Maman Chaperonne Sa Fille Pour Un Rendez-Vous Galant

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je travaille dans un grand cabinet d'expert comptable. Même si je suis mariée et fidèle, je reçois beaucoup d'hommages de mes collègues hommes, peut-être parce que j'adore porter des tenues sexy. Les hommes ne parviennent pas à comprendre que l'on puisse être à la fois sérieuse et sexy. À commencer par mon mari, lorsque que je me pomponne, le matin, qui me fait des reproches, trouvant mes jupes trop courtes et mes chemisiers trop décolletés.
Joffrey affirme que je devrais m'habiller de manière plus stricte au travail, il essaie de jouer le rôle du mâle faisant autorité en matière d'étiquette, mais nous savons tous que c'est la femme qui décide. J'obtiens beaucoup de mes collègues de travail en leur montrant mes cuisses ou mon décolleté, et ils sont toujours extrêmement serviables avec moi. De la même manière, à la maison, il m'est facile d'obtenir tout ce que je veux de Joffrey en écartant ou en serrant mes cuisses. Certaines personnes diront que mon raisonnement est mauvais, mais j'obtiens tout ce que je veux sans aucun autre effort que de leur faire croire qu'ils pourraient éventuellement obtenir ce qu'ils désirent, c'est à dire ma chatte!
Si je m'habille sexy, c'est pour moi, pour me sentir vivante, jeune et désirable, même si parfois c'est amusant de flirter un peu avec des garçons charmeurs. Allumer un garçon, le voir à l'étroit dans son pantalon, et le planter là, quelle revanche sur ces messieurs qui dominent le monde!
Récemment, un nouveau mec a intégré l'équipe. Un beau mec, grand, avec de larges épaules, arrogant, macho, le genre de type qui me fait fondre. Marc, c'est ce genre de type qui a l'air de vous faire une faveur en vous adressant la parole. Immédiatement arrivé, il a commencé à faire du gringue à toutes les femmes de l'entreprise. Avec la finesse et la grâce d'un char d'assaut. Le dragueur lourd que ça excite quand on lui résiste. Beaucoup d'hommes ont ce fantasme de la femme mariée, sérieuse, fidèle, et qui devient une salope quand on la met dans son lit!
Et moi, j'ai une faiblesse pour ces gars arrogants, machos, qui savent prendre le contrôle de la faible femme que je suis.

Marc était juste ce type de chien de chasse occupé à renifler les fesses des femelles du bureau, et qui s'en vante! En fait, des bruits ont commencé à circuler, comme quoi il aurait baisé celle-ci, puis celle-là... Et puis d'autres bruits, enfin, des bruits venus d'ailleurs, comme quoi il était bien monté, comme un étalon, qu'il savait s'en servir, et que ça valait le détour!
Du coup, à force de sauter sur tout ce qui bouge, il a fini par voir le gibier se raréfier, et je suis devenue sa principale préoccupation du moment! Parce que jusqu'à présent il avait de quoi s'occuper ailleurs, il m'était facile de l'envoyer promener. Mais en le voyant squatter mon bureau à longueur de journée, je commençais à être à cours d'arguments. Parce que la machine à café se trouve juste à côté de mon bureau, chaque fois qu'il prend une pause, c'est dans mon bureau avec sa tasse à la main.
Un matin, Marc est entré dans mon bureau. Je tournais le dos à la porte, penchée sur un classeur, cherchant un dossier. Je savais pertinemment que c'était lui qui entrait comme ça sans frapper, mais ça m'a amusée de rester dans cette position, le laissant mater mon cul. Il s'est approché tout près de moi, à me frôler.
"Bonjour, Marc," dis-je sans un coup d'œil derrière moi.
"Je suis venu chercher de quoi me réveiller. Et j'ai obtenu beaucoup mieux que j'espérais. Quel spectacle magnifique!" dit-il penché derrière moi. Il était si proche que je pouvais sentir son souffle sur ma nuque.
J'avais l'habitude de ce genre de comportement de sa part. Son côté macho sexy, un peu frôleur, ses compliments, ses phrases à double sens, je savais que j'allais devoir combattre et résister à un assaut qui pouvait durer plus d'une demi-heure. Mais cette fois j'ai senti un contact s'établir contre ma fesse. J'ai rapidement fait volte-face pour voir ce que je sentais. C'était son érection qui gonflait son pantalon et qui essayait maintenant d'établir un contact avec mon ventre. Je suis restée calme et je l'ai apostrophé:
"Fais gaffe, tu pourrais blesser quelqu'un avec ta lance!"
Ça l'a fait rigoler et il a rompu le contact pour faire le tour de mon bureau et s'asseoir à ma place, dans mon fauteuil:
"Arrête de dire des conneries et sers-moi un café, poupée!"
"Et qu'est-ce qu'on dit?"
"Fissa, poupée, j'ai pas envie de jouer!"
Normalement, je n'aime pas être commandée, mais avec Marc, ça m'excite parce qu'il est tellement sexy.

"Voilà, Monseigneur! Servi à domicile! Puis-je disposer de mon siège maintenant, Monseigneur? J'ai un dossier urgent à traiter!"
Pour toute réponse, il s'est contenté de caresser la bosse de son pantalon en précisant:
"Moi aussi, j'ai un dossier urgent à traiter! Tu veux bien m'aider?"
"Tu ne m'auras pas comme ça, mon chéri, ce genre de déclaration me laisse de marbre!" J'essayais de la jouer cool, mais j'aimais les sensations que je ressentais dans ma chatte.
"Je te veux. Je pense à toi constamment. Tu es la femme la plus chaude du monde et je veux passer du temps entre tes jambes."
J'étais habituée à ce genre de déclaration de sa part.
"Je suis mariée, fidèle, et je ne vais pas foutre en l'air mon mariage pour un coco comme toi!"
"Qui te parle de foutre en l'air ton mariage? Sors avec moi une fois, juste une fois, et je te foutrai la paix ensuite!"
