Mon Prof De Français

M. Guy, mon professeur de français, est jeune, grand et élancé. Il n’est pas particulièrement séduisant au premier abord, mais il a une prestance et une autorité indéniables. Pendant ses cours, j’aime m’installer au troisième rang, ni trop proche ni trop éloignée de son bureau, sur un pupitre où je m’assois seule, pour que rien ne puisse troubler ma rêverie. Cela peut paraître anodin mais, à peine assise, sans même m’en rendre compte, je croise mes jambes. Je les serre et les desserre tout au long du cours plus ou moins inconsciemment, même quand je prend des notes. Ainsi, en toute discrétion, j’exerce une pression délicieuse sur mon clitoris et je passe le cours dans un état d’excitation constante. Je suis bien trop réaliste pour espérer pouvoir le séduire, mais s’il savait tout ce qu’il me fait dans mes rêveries… Il y a une scène en particulier que j’aime me repasser en boucle.

La sonnerie retentit, c’est la fin du cours. Le reste des étudiants quitte la salle avec empressement, c’est l’heure de la pause déjeuner. Moi, je reste à ma place, ayant pris l’habitude de manger sur le pouce dans la salle de classe pour pouvoir travailler un peu. Je ne suis pas la seule à faire cela, mais aujourd’hui tout le monde est sorti. Profitant de ma solitude, je m’étire voluptueusement sur ma chaise. Alors que je parcoure nonchalamment la salle des yeux, mon regard s’arrête soudain sur le bureau du professeur, où se trouve une écharpe mauve. Un sursaut d’excitation me traverse, et sans même réfléchir je me lève pour m’en approcher. Je suis quasi certaine qu’il s’agit de la sienne. Je m’en saisis d’une main avide, et je la porte à mon visage : elle a une odeur poivrée, mêlant tabac, eau de cologne et une senteur plus musquée qui ne peut être que celle de sa peau. L’instant suivant je suis assise derrière le bureau, ma main droite maintenant l’écharpe au niveau de mon nez et la gauche glissée sous ma jupe, et je commence à frotter avec frénésie le tissu de ma petite culotte sur mon sexe déjà tout humide.

J’ai presque l’impression d’être contre lui, de pouvoir respirer ce parfum à sa source et de sentir la chaleur de son corps. Les yeux fermés, je me laisse doucement glisser dans des fantasmes de plus en plus fous à mesure que mon excitation grandit. Je suis sûre qu’il est très bien membré, je l’imagine autoritaire, très exigeant, dominateur... Ma rêverie s’interrompt brusquement lorsque je sens un poids sur mes épaules où deux mains viennent de se poser. Pétrifiée par la honte, je n’ai de toute façon pas besoin de me retourner pour savoir de qui il s’agit : l’odeur obsédante remplit désormais mes narines : c’est M. Guy.

« J’ai oublié ceci. » dit-il en tirant sur un coin de l’étoffe, qui glisse avec douceur sur ma gorge et contre ma joue avant de regagner la main de son propriétaire. Je ne sais plus où me mettre, mes joues me brûlent et sont probablement rouge pivoine. Comment ai-je pu ne pas l’entendre entrer ? J’ouvre la bouche avec l’intention de bredouiller quelques mots d’excuse, mais je réalise que si j’ai brusquement enlevé la main de sous ma jupe en sentant sa présence, celle-ci est toujours relevée sur mes hanches, ce qui est tout à fait contraire au code vestimentaire de l’établissement que je fréquente. Je me lève et me réajuste avec précipitation et la ferme intention de m’enfuir à toute vitesse mais j’ai à peine le temps de faire un pas en direction de mon sac resté au troisième rang qu’il m’att par le poignet avec une fermeté intransigeante.

« Pas si vite mademoiselle Gibert. »

Le simple fait de l’entendre dire mon nom me refait piquer un fard. Lui faisant enfin face, je baisse immédiatement les yeux pour ne pas croiser son regard. Immobile, les bras croisés derrière mon dos, je l’observe s’asseoir à la place que je viens de quitter avec précipitation. Il semble se délecter de ma gêne, et le silence qui s’installe me semble durer une éternité.

