Fanette 06

Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..."

Jour 6
Tout est chamboulé dès le matin. Notre Maîtresse nous réveille, tout deux, avec de gentils coups de cravache sur les fesses et les flancs. Elle fixe, de suite, une laisse à chacun de nous et nous conduit vers la cuisine. Après nous avoir prudemment retiré nos équipements, après s'être méthodiquement assuré que tout allait bien chez ses deux serviteurs, ses deux chiots dévoués, notre Fanette nous lave, Elle-même, avec le puissant jet d'eau glacial, n'hésitant pas à insister sur nos parties sensibles et toujours endolories. Ses rires et ricanements sont nos seuls réconforts durant cette rude épreuve comme elle utilise, pour une hygiène parfaite comme elle nous l'annonce, une brosse à poils durs. Après nous avoir laissés sécher tandis que nous vidons nos écuelles et que nous lavons la vaisselle, elle nous gratifie de nouveau des mêmes ustensiles.
Rapidement, elle signale son besoin d'affection et, tandis que je satisfais son plaisir, choyant chaque iota de son superbe corps tendrement avec mes mains et câlinant sa divine caverne en suivant toutes ses instructions, Pascal pilonne mon cul sous l'encouragement de sa cravache. Plus son plaisir est grand, plus les coups pleuvent en quantité et en force, plus le rythme du martèlement augmente. C'est alors que je perçois un changement chez mon ami comme, alors que notre Amour s'est allongée maintenant, savourant profondément son énième jouissance, il continue à pilonner, puissamment et sans contrainte, mon cul affligé en poussant de petits halètements. Mon ami prend, apparemment, son pied.
Lorsque notre Déesse émerge, elle se lève et l'encourage, le félicite par de longues caresses dans son cou et sur son dos. Il est, maintenant, totalement conquis et semble partir dans un engrenage d'extase sous les acclamations de Notre Fanette.