"Si je sors avec toi une fois et qu'il ne se passe rien, tu me laisseras en paix ensuite?"
"Sors avec moi une fois, Tiffany. Je ne peux pas te promettre que je n'essaierai rien, mais rien ne se passera si tu ne veux pas!"
Son insistance m'inquiétait. J'avais peur de céder devant ses avances. Ce genre de joutes quotidiennes humidifiait ma chatte. Je devais trouver une solution pour sortir de ce cercle vicieux, sans mettre en danger mon mariage. Soudain, j'ai eu une idée géniale:
"OK! Je te propose un arrangement. Un double rendez-vous. Tu viens avec ton chaperon, je viens avec mon chaperon. On sort ensemble et, quoi qu'il arrive, après tout est fini entre nous et tu me laisseras tranquille, OK?"
"Du moment que tu ne triches pas en prenant ton mari comme chaperon, ça me va! Par contre, je dois te prévenir, je vais essayer de t'avoir! Rappelle-toi que la seule chose qui m'intéresse, c'est ce que tu as entre les cuisses!"
"Une promesse est une promesse! Respecte tes engagements, je respecterai les miens!"
On s'est serré la main, les yeux dans les yeux, pour sceller notre accord.

"Maintenant, fiche le camp, j'ai du travail!"
J'avais ma petite idée pour mon chaperon. J'ai appelé ma mère pour lui dire que j'avais besoin d'elle pour sortir un soir avec un collègue de travail. En rentrant à la maison ce soir-là, je suis passée voir ma mère pour lui expliquer la situation (en passant sous silence quelques détails compromettant). À 49 ans, elle est restée très jeune de caractère et mon histoire l'a bien amusée. Elle m'a assurée qu'on allait bien s'amuser avec ce jeune homme et qu'il allait en être pour ses frais. Elle s'habille toujours avec beaucoup de classe, mais très stricte, et elle est aussi facile à dégeler qu'un iceberg.
"Tu es géniale, maman. Merci beaucoup. Je ne sais pas ce que je vais dire à Joffrey. Que diras-tu à papa?"
"Je lui dirai que je sors avec toi. Que l'on sort entre filles et que je n'ai pas besoin de lui. De toute façon, le vendredi soir, il n'est jamais là. Il me laisse seule pour aller retrouver ses copains. Si je ne lui disais rien, il ne s'en rendrais pas compte. Dis à Joffrey que nous sortons ensemble, rien que nous deux."
Le lendemain, j'ai dit à Marc que nous pouvions sortir ce vendredi et je lui ai donné l'adresse de ma mère où il pourrait venir nous chercher. Maman a dit que tout était parfait car papa ne serait pas à la maison. Le reste de la semaine s'est passé sans autre incident notable. Maintenant que j'avais accepté de sortir avec lui ce vendredi, Marc m'a laissée assez tranquille le reste de la semaine, se consacrant à d'autres gibiers.
J'avais choisi une tenue sexy mais pas trop, composée d'une petite robe noire, serrée sous la poitrine et qui s'évasait ensuite pour s'arrêter à mi-cuisse, le haut était en double décolleté, très bas, mais orné de dentelle noire qui cachait un peu mes seins. Un collier- bandeau en satin noir, un string minimaliste noir et des talons aiguilles complétaient mon équipement d'allumeuse. Je voulais taquiner Marc en lui montrant ce qu'il ne pourrait jamais avoir, jouer avec lui, l'allumer, et le renvoyer chez lui dormir sur la béquille.

Quand je suis arrivée chez ma mère, j'ai eu un choc. Maman s'était déguisée en écolière sexy, mini-jupe portefeuille à carreaux, chemisette blanche trop serrée qui baillait sur sa grosse poitrine gonflée par un soutien-gorge pousseur, grandes chaussettes blanches qui montaient au-dessus du genou et sandalettes à talon. En plus, elle s'était fait des couettes. J'étais dévastée!
"Maman, c'est n'importe quoi! Tu es sensée assurer mon intégrité physique et ma fidélité envers mon mari! Tu n'es pas prévue pour affoler les matous! Déguisée comme ça, tu vas te faire violer et moi avec!" Dis-je en souriant. "Est-ce que Papa t'as vue habillée comme ça?"
"Où serait le plaisir si je ne pouvais pas faire des choses derrière son dos de temps en temps?" dit-elle, sournoise.
Juste au même moment, Marc est arrivé chez ma mère avec son chaperon. Cet un ami de Marc qui s'appelle André et qui est bâti sur le même moule que Marc. Aussi sexy, macho et sûr de lui que peut l'être Marc. Heureusement que j'ai maman avec moi, pensais-je, sinon je pourrais avoir de sérieux problèmes.
Marc ignorait que mon chaperon c'était ma mère. Je pensais que lorsqu'il l'apprendrait, cela calmerait sa libido et qu'il comprendrait qu'il n'avait aucune chance avec moi: "Marc, André, voici ma mère, Magalie." Ils l'ont tous deux accueilli d'un grand sourire. Apparemment, ils se moquaient bien de savoir qu'elle était ma mère et son accoutrement ne les inquiétait pas du tout.
André a dit: "Viens avec moi sur la banquette arrière, Magalie. J'aime ton costume. Petite coquine!"
J'étais surprise de son audace puisqu'ils venaient de se rencontrer mais encore plus surprise quand maman s'est installée dans l'auto. André lui tint galamment la porte ouverte et, peut-être à cause de sa jupe si courte, ou par maladresse, elle offrit le spectacle de sa petite culotte blanche en dentelle aux deux garçons.
