La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1264)

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1263) –

Ils rejoignent la grande salle de réception, où Stéphanie les attend... Elle a déposé divers échantillons sur la grande table, afin que le couple puisse choisir les détails. Elle leur présente les décorations, leur donne son avis, et leur demande le leur.

- Chérie, qu’en penses-tu, demande Laurent.
- Je ne sais pas, j’aime bien tout, il faudrait voir avec Monsieur Le Marquis, répond-t-elle.
- Pourquoi aurais-je mon mot à dire sur la décoration de votre mariage ? interroge Le Noble respectueux des choix du couple.
- Parce qu’il se passe en Votre château, Maître et que je ne voudrais pas dénaturer l’endroit.
- C’est tout à ton honneur, mais l’endroit est à vous pour le weekend, je veux que ce jour reste gravé en votre mémoire, donc vous avez carte blanche, sourit-Il.

Ils terminent de décider des détails, puis Le Noble les invitent à rejoindre son salon privé pour prendre le thé. Vanessa s’assoit dans le canapé aux côtés de Laurent, sans oublier de relever sa robe pour poser son fessier nu directement sur le cuir. Elle le fait discrètement, mais Stéphanie qui l’observe lance un clin d’œil à Laurent, qui lui répond par un sourire. Ils discutent de divers sujets dans une ambiance conviviale, Vanessa prenant activement part à la conversation, sans oublier de s’adresser avec respect au Châtelain. Un esclave mâle nu au sexe encagé vient leur servir le thé, Stéphanie profite du moment où il la sert pour lui flatter la croupe mais ne s’y attendant pas, il fait tomber une goutte sur sa botte. En une fraction de seconde, il se prosterne devant elle.

- Madame, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses, cette maladresse est indigne d’un serviteur du Maître, je mérite une sanction, s’empresse-t-il d’articuler d’une voix parfaitement posée.
- Hum, vos esclaves sont toujours aussi bien dressés, je vous félicite Monsieur Le Marquis.


- C’est un moindre mal après une telle maladresse, gronde Le Noble faisant comprendre son mécontentement à l’esclave toujours prosterné. Je te laisse le soin de décider de la sanction, continue-t-Il.
- Avec joie, répond-t-elle. Avant tout, commence par réparer ton erreur, ordonne Stéphanie.

L’esclave se redresse à quatre pattes et vient lécher la goutte sur sa botte, puis il se prosterne de nouveau, attendant sa décision.

- Vas me chercher une cravache, ordonne-t-elle.

L’esclave se dirige à quatre pattes jusqu’à une commode située dans le coin de la pièce, y récupère l’objet exigé, le place entre ses dents et vient le présenter à Stéphanie. Celle-ci se lève face à lui, le dominant de sa hauteur, se saisit de l’objet, puis le prend par le collier pour le placer à quatre pattes au centre de l’assistance. Stéphanie tourne autour de lui, savourant par avance de marquer ce corps qui lui est totalement offert. Le Noble et le Commandant observent attentifs la scène, mais Vanessa détourne le regard, ne souhaitant pas voir un de ses frères de soumission subir une sanction. Monsieur Le Marquis s’en aperçoit, il s’amuse de la voir sursauter au son du premier coup de cravache, comme si elle avait elle-même été touchée. Stéphanie frappe dans une cadence soutenue la croupe de l’esclave fautif alors qu’il compte sans faille chacun des coups qui laissent des zébrures sur son fessier nu. Après une vingtaine de coups appuyés, elle lui tend la main qu’il baise tout en la remerciant. Aussitôt a-t-il terminé, qu’il se prosterne aux pieds de Monsieur le Marquis.

- Maître, j’ai bafoué Votre éducation devant vos Invités, je Vous implore de bien vouloir sanctionner cette conduite indigne d’un esclave MDE.
- Hum, vas te placer debout, mains sur la cheminée, cul tendu vers nous, ordonne-t-Il.

Sans attendre l’esclave s’exécute, prenant la position imposée, exposant à tous son cul zébré, patientant la sentence du Noble.


