Tel Est Pris Qui Croyait Prendre - Chapitre 2

Julien mit en route la radio pour avoir un fond sonore car il voulait rester discret, les voisins ne devaient rien entendre et il se doutait que je puisse involontairement me laisser aller. Alors que j’étais allongé sur le lit, totalement soumis à mon partenaire et sur le point de subir ma défloration, je fus pris d’une grande hésitation. « Que suis-je en train de faire ? » me demandai-je alors que Julien plaçait son sexe au niveau de la raie de mes fesses. Hier encore, je trainais avec un groupe de gars virils et respectés par tout le lycée. Hier encore, je draguais comme tout le monde les filles du bahut à la recherche d’une première conquête. Hier encore, je cachais mes pulsions secrètes envers les garçons de ma classe et je faisais semblant de les ignorer. Pourtant, j’étais désormais sur le point de me faire sodomiser par un mec dont le manque de charisme n’excitait personne sauf moi, un mec rejeté par la majorité de mes camarades en raison de sa façon de marcher et de sa petite taille.

Il commença une première approche et tenta d’introduire tout doucement le gland de son sexe plus dur que jamais. Impossible d’aller plus loin, mon entrée était trop étroite et refusait de laisser passer ce visiteur inhabituel. Il manipula ma rondelle avec ses doigts, remit un peu de gel. Il redéploya son engin à l’entrée et réenclencha la marche avant. Ça ne passait toujours pas. C’était le moment où jamais pour que je reprenne mes esprits, faire comme s’il ne s’était rien passé, m’en aller et éviter une humiliation suprême de devenir un enculé. Je me retournai, me redressai et lui dis : « Je crois que ça ne passe pas, tant pis pour cette fois, on peut peut-être arrêter là pour aujourd’hui » lui dis-je, hésitant, et presque soulagé de ce contre-temps. Il mit son bras droit autour de mon cou, me serra vers lui et me roula une pelle ferme et délicieuse pendant laquelle je ne réagis pas et me contentai de suivre avec ma langue. Deux minutes après, il me poussa vers l’avant sans dire un mot et je retombai à plat ventre sur le lit sans résistance.

Il n’avait pas fallu grand chose pour me convaincre. Il n y avait pas de doute possible : je souhaitais me faire baiser et me faire dominer, je ne pouvais pas continuer à me voiler la face.

Je fus tout de même inquiet par la taille de l’engin de Julien. « Vas-y doucement s’il-te-plait ». « Je ne suis pas une brute comme tous tes potes du lycée » me répondit-il fermement. « T’inquiètes je suis très patient et je suis sûr que ça va le faire ». Comment un sexe de 18 cm de long et 6 cm de large pouvait-il rentrer dans mon anus ? Cela me paraissait inconcevable mais d’un autre côté, c’était terriblement excitant.

Alors que les mêmes difficultés resurgirent à l’essai suivant, je sentis un instant plus tard une douleur étonnamment agréable au niveau de mon anus, comme si quelque-chose venait de céder, comme un déchirement : Julien venait d’insérer son gland épais, je ne sais comment. Alors que je poussai un râle de plaisir, il me mit immédiatement la main sur la bouche « chut pas trop fort, je me doute que tu vas prendre ton pied mais il va falloir rester discret ». Il continua son exploration. La douleur fut de plus en plus intense mais le plaisir également. Je commençai à me détendre et j’essayai de faciliter cette introduction anale en cambrant le bas du dos et en faisant un mouvement opposé avec mes fesses. Ce fut efficace et Julien était désormais à l’intérieur de moi. J’étais désormais un jeune homme baisé. C’était trop tard pour revenir en arrière. Pour marquer le coup, Julien me demanda de regarder vers la droite. Il y avait une grande armoire et à l’avant toute la surface était couverte d’un miroir. Julien se coucha sur moi et me susurra à l’oreille « Admire la scène ». Je me voyais impuissant avec Julien au-dessus de moi, son sexe fermement inséré dans mon anus. Je m’Imaginais mes potes en train de me voir dans cette position, avant de me rassurer car il n y avait aucune raison qu’ils entendissent parler de cette soirée.