Je me suis assise à la place du passager avant à côté de Marc et nous sommes partis en direction du club. Dès que Marc a terminé sa manœuvre pour quitter son stationnement, il a posé sa main sur mon genou. Affirmant ainsi son titre de propriété sur la femelle qui avait la chance inouïe de bénéficier de sa mâle compagnie. Pensant que j'allais devoir lutter toute la soirée contre ses mains baladeuses, j'ai préféré garder mes forces en estimant que son geste n'était pas extrêmement grave et j'ai laissé courir. J'essayais de me concentrer sur la conversation entre maman et André, mais la radio couvrait leurs voix. De temps en temps, un éclat de rire me faisait savoir que maman s'amusait bien. De temps en temps aussi, Marc me regardait en souriant, sûr de son charme, et profitait de l'occasion pour me caresser la cuisse.
Quand il remontait un peu trop haut à mon goût, je posais ma main sur la sienne en disant: "Tss, Tss!"
Arrivé au club, Marc est devenu très entreprenant et je dois avouer que je n’ai pas fait grand chose pour le calmer. J'aimais l'attention qu'il me portait, j'ai toujours aimé taquiner les garçons, je pensais qu'il ne pouvait rien m'arriver d'irrémédiable au milieu de la piste de danse, et j'ai vu maman très coquine avec André. Lorsque la musique devenait propice, slow ou autre, les lumières se tamisaient, et les couples s'enlaçaient. À ce moment-là, je ne pouvais pas surveiller de près leurs faits et gestes parce que j'avais beaucoup de travail à repousser les mains de Marc. Mais maman et André dansaient très collé-serré et les mains d'André exploraient les contours de maman qui n'avait pas l'air de protester et qui lui a offert sa bouche à plusieurs reprises. Je pensais que les rôles s'inversaient et que j'allais devoir servir de chaperon à maman.
Après seulement quelques heures de danses et de libations, nous avons tous décidé de quitter le club. Les garçons avaient passé leur bras à notre taille pour nous aider à marcher jusqu'à la voiture. Marc me caressait le flanc et il connaissait son affaire, c'était très érotique.
"Emmenons ces dames au belvédère. La nuit est claire et il y a toujours une belle vue de là-haut" dit André. Je n'étais pas trop sûre, mais tout le monde semblait aimer l'idée d'une balade, y compris maman, alors j'ai dit d'accord.
Une fois installés dans la voiture, Marc a de nouveau posé sa main sur mon genou en conduisant. Je le laissais faire comme pour le trajet aller. Doucement, je sentis sa main glisser sur ma cuisse. J'ai posé ma main sur la sienne en disant "Tss, Tss!" mais il a continué sa lente progression: "Tu peux arrêter ta main juste là, Marc." J'ai dit à voix haute pour le stopper.
"Où peut-il arrêter sa main, chérie? Est-il obscène avec toi, Tiffany?" maman m'a demandé.
"Il caresse ma cuisse avec sa main, maman. Il ne devrait pas se permettre cette impertinence avec une femme mariée, surtout avec sa mère à proximité."
Marc regarda dans le rétroviseur pour s'adresser à maman: "Tu ne vas pas te fâcher contre moi, n'est-ce pas, Magalie? Peut-on me blâmer de tenter ma chance avec une poupée comme elle assise à côté de moi?"
Maman m'a dit: "Tous les mecs à qui tu accordes un rendez-vous amoureux vont essayer d'avoir ta chatte, chérie. Je pensais que tu le savais maintenant." Suivi d'un petit ricanement.
J'ai été surprise qu'elle utilise un langage aussi familier. Je tournais la tête pour lui jeter un coup d’œil et je la vis se blottir contre André. Il avait glissé sa main dans son chemisier et je pouvais voir qu'il tripotait les seins de maman, pendant qu'elle avait sa main entre les cuisses d'André. Je ne pouvais pas distinguer ce qu'elle faisait à cause de la pénombre, mais le sourire narquois d'André ne me plaisait pas.
"Écoute Magalie" me dit Marc. "Elle a plus d'expérience que toi. Obéis à ta mère."
Je me retournais vers Marc et lui dis: "Elle a dit que tu pouvais essayer. Elle n'a pas dit que je devais me laisser faire." Mais sa main avait déjà repris sa lente progression.
Ma culotte était trempée à ce stade. J'avais commencé à mouiller au club, quand j'ai vu André et maman s'embrasser sur la piste de danse, et qu'il la pelotait sans vergogne au milieu de la foule.
"Détends-toi! Tu ne vas pas le laisser tout faire, mais tu peux lui montrer ta petite culotte. Un coup d’œil ne fait pas faire de mal. C'est le meilleur moyen de garder un étalon en éveil." me dit Magalie depuis l'arrière.
J'entendais nettement des bruissements dans mon dos, mais je ne voulais pas me retourner pour pouvoir garder l'attention sur Marc et sur ce qu'il faisait de sa main. Je me demandais quel spectacle maman offrait à André à ce moment-là.
"Je te l'avais dit. Ta mère le sait mieux. Qu'en penses-tu, André?" Demanda Marc en jetant un coup d’œil dans le rétroviseur.
Une série de grognements fut la seule réponse d'André.
À cet instant, je voulais seulement l'allumer puis le vaincre. J'ai dit à Marc: "Bien. Je vais te montrer ma culotte, mais ta main reste là où elle est. Tu regardes, mais tu ne touches pas!"
Je soulevais ma robe lentement pour lui montrer mon string en espérant qu'il ne pourrait pas discerner la moiteur de ma chatte.
"Une culotte noire! Minuscule! Je pourrais la déchirer avec l'érection que tu viens de me donner!" Dit-il d'une voix basse.
L'érection de Marc était parfaitement visible, et l'attention que je lui portais à ce moment me montrait à quel point j'étais troublée.
Je me penchais un peu pour mieux apprécier l'état de son membre: "Ce doit être possible. Le tissu de ma culotte est mince et ton sexe me paraît bien rigide, mais ça n'arrivera pas. C'est pour cette raison que maman m'accompagne. Pour m'assurer que tu ne vas rien tenter!" Je le taquinais avec ma robe retroussée jusqu'aux hanches.
"Je devrais pouvoir te caresser un peu, au minimum. Et je ne pense pas que Magalie s'en offusquerait, n'est-ce pas Magalie?"
