Après Midi Au Café 1/2

Après que Didier m’est appelé pour passer le we avec lui, je ne pouvais plus travailler. Mon esprit était concentré sur lui.
Je décidais de rentrer chez moi en pleine après midi, pour m’apprêter et le surprendre.
Je prenais une bonne douche et je me préparais.
J’optais pour le surprendre de me mettre en dessous sous mon imperméable, mi cuisses, talons, Bas Soutien gorge. Je voulais le faire craquer.
Lorsque je suis arrivée et qu’il m’a ouvert la porte, comme il lit en moi à livre ouvert. Il me prend par la bras, me met face au mur, me soulève mon imperméable et me prend. Comme j’étais plus que trempée, il entre en moi facilement ; Je jouis plus que rapidement en lui disant « oui baise moi encore mon chéri encore ouuuuiiiiii »
Didier « tu veux faire la salope »
Moi « oui baise moi comme une petite salope »
Je n’arrêtais pas de jouir.
Nous avons passé la soirée et la nuit à faire l’amour. J’ai eu trois orgasmes absolus qui m’ont provoqués des éjaculations féminines, qui m’ont fait perdre à moitié connaissance.
Nous avons petit déjeuné assez tard et ensuite nous sommes allés nous promener ; Nous avons déjeuné.
En sortant de la brasserie il me dit « tu vas me montrer comment tu fais la salope avec des petits jeunes »
Moi « faire la salope avec des petits jeunes » l’air surprise
Didier « oui tu vas faire ce que tu m’as fait hier soir mais avec des jeunes »
Moi « je préfèrerai rentrer et que l’on soit tous les deux, je vais bien m’occuper de toi »
Didier « tu as voulu encore une fois faire la salope et bien tu vas continuer »
Moi pas très contente « je voulais faire la salope comme tu le dis pour te faire plaisir »
Didier « pour me faire plaisir tu vas faire la salope avec des petits jeunes. Nous allons entrer séparément et tu vas te mettre à l’ouvrage, comme je vais voir ce que tu fais avec les autres »
Moi en me collant contre lui « viens on rentre tous les deux chez toi, que je te ferai tout ce que tu veux »
Didier se reculant et me poussant « tu fais ce que je te dis, allez vas y entre seule et après je te regarde, tu as carte blanche » et de rajouter « je te préviens, si tu n’arrives à te faire aborder, ni draguer, ça va aller mal, très mal »
Moi « ça va aller mal »
Didier « je vais t’emmener dans un endroit où il y a une vingtaine d’hommes, et tu n’auras pas le choix »
Voyant qu’il n’y avait pas moyen de négocier, je me décidais à lui obéir
J’entrais, il y avait beaucoup de monde.

Je me mettais dans la file d’attente, j’en profitais pour regarder, ceux qui pouvaient me plaire. Je voyais bien qu’il y en avait que je ne laissais pas indifférents. Je trouvais une table, sur laquelle je m’installais, en prenant bien soin de prendre mon temps, pour retirer mon imperméable, pour que l’on puisse bien me regarder. Une fois assise je dégustais mon café ; J’en profitais pour continuer mater. Il n’y avait que des jeunes, certains me mataient, je soutenais leur regard.
Didier est entré, il a pris sa consommation et s’est installé au fond derrière moi. Je ne pouvais le voir.
J’avais un magazine, je le feuilletais tout en continuant mon cinéma, d’allumeuse.
Je voyais bien que certains qui me mataient parlaient entre eux. Je me doutais du sujet. Didier qui était au fond bien en recul, m’envoyait des sms pour me rapporter les commentaires qu’il a pu entendre. Je faisais de l’effet. Je consultais mon smart phone d’un air précieux de salope pour les lire.
A un moment, il y a un jeune, pas mal qui est venu à ma table pour m’aborder et me demander s’il pouvait m’offrir quelque chose. Je lui dis « c’est un peu gênant »
Le jeune « pourquoi nous ne faisons rien de mal »
Moi « si vous voulez, prenez moi un café nature »
Il partit me le chercher, il y avait moins de monde qui attendait. Il revint rapidement.
Il commença sa drague de façon retenue et courtoise, il s’appelait Bertrand.
