Terma 41 : Les Vacances De Miriam Épouse Infidèle De Aissa (2) :

Terma 41 : Les vacances de Miriam épouse infidèle de Aissa (2) :
Omar se souleva légèrement pour mieux se positionner, cela lui permit de renforcer ses coups de reins et amplifier ses vas et viens dont il accéléra la cadence dans la chatte de Mariam. Depuis un moment, il ressentait le plaisir qui montait de ses couilles vers son zob et il le dit à Miriam « rani jay ! n’dawar n’tayar ! fi soutak wala l’bar ! » ( j’arrive ! je vais éjaculer ! dans ta chatte ou dehors) et Miriam « fi souti ! isguiha ! raha 3atchana mine hlib e’zéb ! faraq ! faraq ya rajli ! » (dans ma chatte ! arroses la ! elle est assoiffée du lait du zob ! verses ! verses ô mon homme !).
Alors, Omar, amplifia ses coups et sa vitesse et rapidement il se tendit sur le ventre de la femme et, brusquement, avec des hurlements de jouissance, il déversa dans les entrailles de Miriam, plusieurs jets puissants de sperme chaud et bienfaisant. Il hurla à chaque impulsion « haki ! haki zébi ya Miriam ! ouchourbi 3assal clawya ya habiba ! aaah ! aaah ! » ( tiens ! tiens mon zob ô Miriam ! bois le miel de mes couilles ô mon amie !). A chaque jet, il donnait un violent coup de rein et Miriam hurla autant à chaque poussée du zob de Omar « h’lou ! h’lou wa m’tine ! zébék ya khouya Omar ! 3assal zébek baradli naar souti ! ! Aaah ! » ( doux ! doux et puissant ! ton zob ô mon frère Omar ! le miel de ton zob éteint le feu de ma chatte ! Aaah !). Puis Omar s’effondra sur la poitrine opulente de Miriam.
Après un moment de repos, ils reprirent leurs esprits et ce n’est qu’à ce moment la que Omar s’intéressa aux larges et merveilleux seins de Miriam. Ces seins, d’une femme, ayant é et allaité quatre s, étaient encore durs et gonflés de désir. Leurs pointes rouges de plaisir bandaient comme des pénis et Omar les suçaient avec délectation, ce qui augmentait le plaisir de Miriam. Elle recommençait à se tortiller sous Omar, alors que le zob était encore dans sa chatte. Elle provoquait Omar par de petits mouvements et poussées de ses reins contre son ventre et par des pressions de ses jambes entourant ses fesses, à tel point que le zob planté dans sa chatte, se réveilla et recommença à se gonfler assez rapidement.

Elle le dit à Omar : « rah zébék ta’n’nane fi souti ! aroua7 ! lazam n’zidou e’nikou ! khouya Omar ! » ( ton zob vient de se gonfler dans ma chatte ! viens ! on doit continuer à niquer ! mon frère Omar !).
Cela ébranla Omar qui a bien senti son zob se gonfler et du plaisir monter dans ses couilles. Alors, lui aussi, il provoqua Miriam : « 3ajbak zébi wala e’nayka ! » ( c’est mon zob qui t’a plu ou bien c’est la baise !). Elle gloussa et lui répliqua : « fi zoudj 3ajbouni ! e’nayka j’dida 3alaya wa h’louwa ! wa zébék touil wa khchine ! dakhal fi 3oumouq souti! » ( ils m’ont plu tous les deux ! la nayka est nouvelle pour moi et formidable ! et ton zob est long et épais ! il s’est enfoncé au fin fond de ma chatte ! ).
Mais Omar voulait changer de position pour faire découvrir d’autres plaisirs à Miriam. Il se redressa, sortit de la chatte son zob bien gonflé et demanda à Miriam de se retourner et de se mettre à genoux sur le lit, la tête sur les draps, ce qu’elle fit aussitôt. Mais elle protesta en lui disant : « ma t’nike nich mine teremti ! ma nich malfa ! 7ata rajli ma mass nich mine teremti ! » (ne me niques pas dans ma Terma ! je n’ai pas l’habitude ! même mon mari ne m’a jamais touché la Terma !) et Omar « l’la ! ma t’khafich ! ana nikik thani mine soutak ! bessah mine lor ! t’choufi 7aja j’dida ! » ( non ! n’aies pas peur ! moi je veux te niquer dans ta chatte ! mais par derrière ! tu verras quelque chose nouvelle ! ).