"Ooh!" André gémissait à l'arrière. Je ne voulais pas me retourner et prendre le risque de montrer mes fesses à Marc.
J'ai entendu un son étrange, proche d'un bruit de bouchon qui saute. "Tu pourrais te détendre un peu, chérie. En plus, regarde dans quel état tu l'as mis! Sois charitable, aide-le! Un petit geste amical ne serait pas si grave!"
"Maman! T'es pas sérieuse!" Dis-je en faisant volte-face, juste à temps pour voir disparaître la très grosse bite d'André dans la bouche de ma mère. "Maman! Qu'est-ce que tu fous?"
Elle tétait vigoureusement le chibre d'André, et quand elle a ôté la bite de sa bouche, j'ai de nouveau entendu ce son caractéristique de bouchon de champagne. Elle m'a fait un clin d’œil accompagné d'un petit sourire embarrassé:
"Tu croyais quoi? Que je n'avais jamais sucé une bite? Ton père adore ça, et pas que lui...!"
Tout le temps qu'elle me parlait, elle a continué à caresser le chibre d'André qui gémissait, les yeux fermés:
"Ooh! T'as une bouche d'enfer, bébé! Et tu suces divinement bien! N'arrête pas maintenant! Je vais refroidir." Il agrippa les cheveux de maman pour la ramener sur sa queue. Souriante, elle le reprit en bouche.
Mon désarroi et mon malaise me provoquaient une émotion étrange. Ma chatte était plus mouillée que jamais en voyant la bouche de maman coulisser sur le mandrin d'André. En même temps, je me demandais si j'aurais la capacité d'engloutir un tel monstre!
Songeuse et envieuse, j'aurais aimé que mon mari soit équipé d'un tel engin!
Pendant ce temps, Marc avait continué ses travaux d'approche. En effectuant une rotation du buste pour regarder maman dans ses œuvres, j'avais malencontreusement écarté les cuisses et la main de Marc en avait profité pour continuer sa progression. À présent, sa main caressait la chair tendre à l'intérieur de ma cuisse, juste à côté de ma culotte. D'ailleurs, sa main frôlait ma culotte. Et son petit doigt caressait ma chatte. Et c'était très agréable!
J'étais assise à l'avant d'une voiture qui fonçait vers un baisodrome, de l'arrière du véhicule me parvenait des bruits de succion et des gémissements de plaisir, la main de ce type était plongée entre mes cuisses, pétrissant ma chair tendre, j'étais trempée de désir et je devais rester fidèle à mon serment de mariage. J'ai compris que j'allais vivre des minutes difficiles et que je devais rester forte!
Nous ralentissions en direction direction d'un parking situé au bord d'une petite falaise avec une vue imprenable. Quelques autres voitures étaient garées à proximité et Marc a retiré sa main de ma cuisse pour se garer.
J'ai regardé autour de nous. Dans la voiture la plus proche, un monsieur était assis au volant et la tête d'une dame blonde montait et descendait entre lui et son volant. De l'autre côté, une paire de jambes féminines se dressaient au-dessus de la banquette arrière et la voiture tanguait de manière agressive.
"Le meilleur panorama du pays! D'ici, la vue est fantastique!" Dit Marc, le regard braqué sur mon entrejambe, sa main reprenant sa tâche là où elle l'avait laissée, sur ma cuisse, à la frontière avec mon string.
"C'est quoi cet endroit?" J'ai demandé à Marc. Je voulais qu'on fasse du bruit pour couvrir un peu les sons qui me provenaient de la banquette arrière.
Entendant ma question, Magalie a soulevé la tête de la bite d'André pour regarder autour d'elle: "Le baisodrome de la falaise! Plus jeune, nous venions ici nous mouiller la chatte. Ça n'a pas changé! "
"Maman! Tu connais cet endroit?"
"Bien sûr. J'ai passé beaucoup de nuits ici, à l'arrière des voitures, avant mon mariage."
Marc saisit mon poignet pour approcher ma main de sa bite. Pendant que j'étais distraite par maman, il en avait profité pour sortir discrètement sa bite et il souhaitait que je lui fasse une petite gâterie.
J'ai résisté à son emprise, mais il n'a pas lâché mon poignet.
Prenant ma mère à témoin, Marc lui a demandé: "Magalie, ne penses-tu pas que Tiffany devrait être un peu plus serviable? Elle m'a allumé toute la soirée et j'ai été très patient avec elle."
Magalie se pencha pour jeter un coup d'œil: "Waouh! Avec un démolisseur de chatte cette dimension? Je pensais l'avoir éduquée mieux que ça." Se tournant vers moi: "Vas-y chérie. Profite de l'aubaine. Prends-le en main et arrête de le faire souffrir!"
Déjà que j'avais du mal à lui résister avant, avec l'ambiance libertine de la soirée, cette belle queue qu'il me présentait, les exhortations de maman, mes défenses cédaient les unes après les autres. J'étais maintenant désireuse de toucher, de savoir quel sentiment me procurerait son contact, j'avais envie de cette bite!
"Caresse-le un peu." Ma mère m'a incité de l'arrière.
J'ai cessé de lui résister. Sans lâcher mon poignet, il a posé ma main sur sa bite. J'ai enroulé mes doigts autour de son membre. Il était raide comme une barre d'acier mais doux et chaud au toucher. Sans lâcher mon poignet, il a commencé un lent mouvement de va-et-vient. Le regard fixé sur l'objet de ma convoitise, la bouche ouverte, la gorge sèche, je laissais faire Marc qui se branlait en imprimant le mouvement à ma main, émerveillée par sa taille et les sensations qu'il me procurait.
"Allez, poupée. Remets ma bite dans ta bouche!" André a réclamé à ma mère. Sans lâcher son sexe, j'ai regardé œuvrer ma mère.
Maman baissa la tête pour engloutir le sexe d'André, elle l'a tété énergiquement plusieurs fois avant de le relâcher avec un bruit sec.