Cela ne me déplaisait pas
Didier m’envoya un sms « A toi de jouer, la partie n’est pas encore gagnée »
Je regardais mon smart phone en souriant
Bertrand « vous êtes vraiment ravissante, lorsque vous êtes entrée, je vous ai tout de suite remarqué »
Moi « je suis normale, et puis les jolies jeunes filles ce n’est pas ce qui manquent, ici mai aussi à Paris »
Bertrand « elles ne sont pas aussi belles que vous »
Moi « ce sont des jeunes filles, plus en rapport avec votre age, je suis une femme »
Bertrand « c’est pour cette raison que vous êtes plus belle »
Moi « peut être, regardez autour de vous, il y en a des jolies filles » en les désignant de façon discrète.

Bertrand « vous avez quelque chose de plus qui fait que vous êtes beaucoup plus jolie »
Moi « ce que j’ai en plus ce sont des années »
Un peu décontenancé « vous êtes une jeune femme plus plus »
Moi « mais vous êtes d’accord avec moi Bertrand que je suis plus agé que vous. Vous avez quel age »
Bertrand « 21 ans, cela ne fait pas beaucoup d’écart avec vous »
Moi « Bertrand, vous êtes très gentil avec moi mais quand même, regardez moi, par rapport à vos petites copines »
Bertrand « oui je vous vois, et vous êtes une très belle fille, beaucoup plus belles que celles que je rencontre la plupart du temps »
Moi, en le regardant droit dans les yeux et en posant ma mains sur son avant bras« vous êtes très gentil Bertrand, mais je ne suis plus une fille, je suis une femme »
Il a été plus que troublé, c’étais fait pour. Il marqua en temps d’arrêt, mais il se reprit en regardant derrière moi.
Bertrand « je sais que l’on demande jamais son age à une femme, mais, nous n’avons pas beaucoup d’écart »
Moi en plaisantant « suffisamment pour que je puisse vous mettre une fessée » Nous sommes partis dans un éclat de rire.
Même si cette remarque était censée le remettre un peu à sa place, elle lui donna plus d’assurance.
Comme je voulais continuer à le déstabiliser, pour qu’il ne se croit pas en terrain conquit.
Je lui dis « mais vous étiez venu avec des amis »
Bertrand « oui, ils sont au fond »
Moi « dites leur de venir nous rejoindre »
Voyant qu’il risquait de perdre du terrain vis-à-vis de moi « nous sommes bien tous les deux »
Moi pour faire ma garce « vous n’allez pas abandonner vos amis comme ça »
Bertrand « ils n’avaient qu’à venir vous voir, il n’y a pas de place à cette table »
Moi « vous n’êtes pas très charitable, ils sont peut être un peu timides et je suis sure qu’ils seraient ravis de faire ma connaissance ». et de rajouter « ils sont où, montrez les moi »
Bertrand en me les désignant « ils sont la bas »
Moi « les quatre la bas, ils ont l’air gentils, et puis il y a assez de place autour de cette table .
Allez les chercher »
Il se leva et discuta un peu avec avant qu’ils ne viennent tous me rejoindre. Lorsqu’ils sont arrivés, ils étaient tous vraiment très jeunes.
Bertrand me les présenta, tout en s’assaillant à coté de moi. Pour le faire un peu rager « Bertrand vous étiez en face avant que vos amis arrivent ».
Bertrand « je voulais être à coté de vous »
Nous étions serrés autour de la table et nos genoux se touchaient. Celui qui était assis à ma droite, Pierre, était peu collant, il avait passé son bras sur le dossier de ma chaise et était tourné vers moi de façon assez rapprochée.
Je prenais l’initiative « les garçons que faites vous à part aborder les femmes le we »
Pierre qui était le plus hardi avec Bertrand « nous sortons, nous allons boire des cafés, nous rencontrons aujourd’hui une très jolie femme »
Moi « sinon le reste du temps, je présume que vous êtes étudiants »
Bertrand « oui nous sommes étudiant, je fais du droit avec Pierre et Mathieu »
Moi « vous faites des études de droit et vous » en m’adressant aux deux autres qui étaient assis en face de moi et qui étaient très timides.
