Le Trio Infernal Avec Sophie Et Georges, La Suite

Il y a eu une erreur de publication, la première partie de cette histoire « Le trio infernal avec Sophie et Georges deuxième rencontre », a été publié en date du 07/11/2018

Après mettre fait sucer par Georges puis sa femme et enfin les deux en même temps. Après avoir défloré, du moins avec une vraie queue, le cul de Georges. Après avoir vu madame sodomiser monsieur avec un double gode, puis s’enfonce l’autre partie dans la chatte. Après avoir vu monsieur toujours avec ce double gode dans le cul et madame se l’enfoncer aussi dans le cul. Après les avoir vu tous les deux se sodomiser avec le même jouet alors que leurs fesses claquées l’une contre l’autre.

J’ai rempli la bouche de Georges avec mon jus qui stagnait dans mes couilles depuis trois jours. Sophie a voulu avaler les dernières gouttes et à force de me sucer m’a, rapidement, refait bander comme âne. Bien évidement pendant ce temps le couple a continué de se sodomiser mutuellement. Madame se recule alors que le gode rester planter dans le cul de Monsieur.

Elle me tend un nouveau préservatif que je m’empresse d’enfiler et je recommence à sodomiser Georges. Il gémit de plus en plus fort alors que sa femme part chercher un gode ceinture poser sur le bureau. Pendant qu’elle s’harnache avec, je ramone de plus en plus fort son homme. Evidement je le fesse régulièrement et de plus en plus fort.

Une fois qu’elle est prête, elle se branle la bite en plastique qu’elle a maintenant entre les jambes et commence à fesser son mari avec . Sophie le biffle (contraction de bite et gifle) de plus en plus fort en me disant:
« Je sais qu’il adore ça! »
J’ai quand même pitié de lui alors je calme la cadence mais j’ai aussi peur de recevoir des coups moi aussi.

Par contre je m’occupe de son autre fesse avec ma main. Une fois qu’il est bien rouge du côté de sa femme, elle arrête les biffles. Elle vient devant lui et lui présente la fausse bite, qui ressemble à une vraie, à sucer.

Il se jette goulument dessus alors elle lui caresse les cheveux d’une main et se malaxe les seins de l’autre.

Georges avance pour avaler encore plus la bite en plastique de sa femme et recule pour bien s’empaler sur la mienne. Sophie qui a besoin de tout commenter ce soir lui dit:
« Vas y! Suce bien ma queue pendant que la sienne te baise! »
Son mari veut lui faire plaisir et redouble sa cadence, ses fesses écrasent mes couilles à chaque fois qu’il s’empale sur moi.

Madame me dit:
« J’ai hâte que ça soit mon tour. »
Pas besoin d’en dire plus je comprends que je vais devoir déculer. Je profite encore un moment de se son petit cul bien serré mais quand je la vois quitter la bouche de Georges je me retire tout doucement.

Quand elle vient me rejoindre, je me rends compte que sa fausse tige est un peu plus longue que la mienne mais de la même largeur. Au moins maintenant elle ne pourra plus prétexter ouvrir encore plus le cul de Georges pour me le voler. Elle me roule un bonne pelle et avant de prendre ma place, elle me dit:
« C’est de ta bite dans mon cul que je parlais. »
Elle m’embrasse une nouvelle fois et enduit le jouer qu’elle a entre les jambes de lubrifiant.

Une fois qu’il est bien luisant elle l’enfonce doucement entre les fesses de son mari. Pendant ce temps je retire la protection qui entoure mon sexe et je donne ma bite à sucer à Georges. Il se jette dessus avec gourmandise et me suce ardemment alors que sa femme écarte ses fesses à deux mains. Je la vois gigoter, sûrement pour bien positionner son gland en plastique. Elle s’enfonce d’un coup sec en lui.

Elle lui donne une grosse fessée et commence à le ramoner doucement en lui disant:
« Dis moi que tu aimes ça! »
Malgré sa bouche remplie par ma tige ou l’entend distinctement dire:
« OOOOh, ouiiiii »
Elle lui donne une série de claques sur ses fesses qui rougissent et rajoute sur un ton sec:
« Alors pourquoi tu l’as prends pas entièrement! »
Et il reçoit une nouvelle série de fessées.


Il se concentre moins sur moi mais me garde en bouche et bouge de plus en plus son cul, maintenant uniquement vierge de tout poil. Vu les gémissements de Sophie je comprends qu’elle est satisfaite mais elle lui assène de nouvelles claques sur son cul déjà bien rouge avant de lui dire:
« Allez je sais que que peux faire mieux que ça, Vas y défonce toi! »
Elle fait couler du lubrifiant le long de la raie qui est devant elle alors que Georges recule le plus possible pour bien s’empaler.