"Je ne t'ai pas oublié, chéri! Mais maintenant, je veux regarder ma fille s'occuper de cette belle queue!"
Magalie penchée sur le dossier du siège avant, branlant lentement André pour qu'il ne se sente pas délaissé, regardait ma main travailler sur la bite de Marc.
André glissa ses mains dans son chemisier pour tripoter ses mamelles, la faisant gémir: "Ooh, vilain garçon."
Maman m'a dit: "Tu te débrouilles pas mal, chérie. Regarde comme je fais. Il faut traire sa bite sur toute la longueur."
Je regardais maman manier la bite d'André. Elle partait de la base, juste au-dessus des bourses, et remontait tout au long de la tige jusqu'au gland, en serrant fermement sa main autour du sexe; après quelques manipulations, du méat suintait le liquide pré-éjaculatoire: "Tu vois, comme ça, tu ne peux pas lui faire mal et le liquide qui sort te sert de lubrifiant pour aider ta main à coulisser sans heurts. Pas besoin de cracher, c'est moins vulgaire! Certaines préfèrent le boire, mais moi je préfère le sperme, plus riche en goût!" J'étais sidérée de découvrir les capacités techniques de maman, experte en fellation et en masturbation. Je n'ai pas osé lui demander si c'était papa qui lui avait appris tout ça, j'avais peur de sa réponse!
J'ai suivi l'exemple de maman et j'ai vu le liquide clair suinter de Marc. J'ai eu besoin de m'humecter les lèvres avec la pointe de ma langue pour résister à l'envie de me jeter dessus pour le gober.
"Putain ouais!" gémissait Marc.
J'ai utilisé son liquide pour mouiller ma main et sa tige, en étalant bien tout partout. Effectivement, c'était un lubrifiant efficace.
En entendant de nouveau les sons de succion s'échapper de la bouche de maman, j'ai jeté un coup d’œil pour la voir sucer énergiquement la bite d'André. Cette vision de débauche alliée à ma propre action sur la bite de Marc rendait ma chatte liquide, elle suintait à présent de cyprine qui coulait dans ma petite culotte, beaucoup trop fine pour absorber une telle quantité, et je commençais à m'inquiéter pour le siège de l'auto qui allait conserver le souvenir de mon passage.
Je regardais Marc qui savourait, les yeux fermés, le travail de ma main sur sa viande. Depuis que la voiture s'était garée sur l'esplanade, j'avais défait ma ceinture de sécurité et à force de pivoter pour regarder derrière moi, j'avais replié ma jambe gauche sous mes fesses, écartant largement mes cuisses. Avec ma robe entortillée autour de mes hanches et l'écartement de mes jambes, la main de Marc avait lâché mon poignet pour rejoindre sa cible, ma chatte. Il me caressait, me palpait, me triturait la chatte par-dessus le fin tissu de mon string en cherchant tantôt mon clitoris, tantôt l'ouverture de mon vagin. Il ne pouvait plus douter de mon excitation en sentant l'humidité de ma chatte et je n'avais plus beaucoup de volonté pour l'arrêter.
Marc a tourné son visage vers moi et m'a souri: "Continue de me branler, bébé. Je vais juste te rendre la politesse."
Il murmura: "Où achète-tu tes culottes? Ce tissu est fantastique! Le contact avec ta chatte est génial, on croirait que tu es nue!"
"C'est mon mari qui me les a offertes, je ne sais pas où ils les a achetées."
"Ton mari a beaucoup de goût. Si minuscule et si mince. C'est un plaisir pour moi de te caresser. Quand je t'aurais baisée, je garderai ton string en souvenir!"
André m'a apostrophé depuis le siège arrière, sa main toujours sur la tête de ma mère qui le suçait: "Ôte ta culotte et laisse-le mettre les doigts dedans, t'auras plus de plaisir!"
"Pas question! Propriété privée! Défense d'entrer! J'appartiens à Joffrey depuis qu'on est mariés!"
Maman faisait beaucoup plus de bruit maintenant en suçant la grosse bite d'André. Visiblement, elle y prenait beaucoup de plaisir et je me demandais si papa connaissait tous les talents de sa salope de femme! André appréciait beaucoup la bouche de maman et il l'encourageait à voix basse en utilisant des termes orduriers. Marc gardait un regard constant sur mon entrejambe grand ouvert. L'humidité de l'endroit et la caresse de ses doigts plaquaient le fin tissu sur ma chatte et, malgré la pénombre, je savais qu'il devinait les contours. Je caressais la queue de l'homme à qui j'avais voulu donner une bonne leçon, et je sentais ma bouche s'assécher à l'idée de sucer ce gros bâton de sucre d'orge. Je baissais les yeux pour regarder la main de Marc sur ma chatte. Le mince triangle de tissu avait légèrement glissé vers le haut et la ficelle qui devait se trouver dans la raie culière avait pénétré entre les grandes lèvres, ouvrant ma chatte en deux. Marc l'a vu, bien sûr, et son doigt est venu immédiatement en contact avec l'orifice de mon vagin.
Je me sentais si bien sous sa caresse que je n'avais pas le cœur de le repousser. Je restais là, jambes écartées, me laissant tripoter la chatte, en masturbant cette bite énorme, et voilà que mes seins se réveillaient, réclamant un peu de stimulation. Pour la première fois de la soirée, je ne suis pas parvenue à retenir un gémissement qui a sonné comme un chant de triomphe aux oreilles de Marc.
C'est à ce moment-là que le niveau sonore venant de l'arrière a nettement augmenté. Je me suis retournée pour voir ce qui se passait. La tête de maman avait atteint une cadence incroyable, on aurait dit qu'elle s'efforçait de gober la totalité de cet énorme sexe, et la partie charnue heurtait sa gorge chaque fois qu'elle plongeait dessus. Ajouter à cela ses râles, les sifflements de sa respiration, on aurait cru une vieille locomotive à vapeur entrant en gare. Le spectacle m'a donné envie de rire quand j'ai vu le mal que se donnait maman pour faire venir son partenaire. Avec Joffrey, je n'avais pas besoin de l'astiquer pendant des heures pour qu'il éjacule, Joffrey venait très vite, parfois trop vite.