Comme ils ne répondaient pas « vous êtes très timides, je ne vais pas vous manger »
Bertrand « Laurent lui est en classe prépa et Olivier lui est en école d’ingé »
Pierre « oui ils sont timides car dans leur secteur, il n’y a pas de jolies filles »
Moi « alors que vous trois vous avez l’habitude des jolies filles, en Droit c’est normal »
Bertrand « oui c’est vrai, mais pas aussi belle que vous »
Moi « arretez, en Droit, les jolies filles, ce n’est pas ce qui manquent »
Je voyais bien que Pierre et Bertrand se regardaient. Et à peine j’avais terminé ma phrase que Bertrand posa une de ses mains sur une de mes cuisses. Pierre commença à me passer sa main qui était sur mon dossier dans le dos.
Je remettais le nez dans mon café. Je mouillais comme une folle.
J’essayais de poursuivre la discussion avec les deux plus timides car je voyais bien les autres plus surs d’eux, Bertrand qui remontait les cuisses, Pierre qui me massait les dos et je voyais bien que Mathieu avait un regard lubrique.

Moi « Laurent et Olivier, vous êtes vraiment timides, ne vous laissez pas impressionner par les autres »
Laurent « Bertrand et Pierre sont plus expressifs que nous »
Moi « Laurent vous êtes en classe préparatoire d’une école d’ingénieur »
Les caresses de Bertrand s’intensifiaient il me remontait les jambes jusqu’à ma jupe et essayait de faufiler sa main dessous. J’avais les jambes croisées. Je dégoulinais comme une chienne. Mon portable vibrait, ce devait être Didier qui m’envoyait des sms.
Laurent était vraiment timide, il me répondait avec une petite voix « oui »
Moi « dans un domaine particulier »
Laurent « en électronique »
Moi « et vous Olivier vous êtes dans quel domaine vous étudiez »
Lui aussi était timide « dans l’automobile »
Bertrand « et nous vous ne vous occupez pas de nous » tout en changeant de main pour me caresser les cuisses avec celle opposée à mon coté afin d’arriver à la faufiler sous ma jupe »
Je le regarde droit dans les yeux avec un regard de chienne « vous m’avez dit que vous faisiez du Droit »
Pierre qui lui aussi en plus de me caresser le dos, posa sa main opposée sur mon autre cuisse. Il était plus que tourné vers moi et très proche en disant « il n’y en a que pour eux »
Moi me tournant vers lui toujours avec mon regard de chienne ; j’ai pu mesurer que nous étions très proche « si je ne leur parle pas, vous ne leur en laissez pas la possibilité » tout en décroisant mes cuisses.
Il fut un peu troublé, surtout que j’écartais bien mes cuisses pour leur laisser le champ libre. Bertrand fut le premier à passer à l’attaque, il n’hésita pas une seconde, sa main progressa une première fois jusqu’au haut de mes bas et une deuxième fois jusqu’à ma culotte, avec un grand sourire.
Pierre me remonta les cuisses sous ma jupe aussi jusqu’à ma culotte. Ils avaient le sourire jusqu’aux oreilles. De mon coté je dégoulinais de plus belle ; Leurs mains se touchaient lorsqu’ils me caressaient.
Bertrand caressait avec un de ses doigts le tissu de mon string qui était à tordre. Je voyais bien que ça l’excitait et moi aussi. Surtout il devait sentir la chaleur.
Pour les faire languir, je décidais d’aller aux toilettes « excusez moi je vais aux toilettes » et de rajouter « Bertrand vous pouvez me reprendre le même café s’il vous plait, je reviens »
Je me levais en faisant en sorte de bien me faire admirer. Je le plantais là. En allant en direction des toilettes je passais devant la table de Didier qui me fit un signe de la main. Une fois isolée, je ne pouvais que constater dans quel état j’étais, trempée. Mon string était plus qu’à tordre, Ils ont du le sentir.
Je me donnais du plaisir en lisant les différents sms que Didier m’avait envoyé, sur les commentaires que j’avais déclenché par ceux qui me mataient, notamment Bertrand et les autres. Il arriva très vite, mon clitoris était dur comme de la pierre. Je dégoulinais à grandes eaux.
