Quel Cul !

Chapitre 1 - Quel cul !

Quel cul ! C'est ce que je me suis écrié en pleine rue quand sortie de mes pensées je me trouve nez à nez avec un croupion à faire damner les saints, les anges, les archanges et toutes les bêtes à bon Dieu de ce côté ci de l'univers. La Jolie demoiselle à qui appartient les formes dodues me jettes un bref coup d'oeil et rouge de honte accélère le pas ! Les passants surpris par mon audace sont soit amusés, soit scandalisés. Moi ennuyé de passer pour un goujat je cour vers la jeune fille pour m'excuser ! Arrivé devant elle je tente en bafouillant d'articuler quelques malheureuses et pitoyables explications... Car le problème voyez vous c'est que si elle a un jolie derrière, le devant est aussi charnue et avenant ! Empêtré dans les plates et inintelligibles excuses, cette fois ci ma langue ne me trahis pas, ce sont mes yeux qui louchèrent et mes joues qui accusèrent réception d'une claque donnée par les plus jolies mains de la création !


Chapitre 2 - Bonniche

Sous sa jupette de soubrette, la bonniche pas chiche offre aux Monsieur la vue des ses dentelles. La frivole affole les caleçons des garçons de la maison.
Montée sur un escabeau, armée d'un plumeau, la servante époussette le haut de la bibliothèque.
Nombreux sont les badauds qui approchent alors de l'escabeau !
La jeunette se jette sur ses conquêtes et entreprend de satisfaire ses partenaires.
Jupe troussée, sexes enfoncés dans ses trois orifices, la mutine offre aux pines une jouissance intense.
Sa place, pour rien au monde elle l'abandonnerait tant sont si bons ses maîtres de Maisons.


Chapitre 3 - Le détective

« - Bourre-moi, ramone-moi, enfonce-moi bien ton chibre au plus profond de mon ventre !
- Toi aussi, mon chérie, entreprend moi par derrière fait doucement venir ton sexe le long de mon conduit anal.
- Mhh c'est bon tout ça, mais j'ai trois trous et il me faut une troisième bite ! Approche donc ma puce que je te gobe ce gland que je vois rosir de désir ! »
Clic ! J'arrête l'enregistrement de la cassette, le reste n'étant que des cris et des soupirs de plaisirs… Monsieur le Ministre avait vue juste, sa femme le trompe ! Et plutôt deux fois qu'une !
Il m'a embauché, moi le détective privé, pour filer discrètement son épouse afin que j'en obtienne la preuve… Jusqu'ici mes deux prédécesseurs n'avaient rien obtenus comme résultats !
Clac ! J'enlève la cassette du magnétophone et la jette au feu… Je rejoins les deux autres détectives qui avaient travaillé pour Monsieur le Ministre et qui maintenant travaillent Madame ! La jolie bourgeoise me regarde dans les yeux et me dit vicieusement …
« Jamais deux sans trois »

Chapitre 4 - Le lapin

Dans ma vie, il m'a toujours fallu une carotte pour avancer ! Et ce dans n'importe quel domaine que ce soit ! Le sexe n'échappe pas à cette règle ! Loin de me contenter du tout venant ou de collectionner les aventures à tout bout de champs, je préfère courir un seul lièvre à la fois et choisir la plus jolie…
Bien sur au début ce n'est pas facile d'aborder la fille la plus belle, tant elle est courtisée et méfiante… Mais je suis patient et ronge mon frein pour patiemment grignoter du terrain.

Doucement, oreilles aux aguets, je l'écoute et lui parle d'elle, petit à petit je deviens son confident, puis son ami et enfin son amant ! Car après avoir fait mon nid auprès d'elle, c'est le trou de sa motte que je creuse… Et tel un lapin je la pine pour en faire ma copine !


Chapitre 5 - Fétichiste des bas

Je suis fétichiste des bas, et ce depuis longtemps déjà. Cela remonte à l'époque de mon adolescence, j'avais une professeur de Français d'environ trente ans qui me plaisait énormément. Mes nuits étaient ponctuées de rêves érotiques la mettant en scène. Elle portait toujours des jupes ou des robes, jamais de pantalons. Sous ses jupes j'imaginais des trésors. Elle s'était aperçue qu'elle éveillait le désir en moi et un jour me convoqua car mes notes s'en ressentaient. Elle me demanda ce qui n'allait pas, moi si bon élève auparavant avait vue ma moyenne en Français chuter de quelques points. Je lui expliquais, rouge comme une pivoine mon obsession pour elle. Loin d'être gênée par mon aveux, elle pris le taureau par les cornes, elle remonta sa jupe et m'exposa ses dessous, des bas accrochés par des portes jarretelles. Elle décrocha les bas et me les offris en me disant "Un petit souvenir pour mon petit admirateur". En échange je lui promis de bien travailler, mais jusqu'a la fin de l'année le soir venu, seul dans mon lit, je prenais ses bas et là c'était le branle bas de combat...

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