Jour De Pêche

Le couple formé par Mathilde et Robert étaient mes meilleurs amis. Il y a des lustres, j'avais travaillé avec Robert et un weekend, il m'avait invité à dîner chez lui. C'était vite devenu une sorte de hobby, ils m'invitaient souvent, surtout pour essayer de me caser avec une de leur copine célibataire. C'est un jeu pour beaucoup de couples mariés, lorsqu'ils ont un copain célibataire, ils veulent absolument lui trouver l'âme sœur. En réalité, j'étais un peu comme un frère, j'avais même une clé de leur maison. Quand ils partaient quelques jours, je venais squatter chez eux, histoire de diminuer le risque de cambriolage. Un jour, Robert a simplement dit "Garde ça". Depuis ce jour, lorsque j'étais invité chez eux, j'ouvrais la porte sans sonner pour ne pas les déranger.
Mais au fil du temps, nos relations se sont un peu espacées, lorsqu'il y a eu de l'eau dans le gaz entre Robert et Mathilde. Robert parlait de manière très irrespectueuse à Mathilde et il avait des relations extra-conjugales, dont certaines que je connaissais, ce qui me mettait dans l'embarras. Moi-même, je ne comprenais pas ce dédain envers Mathilde; elle était intelligente, mignonne, et toujours de bonne humeur. En fait, quand je regardais les pétasses avec qui Robert traînait, je pensais qu'il faisait une grosse connerie. Je commençais à me sentir mal à l'aise en présence du couple, en partie à cause de la façon cavalière qu'utilisait Robert pour maltraiter Mathilde, et en partie parce que j'étais au courant de ses turpitudes et que je ne voulais pas être associé à ses saloperies.
Mathilde, même si j’étais sûr à 99% qu’elle était au courant, gardait une attitude très digne. Vraiment, comment aurait-elle pu ignorer, il passait parfois la nuit avec une rencontre occasionnelle? De plus, j'aimais bien Mathilde, et je me sentais dévalorisé à ses yeux en prétendant tout ignorer de ses écarts de conduite.
Cependant, j'aimais bien la compagnie de Robert parce que c'était un type marrant et un sacré déconneur; on allait boire des coups entre potes, ou jouer au billard, ou à la pêche, ce genre de choses.

.. Nous n'étions pas des amis intimes parce que nous avions une façon différente de voir les choses, mais nous sortions ensemble pour rigoler et nous détendre. Mais la situation s'est dégradée brusquement lorsqu'il m'a utilisé comme alibi sans me prévenir.
Quelques jours plus tôt, nous avions programmé une sortie pour aller à la pêche le samedi matin. Très tôt, avant le lever du soleil, je suis passé récupérer Robert chez lui. Pour ne pas réveiller Mathilde qui devait dormir à cette heure matinale, je suis entré chez eux avec ma propre clé. La veilleuse dans le couloir était allumée, mais aucun bruit dans la maison. J'ai commencé à chercher Robert en disant à voix basse: "Hé, Robert! Robert! T'es là?"
Pas de réponse. J'ai pensé: : "Merde, le con, il s'est oublié!"
Je me faufilais silencieusement dans le couloir, jusqu'à la porte de leur chambre entr'ouverte, et je lançais un peu plus fort:
"Hé, Robert! Réveille-toi mon pote!" Au bout de quelques appels, j'entendis le bruissement des draps et la voix ensommeillée de Mathilde: "Jérémie? C'est toi? Qu'est-ce que tu fous ici?"
"Ouais. C'est moi. Excuse-moi, je ne voulais pas te réveiller. Je viens chercher Robert."
Il y a eu un silence. Puis Mathilde a demandé: "Quelle heure est-il?" Je l'entendais farfouiller sur la table de nuit, tâtonner dans le noir, puis le déclic d’une lampe qu'on allume. Et la voix de Mathilde, maintenant bien réveillée: "Viens ici!"
Je suis entré dans la chambre, un peu penaud. Mathilde était allongée sous la couette avec seulement la tête qui émergeait. Ses vêtements étaient en tas sur le sol près du lit. Un tas sur lequel surnageait un soutien-gorge et une culotte, je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'elle était à poil dans son pieu, ou très peu vêtue. Elle était seule dans son lit et le côté intact du lit de Robert montrait clairement qu'il n'avait pas dormi ici. Mathilde fait partie de ces personnes qui se réveillent avec une apparence attrayante.