Puis il se positionna derrière elle et lui chatouilla un peu la chatte d’abord avec ses doigts et sa langue, ce qui la fit glousser de plaisir. Puis, il ouvrit légèrement la chatte avec ses doigts et brusquement, il enfonça son zob jusqu’aux couilles. Le zob glissa avec une grande facilité jusqu’au fond, ceci grâce aux restes de sperme qui lubrifiaient la chatte, et Miriam ne ressentit aucun mal, bien au contraire. Cet enfoncement brutal du long et épais zob qui a buté dans le fond des entrailles de Miriam lui a plutôt procuré un choc de jouissances, et elle hurla de plaisir du fond de sa gorge « Aaaahh » jusqu’à perdre son souffle.
Elle a aimé cette violence, cette virilité, cette puissance qu’elle désirait dans ses fantasmes et que Omar a vite compris.
Puis, tenant la femme fermement par les hanches, Omar démarra ses vas et viens puissants et tout de suite accélérés. Lorsqu’il s’enfonçait, il le faisait brutalement, c’est ce qui enchantait Miriam de jouissances et la faisait hurler de jouissances, et lorsqu’il reculait son zob, il le faisait lentement comme le retrait d’un félin qui se préparait à foncer juste après. Ce jeu de va et viens du zob tenait Miriam en haleine, attendant la partie enfoncement pour hurler son plaisir, un jeu de l’amour, des sexes, tout nouveau pour elle. Il lui dit : « wach Miriam ! wach rayak fi hadha e’nayk ! » (alors Miriam ! que penses tu e ce type de nique !) et elle, dans un souffle haletant de plaisir « rani 7asséte souti ma7loula kamla ! wa zébék lahag hata fi karchi » ( j’ai senti ma chatte ouverte totalement ! et ton zob est arrivé presque dans mon ventre). Cette baise par l’arrière permettait une liberté totale du zob et une possession presque entière de la chatte. Ainsi, le zob arrivait à s’enfoncer et à fouiller la totalité de la cavité sexuelle de Miriam en lui offrant un plaisir nouveau qui irradiait la totalité de l’intérieur de la chatte. Le zob dansait dans la chatte avec facilité et jouissances pour les deux amants.
Et Miriam, étourdie par le plaisir se donnait à fond et écartait au maximum ses cuisses en dégageant son derrière pour bien s’offrir au zob de Omar : « zid ya habibi ! zid ! hani layk mahloula ! daz ! douk zébék 7ata laqlawi ! » (encore ô mon ami ! encore ! je suis à toi toute ouverte ! fonces ! enfonces ton zob jusqu’aux couilles !). Elle avait du plaisir et de la jouissance plus profondes et plus intenses que par devant. Le zob de Omar lui frottait non seulement le clitoris de haut en bas, ce qui amplifiait sa jouissance, mais il atteignait même certains points sensibles à l’intérieur de sa chatte plus facilement que par devant.
Et Miriam, goutant ces nouvelles sensations s’exprima « Ya khouya Omar ! zébék lakhchine rah i7oukli fi al 3assass ! kheir mine goudam » ( ô mon frère Omar ! ton zob épais me frotte le gardien ! mieux que par devant). Par « 3assass » elle veut dire le clitoris qui semble garder l’entrée de la chatte. Et elle ajouta « zébék touil ! rah thani i7oukli fi rakna jdida fi souti ! 7akkate h’louwa yasser ! t’habbal ! » ( ton zob est long ! il frotte aussi des endroits nouveaux de ma chatte ! des frottements très agréables ! affolantes ! ).
