Enfin Séparé Je Profite Des Hommes

Après cette soirée au bar de Claude, où je me suis fait rapidement baisé par lui puis plus longuement par l’ami de l’anglais, j’ai définitivement quitté ma femme et entamé une procédure de divorce. Je me suis mis aussi à chercher un appartement parce que l’hôtel me coûte trop cher.

Je viens enfin d’emménager chez moi, c’est petit mais je suis libre de faire ce que je veux. Pour fêter ça je me décide dès le lundi après le boulot d’aller rentre visite à Claude pour enfin finir ce que nous avions commencé la dernière fois. Je passe la journée, malgré le travail, à ne penser qu’à la soirée et la bite du barman qui coulissera bientôt entre mes lèvres et mes fesses.

En fin de journée je prends la direction de la gare et je décide d’y faire un stop avant de rejoindre le bar. J’adore pousser l’excitation au maximum et j’espère que ce soir il y aura du monde et de l’activité. Je ne suis pas déçu les toilettes sont remplis, beaucoup d’hommes attendent devant les urinoirs qui sont tous occupés. Je vais faire un tour vers les cabines, toutes les portes sont fermées mais sur le chemin je me rends compte que les mecs qui attendent se caressent à travers le pantalon, il y en a même un qui a sa bite dehors.

J’attends passivement que quelqu’un s’intéresse à moi ou qu’un urinoir se libère. Je ne suis pas encore assez à l’aise dans ce milieu qui reste nouveau pour moi, pour prendre des initiatives. Je ne patiente pas longtemps pour qu’une main se pose sur moi et me fasse encore plus gonfler le paquet. Le mec se met face à moi en plein milieu de la pièce et une fois que je bande bien il ouvre mon pantalon.

Je suis un peu gêné d’être planté au milieu de tout le monde mais je me rassure en me disant que tous les hommes qui sont là viennent pour de l’action mais aussi du spectacle alors je vais leur en donner. Ma queue raide est rapidement hors de mon pantalon et mon inconnu commence à me branler. Sa main va et vient le long de ma tige alors que la deuxième me tâte les couilles.



Dare dare l’homme s’agenouille devant moi, il commence par lécher mon gland et me titiller le frein. Sa bouche enrobe ma queue et coulisse lentement dessus quand on entend beaucoup de mouvements et quelqu’un répéter:
« Les flics, les flics! »
Je me rhabille alors que mon inconnu se relève, nous sortons tous les deux des toilettes et marchons côte à côte dans la gare.

Il brise le brouhaha qui nous entoure avec un « Dommage » et un clin d’oeil. Je lui demande s’il veut qu’on échange nos numéros mais il me propose de ne pas attendre et d’aller boire un verre. J’accepte avec plaisir mais je préfère pas aller au café de Claude. Une fois autour du comptoir nous commandons chacun une bière et après avoir trinqué mon inconnu me dit:
« On boit rapidement notre verre et on va se finir au toilette? »

Il finit son verre d’une traite, j’essaye de le suivre mais j’ai du mal. Quand il pose sa choppe il me dit:
« Je t’attends en bas »
Il se dirige naturellement vers un escalier et disparaît. Je bois encore 2 gorgées et vais vite le rejoindre. Une fois en bas, je suis dans un petit couloir, j’avance et découvre la première porte ouverte. L’homme de la gare est assis sur la cuvette, il m’attire à lui. J’ai à peine le temps de fermer la porte qu’il a déjà descendu mon pantalon et mon boxer.

Je ne mets pas longtemps à être bien dur, sa bouche est très efficace. Après avoir lécher toute ma tige, ses lèvres aspirent ma queue alors que sa langue donne des petits coups sur mon gland et mon frein. J’att sa tête pour faire coulisser ses lèvres, qui m’aspirent toujours, sur mon mat. Avec sa main droite il sert mes couilles ensemble alors que la droite me caresse une fesse.

Au bout de quelques minutes sa bouche et ses mains quittent mon corps, l’homme se relève et sort de sa poche une capote qu’il me tend et se retourne après avoir enlever son jean et son slip. Il se penche sur le toilette et écarte ses fesses à deux mains.
J’enfile le préservatif et je m’agenouille derrière lui pour préparer son petit trou.

