Collection Vengeance. Je Me Sacrifie Pour Sauver Ma Fille (1/2)

• Bonjours Monsieur, prenez la peine d’entrer !
• J’ignore pourquoi vous m’avez demandé de venir, surtout dans ces beaux quartiers, mais j’ai été intrigué et me voilà.
Que me voulez-vous ?
• Venez, nous serons mieux à l’intérieur, vous n’avez rien à craindre, je suis seule à mon domicile, j’ai même mis notre personnel en congé.
• Je me doute que je ne crains rien, je n’ai rien fait me valant le moindre courroux ici en France.

Je fais entrer "belle gueule" à l’intérieur et je le conduis dans la salle à manger.

• Un petit whisky, moi j’en prendrais un.
• Jamais d’alcool, un verre d’eau me suffira, mais une fois de plus, que me voulez-vous ?

Je me lève, je m’approche de cet homme qui a un charme certain : pas trop grand un regard de dragueur avec son pantalon et sa veste clairs.
Il a une chemise ouverte d'où sortent des poils noirs.
Je lui pose ma main sur son épaule, j’attaque bille en tête.

• Tu t’appelles Ludo, tu te dis italien auprès des femmes que tu veux séduire, tu es le rabatteur d’un bordel de Palerme en Italie.
Tes patrons ont un lieu à Barbès où vous prostituez des jeunes femmes, elles sont à l’abattage.
Je me trompe ?
• Une nouvelle fois, que me voulez-vous et pourquoi me tutoyez-vous ?
• Ne joue pas avec moi, j’ai tous les renseignements qu’il me faut.
J’ai les moyens d’avoir eu ces petits renseignements, Monsieur Albert.
• Je m’en vais, vous êtes folle, pourquoi m’appelez-vous Albert, mon nom est Ludo et je suis bien italien.
• Admettons mais venons au fond du problème.
Connais-tu une jeune fille s’appelant Lola ?
• Il se pourrait, mais des Lola, il y en a des dizaines à Paris.
• Ma Lola, habite au quartier latin où elle fait ses études de droit pour devenir juge pour s.
Ma Lola a 22 ans, elle est blonde comme les blés et tu envisages de l’emmener à Palerme pour la faire turbiner.


• Je crois que j’ai affaire à une folle, je m’en vais.

Il va pour se lever, je le repousse sur sa chaise.

• Les renseignements que je viens de te donner semblent être exacts.
Écoute bien, ta Lola, c’est ma Lola, c’est ma fille !
Je connais vos méthodes, les filles pour vous ce sont des morceaux de chaire bonnes à baiser, je sais que si je vais à la police, ou si j’en parle à mon mari ce sera kif-kif.
J’ai une autre proposition à te faire
• Supposons que ma Lola soit votre Lola, comment je fais pour m’en débarrasser ?
Je crois savoir à son comportement qu’elle est accro à la queue que j’ai là entre mes jambes.
J’ai déjà prévenu mon parrain à Palerme que j’avais accroché la fille qu’ils m’avaient commandée.
Encore quelques jours de dressage sans qu’elle s’en aperçoive et je leur livrerais le paquet prêt à l’emploi.
Comme je l’ai prévenu, si je ne le fais pas, c’est moi qui suis mort.
• Notre conversation prend une tournure qui commence à me plaire, comment me trouves-tu ?
• Un peu vieille pour le bordel de mon parrain, il aime que je lui livre des filles ayant moins de trente ans.
• J’en ai 38, j’ai eu ma fille à 16 ans, c’est à sa naissance que j’ai rencontré celui qui devait devenir mon mari.
Il finissait ses études à Francfort où ses parents habitaient, dans une des nombreuses bases françaises qui jalonnaient le pays après la guerre perdue par mon pays.
• Tu es allemande ?
• Oui, de père et de mère.
Mon mari est tombé amoureux, je lui ai fait croire que je l’étais aussi, j’ai travaillé pour gommer mon accent, je crois que je n’ai pas mal réussi.
Je vais te faire une autre confidence.
Pour nourrir ma fille, je tapinais dans les rues de Francfort, je connais le métier et je voudrais éviter à ma fille de glisser vers ce puits sans fond.
• Mais comment avez-vous su pour nous ?
Si c’est votre fille et qu’elle habite ici, c’est la première fois que je viens dans votre quartier de rupin, après votre coup de fil.

• Lola est venue il y a trois semaines, j’ai eu la chance d’entendre une conversation entre elle et toi, j’ignorais ce que tu lui disais, mais à ses réponses, j’ai vite compris ton petit manège.
Rapidement ça m’a convaincu qu’elle était tombée sous la coupe d’un maquereau.
J’ai un ami détective privé, que je paye grassement, il a trouvé qui tu étais et ce que tu t’apprêtais à lui faire.
Il s’est même rendu à Palerme, je pense que j’ai payé pour qu’il saute l’une de vos filles là-bas.
• Que me proposez-vous en échange de votre fille ?
• Du pognon ...
Je sais que vous vous en fichez, mais je te propose d’échanger ma fille contre moi.

Il éclate de rire.

• Vieille folle, je t’ai dit qu’à Palerme, mon parrain n’aimait que les jeunettes pas les vieilles peaux comme toi.
• Attention, tu es ici chez-moi, tu ignores qui est derrière l’une de ces portes.
Si j’appelle, un colt va venir te mettre une balle entre tes beaux yeux !

Je vois la peur se lire sur son visage.
Je me permets de bomber un peu ma poitrine.
Avec le chemisier que je porte et le soutien-gorge pigeonnant, il remarque mes seins encore denses et gonflés pour une vieille comme il dit.
Je pense que je lui conviens malgré cet âge avancé.