En fait, elle était mignonne avec ses cheveux courts et ébouriffés, ses yeux vifs et son petit sourire amical.
Depuis que je la connaissais, Mathilde me plaisait beaucoup plus que toutes les filles qu'elle me présentait. Elle était petite, bien proportionnée, avec des hanches rondes et des petits seins en pomme. Elle souriait tout le temps et quand elle me parlait, son regard clair et son minois fripon me faisaient fondre. Elle était gentille, attentionnée et patiente; le genre de femme qui vous fait sentir comme une personne importante. J’évitais généralement d’être seul avec Mathilde, j'avais peur qu'elle remarque à quel point j'étais attirée par elle. De toute façon, je n'avais aucune chance de la séduire, elle était bien trop sérieuse.
Mais aujourd'hui, j'étais là, les bras ballants, bien enquiquiné. Elle sortit son bras nu de dessous la couette et tapota la place au bord du lit, juste à côté d'elle, puis rentra son bras sous la couette en m'adressant un chaleureux sourire: "Viens ici!"
En me dirigeant vers l'endroit indiqué, une sirène à l'intérieur de mon cerveau me hurlait: "Attention, danger!"
Rougissant comme un adolescent à son premier rendez-vous, je m'assis contre sa hanche. Il me semblait sentir sa chaleur à travers l'épaisseur de la couette. Mal à l'aise, je la questionnais: "Alors, il est où, ton homme? Nous devions aller pêcher ce matin!"
Curieusement, Mathilde émit un ricanement dégoûté: "T'as pas une idée?"
Je suis devenu cramoisi.
Mathilde a observé mon embarras avant de me dire, sarcastique: "Il est chez toi. Il a passé la nuit avec toi. Tu ne te souviens pas?"
Non seulement ce bâtard de mes deux avait oublié la pêche, mais il s'était servi de moi comme alibi sans me prévenir! Pour trouver plus con, faut chercher longtemps!
Je la regardais, ressentant de la gêne et de la pitié, pendant un instant, pour cette femme découvrant la trahison de son mari. Mais ce sentiment ne dura pas. J'ai lu dans ses yeux et dans son attitude qu'elle savait depuis longtemps.
Et que la découverte d'une trahison supplémentaire ne la blessait plus. Là où je craignais de trouver une blessure, elle me montrait une cicatrice. Et que les turpitudes de son dépravé de mari ne la blessaient plus.
J'ai dit la seule chose que je pouvais dire: "Je suis désolé."
Quand on se dit les choses franchement, les gens ont tendance à se détendre. Nous avions maintenant franchi un palier et nous nous sommes installés confortablement dans un nouveau niveau d'intimité. Je me tournais face à Mathilde, passant mon bras au-dessus de sa taille pour prendre appui sur ma main, et je levais mon genou en repliant ma jambe sur le bord du lit. Je me penchais sur elle tendrement pour lui dire: "Robert est un imbécile!"
Cela a eu deux effets symboliques.
Premièrement, je me suis mis dans la situation de l'ami, du confident, qui ne veut pas profiter de l'occasion pour la consoler sexuellement, mais quand même … La femme d'un pote, c'est sacré, faut qu'elle y passe!
Deuxièmement, même si Mathilde laissait planer un doute sur la possibilité de conclure, ses yeux m'informaient qu'elle avait vu l'érotisme de la situation, et qu'elle prendrait le temps d'y réfléchir: "Vraiment?"
J'avais son corps nu presque dans mes bras. À travers l'épaisseur de la couette, d'accord, mais c'était excitant de la même manière qu'un soutien-gorge est plus sexy qu'un haut de bikini.
Mathilde battait des cils à toute allure, m'encourageant à continuer sur ce sujet. C'est comme ça que je l'ai compris.
Alors, souriant, réconfortant, je me suis jeté à l'eau: "Ouais, c'est un idiot. Il ne doit pas te traiter de cette façon. Et il ne te mérite pas. Tu as été très patiente et trop bonne avec lui. Tu es restée loyale malgré son comportement inadmissible. Et tu es si, eh bien ...Tu es si mignonne!"
En entendant ma tirade, ses yeux ont scintillé: "Tu me trouves mignonne?" Elle gloussait, radieuse.
Encouragé, je baissais les yeux: "Je l'ai toujours pensé.
Tu es merveilleuse!"
