La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1254)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1253) -

La nuit de Lucie :
Un soir Messire Léon vint chercher Lucie, qui était occupée à récurer le plancher, elle était agenouillée et courbée en avant afin de frotter fort le sol

- Lucie, vient ici chienne.

Lucie, très docile, de suite lâcha tout et le rejoignit, tête baissée, il lui mit sa laisse et l’emmena en quadrupédie.

- Tu auras ta récompense cette nuit.

Messire Léon la conduisit dans une chambre équipée comme un petit donjon, se composant d’un grand lit rond, d’une croix de Saint-André, d’attaches diverses… Une fois arrivée, Lucie ouvrit des grands yeux et se dit en elle-même :

- Ca fait 4 ans que je suis au service du Seigneur adoré et je n’ai jamais vu cette pièce.
- Je sais ce que tu penses, que tu ne connais pas cette pièce… Vois-tu, cette pièce est réservée aux occasions particulières.
- Elle est magnifique, dit Lucie ne pouvant s’empêcher de lever la tête pour admirer les lieux.
- Oui c’est vrai ! Le Seigneur l’a fait tout équiper par les meilleurs ouvriers de Sa Seigneurie, bourreliers, charpentier, ferronnier … Et pour ce soir, qui est celui de ta récompense, je vais te faire une faveur … Lève-toi et regarde tant que tu veux, en attendant Messire Philippe et Messire Mathieu.
- Merci Messire, répondit-elle en se levant avec de grands yeux admiratifs.

Messire Léon, quant à lui, prit place dans un haut et confortable siège de bois garnit de doux coussins, placé près de l’âtre où brûlait d’énormes bûches. Soudain, on frappa à la porte, d’un geste Messire Léon fit signe à Lucie de se mettre à genoux, à côté de lui.

- Entrer.

Messires Mathieu et Philippe entrèrent.

- Bonsoir commandant.
- Bonsoir mes amis, voici la nuit où cette magnifique petite chienne va se donner à nous et fera tout pour nous donner entière satisfaction.



Ce fut Messire Philippe qui sans un mot, commença d’amblée en empoignant Lucie par les cheveux et la forçant à se relever. Il la traîna pour aller l’attacher à la croix de Saint-André et lui banda les yeux. Lucie était déjà très excitée et cela s’amplifia quand il lui mit des pinces aux tétons. Puis tout s’enchaina, un premier coup de martinet lui frappa les jambes en remontant vers le haut. La soumise aimait cette sensation et sentait que celui qui maniait le martinet retenait sa force et ne frappait pas comme il le ferait pour une punition, mais de façon à lui procurer une légère, voire moyenne douleur dans le but de l’exciter par l’échauffement des sens. En même temps, elle sentit un olisbos (godemiché de l’époque), de belle taille, en bois sculpté en une belle forme d’un sexe en érection, se frotter doucement sur sa chatte déjà trempée d’excitation. La belle gémissait de plaisirs et souhaitait que cet olisbos la pénètre, alors elle se permit de dire :

- Pitié Messire, j’ai envie…

Lucie n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’une main la gifla et lui prit le menton.

- On ne parle pas sans autorisation, tu le sais, salope.

Elle s’en voulait de s’être ainsi allée à exprimer son désir et voulu présenter ses excuses mais une bouche s’empara de la sienne. Lucie sourit et entendit Messire Mathieu lui murmurer à l’oreille :

- Ce baiser était uniquement destiné à te faire taire la chienne.

Lucie cessa de sourire mais intérieurement elle était aux anges.

Quand on la libéra de la croix, Messire Philippe lui lança.

- A genoux et suce-moi, tout de suite.

Lucie allait obéir quand elle croisa le regard de Messire Léon et se souvint de ce qu’il lui avait dit plus tôt.

- Lucie, cette nuit est Ta nuit, quoi que tu fasses tu ne seras pas punie. Et je crois savoir que Messire Philippe aime les rebelles, alors ne te gène pas fait ta rebelle, refuse d’obéir, répond, soit insolente si tu le souhaites, tu peux le faire mais sache que c’est très exceptionnel car cela restera juste un jeu entre nous quatre.
Est- ce clair ?

Alors elle resta debout et retira elle-même son bandeau de ses yeux. Pui Lucie regarda Messire Philippe droit dans les yeux et de son regard le plus insolent, le défiant. Mais elle ne put résister à la forte pression des mains puissantes de l’homme sur ses frêles épaules, et finit par se mettre à genoux mais reculant sa tête et refusant d’ouvrir la bouche. Puis au bout d’un moment abandonnant la partie, elle prit cette verge tendue et dure, comme elle les aimait, tant Messire Philippe aimait qu’on lui résiste… Ensuite, elle sentit une volée de fessées s’abattre sur ses fesses rondes et une queue lui pénétrant le cul. Lucie hurla de surprise et de plaisir mélangé… Nouveau changement, l’un couché sur le dos, Lucie empalée sur son membre un autre dans son cul et le dernier dans sa bouche, et ainsi elle était utilisée par ses trois orifices en même temps afin qu’elle soit bien remplie abondamment dans chacun de ses trous, la belle faisait tout ce qu’elle pouvait pour faciliter chacune des trois pénétrations. Elle se sentit alors être une chienne en chaleurs, une bonne femelle bonne à être besognée, baisée par tous les orifices ressentant au fond d’elle-même les plaisirs les plus primitifs et bestiaux. Qu’il était bon de se sentir tout simplement salope, juste pour donner du plaisir et en recevoir par la même occasion. Et ils changeaient de place à tour de rôle , Lucie en gémissait, jouissait dans des orgasmes successifs et puissants plus que raison. Elle était emportée dans des vagues déferlantes de plaisirs jouissifs volcaniques, aux jouissances explosives… Ainsi se passa toute cette nuit, orgiaque dans ce lit rond, où Lucie s’était totalement donnée à ces trois hommes qui lui rendirent les mille bonheurs via des nombreux et multiples orgasmes … Quand, épuisés par cette nuit d’orgasmes de jouissances et de débauche en tout genre, au petit matin tous les quatre s’endormirent jusqu’à près de midi...

(A suivre …)

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