Je décidais de faire encore plus la salope en retirant mon string. Je le portais à mon nez, il était à tordre et sentais la chienne.
Lorsque je revenais, a ma grande stupéfaction, Didier avait disparu, les jeunes étaient en pleine discussion, je me doutais du sujet.
En m’approchant de la table « vous pourriez me laisser un peu de place pour que je m’installe »
Bertrand et Pierre se levèrent pour que je puisse m’assoir et surtout pour venir se mettre au plus près. Je pris la peine de relever ma jupe au maximum de ce qui pouvait être fait sans voir le haut de mes bas, afin que je puisse au mieux écarter les cuisses, tout en prenant la peine de bien me rapprocher de la table pour que l’on ne voit rien.
Moi « vous m’avez commandé mon café Bertrand »
Bertrand « oui il vous attend, je vous l’ai fait garder au chaud »
Moi « vous êtes gentil »
Pierre « je vais aller vous le chercher »
Il se leva et me le ramena rapidement, « le Voila »
Moi « Merci Pierre » « vous avez aussi repris quelque chose »
Je décidais de faire ma salope « laisser moi goutter le votre »
Pierre ne s’y attendait pas. Une fois terminé « excusez moi je vous ai mis du rouge à lèvres sur le bord »
Pierre « ce n’est pas grave, c’est même un plaisir, je vais boire au même endroit que vous, car j’aurais l’impression de vous embrasser »
Moi « et bien Pierre, vous vous laissez aller, vous êtes coquin »
Pierre « vous êtes une jolie femme, c’est normal, que j’ai envie de vous embrasser »
Moi « et vous Bertrand qu’avez-vous pris comme café, je peux goutter »
Bertrand « oui avec plaisir »
Moi en le prenant « vous n’avez pas peur des traces de rouges »
Bertrand « non ce sera avec grand plaisir que je boirai après vous »
Il a fallu 10 bonnes minutes pour qu’ils reprennent les caresses.
Comme ma jupe était plus remontée, je pouvais plus ouvrir les cuisses. Dès que Bertrand posa sa main sur une des mes cuisses, je les décroisais, sa première remontée a été jusqu’à la limite des mes bas. Lorsqu’il entreprit la deuxième, j’écartais les cuisses au maximum pour qu’il comprenne qu’il fallait aller plus loin.
Ce qu’il fit à la deuxième remontée. Un de ses doigts se décala, et la il fut plus que surpris de sentir que je n’avais plus de string, que j’avais les fesses à l’air.
Son doigts parcourait mon entre cuisse, jusqu’au moment où il atteint ma fente qui était trempé. Son doigts s’arrêta puis commença à tourner autour de mon clitoris.
Je mettais le nez dans mon café, car ma respiration s’accélérait sérieusement.
Pierre ne tarda pas à en faire autant, je commençais à avoir plus que chaud. Surtout qu’un premier orgasme arriva. Je le contenais du mieux possible, tout en dégoulinant sur leurs doigts.
Pierre qui était plus proche et plus tourné vers moi vint me dire à l’oreille « laisse toi aller, jouit »
Je ne sais pas si c’est ce qu’il m’ a dit qui m’a encore plus excité, mais un orgasme assez fort m’a envahit.
Ces petits salauds me fouillaient, je dégoulinais sur leurs doigts. Mon clitoris était malmené mais me procurait du plaisir. J’essayais de me tenir face aux deux autres.
Bertrand « on va y aller »
Pierre « oui c’est une bonne idée »
Ils retirèrent leurs mains de mon intimité et se levèrent assez rapidement.
Je me levais à mon tour, j’avais la tête qui tournait un peu et très chaud au cul.
Bertrand « nous allons vous raccompagner Helen »
Moi encore un peu dans les nuages « euh, oui, sinon je peux prendre un taxi »
Pierre « nous allons vous raccompagner, vous n’êtes pas attendue maintenant »
Moi « non non »
Nous sommes sortis, il faisait nuit.
Nous avons marché dans la rue, je me laissais guider, encadrée par Pierre et Bertrand qui me collaient de près. Les trois autres marchaient devant. Pierre qui étaient le plus entreprenant ma passait la main sur mes fesses. J’étais plus ou moins dans un état second, avec une sérieuse envie de me faire baiser comme une chienne.