Elle a fait une chose curieuse. D'une rapide reptation, elle s'est collée contre moi, son corps épousant ma hanche. J'ai pris conscience de ce corps contre le mien, de sa chaleur physique, de sa douceur et de sa volupté. J'ai senti ses mains bouger sous la couette. Visiblement, elle avait posé une main sur sa poitrine et l'autre entre ses cuisses. Avait-elle l'intention de se … Son regard s'est troublé, sa voix est devenue plus rauque: "Vas-y, parle-moi! Dis-moi ce que tu trouves de mignon en moi?"
Ses yeux quémandaient non pas des caresses, mais des mots, des compliments. Elle voulait que je la rassure sur son pouvoir de séduction. Elle n'avait que faire d'un homme qui prendrait le dessus sur elle, qui la baiserait sans la comprendre:
"Raconte-moi comme je suis merveilleuse, Jérémie. Qu'est-ce que tu trouves de mignon en moi?"
"Et bien, j'aime ton énergie et ton attitude. J'aime ton visage et ton teint. J'aime tes yeux. Surtout tes yeux, ils sont si expressifs."
Je cherchais mes mots. Je n'étais pas sur mon terrain de prédilection. Mathilde me regardait et attendait. J'ai senti ses mains bouger sous la couette. "J'aime ton style, tu t'habilles avec beaucoup de goût. J'aime tes cheveux, et ta coiffure. J'aime … euh ..."
"Oui?"
Je me suis pour ces mots: "J'aime ta silhouette. Je veux dire ton corps. Je veux dire, tes seins, tes hanches, tout, j'aime tout!"
"Hum" elle fredonna: "C'est bon d'entendre ça. Ça fait si longtemps ... Je t'aime aussi, Jérémie. Je pense que tu manques de confiance en toi. Tu es trop timide. Un gars aussi intelligent et bien fait que toi, tu pourrais avoir n'importe quelle fille. Avec ce sourire et cette gentillesse, tu pourrais avoir n'importe quelle fille que tu désirerais, simplement en demandant … N'importe laquelle ..."
Elle laissa sa phrase en suspens, guettant ma réaction. J'étais conscient du ralentissement du temps dans la chambre, j'avais conscience de mes battements de cœur. Un rythme de vie lent et palpitant. Je me demandais si elle se caressait légèrement. Sentant mes atermoiements, elle a relancé le débat: "Tu aimes autre chose chez moi?"
Elle ne souriait plus, ni des yeux, ni des lèvres. Elle ferma les yeux et pencha la tête en arrière. Eh bien, j'étais déterminé à lui donner ce plaisir, si je le pouvais.
J'ai fait une série de commentaires, entrecoupés de pauses, établissant une sorte de rythme propre: "Eh bien, j'aime les vêtements que tu portes, et j'imagine ce qu'ils me cachent. J'imagine tes seins. J'aime les regarder à la dérobée quand tu ne te méfies pas. J'aime leur douceur et leur fermeté. J'aime tes tétons, surtout quand tu as froid et qu'ils se dressent. J'aimerais les sucer. Comme cette fois, à la pêche, ton tee-shirt était mouillé, j'ai cru devenir fou, je voulais enfouir mon visage là-dedans, je voulais l'arracher. Je voudrais te sucer les mamelons jusqu'à l'orgasme, Mathilde. Je pourrais rester à regarder tes seins toute une journée. Si j'étais ton homme, je t'obligerais à rester toute la journée seins nus. Et je ne ferais rien d'autre que passer toute la journée à les regarder. "
Doucement, progressivement, le mouvement sous la couette a augmenté de rythme. J'imaginais une main sur le sein, pressant et torturant le téton. Je ressentais le battement de l'autre main sous la couette et j'imaginais les doigts de Mathilde écartant ses grandes lèvres pour masturber son clitoris. Il me semblait percevoir un très léger clapotis humide qui l'accompagnait, ou peut-être était-ce mon imagination?
Mathilde me regarda de nouveau, avec un regard qui quémandait les compliments: "Et mes fesses? Dis-moi ce que tu aimerais faire avec ma chatte et mon cul!"
"Ah, oui! J'aime quand tu portes une robe légère, l'été, et que je devine tes formes quand tu passes dans un rayon de lumière. J'aime tes culottes de bikini, quand tu sors du bain, et qu'elles dévoilent ta chatte en transparence. J'imagine sa douceur, sa volupté. J'aimerais la couvrir de baisers, écarter tes lèvres pour goûter tes jus avec ma langue, sucer ton clitoris pour te faire perdre la tête. Quand à tes fesses, j'ai toujours envie de les mordre pour te faire mal, puis les lécher et les sucer pour te consoler."