Je n’étais pas fier de me voir sodomisé de la sorte mais je ne pouvais pas le nier : je me sentais bien.
La sensation d’avoir mon anus « rempli » grâce à ce magnifique pénis, la dureté du corps masculin de Julien en train de m’étreindre et de me serrer me faisait sentir dans un cocon, à ma place. Il était sur moi, m’enveloppait de sa virilité toute nouvelle et je me sentais à la fois soumis, baisé, mais en sécurité.

Alors que je regardai encore la scène dans le miroir, Julien me redressa en position de levrette, son sexe toujours dans mes entrailles. Il commença à effec des mouvements de va-et-vient et je commençai à pousser des petits cris. Malgré la volonté de rester discret, je ne pouvais pas me retenir, tellement j’appréciais ce moment. Inconsciemment, mes petits gémissements devinrent de plus en plus aigus, signe que j’avais changé de position dans la hiérarchie sexuelle et que ma virilité s’envolait définitivement. Julien prit mon sexe avec sa main droite. Ce dernier n’était pas loin de concurrencer celui de Julien avec des dimensions également bien au-dessus de la moyenne. « Dommage d’avoir un si gros sexe et de ne pas être capable de s’en servir, tes potes doivent être jaloux, la nature est mal faite » me fit-il remarquer. Il avait raison. Alors que de nombreuses filles auraient rêvé d’accueillir un pénis de cette taille dans leur forêt vierge, il m’était finalement assez inutile, étant désormais devenu un homme qui se fait baiser.

Je me retenais d’éjaculer trop rapidement. Julien avait pris mon sexe comme un levier pour mieux me prendre et il effectuait les mêmes mouvements avec son bassin et avec sa main. La seule utilité de mon sexe, c’était ça en fait. Et cela me faisait bander à un point… J’avais l’impression que mon pénis allait exploser tellement les veines étaient dilatées et la peau tendue. Julien constata qu’il me procurait du plaisir, je remarquai que ça le rendait fier car son visage était plus lumineux que jamais alors qu’il commençait à intensifier ses mouvements. Alors que ses testicules cognaient mon périnée, les sons produits m’excitèrent encore plus et me transportèrent dans un état second.
C’était pareil pour lui et il augmenta progressivement la cadence pour me baiser sans ménage « Oui baise-moi, défonce-moi » le suppliai-je. « En une soirée, t’es vraiment devenu une sacrée lope » rigola-t-il. Je me contentai de continuer mes gémissements et mes appels à la défonce.

« Stop ». Je finis par lui demander de retirer sa main de mon sexe pour éviter de lâcher une longue quantité de sperme sur le lit. Il arrêta et se retira de moi. « Ok faisons durer le plaisir je n’ai pas envie d’en rester là ». Alors que je prenais une courte pause, il me tourna les fesses vers le miroir et plaça un doigt au niveau de mon trou encore un peu endolori. « Ton trou a au moins doublé de volume » constata-t-il fièrement. Le trou était en effet bien plus gros qu’avant, signe que son sexe m’avait bien moulé la tuyauterie.

« Viens-là ». Julien s’était allongé sur le dos et m’indiquait la marche à suivre pour m’empaler sur son sexe. Dans cette position, le pénétré se met sur celui qui pénètre. Le passif prend exceptionnellement les choses en main et donne le rythme. Mais ce qui m’excitait le plus dans cette position, c’était que, autant jusqu’à présent j’avais subi et je m’étais contenté de prendre, autant là c’était la consécration du passif qui montre qu’il aime ça, qui en redemande, qui décide de la puissance avec laquelle il se fait sodomiser, et qui décide de la durée (et de la dureté) de l’acte. Bref un passif qui assume ses plaisirs, et c’était donc à mon tour de le montrer à Julien. Je me plaçai à genou au-dessus de lui et je pris son sexe dans les mains. Je pris un peu de gel pour en mettre sur son pénis et avoir une excuse pour le branler un peu, tellement j’aimais avoir ce cylindre dans la main. Je le mis au niveau de mon antre et commençai à m’asseoir dessus.