Pendant que je lèche sa rondelle, que je sens déjà bien ouverte, je passe une main entre ses jambes pour lui caresser la bite. Il est entièrement épilé, devant comme derrière, sa queue est plus courte que la mienne mais tout aussi large. J’aimerai bien le sucer, pour le moment je me contente de le sodomiser avec ma langue.

Rapidement un doigt accompagne ma bouche dans ses entrailles puis un deuxième. Une fois que j’ai mon index, mon majeur et mon annulaire qui le lime je me relève et me branle au même rythme que je le ramone. Je retire mes doigts l’un après l’autre et je pose sur son petit trou bien dilaté mon gland plastifié après avoir craché dessus.

Je le caresse du bout de la bite un moment mais il est tellement ouvert que mon gland se fait happer par son cul. Je rentre en lui sans aucune difficulté, je m’immobilise un moment une fois que mes couilles sont contre son corps. J’att mon inconnu par la taille et commence à le limer lentement.

Ses entrailles ont tellement l’habitude d’être visités que je passe rapidement à la vitesse supérieur. Il gémit de plus en plus fort et je dois dire que j’ai moi aussi du mal à me retenir. J’aimerai être silencieux, pour ne pas attirer l’attention, mais je n’arrive pas à me retenir et en plus je commence à le fesser ce qui rajoute du bruit mais surtout de l’excitation.

Je le sodomise à différents rythme mais j’ai l’impression que lui comme moi préférons le côté bestiale. Je l’empoigne fermement pour le faire bouger le moins possible sous mes coups de rein violents. A peine quelques allers retours après je sens les entrailles de mon inconnu se contracter autour de ma tige. J’ai du mal à le baiser aussi amplement qu’avant mais je reste tout aussi animal.

Il gémit tellement que je me dis que tout le bistrot va être au courant de son orgasme. Son cul me masse tellement que je n’arrive plus à me retenir et je me vide dans ma capote tout en continuant à défoncer son cul.
Une fois que je redescends de mon nuage je continue à faire glisser ma queue, un peu ramollie, entre ses fesses. L’homme me fait reculer en me laissant planter en lui et commence à lécher le rabat des toilettes.

Je ne sais pas si c’est d’avoir titillé sa prostate mais malgré ses mains qui n’ont pas quitté le mur, il a éjaculé. Comme la bonne salope qui n’en a jamais assez, il est entrain de lécher son sperme. Vu l’endroit où c’est tombé je suis un peu dégoûté mais tous les goûts sont dans la nature. Une fois qu’il a finit, je décule lentement pour profiter encore de ses parois qui me serre. Quand je sens la base de mon champignon taper sa rondelle je me replante en lui d’un coup sec, ce qui le fait de nouveau gémir.

Une fois que je suis totalement sorti, mon inconnu se retourne et s’assoit sur les chiottes. Il retire la capote et pose ma bite flasque sur la paume de sa main. Il vide mon jus, emprisonné dans le préservatif, sur ma tige. Une fois la capote vide, il la jette par terre et s’empresse de lécher ma bite pour entièrement la nettoyer.

Sa langue passe sur chaque centimètre de ma queue et mes couilles pour récolter mon nectar. Il est tellement doué de sa bouche que, même si je viens de jouir, je me remets à bander. Il ne manque pas de le remarquer et me dit:
« Je comptais te baiser à mon tour mais tu as repris de l’énergie avant moi. Tu veux me baiser encore une fois? »
Je lui réponds que oui mais nous avons beau chercher nous n’avons plus de capote.

J’allais me rhabiller quand il me demande si j’ai encore 5 min, je lui réponds que oui. Il se fait glisser en avant sur les toilettes et relève, avec ses mains, ses jambes et me présente ses fesses bien écartées. Je vois que son trou semble encore ouvert, j’ai très envie de le sodomiser encore une fois mais sans protection il n’en ai pas question. Mais il a une autre idée puisqu’il me demande de le fesser mais avec ma queue raide.