"J'aimerais bien mordre les tiennes aussi, Jérémie. Et si je le faisais, je pourrais peut-être te retourner." Mathilde haletait maintenant, son débit était haché par la montée du plaisir. "Je te retournerais pour m'emparer de ta bite dure. Je mettrais ma bouche dessus et je passerais ma main sur tes couilles et ton cul. Dis-moi encore ce que tu trouves mignon en moi?"
"Tu te souviens de la fois au camping et que je me suis trompé de douche? Tu sortais de la douche des femmes? Juste un instant, je l'ai entrevu!"
Les mains sous la couette ont accéléré le rythme.
"T'as vu quoi?"
"Tu sais."
"Dis-le Jérémie!"
"Ta touffe!"
"Dis-le Jérémie!"
"Tu sais."
"Putain! Dis-le Jérémie !!!"
"Ta chatte."
"Tu aimerais voir ma chatte ..." Mathilde, à bout de souffle, haletait maintenant, comme un chien par une chaude journée d'été. Le lit vibrait, son poignet heurtait ma hanche à travers la couette.
"Ouais. J'aimerais voir ta chatte!"
"Veux-tu me toucher? Maintenant?" Les dents serrées, Mathilde a ralentit son mouvement.
"Oui."
D'un mouvement brusque, Mathilde a rejeté la couette pour saisir ma main libre et la porter sous son entrejambe. J'ai eu l'impression de mettre ma main dans une assiette de sauce tiède, tellement désirable, humide et gluante. J'ai tout de suite plongé deux doigts à l'intérieur, avec le pouce qui presse le clitoris, et j'ai adapté mon mouvement à sa respiration. Mathilde a émit un gémissement profond. En même temps, son mouvement avait exposé son buste. Je me suis jeté sur ses seins comme un bébé qui meurt de faim à l'heure de la tétée. J'embrassais, je léchais, je suçais ces mamelons tant désirés.
Mathilde grognait maintenant, au rythme de ses halètements.
"Je veux bouffer cette chatte!" J'ai rejeté totalement la couette. Pour la première fois, j'ai vu Mathilde entièrement nue et magnifique.
La voir dans cette position, nue et offerte, m'a rendu fou. J'ai plongé sur elle comme un chien qui lape une gamelle de sauce et j'ai lécher toute la longueur de sa chatte avec ma langue. Mathilde gémissait dans la luxure. Elle leva ses jambes en les écartant au maximum pour m'offrir le meilleur accès possible. Je tendis les mains et, tandis que ma bouche allait de l'anus au clitoris, je pressais ses seins avec force, tirais et tordais ses tétons. Mathilde couinait en rythme, de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'elle se fige, bloquant son souffle. Les muscles bandés comme si elle s'était transformée en statue. Quelques secondes, puis un long cri libérateur, avec un tremblement de tout son corps pendant quelques secondes. Pendant ce temps, je laissais ma langue caresser doucement et lentement sa chatte. Après ce spasme, elle a repoussé ma tête avec force pour m'éloigner de ses zones sensibles et elle est restée allongée là, essoufflée, écartelée, regardant le plafond pendant un moment. Elle n'a fait aucun geste pour se couvrir, elle est restée là, allongée, souriante.
J'aurais pu la croire endormie, mais ses yeux grand ouverts me scrutaient d'un regard chargé d'émotion. Souvent, depuis que je la connaissais, j'avais croisé son regard. Mais c'était la première fois qu'elle me regardait de cette façon. Comme une femme amoureuse contemple l'amour de sa vie. Moi-même, je ne parvenais pas à me rassasier de la vision de ce corps magnifique.
Ni grande ni petite, ni grosse ni maigre, tout simplement parfaite. Ses seins fermes et naturels se dressaient en penchant sensiblement sur les côtés, mais ne tombaient pas. Son pubis, recouvert d'une chevelure claire, était soigneusement taillé. Ses lèvres étaient visibles, gonflées par l'embrasement de ses sens. Le clitoris, que je venais de r, se dressait timidement en haut de sa fente.
Spectacle merveilleux mais qui me rendait profondément conscient que je n'avais pas eu de soulagement. Car même si je goûtais pleinement ce moment de félicité, j'étais dur et prêt à servir.
"Sensationnel! Je pourrais refaire cela souvent!" Puis elle a commencé à sourire malicieusement. "Hé! Quelqu'un t'as promis quelque chose à propos de te mordre les fesses!" Et elle s'est jetée sur moi.