Nous sommes arrivés devant une petite voiture, avec les vitres sur teintées ; elle n’avait que deux portes, je suis montée à l’arrière entre Bertrand et Pierre.
Bertrand « Mathieu tu nous suis avec ta voiture »
Le temps de manœuvrer pour sortir de l’emplacement, qu’ils commencèrent à me ploter.
Moi » non non arrêtez un peu »
Pierre qui était le plus chaud « Helen, tu vas pas nous dire ça maintenant avec ce que tu nous a laissé faire avant »
Bertrand venant m’embrasser dans le cou « oui tu es belle et bonne » tout en mettant sa main entre mes jambes.
Pierre prenant mon genoux à pleine main pour m’écarter les cuisses « oui je suis sur que tu as envie »
Moi avec une petite voix « non non » surtout que Bertrand avait atteint mon intimité et me fouillait sans retenue.
Bertrand « tu es trempée, tu as joui sur nos doigts »
Pierre en me fouillant à son tour « elle est trempé, vas y joui encore et cri que c’est bon »
J’haletais comme une chienne
Bertrand « vas y joui gueule que c’est bon »
L’orgasme est arrivé « oui c’est bon ouuuiiii »
Pierre « dis encore « en sortant les doigts de ma chatte pour me les mettre dans a bouche
Moi « oui encore »
Il descendit sa main pour me dégrafer mon chemisier, j’essayais de lui tenir sa main « non »
Pierre « laisse toi faire tu es bonne »
Bertrand qui me fouillait me déclencha un autre orgasme « vas y joui laisse toi faire, j’ai envie de la baiser » tout en prenant la main pour me la diriger vers sa braguette. Je sentais ce membre tenu à travers son pantalon.
Pierre en fit autant, j’étais la salope, les cuisses écartées dans une voiture en me faisant fouiller et masturbant des jeunes. Mes mains s’activaient sur leurs sexes bien tendus. Ils ne perdirent pas de temps pour me déboutonner mon chemisier et me mettre les seins à l’air.
Pierre « qu’est ce qu’elle est bonne »
Bertrand « c’est une chaudasse, elle n’arrête pas de prendre son pied »
Pierre « tu m’étonnes elle mouille comme si elle n’avait pas baisé depuis longtemps »
Bertrand « t’aime ça, c’est bon hein »
Moi « oui c’est bon, encore oui » et un autre orgasme arriva.
Ils me tirèrent sur ma jupe pour me la remonter sur les hanches
Pierre qui était le plus chaud dit à Olivier qui était assis devant coté passager et qui n’en perdait pas une miette « allume le plafonnier que je vois sa jolie petite chatte bien trempé »
Le plafonnier s’est allumé « la belle chatte qui mériterait d’être visitée, regarde Bertrand »
Bertrand « oui c’est une bonne chatte de chaudasse, regarde Olivier »
Olivier « je ne vois pas »
Pierre « attends éteinds le plafonnier, je vais te l’éclairer avec mon téléphone »
Moi dans un demi orgasme « non, non »
Pierre « jouis encore, éclate toi ma belle »
Ce salaud éclairait ma chatte en l’écartant avec ses doigts en disant « elle est belle, hein » et de rajouter « Bertrand tien lui les jambes bien écartées que je fasse une belle photo »
Je n’ai pas eu le temps de réagir que la photo était prise « tient Olivier regarde et montre à Laurent »
Olivier « elle est belle, bien ouverte »
Laurent « ouhaou, super, une jolie petite chatte comme celle la j’en avais jamais vu »
Bertrand « envoie la à Mathieu, qu’il la voitn et qu’il continue à nous suivre»
Pierre « oui une belle chatte comme ça ça doit être bon d’être dedans »
Bertrand « elle doit être bonne à baiser »
Je m’acharnais sur leur sexe en les masturbant à travers leur pantalon.