Ma femme, enfin je devrais plutôt dire mon ex femme, adorait quand je frappais sa vulve bien humide avec ma bite tendue avant de la prendre.
Je ne l’ai jamais fais sur un cul mais ça ne doit pas être très different. J’empoigne mon sexe et je commence par des petites bifles (contraction de bite et gifle) sur les fesses. Immédiatement il me demande d’y aller plus fort.

J’accepte volontiers de nous faire plaisir et je tape plus féroces ma queue sur son cul en me rapprochant doucement de son petit trou. J’aime bien mais ce n’est pas la panacée, par contre lui à l’air de bien apprécié parce que sa tige est de nouveau raide. Je me concentre uniquement sur sa rondelle maintenant.

Son sexe me donne envie, dans cette situation je ne peux pas continuer de le bifler et le sucer en même temps alors j’essaye de le branler mais du coup mes fessées sont moins précises. Mon inconnu pose une de ses jambes sur le mur et se branle alors que je continue à abattre ma queue bien noueuse entre ses fesses.

Je n’arrive plus à me retenir, je pose mon gland sur ce trou bien rouge et ouvert et je m’enfonce en lui d’un coup sec. Je m’immobilise un moment au fond alors que sa main s’accélère sur sa queue. Je fais quelques allers retours en lui au même rythme qu’il se branle, ce qui nous fait gémir tous les deux. Mais comme nous nous protégeons pas je me retire rapidement et reprends mais coups de bite sur ses fesses.

Il jouit rapidement mais ne sort pas de grand jet, son sperme se répand doucement le long de sa tige et sur sa main. Par contre ça n’arrête pas de couler, j’ai l’impression qu’il produit plus de sperme que moi surtout pour une deuxième éjaculation. J’arrête mes fessées et je viens frotter mon sexe contre le sien, il empoigne nos deux bites et nous branle en utilisant son jus comme lubrifiant.

J’adore sentir nos queues l’une contre l’autre, comme il demande de plus en plus la manoeuvre devient de plus en plus compliqué. Il m’abandonne et s’assoit de nouveau sur les toilettes, il me suce jusqu’à me faire venir dans sa bouche. Il se relève pour m’embrasser sur la bouche, il a le goût de nos deux semences. Au début je me laisse faire, bien que le sperme me dégoûte toujours mais je ne sais pas ce qui me prend. Je plaque mon inconnu contre moi et pendant que je fais danser ma langue dans sa bouche à la recherche de nos jus, j’empoigne fermement ses fesses.Quand nos lèvres se quittent, je lui donne un bonne fessés avant que nos corps se décollent.

Pendant que nous nous rhabillons il me dit:
« J’ai remarqué que tu aimes les fessées? »
Je n’ose pas lui répondre que ce qui vient de se passer était très spontané mais j’ai bien apprécié alors je lui répond un simple oui. Pendant que nous sortons des toilettes et que nous remontons vers l’extérieur il m’explique qu’il connait un bourgeois qui organise des parties fines très tournées autour des fessées. Je lui demande un peu plus de détails mais il me dit simplement que c’est un groupe d’hommes qui aime se branler, se sucer, se sodomiser, se fesser et même des fois quelques trucs plus hard.

J’essaye d’avoir plus de renseignements mais je n’obtiens rien par contre il rajoute:
« Ce jeudi, il fait une soirée, tu n’as qu’à venir avec moi et tu verras. »
J’accepte mais lui dit que j’aimerai quand même bien au moins savoir son prénom. Il me demande son portable, enregistre un numéro de téléphone sous Sébastien et s’appelle depuis mon téléphone pour, lui aussi, avoir mon numéro. Du coup je prends son téléphone et lui enregistre le dernier appel rentrant sous Romain.

Il est encore assez tôt mais je viens de jouir deux fois alors je me dis que je fais rentrer chez moi et que j’irai demain voir Claude pour qu’enfin il me baise vraiment. Maintenant j’ai un rendez vous supplémentaire, je me demande bien ce que va donner cette soirée de jeudi…..

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