Collection Anne Ma Muse. Joyeux Noël (4/8)

Je m’appelle Anne, j’ai 58 ans, j’ai un ami avec lequel je n’habite pas mais dont je suis devenue la maîtresse.
Je ne suis pas loin de la retraite, mais ça ne m’empêche pas d’aimer encore le sexe.
J’aimerais des moments plus hard, mais Pierre qui a 12 ans de plus que moi, commence à avoir des manquements dans sa sexualité.

Ma belle-sœur m’a demandé de recevoir mon neveu Noël pour quatre jours, il a tout bousculé dans notre vie tranquille.
Avec moi, pour mon plus grand plaisir.
Dans ma cuisine assis sur une chaise je me suis donnée à lui, l’aidant à faire disparaître un fantasme qui bloquait sa jeune sexualité envers les femmes.
Un peu plus tard, j’ai pu me rendre compte d'une deuxième chose : côté hommes, il a déjà eu des rapports homosexuels avec un jeune camarade en Martinique sans qu’il y ait eu sodomie.
Et ici, il a renouvelé cela dans mon salon, avec Pierre qui a accepté de se faire sucer, sans que je sache comment ils en étaient arrivés là.

Je préparais le repas du réveillon que nous venons de terminer quand cela s’est passé, me rendant pantoise.
Mais pouvais-je savoir que Pierre avait ces penchants ?
Étant absente à la fin de cette fellation, j’hésite à demander à mon homme si Noël avait avalé.

Le repas se termine et nous décidons d’ouvrir nos cadeaux après avoir trinqué, les douze coups de minuit venant de sonner.

- Je vais mettre l’ambiance, sais-tu danser, Noël ?
- Quels jeunes ne savent pas !

Je démarre la chaîne que mon fils m’a offerte il y a huit ans pour mes cinquante ans.
Il l’avait accompagnée de plusieurs disques à danser.

- Avant que vous ne me fassiez danser, j’ai hâte d’ouvrir mes cadeaux.
- Ça c’est pour vous deux, un petit produit du pays.

Nous l’ouvrons, je me doute de ce que c’est, vue la forme du paquet.

- Une bouteille de rhum de la Martinique, c’est sympa pour faire des grogs.


- Des grogs, Anne, c’est gâcher ce bon produit !
- Non, après nous irons rouler dans la neige comme ce matin.
- Sans moi, de toute façon, je voyais le jardin par la fenêtre quand je préparais le repas, il n’y a déjà plus de neige.
- À toi Pierre, c’est moi qui t’offre ce paquet.
- Je paris que ce sont des pantoufles depuis que tu me dis que je suis pantouflard.

Il défait son paquet qu’il a posé sur ses genoux s’étant déjà réinstallé dans son fauteuil.
S’il n’y prend pas garde, on va le retrouvera un jour momifié dedans, il semble tellement être à l’aise à si vautrer une grande partie de la journée.

- Vue la grandeur et le poids du paquet, je me doute de ce que c’est.
Bien sûr une perceuse sans fil, tu m’as gâté, une 24 volts, je vais pouvoir tout percer dans la maison.
- Tu vas enfin pouvoir réparer deux ou trois choses ici, c’est facile de te vanter que tu es un bon bricoleur et de rester ton cul dans ton fauteuil.
- Je sens le reproche poindre de ta jolie bouche ma Reine, viens m’embrasser.

Ma Reine, marraine, tout est fait ou dit pour que je me souvienne que j’ai baisé avec mon filleul, mais je n’en ai cure et je suppute que la nuit ne va pas se terminer sans que mes deux mecs ne m’honorent.
Une petite partie à trois ne serait pas pour me déplaire.
Si c’est le cas, jusqu’où auront-ils le courage d’aller ?
Mais vidons-nous la tête de ces pensées lubriques, j’ai hâte de voir ce que Pierre m’a offert.
Noël, comme Pierre, s’est installé dans mon fauteuil, profitant que c’est moi qui vais chercher les paquets que papa noël a déposé à son pied.
Une nouvelle fois à minuit j’ai dû m’endormir, je ne l’ai pas vu les déposer, j’aime rester une petite fille attendant ses cadeaux !
Je passe de Pierre à Noël et je les embrasse, j’en profite pour leurs caresser la queue en passant discrètement ma main sur leur pantalon.
En ce moment c’est encore le calme plat.


- Pour toi Noël, cadeau spécial de Pierre et de moi pour tes vingt ans, date qui marque pour un homme.
- Surtout le jour où il s’est fait dépuceler, encore merci Anne.
Besançon est la capitale de l’horlogerie, nous avons pensé que tu en aurais besoin d’une.

Il ouvre son paquet, ses yeux lui sortent des orbites.

- Quelle belle montre, j’adore le bracelet orange, elle est magnifique.
- Ce n’est pas une Rolex, tu es encore trop jeune.
- Et je n’ai pas encore réussi ma vie, j’ai le temps, il paraît qu’il faut avoir cinquante ans.
- Certes, de plus, la marque Rolex est fabriquée en Suisse alors que la nôtre est 100 % française et assemblée ici à Besançon.
- C’est bien de promouvoir notre propre produit, c’est comme chez nous, avec nos bananes.

On se regarde et nous éclatons de rire, la soirée est vraiment décontractée comme je les aime.

- À moi, j’ai hâte de voir ce que papa noël m’a apporté.
Vue la forme de ces deux paquets et leur poids, j’échappe au fer à repasser.
Je le lui aurais fichu à la figure, même si je ne l’ai jamais fait.
- J’ai failli ne pas te les offrir quand j’ai su que ton neveu venait, je lui ai envoyé un SMS pour lui dire de les déposer quand je vous ai vu ce matin.