Pierre « c’est une bonne BAB » et de rajouter en ouvrant son pantalon et en me dirigeant la main dedans sur son sexe « ça va être mieux comme ça »
J’ai senti cette colonne de chair bien chaude, qui a augmenté mon excitation
Pierre « c’est bon d’avoir une bonne bite dans la main hein dit que c’est bon »
J’haletais comme une traînée « oui c’est bon oui »
Pierre « qu’est ce qui est bon, c’est la bite dans la main »
Moi « oui c’est bon »
Pierre « quoi c’est bon »
Moi « une bonne bite dans la main »
Pierre « tu vois c’est bon »
Je le masturbais tellement que ma main à fait sortir son sexe, j’avais plus d’’amplitude
Pierre « putain c’est bon, elle est bonne »
Bertrand « elle a l’habitude »
Pierre « bonne comme elle est elle doit pouvoir se faire troncher comme elle veut » surtout que je me suis encore mise à jouir
Pierre « vas y éclate toi, elle dégouline, un vrai bonheur »
Bertrand, « je n’ai jamais vu une femme mouiller comme elle »
En me mettant ses doigts dans la bouche « c’est bon de la bonne mouille de chaudasse »
Pierre « elle n’arrête pas de jouir »
J’étais assise, les fesses sur le bord de la banquette, les cuisses ouvertes, appuyées sur leurs jambes, en train de me faire fouiller, le chemisier déboutonné et les seins à l’air. La véritable traînée.
Pierre commençait à être vulgaire « tu es venue pour te faire baiser hein » « t’es une chaudasse, même une petite salope » « dit le que tu aimes la bite, dis le allez »
Moi « oui j’aime ça »
Dans cette ambiance qui montait en pression Bertrand m’embrassa à pleine bouche pendant que je jouissais « elle embrasse super bien »
Pierre « c’est une chienne elle aime ça, tu verrais comment elle me branle »
Bertrand ouvrit son pantalon, sortit son sexe en me prenant la main pour la poser dessus « vas y branle moi »
Pierre « branler deux bite en même temps c’est bon »
Bertrand « putain c’est bon elle branle super bien »
Pierre « t’aime ça deux bites, dit le salope »
Moi « oui c’est bon »
Pierre « dit le deux bites c’est bon »
Moi « oui deux bites c’est bon »
Ils éclatèrent de rire.
Pierre « et deux bites en toi c’est bon aussi dans ton jolie cul »
Bertrand « avec le cul qu’elle a ça doit être excellent »
Pierre « dit le que tu aimes les bites dans ton cul »
Moi « oui j’aime ça »
Pierre « dit des bites dans ton cul «
Moi « oui des bites dans mon cul »
Pierre « dons mon cul de salope dit le »
Moi « oui dans mon cul de salope »
Pierre « je suis sur qu’elle doit très bien sucer »
Bertrand « oui à mon avis c’est du bonheur d’être dans sa bouche »
Pierre « tu vas me sucer maintenant »
Moi « non pas dans la voiture »
Pierre « si tout de suite et après on va te baiser hein «
Bertrand « oui elle mérite »
Pierre « on va tous la baiser je crois »
Pierre « allez tu vas me sucer tout de suite salope »
Il me poussa et me passa sa main derrière mon cou pour me diriger la tête vers son sexe
Moi « non, non »
Pierre « allez suce tu vas voir c’est bon »
Moi avec son sexe entrant dans ma bouche « brrr »
Pierre « oui vas à fond c’est bon » et de rajouter « Bertrand, continue à la fouiller »
Bertrand « elle mouille, j’ai jamais vu ça »
Pierre « tu verrais comment elle suce, putain c’est bon »
Pierre « elle prend son pied allez suce moi à fond salope » en m’appuyant sur la tête « elle suce encore mieux lorsqu’elle jouit »
Ce salaud passa sa main sur mon cul,il commença à me fouiller vaginalement avec Bertrand, leurs doigts se mélangeaient dans ma chatte et surement encouragé par un autre orgasme « allez jouit salope, t’aime ça » il me mit un doigt dans le cul. Je poussais un cri étouffé et en sortant sa bite de la bouche « non pas ça »
Pierre « tait toi et suce, t’occupe pas, laisse toi faire »en me réappuyant sur la tête avec son autre main
Bertrand « tu lui à mis un doigt dans le cul »
Pierre « oui, je te sens bien de l’autre coté et ça glisse comme dans du beurre » et de rajouter « elle doit aussi y aller par la »
Bertrand « elle doit se faire enculer »
Pierre en m’en mettant un deuxième « oui elle est bien ouverte, je viens de lui en mettre un autre »
Olivier devant « tu lui deux doigts dans le cul »
Pierre « c’est une salope elle aime ça »
Surtout que j’ai eu encore un autre orgasme
Pierre « elle jouit encore »
Bertrand « elle n’arrête pas de jouir »
Pierre « et tu verrais comment elle suce quand elle prend son pied » ce salaud me mis un troisième doigt dans le cul « elle en a trois maintenant et c’est bien ouvert »
Bertrand « trois doigts dans le cul, la salope »
Je le pompais comme une chienne, je ne sais pas si c’est le fait de me mettre un troisième doigt dans le cul qui l’excita encore plus mais je sentais des palpitations sur son sexe.
