Premiers Émois Fétichistes

Fétichiste des pieds depuis mon plus jeune âge, mon année de 4ème allait confirmer cet amour inconsidéré pour les pieds des femmes. Il y avait dans la classe, une fille qui s’appelait Mathilde, et dont j’étais amoureux depuis la cinquième. Assez petite, brune, et avec une poitrine plus que respectable, nous cherchions sans vraiment réussir à nous trouver. Et pour cause, j’étais vraiment timide durant cette période collégienne. Outre sa personnalité et son physique avantageux, une chose m’attirait particulièrement chez cette filles : ses pieds. En effet, toujours vernis, ils étaient à mes yeux parfait, et sa pointure, un 35-36, m’excitait comme jamais. Elle faisait partie de ce genre de filles, qui aimait balancer leurs chaussures au bout de leurs pieds en classe, surtout lorsqu’elle portait des ballerines. Un jour par exemple, en cours d’histoire, alors qu’elle était assise derrière moi, je pus observer tant bien mal ses magnifiques petits pieds vernis de noir, s’amuser avec ses sortes de ballerines-sandales. Comme elle aimait bien me t’taquiner, elle s’amusait à passer ses pieds sous mon dossier de chaise pour essayer de soulever mon tee-shirt avec ses orteils, et par la même occasion mettre ses pieds contre mon dos. Bien sur, pour ne pas éveiller les soupçons sur mon fétichisme, et en essayant de cacher au maximum mon excitation, j’essayais de me dégager mais surtout d’enlever ses pieds de contre ma chaise en les prenant à pleine main. Bien entendu ce chahut fut sanctionné par la prof, et ce petit jeu s’arrêta bien vite. Mais cela constituait le premier contact avec les pieds de celle dont j’étais amoureux, et une fois rentré à la maison, il ne me fallut pas longtemps pour me branler et jouir en repensant à tout ça.
Les séances de sports furent également l’occasion de revoir ses jolis pieds, et nos jeux collégiens, avec mes camarades de classe, étaient d’enlever les chaussettes des filles en essayant de leur cacher, ou en les chatouillant.



Mais l’épisode le plus marquant fut celui de la soirée d’Halloween. Nous avions prévu une petit soirée chez une amie, Cloé, dont la mère n’était pas là, qui était amoureuse de moi depuis l’école primaire (ce n’était réciproque). Pour cette soirée, où Mathilde, Cloé, un ami de classe et moi étions invités, nous devions nous déguiser dans le thème. En concertation avec mon ami, nous avions décidé de nous déguiser en vampire. Etant le dernier à arriver pour le repas, je sonnais donc à la porte de l’immeuble pour qu’on puisse m’ouvrir. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque la porte de l’immeuble s’ouvrit et que je vis Cloé et Mathilde déguisées en « sorcières sexy ». En effet, elles étaient toutes les deux en robes noires, courtes, avec de beaux collants résilles : Mathilde à petites mailles, Cloé à mailles plus larges. Pour finir leur déguisement, elles avaient choisis un chapeau de sorcière. Cachant difficilement mon excitation, elles montèrent en courant à l’appartement, et je pus observer leurs jolis petits culs dans l’escalier, ainsi que les beaux pieds de Mathilde vernis de rouge cette fois. Pendant le repas, Mathilde et Cloé étaient assises en face de nous, et les discussions et les rires allaient bon train, grâce à l’aide de nos quelques bières. Mathilde, qui me regardait de plus en plus tendrement, ce qui avait tendance à gêner car déjà excité par sa tenue, s’est mise à me faire du pied en rigolant vers la fin du repas. Croyant d’abord que son pied s’était égaré en voulant s’appuyer contre la table, je n’eus plus de doutes lorsque ses petits pieds sexy remontèrent en direction de mes cuisses. Evidemment, il ne m’en fallut pas plus pour bander à n’en plus pouvoir, et j’essayais tant bien que mal de tenir ses pieds avec mes mains pour les éloigner de mes cuisses. Voyant Cloé et Mathilde rire, ainsi que notre ami nous regarder, j’ai vite compris que ça devait être un pari entre filles, puisque Cloé se mit à faire pareil à mon copain de classe, qui se laissait faire sans rien dire.
Pour ne pas perdre la face, j’ai donc laissé Mathilde faire, et nous avons donc continué le dessert. Cloé a vite arrêté ce petit jeu, mais Mathilde, dont nous avions des sentiments l’un pour l’autre, a continué, en appuyant bien sur mon entre-jambe devenue bien dure. Juste avant que je jouisse, les filles se levèrent pour aller dans la chambre, pour nous faire jouer à un « action-vérité ». Dérouté par ce qu’il venait de se passer, nous jouâmes donc à ce jeu, qui nous fit faire quelques défis plus excitants les un que les autres. Je dus par exemple me retrouver torse nu, ainsi que mon ami, embrasser Mathilde, Cloé, lécher les jambes de Cloé, toucher les seins de Mathilde, regarder Julien soulever la robe de Mathilde, ainsi que baver devant Cloé et Mathilde qui eurent à s’embrasser. Malheureusement, ayant des parents assez stricts, je dus partir assez rapidement pendant le jeu car ma mère m’attendait en voiture en bas de l’immeuble.
En arrivant chez moi, ne tenant plus d’excitation, je me suis branlé plusieurs fois d’affilé en revoyant encore les beaux petits pieds de Mathilde, habillé de bas résilles noir. La semaine suivante, Julien m’apprit, ce que Cloé me confirma, qu’il s’était fait branler par Mathilde, alors que Cloé les regardait, suite à un pari perdu juste après mon départ de la soirée. Quelle soirée !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!