Soudain, André se mit à grogner: "Ooh. Je viens! Je vais jouir! Dans ta bouche! N'arrête pas! N'arrête plus de me sucer,Magalie!"
Maman garda seulement le gland en bouche, masturbant sa hampe à un rythme fou. Elle souleva ses hanches du siège pour avoir une meilleure prise sans doute, et j'ai découvert ce que je ne pouvais pas voir auparavant, la main d'André entre les cuisses de maman, les doigts profondément enfoncés en elle.
La bouche de maman est restée collée à sa queue. Marc et moi avions cessé de nous caresser pour regarder l'action, mais ma main restait fermement sur sa queue et ses doigts continuaient leur exploration de ma chatte.
On pouvait clairement voir la gorge de ma maman déglutir tandis qu'André était secoué par les spasmes du plaisir. Maman n'a pas laissé échapper une seule goutte du nectar d'André et j'ai ressenti un sentiment de fierté à son encontre. Ensuite, une fois calmés, maman a soigneusement nettoyé le membre d'André avec sa langue et ses lèvres et ils ont échangés un long baiser passionné.
C'était tellement romantique que j'avais envie d'applaudir; avec Marc nous avons échangé un regard complice.
Elle a tourné la tête vers nous: "Tu …vous n'avez pas beaucoup progressé, tous les deux? Tu n'as pas une très bonne main, ma chérie. Tu vas devoir passer aux choses sérieuses. Ce monstre ne va pas se contenter de ta main!"
Magalie se pelotonna sur le siège au côté d'un André satisfait, reprenant sa queue en main, car il n'avait pas totalement dégonflé.
Marc a dit: "Tu es vraiment efficace avec une bite dans la bouche, Magalie. Tu sais comment plaire à un homme!"
"Merci, mon cœur. Tous mes partenaires sont d'accord avec toi. En fait, tout ceux qui m'ont amenée ici, je les ai tous épongés!"
"Maman! Tu as sucé tous les mecs avec qui tu es venue ici?" J'ai dit, surprise.
"Je ne les ai pas seulement sucés, Tiffany. Après les avoir sucé, ils m'ont tous bien baisée... Comme va le faire André dès qu'il aura repris des forces!" Dit-elle avec un sourire narquois.
La question me brûlait les lèvres depuis longtemps:
"Est-ce que papa connaît cet endroit?"
"Bien sûr ma chérie. Je suis venue plusieurs fois ici avec lui. D'ailleurs, c'est ici que je l'ai dépucelé!"
J'étais effarée de découvrir la véritable personnalité de ma maman.
Marc demanda: "Tu es une chaudasse, n'est-ce pas? Tu n'es pas venue jouer ici seulement avec ton mari, n'est-ce pas? Tu as pratiqué souvent dans cet endroit ces dernières années?"
J'étais encore sous le choc de la révélation que ma mère avait dévirginisé papa ici. Maman ne répondit rien mais son sourire gêné, du style "prise la main dans le pot de confiture", me fit comprendre que maman avait une vie sentimentale extra-conjugale chargée.
Ça ne l'empêchait pas de caresser le membre d'André en attendant qu'il reprenne de la vigueur.
"Bonne nouvelle, ça signifie pour moi que la séance n'est pas terminée" Dit André en décroisant facilement les jambes de maman pour s'emparer de sa motte.
Magalie a demandé: "Tu en veux encore, gourmand?"
"Je n'ai eu que l'apéritif, maintenant on va passer au plat de résistance, je vais fourrer cette chatte avec ma viande"
J'étais encore sous la surprise d'apprendre que ma mère était revenue ici une fois mariée: "Attends une minute, maman. Tu as eu des amants depuis que tu as épousé papa? Est-ce qu'il le sait? À quand remonte la dernière fois que tu es venue ici?"
"Doucement, chérie, une question à la fois!" Déclara-t-elle, souriante.
"Papa ne m'a jamais soupçonnée quand j'ai eu un amant. Mentir augmente mon plaisir. Maintenant, que veux-tu savoir? La dernière fois que j'ai écarté mes jambes pour quelqu'un d'autre que ton père ou la dernière fois j'ai écarté mes jambes sur cette montagne?"
J'étais abasourdie, sans voix, mais André en profitait:"À quand remonte la dernière fois que tu as écarté tes jambes ici?"
"Ça fait un moment que je ne suis pas venue ici. La dernière fois, je crois, c'était il y a environ cinq ans."
Je n'ai pas pu m'empêcher de demander: "C'était qui, ce mec?"
"Le voisin, Nicolas. Gentil garçon, et il me tannait depuis longtemps pour sortir avec lui."
Elle s'arrêta pour se remémorer ce charmant souvenir: "Je voulais mettre les choses au clair, qu'il me laisse tranquille, alors j'ai accepté une invitation à dîner. Pour discuter..."
J'ai demandé "Alors pourquoi as-tu couché avec lui si c'était pour dîner?"
Marc se rendait bien compte que j'étais préoccupée par les révélations de maman car ma main devenait moins énergique sur sa queue. Il poussé son avantage un peu plus loin, je veux dire qu'il fait entrer une ou deux phalanges dans l'orifice réservé à mon mari. En même temps, il est devenu plus incisif sur mon clitoris, je n'ai pu que me mordre la lèvre pour éviter de gémir trop fort. Cette stimulation accrue m'a permis de constater que mes défenses s'amenuisaient et qu'il m'était de plus en plus difficile de résister aux avances de ce charmeur de Marc.