Les coups deviennent plus longs, plus réguliers et plus puissants et ses petits halètements se changent bientôt en cris et en hurlements comme il enfonce ce pilier de caoutchouc au plus profond en moi et mon cul s'en souvient encore. Le plus horrible est lorsque, emmené dans cette chevauchée démesurée, emporté par ces hurlements de ravissement, entraîné par les ovations de notre Bien-Aimée, imaginant l'extrême jouissance de mon ami Pascal et percevant la pleine satisfaction de Notre Maîtresse, je sens en moi un puissant bouillonnement prendre naissance au sein de mes entrailles, s'intensifier comme il traverse mon corps entier, se faufilant vicieusement vers mes testicules pour exploser entre mes cuisses et inonder le sol autour de mes genoux largement écartés. Un hurlement bestial sort de derrière mon bâillon et je m'effondre dans ma propre marre de semence, le cul toujours rempli par cet infernal bélier et compressé par le corps maintenant sans vie de mon puissant enculeur d'amour.
Je suis réveillé par de sublimes odeurs. Reprenant lentement mes esprits, j'aperçois Pascal qui cuisine le repas de midi. Je peux voir d'horribles grimaces sur son visage et en découvre rapidement la cause. Sa hampe est toujours dressée et couverte de son fourreau démesuré, mais le doux sac dessous semble garni. Je peux finalement deviner deux atroces pinces qui poussent leurs horribles pointes dans la délicate chair et qui semblent ignoblement lestées par de petits poids de plombs qui oscillent au gré de ses mouvements. Mon regard se détourne alors vers Notre Fanette et se fixe sur ce merveilleux visage visiblement ravi par les souffrances de mon ami, son serviteur.
Je n'ose pas bouger, je peux toujours sentir la marre de jus maintenant refroidie sous mon aine. Je peux percevoir ce liquide gluant s'étirer au moindre mouvement de mon bassin. Je reprends conscience des évènements précédents et je sens ma honte. La douleur dans ma glissière faire surface. Un léger murmure d'affliction trahit mon éveil et, avant de me faire rappeler à l'ordre, je me précipite à quatre pattes mais ne sais pas quoi faire, vu mon état désastreux de fraîcheur
La réponse vient d'elle-même comme notre Fanette se lève et, le regard sévère, me dirige dehors où, avec sa tendresse si grande mais aussi sa fermeté si résolue, elle me lave, me frictionne, me rince le corps entier, insistant sur ce bout de chair entre mes jambes qui m'a donné un plaisir si fort mais si honteusement inattendu.
Mon gland est toujours sensible de ma jouissance et elle le sait comme elle le martyrise longuement avec la brosse dure, me signalant que mon propre plaisir n'est pas autorisé sans SON autorisation. Je me fonds en excuses comme je la sens insisté. Elle me fait comprendre que la punition est liée à la cause et je sais qu'elle a raison. Finalement, je crie, je hurle, je pleure ma désolation tandis que la punition continue jusqu'à ce que mon gland soit cramoisi. Satisfaite de ma prise de conscience, elle m'enlace, elle m'embrasse et m'offre un doux baiser, je suis heureux car je suis pardonné.
De retour à l'intérieur, je vois Notre Fanette saisir deux petits ensembles métalliques, j'ai peur, je veux fuir, mais je sais que, comme mon ami Pascal, je les mérite. Je m'approche d'elle toujours à quatre pattes, me redresse pour lui offrir la cause de son tourment, l'objet de ma désobéissance, mes testicules qu'elle garnit d'une main assurée, lestant les deux globes encore humides de deux abominables poids. J'accepte le prix de ma faute, j'accepte cette punition qui me permet d'être pardonné par mon Amour et de continuer à partager mon extraordinaire destinée avec mon ami de toujours.
Affublé de mon châtiment, je retourne dans mon humble position et, sur son ordre, je m'éloigne pour nettoyer les saletés que j'ai laissées sur le sol. Ces poids sont terrifiants, surtout dans leurs oscillations. Je peux voir la satisfaction sur le gracieux visage de notre Fanette et, progressivement je me sens balancer mon bassin, involontairement au début, pour lui plaire ou pour la provoquer. Ce dangereux manège ne dure pas comme notre Amour se lève, me réprimande et me fesse fortement plusieurs fois.
Le repas de midi se passe calmement. Avant de nous renvoyer travailler, notre Fanette nous place face à face, agenouillés à ses pieds. Elle nous propose aimablement de retirer nos pinces. Ne la voyant pas bouger, Pascal et moi nous regardons l'un l'autre, ne sachant pas si nous avons bien compris et, savourant notre hésitation, notre Fanette nous explique que nous devons chacun retirer les pinces de l'autres.
Novice en la matière, je retire rapidement la première pince des couilles serrées de mon ami mais, lorsque je sens l'atroce douleur comme une des pinces est retirée de mon sac, je reste figé, n'osant pas soulager ma douleur avec ma main et n'osant plus risquer de retirer la seconde pince des couilles de mon ami. J'émets un cri rauque toujours retenu par mon bâillon, accompagné d'un puissant hurlement de Pascal. Je me tortille et m'agite sous les yeux visiblement amusés de notre Fanette mais ne peux que la remercier lorsqu'elle nous permet de nous masser mutuellement. Enveloppant chaque l'orbe torturé de mon ami Pascal, je m'applique comme je peux sentir les bienfaits de ses doigts qui atténuent miraculeusement mes souffrances.
Mais ce bien-être est de courte durée comme notre Fanette devine un plaisir surpassé. Avec raison, notre belle Princesse nous réprimande et décide d'arracher les deux dernières pinces elle même, sans caresses. Mon corps se tord et j'ai peine à tenir mon équilibre, mais je sais que nous méritons ce terrible supplice et je l'accepte.
A peine remis de ce calvaire, notre Fanette nous permet d'aller continuer nos tâches. Comme nous travaillons dans la cour, de temps en temps notre Reine nous appelle. Directement, nous tombons sur nos genoux et rampons vers Elle et prenons de suite nos positions, moi à quatre pattes, mon ami sur mon dos comme deux chiots s'accouplant. Toutes les deux heures, parfois toutes les heures et je peux sentir mon ami y mettre de plus en plus de zèle, mais je suis ravis de pouvoir procurer du plaisir aux deux être les plus chers dans ma vie. Mon cul est en douleur, mais c'est un rappel constant du bon service que je leur offre. La journée passe rapidement, rythmée par ces baises animales, uniquement interrompue par le repas.
L'après-midi offre un revirement total. Notre Reine nous harnache, tous deux, des mêmes équipements; un double tube dans la bouche pour la satisfaire, un fourreau autour du sexe érigé pour prévenir tout attouchement et une queue souple de chien pour maintenir notre cul ouvert.
Chaque fois que notre Déesse désire et souhaite un soulagement, les positions sont alternées, une fois je peux lui procurer de puissants orgasmes tandis que Pascal me lamine le cul; une autre fois, je pénètre mon ami tandis qu'il satisfait notre Amour. C'est une nouvelle découverte extraordinaire pour moi. Je peux voir le tube de caoutchouc glisser plus ou moins vite, plus ou moins loin entre les deux splendides lèvres vaginales et observer les réaction de notre Bien-Aimée, je peux voir et comprendre la relation entre les actions et les réactions afin de m'améliorer à chaque fois et cette prise de conscience me fait redoubler d'énergie comme je pilonne le cul de mon ami, imaginant, sans cesse, que je pénètre, indirectement, proprement, purement et platoniquement, le Nid d'Amour de ma Fanette.
Durant la soirée rien ne change. Je subis maintes fois les assauts de mon ami Pascal tandis que je tente de combler mon amour du mieux que je peux ou je sers notre Maîtresse en stimulant mon ami tandis qu'il butine son doux entrejambe. Malgré les nombreuses jouissances intensives, je sens progressivement un malaise, je ne le comprends pas, mais je le sens.
Au soir, notre Fanette nous appelle dans son lit, nous nous y précipitons.
L'accueil est distant et notre Amour commence à nous expliquer ces conclusions. La sentence est dure à entendre, mais si logique, si cohérente. Notre Fanette ne peut nous départager maintenant que la semaine va se terminer. Nous sommes si bons, si parfaits, si irréprochables, mais elle a besoin d'autre chose. Naturellement, je la comprends, nous la comprenons pleinement. Elle ne peut déchirer l'amitié inconditionnelle que nous avons l'un pour l'autre, l'amour… de l'amour? Avais-je de l'amour pour mon ami, oui, je crois que c'en est, ou pas loin en tout cas. Autant je veux aimer ma Fanette, notre Fanette, autant je ne peux pas me passer de mon ami Pascal, mon amour Pascal. Comment pourrais-je quitter l'un pour l'autre, comment ma Fanette pourrait-elle accepter l'idée de La partager avec l'autre. Notre Fanette a raison, nous avons passé plusieurs heures à l'écouter parler librement, à exprimer aussi quantité d'idées plus ou moins biscornues, à échanger des points de vue ouvertement pour arriver, finalement, à une conclusion évidente; personne ne désire la séparation, personne ne veut perdre les deux autres, nous sommes si bien ensemble.
La proposition de notre amour de prendre un amant est une idée pénible mais oh combien si logique. Nous ne pouvons pas la priver d'un amour, d'un vrai amour mâle, d'un amour plus physique, plus viril…

Fin JOUR 6... A venir JOUR 7

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