- Vanessa, veux-tu bien me faire ce plaisir ? interroge-t-Il désignant la cravache laissée sur la table basse. Ce chien ne mérite certainement pas Ma main.
- C’est que…hésite-t-elle.
- Si je ne peux pas le demander à Vanessa, je l’ordonnerais à Keira MDE, sourit Le Noble.
- Entendu, dit-elle dans une grande inspiration tout en se levant, prenant la cravache avant de rejoindre le jeune homme esclave.
- Inutile de préciser que l’intensité doit être égale à ce que j’aurais appliqué moi-même. Je t’en prie commence et ne l’épargne pas.

La jeune femme sert fortement sa main sur la cravache, cherchant en elle la force de sanctionner son frère de soumission, puis sans hésiter et, sans retenir son bras, elle donne le premier coup qui vient ajouter une zébrure à l’arrière des cuisses de l’esclave mâle. Vanessa continue un long moment, alternant entre son dos, ses fesses, le derrière de ses cuisses, lui laissant le temps entre chaque coup de compter dans un souffle. Après une trentaine de coups, estimant qu’il a suffisamment enduré, elle se retourne vers Le Noble qui lui fait signe de continuer. Vanessa reprend donc à contrecœur sachant pertinemment que son avis n’est pas requis. Alors que les jambes du jeune homme commencent à trembler, un claquement de doigt lui fait comprendre qu’elle peut stopper, Vanessa pose donc la cravache sur le rebord de la cheminée, voyant l’esclave s’agenouiller pour lui baiser la main.

- Merci Madame d’avoir daigné m’appliquer la juste sanction décidée par Le Maître.

Un autre claquement de doigt fait comprendre à l’esclave de rejoindre Le Noble, alors que Vanessa rejoint sa place. Il se prosterne aux pieds du Maître.

- Merci Maître d’avoir corrigé mon erreur, je vous prie d’accepter mes excuses.
- Excuses acceptées, file rejoindre les cuisines et tu supplieras à Madame Marie de te corriger en complément de sanction car renverser, ne serait-ce qu’une seule goutte de son thé qu’elle a préparé, est un affront pour elle…

L’esclave quitte la pièce sans demander son reste, laissant les convives déguster leur thé.
Vanessa connaissant le sadisme de Marie la cuisinière sait que l’esclave mâle sera fortement puni. Puis, elle prend sa tasse de chocolat la main tremblante, ce qui fait sourire Le Noble.

- Je me demande si tenir la cravache n’est pas une épreuve plus difficile que de la recevoir, te concernant, s’amuse-t-Il.
- Effectivement, confirme la jeune femme qui a conservé les yeux baissés.
- Pourtant vous dosez la force à la perfection, intervient Stéphanie. J’aurais aimé avoir ce talent lors de mes débuts.
- Merci, mais cela reste plus une épreuve qu’un plaisir, répond Vanessa.
- Vous n’en ressentez aucun plaisir ?
- A part celui d’obéir au Maître auquel j’appartiens, répond Vanessa.
- C’est tout à votre honneur. Je reconnais là, la force de caractère qui anime Vos favoris, Monsieur Le Marquis.
- Vanessa sait effectivement s’appliquer à me plaire, sourit Le Noble satisfait. Bien maintenant, que diriez-vous d’une balade à cheval dans le parc, propose-t-Il.

Laurent et Stéphanie acquiescent avec joie, mais Vanessa ne répond rien, une sorte d’anxiété apparait sur son visage.

- Quelque chose ne va pas, s’inquiète Le Noble ?
- Non, non, tout va bien, c’est simplement que…je ne sais pas monter à cheval.
- Tu n’es jamais monté ?, s’étonne-t-Il.
- Non, Maître.
- Je vais me faire un plaisir de t’apprendre, si toutefois cela t’intéresse, car tu es libre de refuser.
- Ce serait avec plaisir, Maître, sourit-elle.
- Bien, alors allons-y.

Les convives suivent Le Noble jusqu’aux écuries, là Laurent et Stéphanie scellent les chevaux qui leur ont été désignés, pendant que Le Marquis se dirige vers le box de son cheval accompagné de Vanessa. Il montre à la jeune femme comment approcher l’animal, un magnifique pur-sang anglais puis comment l’équiper, avant de l’aider à y monter, se plaçant derrière elle. Il passe ses mains autour d’elle, prenant les rênes pour démarrer, puis après quelques mètres prends ses mains pour l’aider à prendre les commandes.
Le Châtelain se comporte en véritable professeur, expliquant chaque geste à effec, en donnant la raison, Vanessa est attentive, profitant de l’expérience du cavalier d’exception. Ils avancent au trot, Laurent et Stéphanie en profitent pour les devancer, discutant gaiement dans un trot plus rapide. Vanessa les regarde s’éloigner le sourire aux lèvres.