Pour me distraire de son emprise, je suis tournée vers maman qui disait à André: "J'ai besoin de sentir un peu mieux ta grosse machine à fabriquer les bébés, mais je ne veux pas que tu me l'enfiles tout de suite." Maman a enjamber André pour s'asseoir sur sa bite dressée, mais sans le laisser pénétrer. Elle lui tournait le dos et me faisait face, la main entre les cuisses pour presser cette bite contre sa chatte en ondulant du bassin. En même temps, elle se penchait au-dessus du dossier pour constater l'avancement des travaux entre Marc et moi. André dégrafa un peu plus le chemisier de maman pour avoir une meilleure prise sur ses seins.
J'ai demandé: "Termine ton histoire, maman, pourquoi ton dîner avec le voisin s'est terminée en partie de jambes en l'air?"
"Moi, je voulais juste dîner, discuter, puis qu'il me ramène chez moi. Il était charmant mais très macho. Tout de suite, il s'est à parler de sexe. Il n'a pas eu beaucoup de difficultés à me chauffer. Ensuite, il a caressé ma chatte sous la table. Alors, je lui ai suggéré de venir terminer la soirée ici!"
Penchée au-dessus du dossier, maman m'a dit: "Chérie, tu ne peux plus laisser ce garçon dans cet état sans faire quelque chose pour lui!"
"Je ne peux pas faire ça à Joffrey, maman."
"Arrête de te préoccuper de Joffrey, il n'en saura rien!"
"Si personne ne lui dit, et c'est pas moi qui lui raconterait, il ne se rendra compte de rien. Les hommes sont comme ça. Ton père m'a baisée une fois alors que mon amant venait de tourner les talons et que ma chatte était inondée de sperme. Une autre fois, un type m'a baisée dans mon lit avec mon mari qui ronflait à côté de moi. Le plus difficile, c'était de rester discrète parce que cette situation m'excitait trop!"
Elle m'expliquait tout cela avec un sourire diabolique.
J’ai remarqué que je branlais Marc plus fort. La perversité de maman m'excitait. Maman s'en est aperçu:
"Est-ce que tu as senti la pression de sa main s'accen sur ton manche, Marc? Je suis sûre qu'elle est tellement excitée qu'elle va bientôt prendre en bouche ton truc charnu." Elle parlait à Marc comme si je n'étais pas là.
"J'espère que tu as raison Magalie, sinon je te rejoindrai à l'arrière pour que tu puisses prendre soin de moi."
Je n'en pouvais plus. La situation, les récits de maman, les doigts de Marc, j'étais trop excitée, je devais le sucer.
J'approchais ma bouche de la bite dressée de Marc que j'astiquais depuis un moment. Marc et maman retenaient leur souffle. J'ai cessé de le branler, j'ai tiré la langue pour lécher le gland. Délicieux. J'ai tout de suite eu envie d'en goûter davantage. Je me suis enfoncé ce gros chibre aussi profondément que je pouvais dans la gorge, jusqu'à avoir une sensation de suffocation. J'ai commencé à prendre un bon rythme avec sa bite entrant et sortant de ma bouche, et ma main qui s'entortillait autour de la base de sa bite et de ses bourses. En prenant conscience que je suçais un autre homme que mon mari, je me suis aperçue que cela m'excitait.
Très loin au-dessus de moi, j'ai entendu la voix de maman dire à Marc:
"Tu vois, il ne fallait pas désespérer. Elle y est arrivée. C'est la digne fille de sa mère, bon sang ne saurait mentir!"
Marc gémit: "C'est vrai, Magalie. Elle suce bien!"
Maman m'observait et même si je me sentais un peu gênée, je voulais l'impressionner. J'essayais de gober entièrement cette belle queue, mais la grosseur du gland m'empêchait de le faire pénétrer dans ma gorge, malgré tous mes efforts. Par contre, celui qui m'avait pénétrée sans effort, c'était le doigt de Marc. En me penchant en avant, ma chatte s'est trouvée pressée sur cette main qui traînait contre elle, et Marc n'a rien fait pour éviter cet outrage. Et ce petit garçon dans ma vulve ne restait pas inactif!
J'étais en train de défaillir lorsque maman s'est exclamée: "Ooh! C'est rentré tout seul!"
Alors que je demandais comment maman pouvait savoir que le doigt de Marc était en moi, j'ai brusquement réalisé qu'elle parlait de la bite d'André dans sa chatte, et pas de moi!
Je ne pouvais pas voir maman se dandiner sur la bite d'André, mais je pouvais l'entendre. Et à juger par les cris qu'ils poussaient, je me doutais qu'ils s'amusaient bien tous les deux. Ils s'amusaient tellement bien tous les deux que j'ai commencé à me poser des questions. Sans cesser de sucer Marc, j'imaginais facilement la suite. Après avoir branlé et sucé Marc comme il le désirait, je savais qu'il ne voudrait pas s'arrêter en si bon chemin et que son doigt préparait le terrain, si j'ose dire.
Je pensais aussi que si Joffrey avait été là à me regarder me dévergonder, il serait sûrement très malheureux, et que ça ne changeait plus grand chose si je laissais Marc fourrer son gros monstre dans ma petite chatte.
Mais j'ai été interrompue dans mes réflexions par le téléphone portable de maman.
Maman s'est arrêtée de sauter sur la bite d'André et a tâtonner dans son sac pour sortir son téléphone portable.
"Quelle coïncidence. C'est ton père." Dit-elle avec enthousiasme en me montrant le téléphone.
J'ai ôté ma bouche de la bite de Marc pour lui dire: "Tu ne vas pas lui répondre, n'est-ce pas maman?"
André est intervenu, "Oui. Réponds-lui. Je veux qu'il sache que je baise sa femme." En la faisant sauter sur sa bite.
"Arrête!" Maman a crié et André s'est calmé. "Si tu te tiens tranquille, sans bruit, je laisse ton chibre en moi pendant que je discute avec mon mari. Si tu déconnes, c'est terminé et tu te finiras tout seul!"
André a promis et maman a décroché: "Salut, chéri!" dit-elle en reprenant ses ondulations du bassin sur le membre d'André à un rythme très lent.
