La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1253)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1252) -

Lucie, la tête au sol tournée sur le côté, souriait, ravie d'avoir satisfait le Seigneur et Maître par son application à l’avoir sucer du mieux possible et ainsi lui avoir apporter une éjaculation qui apparemment Lui avait donné une maximum de plaisir jouissif.

- Nettoie-moi, maintenant la chienne !, s’exclama-t-il !

Lucie le fit avec application et bonheur car satisfaire le Seigneur qu'elle servait avec dévouement, la rendait plus heureuse que jamais.

- Bien cela suffit, tu m'as contenté au delà de Mes espérances. C'est pourquoi, je vais t'autoriser à partager ma couche cette nuit.
- Maître, merci de m'accorder ce privilège de dormir à Vos côtés et d’être utilisée selon Votre Volonté quand Vous n éprouverez le besoin...
- Allons, suis-moi, mais en quadrupédie, bien entendu ! …

Une fois dans la chambre, elle reçut pour Exigence de se relever et de se déshabiller. Le Seigneur et Maître lui annonça :

- Avant de dormir, j'ai besoin que tu me masses car ces derniers jours ont été stressants et éprouvants. J'ai donc besoin de tes douces mains sur mon corps...

Lucie fut tellement honorée de ce privilège, alors elle se permit de dire :

- Maître, je vous remercie de l’honneur de m’accorder le droit de vous masser.

Et de fait après le bon massage qu’elle réalisa avec tellement de douceur et de savoir-faire, le Maître très bien détendu s'endormit rapidement. Lucie se blottie dans ses larges bras, heureuse et apaisée et ils passèrent une bonne nuit de repos ponctuée de quelques tendres câlins aux plus torrides ébats sexuels …

La dernière étape :
Quand ils arrivèrent au dernier relais, quelle ne fut pas leur surprise d’y trouver Ronan, Léon, Kate, Eléonore, et Clémence qui allait beaucoup mieux.



- Comment se fait-il que vous soyez tous là, demanda Antonin tout en embrassant Kate avec passion.
- Eh bien, dit Ronan, ne connaissez-vous pas l’ingénieux moyen de communication de mon père ?
- Si bien sûr. Alors il a réussi à l'avoir, son réseau de pigeons voyageurs, porteurs de messages.
- Evidemment, sinon comment aurions-nous pu savoir que vous arriveriez ces jours-ci.

Eléonore avait généreusement payé le tenancier de l’auberge afin qu’il leur prépare un bon et vrai repas. Tous et surtout Louis-Etienne, qui reprenait de chaque plat, mangèrent à leur faim. Pour la nuit, n’ayant pas assez de chambres pour tous, ils durent partager. Ronan partagea sa chambre avec Louis-Etienne – Alix avec Clémence – Léon avec Eléonore pour veiller Godulfe (blessé) et Antonin avec sa chère Kate. Et une fois seuls dans leur chambre, Kate ayant beaucoup souffert de l’absence d’Antonin, tant de l’homme qu’elle aimait que du Maître qu’il était et qu’elle aimait tout autant et respectait, elle se mit nue et à genoux, tête baissée, mains dans le dos, de façon à lui faire comprendre que quoi qu’il veuille ce soir, il l’obtiendrait.

- Kate, ma belle, tu sais cette mission fut éprouvante mais tu m’as tant manqué que même fatigué, je vais m’occuper de toi.
- Tout ce que vous exigerez Maître, je suis toute à vous.
- Reste ainsi et s’approchant d’elle, d’abord suce-moi, Ma chienne.

Kate s’exécuta, le masturbant doucement puis le lécha de bas en haut, aspira ses bourses douces, puis le prit totalement en bouche et le lécha, suça en enroulant sa langue tout autour de la queue dressée d’Antonin et descendant doucement, embrassa le gland, le suçota avec de petits coups de langue. Ensuite, elle s’activa à le pomper avec des va-et-vient réguliers de sa bouche entourant le membre viril sur toute la hampe. Elle accéléra le rythme, la cadence devenait rapide, dans un seul but évident, faire venir l’éjaculation afin de donner du plaisir jouissif à celui qu’elle aimait.
Puis soudain, il lui plaqua la tête sur son ventre et ne tenant plus de ce si bon traitement, il lâcha sa semence et jouit de son sperme dans la bouche de la belle Kate. Les soubresauts de cette verge plantée jusqu’au fond de la gorge de la chienne étaient accompagnés de râles orgasmiques d’un mâle se vidant les bourses. Kate avala le tout avec délice et un plaisir non dissimulé la semence du Maître qui la soumettait et qui lui avait tant manqué.