Pierre « oui suce encore je vais décharger dans ta bouche salope, oui c’est bon oui » en m »appuyant sur la tête « oui aspire avale tout oui c’est bon » Il me déchargea une bonne quantité de sperme dans la bouche en se raidissant
Pierre « oui c’est bon oui »
Bertrand « tu t’es vidé dans sa bouche »
Pierre « oui putain c’est bon, elle suce comme une pro »
Je déglutissais avec son membre qui diminuait dans ma bouche
Pierre « oui nettoie le bien » et de rajouter « Laurent, on n’est pas loin de chez moi on va tous la baiser »
Bertrand « oui ça va être bon, surtout qu’elle est bien ouverte»
Moi en me redressant « vous voulez m’emmenez où »
Pierre en s’approchant de moi et m’embrassant sur la joue « on va chez moi pour tous te baiser, comme t’es bonne »
Moi « non je ne veux pas »
Pierre « sinon on te fout à poil et on te jette dans Paris »
Ils éclatèrent de rire
Pierre « Laurent prend à droite et ensuite la première descente de parking, attend je t’ouvre et envoie un sms à Mathieu pour qu’il se gare au mieux et qu’il nous rejoigne à l’ascenseur »
Bertrand « on va la foutre à poil »
Pierre en me poussant sur Bertrand « met toi à genoux et suce le »
Je me suis retrouvée les fesses en l’air avec le sexe de Bertrand dans la bouche
Bertrand « elle suce divinement »
Pierre « je te l’avais dit » et tu verrais son cul, il mérite de la bite ».
Ce salaud me déboutonna ma jupe et la fit descendre en disant « regardez ce beau cul qui va se faire bien baiser » en m’introduisant deux doigts dans le vagin et deux autres dans le cul. Il me descendit ma jupe en disant « soulève ton genoux et ensuite tes pieds »
Il me retira ma jupe « voila elle a le cul à l’air » en me remettant ses doigts dans mon postérieur.
Bertrand « oui c’est bon, je me vide dans sa bouche, ouiii »
Pierre tirait sur mon imperméable pour me le retirer, ensuite ma veste, tout en me fouillant. Je me suis retrouvé en porte jarretelles dans la voiture toujours avec le sexe de Bertrand dans la bouche
Pierre « qu’est ce qu’elle est bonne et bien ouverte » et de rajouter « Olivier vas y plote la regarde c’est du first »
Bertrand qui était encore dans ma bouche me plotait et me fouillait aussi « putain qu’est ce qu’elle suce bien et plus d’être bonne »
Pierre « on va monter pour se la faire tous les cinq »
Moi étant de nouveau assise avec ma tête de chienne « ramenez-moi »
Pierre « oui on va te ramoner, mais après te ramenez »
Ils éclatèrent de rire
Pierre « Si tu veux y aller, tu y vas à poil »
Moi « rendez moi mes affaires »
Pierre « tu vas remettre ton imper, on va monter pour s’amuser avec toi et ensuite tu rentreras »
Moi « mes vêtements »
Pierre « on te les rendra après en fonction de se que tu vas nous faire »
Bertrand « met ton imper »
J’ai passé mon imperméable, complètement nue en dessous.
Pierre « ferme le avec seulement la ceinture »*
A suivre

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