Première Tromperie De Ma Femme Le Candaulisme Se Concrétise

Nous sommes toujours ma femme Laurence, son amant/fournisseur Philipe et moi Romain le mari cocu, nus dans la chambre conjugale. Ma femme m’a avoué sa liaison avec Philippe et je lui ai ordonné de coucher avec lui devant moi si elle ne veut pas que je divorce.

Ils ont timidement commencé à se caresser et s’embrasser mais rapidement Laurence l’a sucé pendant que je me branlais. Même si j’ai pris beaucoup de plaisir à voir ma femme sucer un autre homme que moi j’ai voulu participer alors j’ai ardemment branler le sexe et le cul de ma femme jusqu’à ce qu’elle jouisse à l’unisson avec son amant.

Maintenant un deal est un deal et je ne l’ai pas encore vu baiser un autre homme devant moi. Comme nous venons tous les trois de jouir je propose de faire une petite pause pour reprendre des forces. Mais Philippe refuse, il préfère en finir tout de suite et pour bien m’emmerder ma femme est d’accord. Elle va même jusqu’à empoigner la queue de son amant et le branler pour qu’il rebande rapidement, tout ça en me fixant du regard.

Puis Laurence s’agenouille devant lui, avec sa main droite elle soulève la bite de Phillipe et tout en le caressant elle lui lèche les couilles. Elle les gobe, l’une après l’autre, avant de faire remonter sa langue le long de la tige de son amant. Après s’être occupée de son gland elle avale le sexe, maintenant tendu, de son amant. Pendant que ses lèvres montent et descendent, elle tourne la tête vers moi et après avoir remarqué que je bande, elle plonge ses yeux dans les miens. Cela fait des années que je n’ai pas vu ma femme aussi salope!

Le fournisseur aide Laurence à se relever puis la dirige vers le lit. Il l’allonge sur le dos et vient sur elle en positionnant sa tête au niveau de sa généreuse poitrine. Il lèche tour à tour les tétons de ma femme qui sont déjà tendus ce qui fait la immédiatement réagir et même gémir. Pendant qu’il les aspire alternativement, je vois sa main se glisser à l’intérieur des jambes de Laurence ce qui l’a fait encore plus piailler.



Ses doigts remontent le long de sa cuisse, Laurence tourne la tête vers moi et me sourit. C’est incroyable ma femme est très intime avec son amant devant moi mais j’ai l’impression que ça fait des années que nous n’avons pas été autant en osmose. Je la vois écarter les jambes pour laisser un meilleur accès à la main de Phillipe pour atteindre, plus rapidement, son intimité.

Ma femme prend de plus en plus de plaisir avec la bouche de son amant sur sa poitrine et sa main autour et dans son sexe. Elle cambre ses reins et gémit de plus belle. Je n’arrive pas à m’empêcher de me branler devant un telle spectacle, c’est très excitant de voir sa femme prendre autant de plaisir grâce à un autre.

Elle se laisse totalement aller et fait tourner son amant sur elle pour qu’ils soient en 69. Alors que Philippe lèche goulument le clito et les lèvres intimes de Laurence, elle palpe les couilles qui sont devant son visage et enserre la grosse queue de son amant à la base. Pendant que ses mains continuent de travailler et lécher son gland comme une sucette. Avant de le prendre en bouche, elle se tourne vers moi et me dit:
« Ca c’est vraiment de la queue ».

Malgré mes bons 18 centimètre je me sens vexé, je décide donc de bien lui faire sentir la mienne. Je viens me placer entre les cuisses de ma femme, je soulève la tête de son amant pour qu’il se concentre uniquement sur son petit bouton. J’empoigne ma tige et je m’enfonce d’un coup sec dans sa grotte très humide. Bien qu’elle est la bouche pleine je l’entends bien manifester son plaisir alors je donne des coups de reins plus puissant et tape encore plus fort la tête de Philippe avec mon pubis.

