet de la part de mon parrain. Je me dépêches de l’ouvrir et je découvre que c’est un passeport, je ne comprend pas trop. Il m’explique que Hubert part la semaine prochaine pour un périple de 10 jours en Allemagne et en Pologne et que je l’accompagnerai. Je les remercie chaleureusement tellement que je suis heureux.

Arrive enfin le matin du départ, à 7 heures du matin, le meilleur ami de mon père vient me chercher avec son gros camion. J’embrasse mes parents, j’att mon sac de voyage et je vais le rejoindre.
Je monte directement côté passager et quand j’allais jeter mon sac dans la cabine je remarque qu’il y a un autre mec dans la cabine.

Après avoir embrassé mon parrain, il me présente son collègue Momo. Il démarre en m’expliquant que comme la route est très longue, ils voyagent à deux chauffeurs pour se relayer et avancer plus rapidement. Nous démarrons la route vers le nord de la France, plus la journée avance plus il fait chaud. A la pose de midi nous partageons nos sandwichs avec d’autres routiers, il y a une bonne ambiance.

Avant de reprendre la route, Hubert et Momo se changent pour mettre des marcels et des petits short. Les camions ne sont pas encore équipés de clim alors ils me conseillent de me mettre dans la même tenue. Je me change et je dois dire que j’ai un peu honte en me déshabillant de me retrouver avec mon slip taché de sperme, suite à la branlette de ce matin, devant eux.

Nous roulons pendant encore deux heures et nous faisons une plus longue pause car ils ont besoin de faire la sieste. Je n’ai pas envie de dormir alors je vais me balader, je commence par marcher autour des autres camions, beaucoup de rideaux sont fermés. Il n’y a personne avec qui discuter je rentre dans le petit bois derrière. Rapidement je suis attiré par des bruits étranges.

Je pars vers ces sons et je découvre deux mecs complètement à poil. Le premier est adossé à un arbre alors que le second est agenouillé devant lui. Il est entrain de sucer l’autre tout en se branlant, je me décale discrètement pour avoir un meilleur point de vue. Je ne sais pas si à cause des souvenirs avec Marie qui me remonte en mémoire mais je bande bien.

Quand je vois le mec à genoux se mettre à 4 pattes et écarter ses fesses, je sens ma queue encore plus gonfler. L’homme derrière crache entre les fesses de l’autre et y frotte son sexe un bon moment. Il s’immobilise et commence à s’enfoncer en lui, je suis assez proche pour voir la bite disparaitre dans le cul.
Mais pas suffisamment pour avoir plus de détails par contre j’entends bien les gémissements.

Je rentre ma main dans mon short et je commence à me branler au même rythme que les coups de reins que je vois. Je suis troublé de voir deux hommes faire l’amour mais encore plus d’être excité par ce spectacle. Je sens mes couilles se contracter alors que les deux mecs en rut baisent comme des animaux.

Juste avant de jouir je sors mon sexe pour ne pas tâcher encore plus mon slip et je crache 4 bonnes giclées directement sur le sol. Je range le matériel et disparait le plus discrètement possible. Quand je suis assez loin, je me mets a courir jusqu’au toilette et m’enferme dans une cabine.

Je m’assoies sur la lunette et réfléchis à ce qui c’est passé. Je ne peux pas être PD, j’ai eu une copine pendant 2 ans et les 6 derniers mois elle m’a fait trop souvent jouir. C’est vrai que je n’ai jamais fait l’amour alors peut être que de le voir en vrai… Les magasines pornos que mes potes du lycée m’ont prêtés m’excitaient bien mais pas autant que ce que je viens de voir.

Je réalise que ça fait un moment que je suis parti alors je sors des toilettes après m’être lavé les mains. Je me dépêche de rejoindre mes compagnons de voyage, les rideaux de la cabines sont ouverts, je tape quand même à la portière avant d’ouvrir. Une forte odeur me monte au nez mais je ne la reconnais pas. Ils vont se dégourdir les jambes et nous reprenons la route.

Nous roulons jusqu’à nous arrêter à quelques kilomètres de la frontière pour la nuit. Après un diner à la cafétéria au milieu de collègues connus ou inconnus de Momo et Hubert, je vais prendre une douche. Il y a d’autres routiers qui attendent pour se laver, je patiente un bon quart d’heure avant que ce soit enfin mon tour.

L’homme qui me laisse la place est entièrement nu, il est très poilu et à une bien plus grosse bite que la mienne. Merde je sens que ça gonfle dans mon slip, je me dépêches de rentrer dans la cabine mais je ne ferme pas complètement le rideau.
Je reste habillé et j’observe la bite du mec pendant qu’il se sèche.

