Agathe, Le Week-End À La Mer

Je n’avais pas spécialement prévu d’écrire de suite car, entre autres, je débute dans l’écriture de ce genre de récits. Mais, pour celles et ceux qui voulaient une suite, je me suis dit que ce serait sympa et j’ai plaisir tout de même à écrire mes récits.
Voici donc une suite à l’histoire où Agathe, plus ou moins collègue de travail, m’avait proposé de la rencontrer en dehors de l’établissement où elle travaillait. Nous avions fini à la piscine, dans le hammam puis dans une douche privée pour pouvoir égayer nos premiers ébats.

Aujourd’hui, je vous propose donc un nouvel épisode de cette relation naissante avec Agathe.
Comme à notre habitude, nous nous voyions chaque fois le même jour de la semaine, le mardi, au même endroit, toujours dans un court laps de temps sans aller plus loin que de simple salutations et désormais sourires un peu plus « complices ». Le premier mardi où nous nous sommes revus suite à l’épisode aquatiques, je l’ai effectivement salué simplement. Le second mardi, ayant envie de ressentir à nouveau des plaisirs physiques en compagnie d’Agathe, je l’ai donc salué comme à l’accoutumée, puis profitant de lui faire la bise, je posais délicatement une main sur les fesses en veillant à ce que cela ne se remarque pas auprès des personnes à proximité.
Agathe fut surprise de cet accueil et eut un sourire on ne peut plus approbateur et plein de plaisir, ou d’envie… réciproque.
Et nous en restions ici pour le deuxième mardi. Cette relation débutante était amusante, l’attente entre chaque mardi était agréable car nous attendions à chaque fois ce début de semaine avec impatience pour pouvoir se revoir. Ce n’était cependant pas pleinement satisfaisant comparativement à ce qu’il s’était passé dans la douche à la piscine.
Le troisième mardi arrivait, je me demandais comment l’aborder pour pouvoir prévoir un nouveau rendez vous en plein intimité.
« Bonjour, comment vas tu Agathe ?
- Bien et t… embrasse moi s’il te plait ! »
Après s’être assuré de l’absence d’une quelconque présence autour de nous, je l’embrassais volontiers quelque secondes.

Agathe ne se gênait alors pas pour me tater le paquet…
« Dis moi Agathe, j’aimerais qu’on se revoit bientôt, tu serais libre un week end ?
- Oh… ça doit pouvoir se prévoir oui, pour aller où ? me demanda-t-elle
- Je sais pas… je vais réfléchir… Loin en tout cas, histoire de profiter pleinement. Je te ferai la surprise. Tu me dis mardi prochain quel weekend t’arrange ?
- Oui, bonne semaine, j’y vais ! »

La semaine se déroulait quand le vendredi matin suivant, je la voyais également.
« Coucou John, demain tu peux te libérer pour notre week end ? Ça fait un peu court et je ne pensais pas te voir aujourd’hui mais mon mari part chez ses parents, tu peux même venir à la maison…
- Euh… chez toi peut être pas, combien de fois on a vu des amants se faire surprendre par le conjoint qui revient plus tôt que prévu… Mais oui sinon on peut se faire notre week end demain, c’est inattendu déjà de te voir un vendredi, mais en plus se dire qu’on va se voir dès demain…
- Oui tu as peut-être raison pour le lieu, je prévois quoi comme vêtement ? demandait Agathe.
- Vu la chaleur annoncée, je te laisse voir dans quoi tu te sens le plus à l’aise… après… j’aime bien les femmes sans sous-vêtements, ça m’excite tellement de juste te le dire et de t’imaginer ainsi…
- Avec plaisir, mais… est-ce que t’as déjà essayé de ne pas mettre de boxer toi aussi ?
- Non pas spécialement, mais je suis prêt à te faire plaisir si c’est ce que tu veux. Et ça fera moins de linge à laver ! dis-je en rigolant
- Je vais devoir partir, on se donne rendez vous où ? On y va à une ou deux voitures ? »
Nous convînmes alors d’un lieu et d’une heure de rdv et évidemment, nous voyagerons à une seule voiture.

Je repartais alors en pensant avec une certaine excitation au week end qui s’annonçait.

Samedi matin, 6:00, j’arrivais sur le lieu de notre rdv mais Agathe n’était pas présente. Le temps tournait et je ne la voyais pas arriver.
N’ayant pas son numéro, je ne pouvais donc pas la joindre mais je décidais d’attendre au moins 1h, ça serait dommage de louper une si belle femme à soit tout un week end.
Est-ce que son mari avait réussi à l’empêcher de partir, aurait-elle avoué notre relation… ou une simple panne de réveil…
7:16, la voiture d’Agathe arrivait enfin sur le parking. Il faisait déjà une vingtaine de degrés ce matin et je vis Agathe sortir en vitesse de sa voiture avec son sac.
« Excuse moi John, merci de m’avoir attendue, mon mari m’a surprise en train d’emmener mon gode, je l’ai rassuré en lui disant que c’était pour me satisfaire en son absence ce week end.
- Amusant, dis-je, ne t’inquiète pas, je me doutais que tu finirai par arriver.
- Pardon encore, on y va tout de suite ou pas ? me demanda Agathe.
- Évidemment, enfin à moins que tu veuilles te faire pardonner… lançais-je, ayant tout de même une bonne envie de fellation
- Oh oui avec grand plaisir, vient on va derrière, allonge toi je vais te pomper tu t’en souviendras je te promets ! »
Je m’exécutais alors tout en matant Agathe qui était vêtue d’une simple robe, légère, très courte. J’apercevais sa petite poitrine libre, comme promis, Agathe n’avait mis ni de soutien gorge ni de string dont elle raffole pourtant la semaine quand je la vois au boulot.
Finalement, je ne la laissais pas me sucer plus de 10 secondes :
« Agathe, je suis désolé j’ai envie de te pénétrer tout de suite, je me suis masturbé ce matin en pensant à toi, du coup je ne risque pas de jouir instantanément si tu vois ce que je veux dire…
- Oh s’il te plait, laisse moi te sucer un peu, moi aussi j’ai pensé à toi ce matin, je suis encore toute humide, tu veux ma chatte sur la bouche en attendant ?
- Bon… vraiment parce que tu insiste… et que j’adore te lécher ! »

Agathe ne semblait pas se souvenir de ma demande de pénétration et continuait à me pomper vigoureusement. Je me laissais faire jusqu’à la fin et la fit jouir avec la langue pendant ce temps là, deux ou trois fois.

« Maintenant, John ! »
Avec ces deux mots seulement, je compris qu’elle avait envie que je le prenne en levrette à présent, après m’avoir fait jouir.
Je me positionnais alors derrière elle, en lui enlevant sa robe. Je lui saisi les hanches en commençant des vas-et-viens…

Après ces retrouvailles, nous partîmes alors en voiture pour rejoindre la côte méditerranéenne, située à 2-3 heures d’ici.

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