Plus aucun bruit dans l'auto. Marc avait profité de l'occasion pour m'attr par les cheveux et remettre ma bouche sur sa bite. Dans le même temps, un deuxième doigt avait rejoint le premier à l'intérieur de ma chatte. Quelques sons humides s'échappaient malgré nos précautions de ma bouche et de la chatte de maman.
Maman répondait à papa: "Je vais très bien. Et toi, tu passes une bonne soirée?"
Je ne pouvais pas entendre ce que disait papa, je n'avais que les réponses de maman:
"Nous sommes allées danser au club. C'est pour cela que je suis essoufflée!"
"Ooh! C'est normal que tu n'entendes aucune musique. Nous sommes sorties respirer l'air frais de la nuit!"
"Non, je ne peux pas te la passer, elle vient de partir aux toilettes"
"Non, je ne suis pas seule. Nous avons rejoins ici un groupe de copines de travail de Tiffany"
"Oui, bien sûr, on s'est fait draguer! Nous ne sommes pas des laiderons!"
"Ils en sont pour leur frais! On sait s'amuser en restant sérieuses!"
"Ooh! Je dois te laisser chéri, les autres repartent à l'intérieur! Bisou, mon cœur!"
Et maman a raccroché son téléphone en criant: "J'arrive! Ooh! Putain, c'est vraiment très fort! Ooh!"
Marc a lâché mes cheveux pour que je puisse me relever et regarder maman onduler frénétiquement du bassin sur ce poteau. Elle ne pouvait plus s'arrêter, la bouche grande ouverte, un masque de jouissance lui déformait les traits du visage, haletante, gémissante, pendant de longues secondes. Mais à peine se calmait-elle que Marc s'est saisit à nouveau de ma tignasse pour remettre ma bouche sur son sexe en disant: "Reviens ici, moi aussi je vais jouir!"
C’est tout ce qu’il a dit, tout l’avertissement que j’avais reçu avant qu’il ne commence à remplir ma bouche de son nectar onctueux. C'était délicieux. Malgré l'imposante quantité, j'ai avalé facilement. Ensuite, je l'ai léché longuement pour laisser sa queue toute propre.
"Putain, c'était du bon boulot. Tiffany, tu es digne de ta mère!" Dit Marc, épanoui.
Il a recommencé à agiter ses doigts dans ma chatte mais j'en voulais plus. J'ai escaladé mon siège pour rejoindre maman à l'arrière.
En riant, nous nous sommes installées, couchées côte à côte sur la banquette, les pieds au plafond:
"Allez, les garçons, venez nous rejoindre et mettre votre gros saucisson au chaud dans nos petites chattes!"
Je voulais garder mon string en le faisant juste glisser sur le côté, mais Marc me l'a ôté pour me le voler:
"C'est mon trophée! Je le garderai en souvenir!"
Maman m'a dit: "Tu es comme moi! Tu ne peux pas garder les cuisses serrées devant une belle queue!"
Marc avait sa queue contre ma chatte. Il passait son gland de haut en bas entre les grandes lèvres pour recueillir mes jus et lubrifier sa bite. Je ne pouvais pas m'empêcher de regarder. Il était énorme et j'étais un peu inquiète. Autant pour faire pénétrer ce monstre en moi, qu'après pour retrouver ma taille originelle, que Joffrey ne s'aperçoive pas de la différence.
J'ai soulevé un peu mes hanches pour en faciliter l'accès et j'ai fermé les yeux, laissant Marc se débrouiller.
Il introduisit lentement le gland et s'arrêta. Il était grand et je retenais mon souffle.
Il a commencé une lente pénétration et j'ai senti quand il a atteint la profondeur à laquelle mon mari arrive habituellement. Bizarrement, comme s'il avait pu le deviner, Marc a fait une pause avant de reprendre son intrusion avec force pour atteindre le fond de ma vulve. Dès qu'il a atteint le fond, j'ai jouis instantanément. Il est resté au fond de mon ventre, sans bouger, attendant que je me calme en étudiant le masque de plaisir qui déformait mon visage. Ensuite, il s'est allongé sur moi et m'a embrassé longuement. Sa langue a pris possession de ma bouche et je l'ai sucée amoureusement. Quand il s'est redressé, un sourire de triomphe illuminait son visage. J'ai pensé à Joffrey et j'ai compris que ma vie ne serait plus jamais pareille dorénavant.
Ensuite, il s'est mis à forer puissamment ma chatte et je n'ai plus pensé à Joffrey. Je criais fort sous les coups de boutoir qui me démolissaient la chatte et maman m'a pris la main. Nous avons jouis plusieurs fois, ensemble ou séparément, longtemps, femelles soumises à l'emprise des mâles qui nous envahissaient la vulve sans ménagement.
Quand les bombardements se sont calmés et que nous avons pu reprendre notre souffle, maman m'a dit:
"Merci de m'avoir invitée à ton double rendez-vous, chérie."
"Je ne pensais pas que cela se passerait comme ça. Je n'avais pas prévu que nous allions finir les pattes en l'air, baisées comme des salopes sur le siège arrière d'une voiture!"
"Tout va très bien, chérie. Tu as découvert ce soir ta véritable nature et tu vas pouvoir profiter de tous ces merveilleux moments que procure le sexe. Je suis sûre que tu vas t'épanouir et être très heureuse!"
Elle a ajouté: "Maintenant, ne t'inquiètes pas pour Joffrey. Il a sa vie, tu as la tienne. Tant qu'il se sait rien, il ne sera pas malheureux. Sois une bonne épouse dans ton foyer, et il sera heureux. Sois salope avec tes amants, et tu seras heureuse!"
J'ai beaucoup changé après cette soirée. J'ai continué à baiser avec Marc, au travail, en voiture, chez lui, avec maman et André, mais cette fois on a inversé les partenaires. Il m'a présenté des amis, des "membres éminents"!
Désormais, je suis fidèle à mon mari … quand je suis avec lui!

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