Il ondule tellement du cul que ma queue quitte sa bouche, il se met à gémir comme une femelle. Je me décale pour admirer cette sodomie et je vois que Sophie empoigne la queue et les couilles qu’elle a entre les jambes. Son mari ne pourrait en prendre encore plus dans le cul pourtant elle continue de le fesser comme une sauvage.

Maintenant il se sodomise tellement bien tout seul sur cette bite en plastique, qu’elle lâche le gode ceinture et se malaxe les seins. J’abandonne ma queue et je lui pince les tétons, elle se met à gémir et ne gueule plus sur son mari. Ses cris à lui sont encore plus fort que ceux de sa femme. Il se déchaîne encore plus sur ce jouet en plastique qu’il le faisait sur ma queue.

Sophie abandonne sa lourde poitrine pour attr son mari par la taille et bien lui défoncer les entrailles. Elle est très brutale dans ses mouvements mais son homme hurle son plaisir, je me demande même s’ill n’est pas entrain de jouir du cul surtout qu’entre deux « Oh oui », il glisse régulièrement un:
« J’adore ça! »
Je ne sais pas si c’est un code entre eux mais à chaque fois qu’il le dit elle lui donne une bonne fessée qui le fait encore plus gémir.

Je me mets debout sur la table, à côté de Georges, je la pointe vers sa femme pour qu’elle me suce. Exactement comme elle la fait, 20 bonnes minutes plus tôt pendant que je sodomiser monsieur, avec sa poitrine. Elle se jette dessus comme une affamée tout en continuant à donner de sacrés coups de rein à son mari.
Elle recrache ma bite uniquement pour crier sur lui ou l’encourager dans ses gémissements.

Au bout de quelques minutes, les cris de bonheur de Georges se font de moins en moins puissant. Tout comme sa façon de reculer les fesses pour s’empaler sur la fausse queue de sa femme. Alors qu’elle colle mon gland contre sa glotte et qu’elle m’aspire elle s’enfonce d’un coup violent, au plus profond des entrailles de son mari.

Elle reste bien planté en lui mais fait tout le contraire sur mon sexe. Elle me suce divinement, c’est un fin mélange de lèvres, langue et même des dents. Sa main droite serre, fermement, mes couilles l’une contre l’autre, c’est à mon tour de gémir. Elle continue de me lécher quelques minutes en fessant régulièrement monsieur qui ondule du cul.

Elle me recrache, donne une dernière grosse claque à Georges et en déculant lentement elle déclare à mon attention:
« J’en ai marre de son cul. Maintenant j’ai envie de ta queue en moi! »
Elle donne quelques coups, avec sa bite en plastique, sur les fesses de son homme. Ensuite elle ouvre le harnais qui entoure son entrejambe et son porte jarretelles.

Elle vire monsieur de sur la table, il va s’assoir sur le canapé avec la bite dressée. Sophie prend sa place à 4 pattes sur la table et une fois en position, pendant que je déroule un nouveau préservatif sur mon mat, elle me dit:
« Tu vas voir comme le sodomiser m’a fait mouiller! »
J’ai effectivement hâte de le vérifier.

Je viens m’installer derrière elle, je l’att par les hanches, je tire sur mes mains pour bien ouvrir ses trous. Mon gland trouve tout de suite le chemin et je m’enfonce en elle tout aussi brutalement qu’elle l’a fait dans le cul de son mari. Je la lime délicatement alors qu’elle commence à gémir. Avec mes mains, maintenant, je pousse vers l’intérieur pour resserre sa grotte.

Elle gémit de plus belle et tourne la tête vers son mari, je fais comme elle. Il se branle la bite bien droite en me regardant baiser sa femme.
J’accélère légèrement le rythme et ses cris deviennent plus profond. Je me recule doucement pour sortir et la posséder encore plus violemment, comme elle aime, mais elle me dit en tournant la tête:
« Où tu vas? Reste en moi et baise moi bien je vais jouir. »

« Vos désirs sont des ordres Maitresse Sophie! »
Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça mais le mot « maitresse » à réveiller la tigresse qui est en elle. Elle se met à onduler du cul et crier son plaisir, elle ne regarde plus son mari mais lui adresse des oui. Même sens être totalement sorti je l’empale violemment sur ma tige. J’appuie assez haut sur le haut de ses fesses, je ressens la pression jusqu’à ma queue et je la besogne de plus en plus fort.