Je la lime tellement sauvagement, qu’elle n’arrive plus à sucer Phillipe et lui a du mal à s’occuper comme il le faut du sexe de ma femme. Par contre il glisse ses mains sous les fesses de Laurence, elle mouille tellement pendant que je la baise que je suis sûr que le doigt de son amant n’a aucun problème à pénétrer sa rondelle.
Je sens les muscles vaginaux de Laurence se contracter autour de mon sexe, puis le (ou les) doigt de son amant de l’autre côté de la fine paroi.

Au bout d’un moment, le fournisseur se dégage du corps de ma femme, j’en profite pour la limer ardemment. Il revient avec un préservatif dans sa main, je l’observe pendant qu’il le déroule sur sa bite qui est vraiment plus imposante que la mienne. Philippe vient se mettre à côté de moi, son mat dans la main et me dit:
« A mon tour maintenant! »
Avec regret, je sors lentement du con de Laurence pour lui céder la place.

Il att Laurence par les hanches et pose son gland plastifié entre les lèvres intimes devant lui. Je reste à côté pour admirer cette énorme queue rentrer très lentement dans le sexe de ma femme. Son vagin s’ouvre sans problème et accueille lentement ce monstre de chair, elle se cambre encore plus pour profiter de cette intrusion et va même jusqu’à s’empaler elle même sur cette grosse tige.

Je vois ses grandes lèvres gorgées de sang et son clito gonflé comme jamais. Je suis halluciné, une fois de plus, par l’élasticité des trous du corps humain et me dis que le fisc serait envisageable avec Laurence. La queue de son amant n’arrive pas à rentrer entièrement dans sa grotte. Philippe se met à la pilonner, ses grosses couilles se balancent et viennent taper les fesses de ma femme.

Laurence tourne la tête vers moi et se met à crier à son amant:
« Oh oui! J’adore comme ta queue me remplie! »
Pour la faire taire je me dirige vers elle et lui fourre ma bite, encore recouverte de ses sécrétions vaginales, entre les lèvres. J’att son visage et lui baise la bouche au même rythme que son amant lui ramone la chatte.

Dès que je lui lâche la tête elle continue de me sucer avec la même vivacité. La position n’étant pas la plus agréable pour elle, Laurence demande à son amant de se retirer pour qu’elle puisse se mettre à 4 pattes. Philippe att ma femme par la taille et prend ma femme en levrette.
Je me mets debout sur le lit, je présente ma bite raide à ma femme qui se jette dessus.

Une fois que je me suis bien enfoncé dans sa bouche, je me penche pour m’occuper de ses fesses. Je commence par les caresser, j’ai une jolie vue sur la grosse queue de Philippe qui va et vient mais je ne vois pas le trou de ma femme se faire remplir. J’écarte bien ses fesses pour que mon index aille titiller sa rondelle qui est déjà bien ouverte. Je n’ai aucun mal à le faire rentrer rapidement suivi par mon majeur.

Vu comme la bite de son amant la ramone je ne sais même pas si elle remarque mes doigts dans ses entrailles. Je les remue en elle et en profite pour caresser le monstre de chair de Philippe qu’il a l’air d’apprécier ça. Je cale mes doigts au rythme de la langue de ma femme qui tournoie autour de ma tige toujours dans sa bouche.

Je sens la peau de Laurence se granuler et son corps commence à avoir des petits spasmes. Elle est sur le point de jouir alors je me dégage de sa bouche pour profiter de ses manifestations de plaisir. Je les remplace par les doigts de mon autre main pour qu’elle les lubrifie. Une fois qu’ils sont bien humide, j’en rentre 3 entre ses fesses pour remplacer ceux que je viens de sortir.

Une fois que je les fait tourner en elle, ma femme ne se retient plus de crier. Son corps n’arrête pas de convulser et sa bouche de s’égosiller. Philippe augmente la cadence de ses pénétrations en Laurence et je fais pareille avec mes doigts. Nous continuons ainsi jusqu’à ce que son corps retombe sur le lit, elle à l’aire évanoui je ne l’ai jamais vu ainsi, ce qui n’empêche pas son amant de continuer à la baiser.