« Approchez-vous. » finit-il par me dire d’un ton sec. Je m’exécute, il tend alors un bras pour me saisir par les hanches et je me retrouve en un éclair assise sur ses genoux.
Il enserre ma poitrine d’un bras, maintient mes cuisses de l’autre. Un éclair de désir me traverse, et je fond littéralement lorsque sa voix chaude et grave me murmure à l’oreille : « Inutile de vous tortiller ainsi, puisque vous aimez tant vous asseoir à mon bureau nous pouvons parfaitement partager la place. ». Ses mains parcourent mon corps, déboutonnent mon chemisier, se glissent entre le tissu et mes seins qui ne sont séparés par aucun soutien-gorge. Il joue avec eux, place ses mains en coupe pour les recueillir, fait rouler mes tétons entre ses doigts en les pinçant par intervalle. Je crois qu’ils n’ont jamais été aussi durs et érigés. Comme s’il s’en lassait, il abandonne ensuite ma poitrine pour remonter à nouveau ma jupe sur mes hanches. Ses doigts sont bientôt sur mon sexe, et mon clitoris reçoit le même traitement que mes tétons. Je me laisse aller sous ses caresses, mon corps tout entier ondule sous ses doigts et je ne peux retenir un gémissement lorsqu’il les utilise enfin pour me pénétrer. Mon excitation double lorsque je sens, sans doute à cause du frottement de mes fesses contre son bassin, qu’une raideur se forme peu à peu contre mes reins. Brusquement il s’interrompt, me repousse de ses genoux et se lève d’un pas décidé. Essoufflée, débraillée, je le regarde avancer jusqu’à la porte de la salle de classe qu’il verrouille. Lorsqu’il revient vers moi, c’est pour me plaquer avec fermeté contre le bureau. Sa main posée sur ma nuque m’impose l’immobilité tandis que de l’autre il reprend son exploration de ma vulve.
« Je vous sens inattentive en ce moment en classe, je vois bien que vous avez la tête ailleurs. Peut-être que ceci vous remettra les pendules à l’heure, vous ne devez pas vous laisser distraire aussi facilement. »
Immédiatement après ces paroles, je sens une violente claque s’abattre sur mes fesses. Je laisse échapper un cri plaintif.
« Je ne veux rien entendre. Vous savez que j’exige un silence parfait quand je m’efforce de vous inculquer quelque chose.
 »
Malgré la douleur, ses mots déclenchent un flot de désir en moi. Chaque parcelle de mon corps réclame le contact de ses mains, en particulier mon sexe à présent trempé. Il me doigte avec des petits mouvements rapides, et je ne peux m’empêcher de couiner lorsqu’il caresse mon clitoris de son pouce. Excédé semble-t-il par les bruits que je produis, il plaque son écharpe contre ma bouche et la noue pour m’en faire un bâillon. Cambrée contre le bureau, je tâche de me tenir tranquille tandis qu’il reprend sa fessée. Puisqu’il fait exprès d’écarter chacune de ses claques d’un intervalle différent, je tressaille à chaque choc. Je ne sais jamais quand sa main va s’abattre sur mon cul et ça me rend complètement folle. Il s’en amuse, me trouble parfois d’une tendre caresse puis m’assène un coup violent qui fait trembler mes fesses rebondies. Lorsqu’il s’interrompt enfin, elles sont cuisantes et probablement aussi rouges que l’étaient mes joues il y a à peine quelques instants. Je ne bouge pas, attendant un signe de sa part, de ses instructions, mais je n’ai qu’une envie : c’est qu’à présent il me pénètre violemment. Mon vœu s’exauce puisque j’entends le zip de sa braguette derrière moi, et que l’instant d’après je sens l’extrémité de son sexe se frotter contre l’entrée de mon vagin. Il insère son gland dans ma fente, mais le retire aussitôt, pour reprendre ses mouvements circulaires autour de mes lèvres. Ce manège se répète plusieurs fois, ce qui me fait pousser mes hanches à sa rencontre. J’ai ressens un besoin impérieux de le sentir me transpercer, je ne peux plus attendre. Lorsqu’il s’aperçoit que je suis en train de tenter de m’empaler sur lui, je reçois une violente claque sur mes fesses rendues hypersensibles. Compris, je ne bouge pas. Lorsqu’il finit enfin par me pénétrer réellement, il le fait d’un coup sec, son sexe tout entier s’enfonce d’un trait au fond de moi, et c’est tellement bon. Il entame alors de lents va-et-viens, les mains agrippées sur mes hanches, me tenant fermement et me pilonnant avec la même intensité.
Je me sens complètement partir, je n’ai plus conscience que de ce membre brûlant et dur qui me pénètre avec intransigeance. Je suis désormais réduite à l’immobilité, puisqu’il s’est saisi de mes bras qu’il a replié derrière mon dos pour les maintenir. Il me malmène divinement, je suis totalement sous son emprise et il fait absolument ce qu’il veut de moi. Il lâche mes bras pour agripper mes fesses, reprendre leur fessée méthodique, ou alors mes seins, qu’il serre si fort que je ne peux retenir mes gémissements. Mon plaisir monte par vagues, et alors que je sens que mon plaisir est sur le point d’exploser, il tire tout mon corps en arrière en empoignant mes cheveux. Je me retrouve à nouveau sur ses genoux, lui assis sur la chaise, et empalée sur sa bite tandis qu’il caresse frénétiquement mon clitoris je laisse éclater ma jouissance.
Je reste ensuite un moment dans cette position, haletante, la paroi de mon vagin encore contractée contre son sexe.
Il se retire lentement, et d’un geste de la main désigne son sexe qui a gardé sa raideur. Son désir se passe de mots. M’agenouillant devant mon professeur, je m’attache à le sucer avec une application qu’il n’a sans doute jamais trouvée dans mes dissertations de lettres. Je passe ma langue avec gourmandise sur son gland, caresse l’intégralité de sa verge de mes mains avant d’enfoncer son membre le plus loin possible au fond de ma gorge. A ma grande satisfaction il semble y trouve du plaisir, et laisse même échapper quelques soupirs malgré son attitude étonnamment stoïque. Il finit par décharger de grosses saccades de semence sur ma poitrine, et me récompense d’une petite tape sur ma joue.

« Vous avez de réelles compétences » dit-il. « Il vous manque seulement un peu de concentration, peut-être gagneriez-vous à prendre quelques cours particuliers. »

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