- Ils sont très complices, tu n’es pas jalouse ?, questionne Le Noble.
- Pourquoi le serais-je, ce sont des amis, même si elle semble encore avoir des sentiments pour lui, lui n’en a pas, tout du moins pas les mêmes.
- Tu penses qu’elle a toujours des sentiments ?
- Evidemment, sa façon de le regarder, de lui parler, tout trahi la passion qu’elle tente de cacher, mais je doute que cela vous ait échappé.
- En effet, sourit Le Noble.
- J’ai d’ailleurs hésité sur la raison pour laquelle vous nous l’aviez envoyée. J’ai au début pensé que Vous souhaitiez éprouver ma jalousie, mais Vous n’en avez pas besoin, Vous me connaissez parfaitement pour savoir que je ne suis pas jalouse des femmes ou soumises que Laurent fréquente. Ensuite, j’ai pensé que c’était pour éprouver les sentiments de Laurent, qu’il puisse s’assurer qu’il n’en a plus pour elle, avant le mariage, mais là encore c’est improbable, Vous savez qu’il n’en a jamais été réellement amoureux. J’en ai donc déduit que c’était pour lui venir en aide à elle, qu’elle tire un trait définitif sur lui pour s’ouvrir à d’autres.
- Raisonnement intéressant et … entièrement exact, tu es très perspicace, félicitation, s’amuse Monsieur le Marquis. Allons à toi de guider seule, dit-il lâchant les rênes.

Vanessa se concentre, guidant le cheval du Maître avec précision, Le Noble remarque que là encore elle apprend vite, même si elle n’ose accélérer la cadence. Au bout d’un moment le Noble décide de passer sa main entre les jambes de la jeune femme qui a les cuisses bien écartées par son assise sur la selle, venant caresser ses lèvres intimes, la sentant rapidement s’humidifier. Il la masturbe avec frénésie…

- J’ai décidé de te donner du plaisir, mais comme tu le sais, tu jouiras uniquement sous Mon ordre, lui murmure-t-Il à l’oreille.

La jeune femme nue frissonne de plaisir sous les doigts experts de Monsieur le Marquis, elle respire profondément, appréciant les caresses qu’Il daigne lui offrir puis, au moment où Il sent sa jouissance venir, où Vanessa se retient comme elle peut, le Noble stoppe net, s’amusant d’entendre ses gémissements de frustration. Les secousses provoquées par le déplacement du cheval au trop accentuent l’excitation. Le Châtelain porte ses doigts à la bouche de la belle qui s’empresse de les nettoyer comme il se doit. Puis, Monsieur le Marquis recommence cette masturbation de la même manière, deux ou trois fois, stoppant juste au moment critique d’un éventuel orgasme afin d’éviter aussi de la faire fauter. Quand le Maître décide qu’enfin, il a assez fait retenir Sa soumise, alors cette fois-ci, il la doigte tout en lui branlant le clitoris avec son pouce, et la pénètre par des va-et-vient avec deux doigts profonds et cadencés quand il lui susurre enfin à l’oreille l’autorisation de jouir. Alors pour Vanessa, c’est une explosion jouissive à en lâcher des cris puissants de plaisir à cheval sur cette selle alors que le Noble reprend le contrôle des rênes afin d’éviter tout risque d’emballement du pur-sang…

- Mer… Merci Maître, termine-t-elle en reprenant difficilement son souffle.

La ballade se termine, Stéphanie prend congé, saluant le couple et remerciant Le Noble pour son hospitalité, les laissant aux écuries.

- Bien, je vous invite à partager mon dîner, vous avez le temps ? demande Le Noble au couple.
- Avec plaisir Edouard, merci de ton hospitalité, répond Laurent.
- C’est toujours un plaisir de vous avoir à mes côtés. Mais avant je dois passer au Chenil, allons-y.

Le couple suit Le Noble jusqu’au Chenil où un serviteur les accueille…

(A suivre …)

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