Et Omar lui avoua en riant « hadha houwa al’farq mine e’nayk a’soua mine goudam ou e’nayk a’soua mine lor ! » (c’est cela la différence entre la nique de la chatte par devant et par derrière) et il ajouta « ana thani ! mine lor, zébi inike a’soua kamla ! mine koul jiha ! ou e’ta’n’nane akthar ! ou e’tayar kheir ! » ( moi aussi ! par derrière , mon zob nique la chatte en entier ! de tous les cotés ! et il se gonfle encore plus ! et il éjacule encore mieux !). Et en disant cela, il accéléra son pilonnage et rapidement son plaisir arriva. Il s’accrocha encore plus aux hanches de Miriam et hurla comme un fou « ya Miriam ! haki 3assal zébi ! dhougui ! arouay ya souate la3ziza ! » ( ô Miriam ! reçoit le miel de mon zob ! goutes ! étanches toi ô chatte de ma bienaimée !) et il éjacila des salves de sperme dans les entrailles de Miriam.
Elle-même gémissait, peut-être moins violemment qu’avant mais plus longuement comme une longue plainte « Aaaahhh ! » interminable de plaisir, comme si sa jouissance s étalait dans le temps et dans tout l’intérieur de sa chatte. Omar resta un long moment collé aux fesses de la femme, puis se détendit sans sortir son zob de la chatte. Il tenta alors quelques caresses sur les fesses de Miriam et sur leur profond sillon si attirant et même sur l’anus de la Terma. Mais la femme se cabra et se coucha sur le lit, fuyant ainsi et le zob qui se retira de sa chatte et les chatouillis de Omar sur son cul. « l’la ! ya khouya Omar ! Teremti ma t’nike hach ! » (non ! mon frère Omar ! ma Terma tu ne la niquera pas ! ».
Omar est un homme patient, expérimenté. Il sait qu’il aura cette belle Terma, mais par petites touches, petites caresses des doigts et de la langue. Il la niquera tôt ou tard, car il sait que la sodomie est aussi jouissante que la baise par la chatte. Et quant son zob s’enfoncera dans la Terma de la femme, elle en redemandera autant que par devant, sinon encore plus !. Patience !,
Puis ils se firent encore quelques caresses et embrassades, des attouchements sur toutes les parties de leurs corps qu’ils avaient négligées durant les séances de baise. Le temps était passé et ils devaient retourner à l’hôtel, alors Omar, se rhabillant légèrement alla chercher chez son copain, Jeannot le patron, la clé de la douche de la pension. Ensuite, il se nettoya à fond pour se débarrasser de l’odeur du sperme et même de celui de Miriam pour ne pas risquer de se faire sentir par sa propre femme. Miriam, par contre décida de garder les restes de sperme dans sa chatte et l’odeur de l’homme sur son corps. Elle était heureuse d’avoir sauté facilement et avec jouissances la barrière de l’interdit et sa chatte, rassasiée pour aujourd’hui espérait d’autres baises devant, surtout celles par derrière qui semblent lui procurer plus de liberté pour bouger son corps et plus de plaisirs. Elle gardera donc le sperme et l’odeur du mâle qui l’a niqué toute la soirée et même la nuit, à coté de son mari. Elle ne le craignait pas car lui aussi ne s’intéressait aucunement à elle. Elle ne se douchera pour se nettoyer de ses frasques sexuelles que demain matin, avant de repartir avec son amant pour une nouvelle journée de plaisirs et de jouissances. Et pour le reste de la soirée et de la nuit elle fit exactement ce qu’elle avait décidé.
Le lendemain, dès 08h, ils allèrent directement à la pension de Jeannot et montèrent immédiatement dans la chambre. Nus, ils plongèrent sur le lit et se jetèrent l’un sur l’autre, affamés de sexe et de baise. Ils firent l’amour pendant quatre heures jusqu’à vers 13h puis ils prirent ensemble des douches complètes dans la pension. Omar nika Miriam trois fois dont une face à face avec éjaculation et les deux autres par derrière dont une avec éjaculation dans la chatte et la dernière dans la bouche de Miriam. Elle a voulu voir l’action d’éjaculation et gouter le sperme de Omar, alors dès qu’il ressenti le plaisir monter dans son zob, il s’est dégagé de la chatte et l’a présenté à Miriam qui l’a sucé et branlé fortement jusqu’à l’éjaculation dans sa gorge.