- Ta bouche est toujours aussi délicieuse, ma salope adoré.
- Ho Maître, votre noble queue m’a tant manqué, si vous saviez à quel point.
- Ne me dit pas que personne n’a pu te donner du plaisir en mon absence, surtout au Château.
- Si Maître, votre meilleur ami le Seigneur d’Evans est un très bon Maître, mais c’est vous le Maître de ma vie à vous que j’ai donné ma vie, mon âme, mes pensées, mon entière confiance et mon cœur. Je me dois en tant que soumise à Sa Seigneurie de le respecter, mais je n'ai jamais eu et n'aurai jamais qu'un seul Maître, vous.
- Oui ma belle soumise tu es à moi. Mais il est normal que mon ami le Seigneur d’Evans te possède également car nous sommes tous Ses sujets dans Sa Seigneurie. Nous avons tous fait le vœu d’allégeance à Lui et il nous apporte protection et confort. Mais grâce à Sa bonté, il m’a autorisé à ce que tu sois ma soumise, ma chienne à moi.
- Oui Maître, entièrement à vous Maître.
- En levrette, ma chienne, immédiatement.

Antonin lui caressa ses fesses et lui dit d’un ton malicieux :

- Elles sont si belles, mais bien pâles à mon goût …

Et Antonin lui donna une claque cinglante qui la fit sourire d’aise et mouiller encore plus. Antonin continuait par un mélange excitant entre ses caresses et ses fessées tout en la doigtant parfois, allant fouiller son vagin pour en mesurer l’humidité grimpante. Puis au bout d’un moment, il reprit de la vigueur par une nouvelle érection alors d’un coup, de sa verge fièrement dressée, il pénétra cette chatte trempée de plaisirs.
Ce qui la fit gémir de bonheur de le sentir ainsi en elle, et il la pilonna, la fouilla, la besogna en de puissants coups de reins, virils, profonds, bestiaux. Tout en prenant un plaisir intense, elle se permit cette remarque :

- Eh bien Maître, si vous me prenez ainsi quand vous êtes fatigué, qu’est ce que ce sera quand vous serez en forme.
- Ça, ma Kate, sache que tu es mon énergie et tu as surtout le don de m’exciter, ma chienne.

Antonin reprit ses coups de boutoir et une volée de claques sur son cul qui commençait à rougir. Quand il fut sur le point de jouir à nouveau, il lui murmura.

- Tu peux jouir, Ma petite salope adorée, quand tu veux.

Kate lâcha alors enfin son orgasme qui fut d’une forte intensité laissant exprimer son corps montrant des forts spasmes dus aux décharges électriques jouissives qui irradiaient Kate des pieds à la tête. Tandis qu’Antonin en quelques coups de reins jouit aussi tout au fond de cette chatte trempée qui dégoulinait une abondante cyprine... Il se releva et aida sa tendre soumise encore tremblante de spasmes de plaisir et elle se coucha sur le lit, pendant qu’Antonin allait se rafraichir dans un coin de la pièce prévu à cet effet. Quand il revient, Kate ayant repris ses esprits, se mit à genoux et lui énonça :

- Merci Maître de m’avoir permis cet orgasme si puissant et de m’avoir accordé le don de votre noble semence en moi.
- Ma Kate, après tout ce temps, je voulais qu’on prenne du plaisir tous les deux. Attend moi un instant...

Antonin sortit alors de la chambre et revint avec un seau d'eau tiède. C'est pour toi ! Je ne veux pas que tu prennes froid à te rafraichir à l'eau froide. Quand elle eut fini, elle alla s'étendre sur leur couche. Antonin la rejoignit. Il se coucha à ses côtés et la couvrit d’un drap chaud et ils s’endormirent ainsi enlacés, heureux et amoureux. La nuit se passa également entre câlins et multiples fornications des plus torrides les unes que les autres… Au matin, ce fut Clémence et Alix qui se réveillèrent les premières mais restèrent ensemble dans leur chambre, attendant le réveil des autres.
Elles étaient toute à leur joie de se retrouver. Comme quand elles étaient s, elles se placèrent une en face de l’autre pour se coiffer mutuellement. Alix lui lança :

- Je n’en reviens pas que toi aussi tu sois soumise et au service exclusif de Messire Ronan, tu en as de la chance.
- C’est toi et les autres qui m’ont donné envie de le devenir
- Je te connais trop bien Clémence, je sens que tu me caches quelque chose.
- …Oui c’est vrai, dit-elle en rougissant.
- Serais tu amoureuse ?
- …
- Oui bien sûr, ton silence parle pour toi ! Alors dit-moi qui est ce ? Je le connais ?
- … Ho oui, tu le connais, c’est... Messire Ronan.
- Pardon, Messire Ronan? Eh bien, tu ne fait pas les choses à moitié.

Elles partirent d’un grand éclat de rire quand soudain Eléonore entra la mine grave.

- Mère, que se passe-t- il ?
- Messire Godulfe est mort cette nuit de sa blessure. Préparez vos affaires nous partons sur l'heure ...

(A suivre …)

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