Je ne sais pas pour vous, mais quand quelqu'un veut me mordre, je sursaute instinctivement. Je sautais du lit et elle m'a couru après en riant. Je me suis sauvé comme un imbécile hors de la chambre, et je me dirigeais vers le hall d'entrée faiblement éclairé lorsque j'ai entendu la clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée. Oh merde! Je me suis approché juste au moment où la porte s'ouvrait et que Robert entrait. Il m'a vu, il a cligné des yeux plusieurs fois, incrédule, puis m'a dit dans un murmure: "Merde! Nous devions aller pêcher. J'ai oublié. Je suis désolé, mec!"
J'ai juste haussé les épaules.
Il continua à voix basse: "Hé, Mathilde croit que j'ai passé la nuit chez toi. Couvre-moi, OK?"
"T'inquiètes!" Je murmurais en retour.
Puis, d'une voix forte, il gueula: "On vient prendre un café. Mathilde? Hé, la grosse? Réveille-toi! On veut du café?"
Mathilde est arrivée, vêtue d'un peignoir, en bâillant et en se frottant les yeux: "Oh, salut, Jérémie. Où avez-vous passé la soirée?"
J'ai répondu: "On est allé boire des coups avec des potes. J'ai pensé que Robert ne devait pas conduire."
Robert m'a fait un clin d'œil. Mathilde m'a demandé: "Alors, pourquoi tu l'as raccompagné?"
Putain! J'ai dû réfléchir vite: "Il m'a invité pour le brunch, pour l'avoir supporté hier soir."
Robert regarda Mathilde: "Ouais. Du café avec du pain grillé. Et si t'as des œufs, j'ai faim! Mais d'abord le café. Grouille-toi!"
Nous sommes tous allés dans la cuisine. Robert et moi avons pris place à table, face à face, pendant que Mathilde préparait le café, dans le dos de Robert, avec moi face à eux deux.
Robert avait acheté le journal et, sans un mot, l'a ouvert à la page des sports. Derrière lui, Mathilde avait allumé la cafetière et coupait le pain pour le faire griller. Elle s'est tournée vers moi avec un sourire malicieux, a écarté un pan de son peignoir et elle m'a montré son sein. Puis elle s'est dirigée vers un meuble bas pour récupérer une poêle à frire. Elle s'est pliée avec souplesse à la taille et elle a relevé hardiment le bas de son peignoir, pour me montrer son cul et se tortillant. Je me suis tortillé sur ma chaise pour tenter de résoudre mon problème d'érection. Mathilde me regardait en ricanant silencieusement, souleva un sourcil, et me fit un geste explicite de la main, secouant son poing fermé devant son pubis.
Mathilde continuait à vaquer à ses occupations, du frigo au placard, de la cuisinière à la cafetière, me faisant des grimaces et me montrant, au gré de son humeur, ses seins, sa chatte ou ses fesses. Tout cela derrière le dos de Robert, plongé dans son journal.
Robert leva les yeux vers moi: "Je dois aller poser une pêche!" Et après ça, il sortit de la cuisine.
Mathilde s'est littéralement jetée sur moi. D'une main, elle a agrippé ma tignasse pour tirer ma tête en arrière et me dévorer la bouche. Elle respirait fort et me mordillait en m'embrassant. De son autre main elle a ouvert son peignoir pour se frotter contre moi. Avec son genou, elle m'a à écarter les cuisses. Enfin, elle s'est saisie de mon érection pour me masturber à travers mes vêtements. Sans lâcher ma bouche, elle s'est reculée un peu pour laisser passer ses mains et dégrafer ma fermeture à glissière. Je l'ai aidée en me soulevant un peu, et bientôt elle a dégagé ma bite de sa prison de tissu. Dès qu'elle a pu, Mathilde m'a enjambé et s'est empalée dessus, soufflant fortement en se glissant sur mon membre glorieux. Mathilde est une femme juteuse, elle n'a rencontrée aucune difficulté pour m'engloutir totalement.
Il y a un truc à propos de cette position. Il est très difficile pour l'homme d'aider sa partenaire, et il ne faut pas être pressé. Assis sur sa chaise, le pauvre type en dessous ne peut pas vraiment contribuer beaucoup. Je glissais mes mains et empoignais ses délicieuses petites fesses, aidant Mathilde à rebondir sur mes cuisses. Je l'aidais de toutes les manières possibles, mais ses jambes n'étaient pas assez longues pour bien prendre appui sur le sol.