• Calme-toi, j’ai une solution à te proposer pour protéger ma fille et éviter que tes patrons ne nous fassent la peau.
• Je t’écoute bien que je ne n’entrevoie aucune solution.
Si Lola est réellement ta fille, ce sera une très grande gagneuse car si elle est encore là, c’est que je peaufine son éducation sexuelle.
• Je t’ai dit que mon détective m’avait dit que vous aviez des maisons d’abattage à Barbès.
Tu leur propose que je tapine pour vous un après-midi par semaine et vous lâchez Lola.
• Qui me prouve que tu me dis la vérité ?
Tu es une bourgeoise, il suffit de regarder le cadre où tu vis, que sais-tu faire avec ton cul ?
• J’ai encore largement le temps avant le retour de mon mari, regarde la télé ce qu’il retransmette.

• L’assemblée nationale, ils sont tous là à s’engueuler.
• Mon mari est parmi eux.
Ma proposition : je tapine, l’un de vous regarde l’assemblée dans une pièce voisine et vient me prévenir quand la séance est terminée.
• Fais-moi voir comment tu suces.
• Une petite fellation en gorge profonde, ça t’irait !
• Bonne entrée en matière, montre-moi ce que ta bouche sait faire, Lola est devenue une experte en gorge profonde, au début, elle avait des renvois.

Je le défie du regard.
Ses yeux se porte sur mes jambes bien galbées, mes cuisses visibles car ma jupe est courte.
Il se lève sort sa queue fort intéressante.
Je comprends que cette petite dinde de Lola soit sous le charme, beau gosse, une bite épaisse et longue.
Autour, des poils longs et noirs forment une broussaille agréable pour mon regard.
À son âge, j’aurais été au bout du monde avec lui, moi aussi.
Pourtant c’est à Francfort que j’ai appris mon métier de pute, j’étais une vraie salope, rien ne me rebitait, avant de devenir une honorable femme mariée.
En deux temps, trois mouvements, : fellation, levrette et même sodomie, tout ce qu'aime un homme je l'ai appris.
Au tapin en Allemagne, j’ai même participé à des gangs bangs, jusqu’à vingt mecs d’un coup.
J’étais parfois filmée, un CD existe, j’en possède un exemplaire bien caché dans un coffre fort.
Là-bas, les hommes aimaient mes belles mamelles toujours pleines et laiteuses, mes tétons bruns qui étaient toujours durs.
Ils s'amusaient avec et moi je criais de plaisir.
Sur ce film, j’étais si jeune, il faut savoir que c'est moi cette jeune fille qui se fait sodomiser.
Alors une petite frappe comme lui ne m’impressionne pas, mais je veux sauver ma fille.

Ça marche, ses patrons acceptent, c’est Ludo qui vient personnellement me chercher, pour éviter toute ambiguïté.
J’ai particulièrement soigné ma tenue, rien que des affaires de grandes marques.

Je pousse même le vice en portant mes bijoux les plus chères achetés place Vendôme, même mon alliance en diamant de plusieurs milliers d’euros.
Une vraie bourge avec mon tailleur BCBG et mes escarpins.

On arrive à une maison délabrée, nous entrons dans un garage.
Certainement que plusieurs filles tapinent en ce lieu car leurs cris, lorsqu’elles simulent l’orgasme, emplissent le bâtiment.
Un étage, un matelas miteux, ce n’est pas grave, j’ai connu pire en Allemagne.
Des hommes attendent dans le couloir, ils sont nus et se masturbent debout, comme attendant leur tour.
Mon bel italien me dénude sans me demander mon avis.
La fête commence : levrette, fellation, sperme dans ma bouche, mon cul.
Plusieurs me sodomisent.
Parmi ces premiers clients, un grand black qui me fait jouir tellement il est bien monté.
Je jure qu’avec lui, la demi-heure où il me baise m’apparaît comme des heures, mais de plaisir.
Dix-sept heures, on me prévient que la séance à l'Assemblée est levée.
Je dois partir.
C'est une vingtaine de types que j'ai satisfaits.
Je ne me souviens plus que du noir !
Ce fut pour moi un bain de sperme, des mains qui malaxaient mes mamelles.
J’ai fait du bon travail très pro, pour certains cela a duré cinq minutes, mon black m'a prise une demi-heure.
Ludo me reconduit devant chez-moi.
Vite la salle de bain.
Je suis encore dans l’eau à me savonner la chatte avec du savon à l’huile pour l’adoucir, car l’on ne sort pas indemne en se faisant perforer par toutes ces queue.
J'entends la porte d'entrée.

Mon mari est de retour, il me parle de ses problèmes.
Hélas, je ne peux pas lui parler des miens, non des nôtres, malgré tout, c’est un peu sa fille, du moins, il l’a élevée matériellement même s’il ne l’a pas conçu.

• Un bon bain avec toi, ça fait combien de temps que nous ne l’avons pas fait ma chérie ?

Je le laisse entrer dans l’eau après qu’il a enlevé ses vêtements.
Rapidement, il veut plus qu’un bain, je vois qu’il bande.
Merde n’a-t-il pas une putain comme à son habitude à aller baiser ?
Il est vrai que sans le savoir, une putain il en avait une en Allemagne et en a retrouvé une aujourd’hui !
J’ai sucé de nombreuses bites cet après-midi, une de plus aucun problème.
Pourtant, je préférerais qu’il décharge dans ma bouche évitant ainsi ma chatte, voire mon anus très endolorie…




Merci à Anne pour ses corrections.

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