Elle a le haut du corps plaqué au lit et les fesses soulevées par les mains de Philippe. Elle se redresse rapidement, en gémissant, pour encore plus profiter des coups de reins qu’elle reçoit. J’en profite pour enjamber ma femme et me positionner devant son amant, avec mes mains j’écarte ses fesses et je place mon gland sur son oeillet plutôt ouvert.


Son amant s’immobilise pour me laisser la sodomiser lentement, ma queue à plus de mal à la pénétrer que d’habitude. Avec mes doigts j’avais bien senti que ses entrailles étaient serrés mais pas à ce point. Pendant que mon gland s’enfonce en elle, j’entends ma femme geindre mais vu comment elle se trémousse le plaisir prend le dessus.

Une fois mon champignon passé, c’est son cul qui engloutit le reste de ma tige mais assez lentement pour profiter de chaque centimètre. Quand mes couilles sont contre ses fesses, je sens la queue de Philippe glisser et ressortir très lentement du con de Laurence mais il ne le quitte pas entièrement.

Alors qu’il s’enfonce de nouveau, je ressors à mon tour tout aussi lentement qu’il s’introduit en elle. Laurence gémit de plus en plus fort alors que nous continuons notre manège en acceptant progressivement le rythme. Nous sommes encore assez lent dans nos mouvements ce qui n’empêche pas les sphincters de ma femme de se contracter, elle jouit de nouveau.

Nous augmentons la vitesse de nos vas et viens en elle pour lui donner encore plus de jouissance et en prendre aussi. Son orgasme ne s’arrête pas et nous non plus, je prends un énormément de plaisir à pilonner le cul, très serré, de ma femme mais aussi à frotter ma queue contre celle de son amant à travers la fine membrane qui nous séparent.

Je n’arrive plus à me retenir et je viens à mon tour en remplissant les entrailles de Laurence de plusieurs jets qui m’ont l’air bien fournis. Pendant ce temps Philippe continue de la besogner très énergiquement et se caresser contre ma bite ce qui me fait envoyer une dernière giclée. Je me maintiens bien enfoncé en elle alors que Laurence commence seulement à redescendre.

Le fournisseur s’immobilise, j’en profite pour reculer lentement. L’oeillet de ma femme est grand ouvert et je vois qu’il est plein de ma semence. L’amant de ma femme est très endurant, il n’a pas encore joui, il va s’assoir sur le canapé de la chambre et déclare que c’est à son tour d’enfin profiter des fesses de Laurence.

Ma femme vient vers lui, quand elle est à sa hauteur il l’a met dos à lui. Il att les mains de Laurence et les tire en arrière pour les poser sur ses épaules alors qu’elle grimpe sur lui et pose ses pieds sur les genoux de Philippe. Je vois des gouttes de mon sperme couler d’entre ses fesses et s’écraser sur le pubis de mon rival. Elle tourne la tête vers lui et lui demande d’y aller doucement, ce qui me confirme que ça va être la première fois qu’il la sodomise. Vu le diamètre de son chibre, heureusement que je lui ai bien ouvert le cul avant.

Il lui caresse les cheveux et lui répond:
« C’est toi qui va la faire rentrer à ton rythme. »
Sans attendre elle glisse sa main entre ses cuisses et empoigne l’énorme mat dressé de son amant. Elle caresse son petit trou avec le gland toujours plastifié de Philippe mais surtout recouvert de mouille et un peu de mon sperme.

Rapidement je vois les genoux de ma femme se plier un peu plus et l’énorme tige de son amant disparaitre entre ses fesses. Je vois au visage de Laurence qu’elle a mal mais ne s’arrête pas pour autant. Plus son corps descend pour que son cul se fasse envahir plus je me remets à bander. Voir la capote blanchir avec mon sperme qui est toujours dans ma femme, m’excite de nouveau à tel point que je suis prêt à rerentrer en action.