Ce spectacle ne m’aide à débander au contraire, je me déshabille en étant sur de ne pas m’exhiber et je commence à faire couler l’eau pour ne pas paraitre suspect. Quand l’homme commence à se rhabiller, je ferme complètement le rideau et commence à me laver. Quand je me savonne l’entrejambe je suis toujours aussi raide, je me masturbe un peu à l’aide du savon.

Je passe mes mains derrière et me nettoie les fesses, je revois l’homme à 4 pattes dans le bois. En fait je m’imagine à sa place et pendant que je me lave le petit trou je pousse un peu et je fais rentrer un doigt. La sensation est étrange, je prends du plaisir à le faire rentrer et sortir mais je ressens aussi une petite douleur et ça siffle dans mon oreille.

Je continue de faire coulisser mes doigts entre mes fesses et avec mon autre main je me branle. Je ne suis pas aussi dur que d’habitude mais je prends beaucoup de plaisir. Je jouis très rapidement et mon jus s’écrase sur le mur, une fois que je reprends mes esprits je ressors lentement mon doigt.

En même temps que je finis de me laver, je pisse sous la douche. Je me sèche et m’habille avec le rideau fermé. Je retourne au camion rejoindre mes chauffeurs, quand Hubert me voit arriver il me dit en rigolant:
« Tu en as mis du temps! Tu as fait une rencontre sous la douche? »
Je me sens gêné et ne sais quoi répondre quand sans réfléchir je dis:
« Non, j’étais dans les douches pour hommes! »

Ils rigolent en coeur et mon parrain annonce qu’il va à son tour visiter « les douches pour hommes ». Momo lui demande de l’attendre, il att ses affaires dans le camion et part le rejoindre. Je monte dans la cabine pour enfiler un pantalon de jogging et t-shirt pour dormir. Une demi heure plus tard, ils ne sont toujours pas revenus.

Plus j’attends plus j’ai envie d’aller faire un tour dans la petite forêt derrière le parking pour voir si là aussi il y a de beaux spectacles. Comme je ne sais pas quoi dire à mon parrain pour justifier mon absence, je les attends. Cela fait maintenant plus d’une heure qu’ils sont partis, je me demande bien ce qu’ils font. Je sens la fatigue de la route me prendre et je m’endors avant même qu’ils soient revenus.

Je suis réveillé par des bruits qui me semblent familiers, en ce moment je pense tellement au sexe que j’ai l’impression de me retrouver dans le bois de la veille au moindre son inhabituel. Comme à chaque fois que je me réveille, j’ai la queue raide, je me caresse à travers le slip. Puis je me rappelle que je suis dans le camion d’Hubert et même de la présence de Momo.

Il faut que je me réveille alors je m’agite sur mon petit matelas, les bruits s’arrêtent comme par magie mais je sens la même odeur qu’après leur sieste d’hier. Quand je vois mes deux chauffeurs sur le grand matelas en dessous de moi, ils sont bien réveillés. Je réalise qu’il fait déjà jour, je leur dis bonjour et ils me répondent avec un grand sourire.

Hubert se lève, il est en slip blanc plein de tâches jaunes et blanches et en plus il bande. Momo se lève à son tour, lui n’est pas en érection mais son slip noir et trempé. Les deux s’habillent et sortent du camion, je fais pareil et je les vois entrain de pisser sur la pelouse. Je préfère aller aux toilettes pour plus d’intimité, mes covoyageurs ne me dérangent pas trop mais les autres chauffeurs beaucoup plus.

Nous nous retrouvons aux machines à café, mon parrain à ramener du pain, du beurre et de la confiture. Nous prenons notre petit déjeuner dehors pour profiter de la fraicheur parce que la journée s’annonce très chaude. Après m’être brosser les dents, nous prenons rapidement la route, il est tout juste 7 heures. Nous roulons jusqu’à ce qu’il s’échangent le volant, nous en profitons pour vider nos vessies.

Nous nous alignons tous les trois devant les urinoirs, je suis encadré par mes gardes du corps. Nous sommes séparés uniquement par une petite barre en inox, je sors le plus discrètement possible mon sexe. Je n’arrive pas assez à me détendre pour pisser alors que j’entends leurs jets taper l’émaille.

Du côté de Momo le bruit est beaucoup plus puissant, instinctivement je tourne la tête vers lui. Il a sorti tout son costume 3 pièces, sa bite est très grosse et longue, il s’est décalotté et balance un jet très puissant et fourni d’urine. Je me sens tout aussi troublé que la veille sous la douche, je sens entre mes doigts ma queue se tendre.

