Amour Sur Internet

Ce soir la quand Richard rentra du bureau, je sentis immédiatement qu’il était d’humeur coquine. Il me raconta sa journée, et me demandant de raconter la mienne. J’avais du shopping, et avait acheté une jupe et un pull très échancré. Bien évidement je lui montrais mes achats, et bien évidement il me demanda d’essayer. Je m’exécutais, et enfilais cette grande jupe moulante aux hanches et large en dessous des genoux, ainsi que mon nouveau pull marron en coton lui aussi très moulant. Le tout avec des belles bottes mettant en valeur mes jambes. Richard en bon flatteur me complimenta et nous primes un apéritif afin de fêter cette fin de journée. Il me commença à me caresser en guise de préambule, et je sentais qu'il allait vite passer au plat de résistance. C'était le bon moment pour tenir ma promesse à Albert. Je prétextais une pose technique et en profitais pour faire un SMS à Albert "prépare toi sur le chat on va se connecter". De retour au salon je dis à Richard

- Et si on allait s’amuser sur Internet
- S’amusait
- Oui tu te connectes sur un chat et on dialogue, ça peut être rigolo
- Si tu veux essayons. Je suis sur que tu l'as déjà fait, tu as des contacts?
- Oui, un mec qui arrête pas de me draguer, on pourrait l'exciter un peu ????

Une fois l’ordinateur allumé, je me connectais sur mon chat favori. Quelques minutes plus tard je reçu une demande de dialogue de Albert, que je m’empressais d’accepter.

Albert: Très chère Patricia comment allez vous? Je m'appelle Albert j'ai 33ans et je suis de Paris
Patricia: bonjour enchanté, mois c'est Patricia et je suis de l’Est de la France
Albert: Je vous ai mise dans ma liste de contact ça ne vous embêtes pas ?
Patricia: Non pas du tout au contraire
Albert : quelle type de femme êtes vous

Réponds lui que tu es une bourgeoise bustée en général ça excite toujours

Patricia : je suis du style bourgeoise bustée
Albert : ouaaahhhh, combien de tour de poitrine
Patricia : 95C
Albert : et comment es tu habillé ?

- Tu vois il te tutoies il commence à chauffer


Albert : tu vis seule
Patricia : non je suis mariée
Bilbill : et ton mec il est ou en ce moment

Dis lui que je suis à tes cotés

Patricia : a mes cotés
Albert : ah un petit espion, ce n’est pas bien ça.

Et que fait il ?

- Décris lui ce que je te fais


Richard plaça sa main sur mes seins lourds, qu’il caressa, tout en m’embrassant l’oreille et enfournant sa langue dedans

Patricia : il me caresse les seins, et joue avec sa langue dans mon oreille
Albert : Ca t’excite ?
Patricia : oui, tu veux que je te raconte ce qu’il me fait
Albert : Oui vas y je suis déjà tout excité
Patricia: il descend sa main entre mes cuisses
Patricia: sous ma jupe
Patricia: remonte sa main le long de mes bas
Patricia: me caresse à travers ma culotte. Ah oui c’est bon je me sens partir
Albert : Dis lui qu’il te caresse les à nouveaux les seins
Patricia: il me reprend les seins
Patricia: mais plus fermement
Patricia: les soupèses

- Dis lui que je te pétris tes belles mamelles comme une vache qu’on va traire

Patricia: Il me pétri la poitrine comme pour traire un animal

- Sois précise j’ai dis tes belles mamelles et ajoute bien lourdes

Patricia : Il me pétrit mes belles mamelles bien lourdes comme une vache qu’on va traire
Albert : C’est bien, dis lui de libérer tes grosses loches
Patricia: oui il me descend mon décolleté
Patricia: et me suce les seins
Albert : Dis lui te mettre un doigt maintenant