Durant la troisième nayka, par derrière, Omar, ébloui par la Terma de Miriam n’a pas pu s’empêcher de la caresser et de frotter, avec ses doigts et sa main seulement, le profond sillon des fesses, s’arrêtant chaque fois à la porte de l’anus en appuyant légèrement. Certes Miriam a protesté mais comme il lui a assuré qu’il ne fera rien de plus elle s’est calmé et a accepté les caresses de ses fesses et de son anus. Omar lui a demandé « rani n’chouf fi Teremtek takh fadh ! tathal wa tassakar chaal mine marra ! bi sour3a ! 3alach ! » ( je vois que ta Terma vibre ! elle s’ouvre et se referme plusieurs fois ! en vitesse ! pourquoi ! ). Et Miriam de lui expliquer « ki n’hiss chahouwa takbar fi souti , teremti takhfag ! t’wali takoul fya mine dakhal ! » ( quant je ressens du plaisir dans ma chatte ma Terma vibre aussi ! elle commence à me démanger de l’intérieur !à. Et Omar, professeur lui explique « e’soua wa Terma ihissou e’nayk ma3a ba3adh ! 3ala hadha e’nayka fi Terma ta3ti chahoua li soua ! » (la chatte et la Terma ressentent la nique ensemble, en même temts ! cest pourquoi la sodomie dans la Terma donne aussi du plaisir à la chatte !) . Miriam s’agita sous les poussées du zob dans sa chatte et répliqua « rak t’faham fya bach t’nikni mine teremti ! ah ! ya chaytane ! bissah doug soub3ouk faqat fi teremti bach n’chouf ! » (tu m’expliques pour me niquer de la Terma ! ah ! ô diable ! mais enfonces seulement ton doigt dans ma Terma pour que je constates ).
Aussitôt Omar sauta sur l’occasion et, souplement, avec délicatesse et en ayant lubrifié son doigt avec beaucoup de salive, il le poussa dans l’anus de Miriam, tout en continuant ses vas et viens dans sa chatte. D’abord, elle serra les fesses, mais dès que le doigt pénétra un peu à travers l’anus, elle se détendit et poussa même un gémissement « ah ! rah idaqdaq fya soub3ouk ! » ( ah ! ton doigt me caresse ! ) et elle se cabra en avouant « a’tagdiqa fi Teremti 3ajbat souti ! 7assate biha ! zid ! 7araq soub3ak fi Teremti ! zid ! » ( la caresse dans ma Terma a plu à ma chatte ! elle l’a bien ressenti ! continues ! remues ton doigt dans ma Terma ! continues ! ). Ainsi, rapidement les attouchements dans le sphincter de Miriam a apporté ses résultats positifs. Elle semble être très sensible de la Terma et Omar continue ses caresses dans la Terma et les vas et viens dans la chatte, ensemble et en phase. Alors Miriam commença à remuer du derrière et à souffler et gémir de plus en plus fort. Ils continuèrent ainsi jusqu’à ce que Miriam atteigne son second orgasme. Alors Omar accéléra pour arriver lui aussi à sa troisième éjaculation, quoique moins forte que les précédentes.
Puis ils allèrent se doucher ensemble grâce à la clé remise par Jeannot à Omar. Durant leur retour à l’hôtel, Miriam avoua à Oma : « soub3ouk fi Teremti ma ouja3at nich ! bil 3akass ! zadli chahwa fi souti ! n’3aoudou ghoudwa ! » ( ton doigt dans ma Terma ne m’a donné aucune douleur ! au contraire ! il a ajouté la jouissance à ma chatte ! on doit recommencer demain !). Omar était assez content de ces débuts et se promis de dépuceler Miriam de la Terma le plus tôt possible et de l’initier à la sodomie.

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