Je réalise que je peux être surpris, je lève la tête vers Momo qui me regarde avec un grand sourire. Il tourne la tête vers mon sexe et sourit encore plus, je suis super gêné et me cache le plus possible. Maintenant il va croire que je suis homo! Mes 2 compagnons remballent leur matériel et j’arrive enfin à pisser. Je prends mon temps pour me laver les mains car j’ai très peur de leur réaction à mon retour.

Quand je retourne au camion Momo est au volant et hubert déjà assis au milieu. Je ne suis pas mécontent qu’il y ait une « barrière » entre nous. La route se passe tranquillement, nous parlons entre nous. Tout d’un coup Momo me demande si je suis toujours puceau, je rougis et n’ose pas répondre. Hubert intervient:
« Sûrement pas! Il a une petite copine depuis un moment. »
Il rajoute même:
«  En plus c’est un sacré beau gosse mon filleul! »

Ils rigolent tous les deux et je suis encore plus gêné qu’avant surtout quand Momo confirme qu’il me trouve mignon. Pour couper court à la discussion je dis que nous avons rompu depuis un moment mais sans parler de ma virginité. Il n’arrête pas de parler de cul jusqu’à la pause suivante, je ne participe pas trop à la discussion mais j’écoute chaque mot.

Ils ne font que changer de conducteur, nous reprenons la route rapidement. Il commence à faire chaud alors ils enlèvent leur short et reste en slip. Mon parrain porte le même que ce matin mais j’ai l’impression qu’il est encore plus sale. Momo s’est changé, il est maintenant lui aussi en blanc, il est encore mieux monté que son collègue. Son slip à quelques taches jaunes, je ne sais pas pourquoi mais je bande.

Cette fois c’est Hubert qui conduit, il parle de leurs collègues notamment un qui est marié et n’arrête pas de la tromper avec des hommes pendant ses voyages. Du coup je demande à Momo s’il est marié, il me répond positivement mais me dit que ça fait plus de 20 ans alors…. il ne finit pas sa phrase.

Je me tourne vers mon parrain et lui demande pourquoi il ne s’est jamais marié. En lui posant la question je réalise que je ne l’ai jamais vu avec une femme. Il m’explique qu’avant ma naissance il a vécu quelques années avec une copine mais que ce genre de vie à deux c’est par pour lui. Il rajoute même:
« A deux je préfère mes voyages avec des collègues comme Momo. »

Ils s’esclaffent de nouveau et moi je ne comprends rien. Momo n’arrête pas de bailler, il annonce qu’il va faire une petite sieste mais Hubert propose de rouler encore une cinquantaine de kilomètre, manger un morceau et faire une sieste. Mon voisin de droite att la cibi et demande aux collègues l’état des prochaines airs de repos.

Nous roulons encore une bonne demi heure et nous arrêtons. Après avoir mangé avec des amis à eux, nous allons nous reposer. Les deux s’endorment rapidement et se mettent à ronfler. Je ne tarde à les rejoindre dans les bras de Morphée après avoir admirer leurs slips bien remplis et salis. Je garde mon short, j’ai un peu honte d’être en slip devant eux vu comme ils sont montés, mais je suis torse nu.

Je suis réveillé, encore une fois, par des bruits qu’il me semble reconnaitre, je sens ma queue raide contre mon ventre. Les sons ne s’arrêtent pas, je me penche discrètement et je vois mes deux compagnons de voyage complètement nu en 69. Hubert est au dessus, son ami le suce et fait aller et venir deux doigts entre ses fesses. Je bande encore plus fort.

Je commence à me caresser quand Momo les fait se tourner pour qu’il soit de côté. Mon parrain lèche l’énorme gland décalotté qui est devant sa bouche alors que sa bite sort lentement de la bouche de son ami. Momo me fixe du regard, je recule un peu mais continue de l’observer. Il me fait un clin d’oeil, retire ses doigts des entrailles de son collègue et part lui bouffer le cul.

Je recommence à me branler devant ce magnifique spectacle, mais je sors toujours pas ma bite de mon short. Au bout d’un moment Momo se dégage, me fixe encore une fois et me demande si j’aime. Je ne réponds pas mais Hubert dit oui tout en continuant à le sucer.