Elle arrive à enfoncer toute la queue de son amant dans ses entrailles, elle commence à monter et descendre tout doucement. Philippe place ses mains sous ses fesses et l’aide dans ses mouvements en lui disant:
« Dis moi que tu aimes ma grosse bite dans ton petit cul »
Entre deux cris elle lui fait plaisir:
« Oui, j’aime ça! »
Et sans qu’il ne lui demande quoi que ce soit elle continue:
« Mmmmm, continue avec ton énorme queue! » « Ouiiiiiiiii, défonces moi! »

Avec ses jambes grandes ouvertes, j’ai une magnifique vue sur sa chatte bien ouverte. En me voyant approché, Philippe la fait s’assoir sur elle et déplace ses mains sur la poitrine de ma femme. Je m’installe entre leurs cuisses et mon sexe tendu rentre directement dans sa grotte inondée. Je la lime lentement alors que son amant lui pince les tétons. Laurence hurle son plaisir, heureusement que nos seuls voisins directs sont sourds!

Les mains du fournisseurs descendent de nouveau sur ses fesses pour lui aussi remuer dans le trou de ma femme. On lui défonce les orifices comme des animaux, je rentre dans le jeux des mots crus et la traite de « salope », « chienne en rut »…
Je sens la queue de Philippe palpiter contre la mienne quand il soulève ma femme et nous fait sortir de ses trous.

Je place ma femme en levrette avec la tête au niveau de l’accoudoir, son amant retire la capote et lui présente son énorme mat pour finir dans sa bouche. Laurence se jette dessus comme une affamée sur un morceau de viande. Pendant ce temps j’écarte ses fesses pour découvrir son oeillet tout rouge et tout gonflé. Il l’a tellement ouvert que je rentre sans rencontrer aucune résistance mais son oeillet comprime bien ma tige.

Elle place ses coudes sur l’accoudoir pour branler à deux mains la bite de son amant en même temps qu’elle lui fait je ne sais quoi à son gland qu’elle garde en bouche. Le fournisseur se met à gémir, il se déverse dans la bouche de ma femme qui le recrache rapidement alors que je lui défonce le cul comme un fou. Il n’arrête pas de gicler et lui recouvre une bonne partie des cheveux et je pense aussi du visage.

Quand je sens que je vais moi aussi jouir, je décule rapidement et lui recouvre le dos de ma semence. Je m’affale sur le canapé, ma femme vient se coller à moi, mon sperme est entre nous. Quand je pose mes mains sur son corps et je sens le jus de son amant qui est entrain de se rhabiller. Il nous regarde avec une certaine tendresse et nous dit:
« Je ne sais pas pour vous mais je suis content de ce petit écart pendant les vacances. »

Je lui souris et je suis sûr que Laurence fait pareil du coup il rajoute:
« J’espère qu’on va vite se revoir les 3 ensemble! ».
Puis il sort de la chambre et nous entendons la porte d’entrer claquer. Encore un peu excité par tout ça je passe ma main sur la chatte de Laurence, elle est trempée et encore bien ouverte mais elle la retire rapidement en me disant:
« Désolée mais j’en peux plus, j’ai la moule et le cul en choux fleur! »

Je suis un peu déçu même si je ne suis pas sûr de réussir à suffisamment bander. Laurence disparait dans la salle de bain, j’entends l’eau de la douche couler et quelques instants après la tête de ma femme apparait derrière la porte et me dit:
« Viens me rejoindre. »
Je m’exécute, une fois sous l’eau elle se colle à moi et m’embrasse tendrement avant de me dire:
« C’est toi que j’aime mais… en voyant le calibre de son engin… »

Je soude ses lèvres aux miennes pour la faire taire. Nous nous lavons mutuellement et allons nous coucher. Une fois dans le lit, ma femme se glisse dans mes bras et me dit:
« Je t’aime »
Avant de plonger dans les bras de Morphée. Je mets plus de temps à m’endormir et réfléchis à ce qui s’est passé. Je ne sais pas si c’est parce que nous sommes moins amoureux ou que j’ai un réel plaisir à « partager » mon épouse mais je n’étais pas du tout jaloux de la voir avec un autre homme, au contraire.

La découverte du candaulisme à prolonger un peu notre mariage. Nous avons encore vu pendant un moment Philippe mais c’est une autre histoire….

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