Je ne relâche la pression que pour lui donner une bonne fessée, que régulièrement elle me réclame. Elle pose sa tête sur la table pour prendre appuie et encore plus se cambrer. Elle fait partir ses bras en arrière, je suis obligé de pousser les miens et elle pose ses doigts sur ses grandes lèvres tout en entourant ma tige qui coulisse en elle de plus en plus sérieusement.

Je la lime passionnément dans cette position, mais mes coups de reins deviennent tellement puissant qu’elle perd l’équilibre. Elle se réinstalle bien à 4 pattes, Georges, dont j’avais oublié la présence, vient écarter les fesses de sa femme. Je me plante en elle d’un coup sec et recommence à la ramoner tout aussi passionnément. Maintenant qu’elle prend appuie avec ses mains ça devrait le faire.

Alors que monsieur à toujours ses mains sur les fesses de sa femme, j’ai l’impression que son petit trou m’appelle. Je ralentis un peu la cadence et je masse sa rondelle avec mon index. Immédiatement Sophie crie son bonheur, même si je sens qu’elle est bien serrée, j’appuie sur l’entrée de ses entrailles. Elle ondule et manifeste de plus en plus son plaisir alors que son mari à repris sa branlette sur le canapé.

Je crache entre ses fesses, récupère le tout avec mon index et je l’enfonce doucement dans sa rondelle bien serrée en même temps que je retourne dans sa chatte. Plus je fais rentrer mon doigt plus je sens sa grotte se referme autour de ma queue. Quand je le fais tournoyer dans ses entrailles, son con produit une longue série de contraction qui me stimule encore plus. Je vois Georges s’exciter de plus en plus fort sur sa nouille pour rejoindre sa femme dans l’orgasme.

Quand elle sort ses derniers cris puissants, son homme crache 3 belles giclées de jus bien épais. Je ralentis la cadence de mes allers retour dans son sexe mais redouble d’effort dans son petit trou ce qui lui arrache quelques sursauts. Je laisse mon doigt en elle mais retire lentement ma queue de sa grotte. Une fois dehors j’empoigne ma queue et je fais signe à Georges de m’écarte de nouveau les fesses de sa femme.

Je fais encore quelques allers retour avec mon index avant de le retirer. Je claque ma tige, toujours emballée dans le latex, directement sur sa rondelle bien ouverte puis je m’enfonce d’un coup sec dans sa grotte. Je la lime un petit peu pour être sûr que le préservatif soit bien humide, j’att la bouteille de lubrifiant et en fait couler le long de sa raie bien ouverte grâce à monsieur.

Je me retire de son con et je pose mon gland à l’entrée de ses entrailles. Je pousse un peu, j’ai du mal à la transpercer, du coup je lui assène quelques bifles avant de me représenter entre ses fesses. Je mets un peu plus de pression, cette fois ci et je vois lentement mon champignon s’enfoncer dans son cul. Sophie lâche quelques gémissements qui sont un doux mélange de douleur et plaisir.

Le reste de ma tige s’enfonce plus facilement en elle, je vais vérifier si elle aime vraiment sentir mon gland passer. Je décule complément, repose mon champignon sur son petit trou, que Georges m’ouvre toujours et je presse à nouveau. Mon gland à tout autant de difficulté à passer que la première fois du coup je prends encore plus mon temps jusqu’à me planter complètement en elle.

Je n’en peux plus j’ai trop envie de son cul et d’après ce qu’elle dit, elle de ma bite dedans. Je la ramone directement vivement en n’oubliant pas de la fesser régulièrement. Sophie gueule de plus en plus fort, elle prend appuie sur la table avec son épaule et sa tête et lance son bars droit entre ses jambes. Elle se met à r son clito ce qui la fais gémir de plus belle.

A chaque fois que je lui donne de gros coups de rein, elle lâche un long:
« Aaaaaaaaaaaahhhhhhh. »
Je le fais plus régulièrement puisque je sens maintenant qu’elle a des doigts dans sa moule. Georges est accroupie sur ma droite avec une de ses mains sur l’entrejambe de sa femme. Je sais pas les doigts de qui son sur le clito et lesquels dans son sexe.

En tout cas je prends un grand plaisir à leur jeux en sentant des doigts de l’autre côte de la fine membrane. Sophie aussi profite bien de ce moment puisque je sens ses sphincters se contracter autour de ma bite. Elle jouit du cul alors qu’il y a peine 15 minutes c’était ma bite dans sa chatte qui lui donner un premier orgasme. Georges aussi profite de la situation puisque avec sa main de libre il caresse son sexe qui est à nouveau dur et tendu.

Alors que les spasmes de Sophie diminuent, je ralentis un peu la cadence car je vais moi aussi jouir. Je sens les doigts sortir doucement de sa chatte puis elle retire aussi la main de son mari qui profite de la cyprine qu’il a sur les doigts pour se branler encore plus sauvagement. Madame avance doucement pour me faire déculer.