Malgré le fait que le chemin avait déjà été emprunté juste avant, c’était toujours aussi compliqué de faire rentrer sa majesté. J’appuyai de plus en plus fort malgré la douleur et le gland rentra puis tout son sexe suivit immédiatement le mouvement.
Je poussai à nouveau un râle de plaisir. Le petit coup d’oeil dans le miroir était encore plus bandant : on voyait bien cette grosse forme avec laquelle j’avais été happé. Je débutai les mouvements de haut en bas. Cela excitait particulièrement Julien qui prenait énormément de plaisir. Mon anus étroit frottait on ne peut mieux son gros sexe et lui procurer de fortes sensations. Je pris l’initiative de me baisser pour lui rouler une pèle pendant que je continuai les mouvements et qu’il continuait à me sodomiser. Après deux minutes d’un patin interminable et délicieux, fait de salives entremêlées et de langues gourmandes, je me relevai et je pus apercevoir son sourire toujours aussi significatif mêlant fierté, virilité et presque pitié de me voir si heureux de me faire défoncer de la sorte. De mon côté, je répondis avec un sourire au style bien différent signifiant soumission, envie, plaisir et besoin d’en avoir encore plus.

Alors que je me redressai légèrement pour m’appuyer avec les pieds et les mains et continuer à en prendre plein les fesses, Julien en profita pour se relever, m’agripper, et me porter moi toujours empalé sur son sexe. L’espace de quelques secondes, je ballottai entièrement en l’air avec seuls ses mains et son sexe qui me permettait de rester fermement fixé à Julien. Je fus impressionné par cette initiative car je ne le pensais pas aussi puissant pour qu’il arrive à me soulever même sur une courte période. Son sexe était si gros et si profondément ancré dans mon anus que cela lui facilitait grandement l’accomplissement de cet enchainement. Il me balança sur le lit et enchaina des coups de reins délicieux. C’était encore une étape de plus dans le développement de sa virilité d’homme. Et cela ne faisait qu’augmenter mon excitation qui était proche de l’orgasme.

Ce dernier n’allait pas tarder à arriver. J’étais désormais sur le dos, les jambes repliées, et Julien avait repris les devants pour continuer à s’occuper de ma rondelle. Je sentais que son sexe touchait ma prostate qu’il massait à chaque va-et-vient. Cela me procurait un plaisir de plus en plus intense et un liquide commença à sortir de mon pénis alors que personne ne le manipulait. Julien avait atteint mon point G et je ne pus éviter de pousser un cri qu’il couvrit vite en me roulant une nouvelle galoche. J’avais désormais sa bite dans mon cul, sa langue dans ma bouche, sa main sur mon sexe et j’avais atteint l’orgasme. J’étais dans un état second, en extase. La masculinité de Julien franchit encore un niveau supplémentaire. Après un court instant de pause pour éviter de me faire éjaculer, il se déchaina encore davantage.

Il entama de violents allers-retours en rentrant et sortant à chaque fois de mon trou, le regard bien vissé sur mes yeux et l’air déterminé. Je ne pouvais que le laisser faire, étant complétement impuissant les jambes repliées et de toute façon, j’adorais sa façon de faire et j’étais dans un état second, je n’avais absolument plus aucune douleur. Il redressa ensuite mes jambes et je pus mettre mon pied gauche sur son torse alors qu’il continuait de me baiser. J’adorais sentir son torse dur sur la plante de mon pied, les muscles en action. Il me branla de plus en plus vite et cette fois je ne pus m’empêcher de produire l’éjaculation finale, la dernière chose qui me liait encore à la masculinité : je lâchai des litres de sperme sur mon ventre. Ça tombait bien car Julien était également sur le point d’en finir avec moi. Après quelques secondes et des gémissements devenant plus insistants, il s’immobilisa au fond de moi et je sentis quelque-chose couler dans mon anus. Le produit était livré ! Je m’étais fait engrossé et Julien avait admirablement mené la danse.