Je connaissais assez bien Robert pour m'attendre à ce qu'il prenne environ 5 minutes. C'était sa performance moyenne. Je pensais frénétiquement à la manière de me soulager avant son retour, mais ça ne m'aidait pas beaucoup. Mathilde pensait apparemment à la même chose. Elle sauta de ma bite pour s'agenouiller entre mes jambes.
Elle a attrapé ma bite et l'a prise en bouche, tout en caressant ma tige d'une main et mes couilles de l'autre. Sa bouche qui me suçait le gland, une main qui me massait les couilles, l'autre agrippée à la base de mon manche, ment, je n'ai pas duré longtemps!
Je ne pouvais pas crier: "Fais gaffe, j'arrive!" alors je l'ai lâchement laissée se débrouiller avec la décharge qu'elle a reçue dans le gosier. En bonne fille qui sait se tenir, Mathilde a continué à me traire, mais a rapidement remplacé sa bouche par sa main en coupe. Elle a drainé tout mon sperme dans sa main en coupe.
Quand j'ai fini de me vider, elle a relevé sa tête d'entre mes jambes avec un visage comique parce que ses joues étaient gonflées. Elle n'avait pas avalé. Elle a attrapé ma tasse de café vide sur la table, y a versé le contenu de sa paume, puis a craché le contenu de sa bouche dans le même récipient. Puis elle m'a donné un bisou du bout des lèvres. Nous avons entendu la chasse d'eau des toilettes et elle n'a eu que le temps de se lever et de faire demi-tour avant que Robert entre dans la pièce. De derrière, le peignoir semblait normal.
"Alors, et le petit-déjeuner? Qu'est-ce que tu fous?"
Elle répondit: "Oh, j'allais justement donner à Jérémie une autre tasse de café." Elle plaça la tasse contenant les résidus de sperme dans le placard et en sortit une tasse de café propre qu'elle remplit et me donna.
"Moi aussi, j'en veux!" Dit Robert en tendant sa tasse.
Robert et moi avons eu une conversation passionnante sur les résultats de foot pendant que Mathilde faisait chauffer sa poêle. Quand elle a demandé comment nous voulions nos œufs, j'ai choisi des œufs au plat et Robert a demandé des œufs brouillés. Mathilde a préparé les miens en premier et me les a servis en me disant de manger pendant que c'était chaud.
Ensuite, Mathilde a cassé trois œufs dans un bol, plus un peu de lait et a commencé à fouetter. Elle m'a regardé, m'a fait un clin d'œil. Je la vis tendre la main vers le placard, sortir la tasse de café qu'elle y avait mise auparavant et verser le contenu dans les œufs. J'étais scié. Elle m'a refait un clin d'œil, puis a versé sa préparation dans la casserole et l'a cuite.
Je regardais Robert, perplexe, pendant qu'il mangeait ses œufs. Il semblait aimer.
Mathilde, un peu diabolique, a demandé à Robert: "Alors, aimes-tu mes œufs? Ne sont-ils pas un peu trop salés?"
Il a répondu par un grognement mais ça m'a fait marrer le reste de la journée.
Après le petit-déjeuner, alors que je repartais chez moi, Robert me raccompagna à la porte. Sous le porche, il a dit: "Merci de m'avoir couvert, mon pote."
"Pas de problème, mec. Cependant, je préfère être prévenu lorsque tu lui diras que tu passes la nuit chez moi. Laisse un message ou quelque chose comme ça, pour que je puisse me préparer si elle te demande. Tu fais ce que tu veux de ta vie, ça ne me regarde pas, mais je ne veux pas me fâcher avec elle. " J'ai fait un clin d'œil et il a hoché la tête en souriant. L'idiot.
Lorsque Robert passait son temps à rigoler, profitant d'une opportunité pour découcher, Mathilde et moi passions la nuit ensemble. Bien sûr, nous avons baisé comme des lapins ces nuits-là, mais le plus important, je soutenais son moral et je l'écoutais. Nous sommes devenus de plus en plus proches. Finalement, elle a eut la force et la confiance de chasser Robert de sa vie.
Mathilde et moi sommes mariés depuis trois ans maintenant, nous avons un garçon et elle est enceinte d'une fille.
Je ne manque jamais d’apprécier à quel point elle est importante dans ma vie et quelle chance j’ai eu d'aimer la pêche.
Mais je ne mangerais jamais plus mes œufs brouillés; par superstition.

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