Momo se lève, complètement nu, son ventre bien naissant est au dessus de mon matelas mais aussi son sexe droit comme i juste devant mon visage. J’ai envie d’y toucher mais je n’ose pas, par contre lui rentre sa main dans mon short et sort tout mon costume trois pièce. Il commence par le branler et je grossis encore plus entre ses doigts.

Puis il se penche et frotte mon gland sur ses lèvres bien charnues juste avant de m’avaler. Je le regarde faire puis je jette un coup d’oeil sur mon parrain, il est à genoux devant son pote et fait coulisser son énorme tige entre ses lèvres. Trop de choses tournent dans ma tête, sans même réaliser je me vide dans la bouche de Momo tout en m’excusant.

Lui continue de me sucer alors que je rétréci entre ses lèvres, ses joues sont gonflées, il n’a pas dû avaler mon sperme. Quand il me recrache mon sexe est tout propre, il redescend vers Hubert, le fait se mettre à 4 pattes et s’installe derrière lui. Il écarte à 2 mains les fesses de mon parrain, recrache mon sperme sur et dans la rondelle devant lui et le fait rentrer avec ses doigts puis sa langue.

Ensuite il se relève un peu empoigne sa queue et pose son gland sur le trou blanchi par mon jus. Il s’enfonce dedans très facilement et même entièrement. Je n’en reviens pas que mon parrain se fasse sodomiser et encore moi qu’il arrive à faire rentrer dans son cul un tel engin. Je me remet à bander en voyant tout ça et je me branle au même rythme que les coups de reins de Momo.

Il le lime d’abord très lentement mais rapidement il augmente la cadence, ça devient très animal. A chaque fois que Momo se plante dans son collègue ses cuisses contre les fesses devant lui, mon parrain gémit et il me semble reconnaitre les bruits qui me réveillent. Je me penche un peu et je vois que mon parrain se branle tout en se faisant baiser. Son collègue diminue le rythme et sort entièrement.

Il écarte les fesses devant lui, le trou de mon parrain et bien plus ouvert. Momo se plante d’un coup sec en lui, reste un moment sans bouger avant de déculer. Il recommence ce petit jeu plusieurs fois, ils gémissent de plus en plus mais ne jouissent pas. Hubert à le cul très rouge et bien ouvert, Momo le lèche deux ou trois fois et nous dit:
« Allez, tous dehors! »

Il sort le premier, totalement à poil, jette un coup d’oeil à droite et à gauche et nous dit que la voie est libre. Sans hésiter mon parrain le suit mais je mets un peu plus de temps à les rejoindre. Ils sont tous les deux culs nus, on dirait qu’ils pissent mais en fait ils se masturbent. Je me mets à côté d’eux et les imite, Hubert gémit de plus en plus fort son collègue lui tend un slip et mon parrain éjacule dedans.

Après qu’il se soit essuyer dedans, il rend le morceau de tissu taché à son collègue. Je lance un premier jet bien fourni, Momo colle le slip à mon gland pour récupère les giclées suivantes alors qu’ils continuent de s’astiquer. Quand il a finit de s’essuyer, il met le tissu à quelques centimètre de son gland et se vide dessus. Il doit produire 2 fois plus de sperme que moi, je suis impressionné. Il pose le dessous complètement maculé de nos spermes et pisse dessus.

Quand il a fini je réalise que je suis complètement nu aux yeux de tout le monde. Je fais demi tour quand je vois Momo enfiler le slip recouvert de nos jus et s pisse, je suis encore plus halluciner. Quand je remonte dans le camion, Hubert en ressort habillé, il va aux toilettes. Je me rhabille pendant que Momo me rejoint, il me dit:
« Apparement tu as aimé!? »

Je n’ai pas tellement honte de lui répondre que oui pendant que je remets mon t-shirt. J’ai aussi besoin de pisser alors je pars rejoindre Hubert aux toilettes. Les urinoirs sont vides, je ne le vois pas. Pendant que je me lave les mains, mon parrain sort d’une cabine et vient à côté de moi.

Il me dit que c’est un des effets secondaires de la sodomie, je ne suis pas sûr de vouloir comprendre ce qu’il veut dire. Quand nous ressortons de la station service, il m’arrête, me tourne face à lui et me dit:
« Evidement, tu ne parles pas de tout ça à tes parents! »
Je lui fait oui avec la tête, il m’att par l’épaule et pendant que nous rejoignons Momo, il rajoute:
« Tu vas voir, on va faire un bon voyage. »
Et me claque la fesse droite

Quand je m’installe dans le camion je reconnais l’odeur de la veille, plus aucun doute ce n’était pas leur première fois. Je me demande ce que me réserve la suite de ce périple…

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