Dès que je suis sorti, elle se retourne et s’assoit sur la table, elle arracha la capote qui entoure ma queue et me fait rentrer au plus profond de sa gorge. Elle me suce goulument puis fais signe à son mari de la rejoindre. Il abandonne immédiatement sa tige pour sucer mon gland que sa femme lui tend.

Il me lèche comme il le ferait avec une sucette pendant que Sophie fait courir sa langue sur toute la longueur de ma queue. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir, Sophie le comprend aussi en tâtant mes couilles. Elle m’abandonne et retire aussi les lèvres de son homme qui m’avalent de plus en plus. Elle se lève en malaxant ses seins et elle déclare:
« Ce n’est pas fini les garçons, je veux que vous arrosiez ma poitrine. »

Elle s’allonge, toujours sur la table basse, mais cette fois sur le dos tout en continuant à masser sa poitrine. Je suis le premier à jouir, je me retiens depuis trop longtemps. J’envoie 6 gros jets son sur sein gauche, qu’elle empresse d’étaler, je vois un filet blanc couler vers l’intérieur de sa poitrine. Puis elle presse ses grosses mamelles l’une contre l’autre et quand elle les écarte, mon sperme s’étire comme une toile d’araignée.

Alors que je continue de branler ma bite qui ramollie, Sophie presse bien ma tige pour extraire les dernières gouttes. Devant ce spectacle Georges éjacule, pour la deuxième fois, mais n’envoie que deux petites giclées sur le sein droite de sa femme qu’elle s’empresse d’étaler avec autant de passion. Comme pour moi elle va chercher les dernières gouttes dans la nouille de son mari qui se rétracte très rapidement.

Elle me fait un grand sourire, comme pour me remercier de ce moment et empoigne les couilles de monsieur et l’attire vers le bas. Elle pose sa main, derrière la tête de Georges, qu’elle plaque sur sa poitrine pour lui faire lécher toute notre jouissance. Je décide de leur laisser ce moment pour le couple et m’eclipse dans la salle de bain.

Maintenant que je me suis bien vidé les couilles, c’est autour de ma vessie, puis je reste une bonne dizaine de minutes assis sur le rebord de la baignoire pour leur laisser un peu d’intimité. Quand je vais les rejoindre dans le salon, ils sont assis sur le canapé, Georges est dans les bras de sa femme. Dès qu’elle me voit, elle me dit:
« On se disait qu’on espère que tu as aimé et que tu seras d’accord de remettre ça! »

Je leur confirme que ça sera avec grand plaisir, qu’on essayera quand même de varier. J’avais prévu un sac, au cas où il me proposerai de rester dormir mais je préfère rentrer chez moi pour les laisser entre eux. Quand je leur fais par de mon ressenti, ils me propose d’au moins prendre un apéritif ensemble et j’accepte. Ils se lèvent et vont chercher de quoi boire et grignoter.

Nous prenons l’apéritif en restant tous les trois complètement nus, rapidement Sophie se met à bailler du coup je leur dis que je vais rentrer mais elle insiste pour que je reste. Elle me dit que lendemain ils ont un déjeuner familial et devront quitter la maison vers dix heures mais qu’ils ont très envie que nous partagions tous les 3 leur grand lit.

J’accepte et nous accompagnons Sophie au lit, je commence à l’entreprendre mais elle me dit qu’elle plutôt fatigué et préfère se réserver pour demain matin. Juste avant de fermer les yeux, elle me dit que si je veux profiter de son mari que je fasse comme chez moi. Nous quittons tous les deux la chambre.

J’aide Georges à débarrasser et ranger alors que nous sommes toujours à poil. J’en profite de temps en temps pour lui pincer un téton, lui caresser les fesses ou la queue. Par contre lui n’ose pas me toucher. Une fois que tout est rangé nous buvons un dernier verre et quand nous allons nous coucher je profite une nouvelle fois de son petit cul.

Sophie dort à côté de nous pendant que je le sodomise alors qu’il me chevauche mais je vois bien que de temps en temps elle ouvre un oeil pour profiter de ce que nous faisons. Nous jouissons en 69 et je m’endors au milieu du couple avec ses deux corps nus et différents autour de moi.

Le lendemain matin nous nous réveillons trop tard pour bien jouer dans le lit mais je me douche avec Sophie et profite un bon moment de sa petite chatte. Nous fixons de nous revoir rapidement mais cette fois avec test sanguins pour encore plus prendre du plaisir. C’est ce que nous avons fait mais ça c’est une autre histoire…

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