J’ouvre la grande boîte.
Un déshabillé vaporeux violet, avec nuisette le tout très vaporeux.

- Il est fou ce père Noël, aurait-il l’intention de revenir pour me sauter ?
- Ouvre l’autre, au lieu de dire des conneries.

Aucun humour mon mec, mais je l’aime tout de même.

- Père noël, quel coquin tu es, regarde Noël c'est un gode, avec vibrations multi vitesses et stimulateur de clitoris.

Je regarde vers le plafond voyant mon étoile au sommet de notre sapin qui a la tronche en biais.
Je suis excitée, mais aussi gênée.

- Père noël, viens quand tu veux, inutile d’attendre un an, je serai toujours disponible bien que j’aime mon fou d’amant qui sait toujours me faire plaisir.

- Père noël, merci pour le gode, ma petite salope ne me harcèlera plus tout le temps pour que je la saute, car elle m’épuise parfois.

J’adore quand il fait de l’humour, c’est tellement rare.

- Un strip, un strip, à poil, à poil.

C’est Noël qui veut que je m’exhibe.
Je l’ai déjà fait devant Pierre dans les premiers temps de notre rencontre, il était plus actif dès qu’il me sentait disponible.
Il est vrai que c’était à tout instant et partout, comme avec Noël, dans la cuisine ou le jardin dans la neige.
La neige, j’en ai aucun souvenir, c’est vrai qu’il craint le froid.

- Messieurs et vous père noël si vous êtes un peu voyeur, je reviens.
Un petit besoin naturel et après j’entamerai mon strip-tease puisque c’est ce que vous semblez attendre de votre belle petite catin au seins ronds, gros et fermes.
J’oubliais père Noël, je n’oublierai pas mon clito.
Pierre recharge la cheminée pour que je n’ai pas froid et toi Noël, rapproche les fauteuils à un mètre l’un de l’autre et face à face.
À tout de suite.

Je retourne dans ma chambre.
Comme je vous l’ai dit dans le chapitre III, j’avais simplement mis ma robe longue entièrement blanche, sans aucun dessous.
Je passe mes Dim up et je remets mes chaussures à hauts talons.
Je vais faire un pipi, je n’oublie pas de m’essuyer la chatte avec du papier avant de les rejoindre.
Je récupère mon fume-cigarette en nacre télescopique très long dont je me servais du temps où je fumais et qui était rangé dans ma table de nuit.
L’escalier sur le côté donne au-dessus du salon, je le descends, mes hommes ont fait ce que j’ai demandé et se sont installés dans les fauteuils.
Ils ont ôté leur chemise, la chaleur émise par la cheminée doit les avoirs aidé à les enlever.

La sono diffuse un slow langoureux, j’ai du temps, le CD a une durée de presque une heure, que de la musique douce.

J’adore ce CD, j’aime danser et comme Pierre aussi nous le faisons de temps en temps.
J'ai l'habitude de me frotte le sexe sur son pubis et généralement il me prend à me faire hurler de plaisir sur la peau de bête devant notre cheminé.
J’arrive aux dernières marches, ils entendent mes talons et lèvent la tête.
Je me vois dans la grande glace que j’ai finie par arriver à mettre en place par Pierre il y a moins de 15 jours.
C'est ce qui m'avait fait penser à la perceuse pour ce noël car il pestait après celle qui avait un fil trop court, sans rallonge.

Dietrich, Marlène pour les intimes, en blanc alors qu’elle était tout de noir vêtue dans l’ange bleu quand elle approchait de la chaise où elle allait allumer les hommes.
Marlène qui se déhanchait jusqu'à la chaise alors que moi je me déhanche en allant vers les hommes, ayant capté leur attention, jusqu’aux genoux de Pierre sur lesquels je m’assois.
Au rythme de la musique, j’aurais dû faire strip-teaseuse.
Je pose mon pied et surtout mon talon sur le paquet de Noël qui semble prendre du volume.
J’appuie légèrement, je ne veux pas le blesser, mais lui faire voir qu’il est à ma merci.
Je tire sur mon fume-cigarette vide, le regardant dans les yeux.
Il comprend et détache ma chaussure.
Ma robe a glissé, il voit l’intégralité de mon bas et surtout le triangle de ma chatte.
Je lui jette ma chaussure à la figure, il l’att au vol, la retourne et suce le talon effilé d’une manière très sensuelle.
Je mouille, cette situation est très érotique.
Je suis sûre de tacher ma robe, mais peu m’importe, je me lève.
La glace me renvoie mon image, celle d’une salope qui n’attend que de se faire baiser.
Je m’assois sur la bite entièrement tendue, du moins à ce que j’en sens de Noël et je recommence mon manège avec Pierre.
Ma chaussure dans sa main et lascivement comme la louve que je souhaite être, d’un mouvement de tête, je lui montre mon bas qu’il commence à rouler avant que je ne lève la jambe, lui montrant carrément la nudité de mon anatomie.
Je balance le bas qui atterrit sur sa tête.
Je me relève cachant encore les trésors que je souhaite leur offrir. Je m’assois de nouveau sur mon amant de mon jardin et lui tendant la jambe, il m’enlève mon bas, profitant lui aussi de la vue sur mon triangle pubien.
C’est à ce moment qu’un de mes vieux fantasmes me vient à l’esprit.
Pourquoi repousser le moment de le réaliser !…

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