A la lecture, Richard descendit sa seconde main entre mes cuisses, ma jupe toujours relevé il passa ses doigts sous ma culotte, et explora mes parties les plus intimes. Je sentais un doigt puis un suivant qui de manière quasi mécanique me fouillait les entrailles. C’était tellement bon, et la situation tellement insolite que j’eu un premier orgasme. Richard me dictait le texte a taper, et pendant que ses doigts jouaient en moi, je continuais à taper décrivant ce que me faisait Richard et le plaisir que j’éprouvée. Albert ordonna à Richard de me lécher. Nous rapprochâmes la chaise du clavier, et Richard passa en dessous du bureau, pour m’enfonçait sa langue dans mon vagin. Aussitôt une nouvelle sensation me remplie sa langue fourragée mon sexe me happant me suçant, m’aspirant, comme une espèce d’Allien voulant absorber une substantifique moelle. Apres quelques minutes de ce traitement, Albert demanda que Richard me donne son sexe à sucer. Une fois de plus il s’exécuta, se relevant, pour libérer son penis, qui présenta à l’entrée de ma bouche. Je pris son sexe en bouche et m’activait à lui donner une fellation sublime. Richard me tenait par les cheveux et appuyer ma tête afin que j’engouffre son engin encore plus profondément. Ne pouvant plus taper, Albert demanda à Richard de taper lui-même ses commentaires. Nous échangeâmes nos positions et je me retrouvais en dessous du bureau.

Richard : elle a pris ma queue entière dans sa bouche, elle me lèche maintenant comme une glace. Sa langue remonte ma bite, ouiiiii elle me lèche le gland, ohhh c’est la reine des suceuses tu sais.
Albert : Tapotes ton sexe sur sa face de salope, elle va aimer ça
Richard : ouiii je la gifle avec ma queue, t’as raison elle adore ça cette cochonne. Ohhhhh elle me reprend en bouche
Albert : Baise lui bouche maintenant, att la par les cheveux et baise lui sa bouche de grosse pute. Tripote lui ses grosses loches en même temps, c’est bon hein. Ohhh je me branle en vous imaginant, que cela doit être bon.
Richard : oui c’est bon, elle est trop bonne je lui malaxe ses seins, je suis entrain de la traire comme une grosse vache.
Albert : Branles toi entre ses seins
Richard : oui je fais coulisser ma queue entre ses deux mamelles, elle aime ça ma belle bourgeoise.
Albert : Baise la maintenant, et qu’elle me raconte ce que tu lui fais

Richard me releva et coucha le ventre contre le bureau. J’avais à nouveau le clavier je devais taper pendant que mon Mari me prenait en levrette.

Patricia : il me prend par derrière, je sens son sexe entrer en moi
Albert : te revoilà cochonne, alors t’as bien aimé sa bitte dans ta bouche ?
Patricia : oui, mais maintenant, il me prend par derrière ohhh c’est bon, je vais jouir encore une fois
Albert : bouge ton gros cul de gauche à droite pour l’exciter encore plus et demande lui qu’il te fesse

J’obéis, Richard me pilonnait tout en m’appliquant des claques sur mes fesses rougissante, tout en continuant à raconter à Albert, l’assaut que je subissais.

Albert : T’es une vrai vicieuse toi, t’aime t’exhiber pendant que tu te fais défoncer. C’est un fantasme de bourgeoise ça hein ? Tu m’excites tellement entrain de te faire mettre que je sens que je vais décharger.
Patricia : ohhh oui c’est booooonnn j’eennn peux s sspluskkkkkkkkkkkkkkkkkk

Je ne pouvais plus écrire je laissais ma main sur le clavier n’envoyant que des lettres sans aucun sens à Albert subissant les multiples assauts de Richard. Je subissais ne pouvant plus me contrôler son sexe tapait contre mes fesses, ses mains étaient partout sur mon corps, tantôt me claquant la croupe, d’autre moment pelotant mes seins.

- Tu aimes ça ma belle, je crois que Albert aussi a aimé ça, je vais jouir ça vient ouiiiii

Richard sorti son sexe et joui sur ma croupe, je sentais son sperme se répandre sur mes fesses

Patricia : ça y est il s’est vidé sur moi, ahhh mon dieu ce que c’est bon
Albert : Merci, car moi aussi j’ai bien joui, j’espère qu’on remet ça bientôt.