Il me tourna les fesses vers le miroir. Je pus apercevoir mon anus dilaté expulser péniblement les restes de son sperme. Il avait pris le soin de mettre du papier pour ne pas salir les draps. Il n’avait pas mis de préservatif pour me dépuceler mais j’étais confiant sur le fait que c’était sa première fois tout comme moi. Qui d’autre que moi lui aurait ouvert aussi facilement les portes de la baise ? C’était une scène surréaliste. « T’as pris cher et t’as aimé » constata Julien. Après quelques instants de repos bien mérité, il me suggéra d’aller prendre une douche même si « cela ne nettoiera pas le fait que t’es devenu une vraie lope » me fit-il remarquer.

Pendant ce temps, Julien resta dans sa chambre. A la sortie de la douche, j’entendis le clic d’une souris d’ordinateur. Je sortis de la salle de bains et repris mes affaires éparpillées pour me rhabiller. « Viens-voir » m’appela-t-il. Avec stupeur, je vis qu’il était en train de regarder sur son ordinateur la scène de tous nos ébats que nous venions d’avoir. Il avait tout filmé. « J’ai tout enregistré avec ma GoPro, alors maintenant tu as le choix. Soit tu ne m’obéis pas et je ne manquerai pas de partager quelques extraits, soit tu es à moi et tu fais tout ce que je demande, dans ce cas tout cela restera entre nous ».

Alors qu’il venait de prononcer cette phrase, il fit quelques arrêts sur image des moments les plus intenses de notre partie de jambes en l’air. J’étais effaré de me voir si prompt à recevoir son sexe et en redemander. J’étais halluciné de voir mon visage en transe totale, montrant que je recevais un maximum de plaisir. « Alors tu préfères quoi ? Tu te dis sûrement que je n’ai pas d’intérêt non plus à diffuser cela. J’en ai certainement déjà plus que toi. Au moins on me voit baiser quelqu’un et on voit que je suis un mec, alors que toi… ». J’acceptai sa requête, n’ayant de toute façon pas trop le choix. « Je te fais signe la prochaine fois que j’ai envie de me vider » conclut-il en me tapant les fesses. Il ne voulait plus de moi pour cette fois. Je pris mon manteau et je quittai l’appartement, la queue entre les jambes.

Les jours d’après au lycée furent difficiles, ma fierté et ma virilité ayant disparus. J’évitais de plus en plus mes potes de classes, ne souhaitant plus partager leurs activités. Je remarquais que Julien avait pris de l’assurance. Même si certains se moquaient encore de lui, il avait davantage de répartie et il s’était fait quelques amis. Pour la première fois je le vis parler avec des filles à la récréation. C’est certain, cette épisode avait construit son image d’homme et il pouvait enfin s’affirmer. Quant à moi, c’était l’inverse, je devais désormais m’affirmer en tant que passif souhaitant accueillir de nouvelles queues pleines d’appétit. Mes anciens potes avaient remarqué que j’avais changé et que je ne fréquentais plus trop les filles « T’es PD ou quoi ?» rigolaient-ils. Je fis mine que non, sans trop convaincre. Finalement je commençai à mon tour à recevoir des moqueries, tout comme Julien par le passé.

Alors que je pensais qu’il m’avait oublié (on essayait de s’éviter le plus possible), je reçus un message sur mon téléphone « t’es libre demain soir ? ». C’était Julien. Je répondis par l’affirmatif. « Cette fois, on passe à un autre niveau, prépare-toi à vivre une soirée agitée, j’espère que ton anus est toujours bien dilaté ». Que me réservait-il ? Jusqu’où voulait-il aller ? Parlait-t-il de godemichets, souhait-il tester de nouvelles choses ? Nos futurs rencontres allaient être de plus en plus pimentées…

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