La Fille Du Bar

Je suis retourné à ce bar gay. J'aime bien l'ambiance feutré qui règne ici. Et on n'est pas embêté par des filles soûles qui s'accroche à ta bite en prétendant qu'elles sont vierges.
Je ne suis pas homo, mais je ne crains pas de faire de nouvelles rencontres.
Je ne sais pas si c'était parce que c'était un mardi ou à cause du crachin, mais le bar était presque vide quand je suis entré. J'ai salué le barman et commandé un bourbon sec. Mon verre à la main, je suis monté à l'étage, voir la piste de danse. Un seul couple se trémoussait joliment sur un rythme afro-cubain.
Je suis redescendu au bar, je me suis assis sur un tabouret, j'ai discuté un peu avec le barman en écoutant la musique, et en regardant la télévision au-dessus du bar. Au bout d'un moment, je suis allé me rafraîchir aux toilettes (c'est comme ça qu'on dit vidanger l'eau des olives, quand on est poli!) et, à mon retour, j'ai vu une toute jeune femme assise à l'autre bout du bar. Elle était de taille moyenne, blonde et mince. Rien de particulier chez elle n'attirait l'attention, sauf qu'une fille seule dans ce bar, c'était incongru. Ailleurs, je serais passé à côté d'elle sans la voir.
Je pensais qu'il était étrange qu'une jeune femme soit seule dans ce bar. Alors j'ai supposé que c'était probablement une transsexuelle. J'ai fais signe au barman en désignant mon verre et lui dit: "Le même poison pour moi, et j'offre un verre à la demoiselle, ce qu'elle veut!" Je hochais la tête vers elle. Elle me regarda et sourit, puis elle m'a fait signe de venir la rejoindre et de m'asseoir près d'elle, ce que j'ai fait, sous le sourire goguenard du barman.
Il m'a fallu une minute ou deux pour en être sûr, elle était très sexy et très féminine. Déborah et moi avons parlé pendant un moment en sirotant nos boissons. Elle avait une voix rauque qui faisait frémir ma bite.
"Je n'étais pas sûre d'être prête à me montrer ainsi vêtue en public." Elle m'a dit. "Alors je suis venu un mardi, parce que c'est la nuit la plus calme ici.

Mais je n'espérais pas faire de rencontre. Qu'en penses-tu? Est-ce que tu me trouves bien?" Elle se trémoussait sur son tabouret, se tortillait pour me montrer son corps.
"Tu as l'air charmante et très sexy, Déborah. Tu me plaît beaucoup!" Je lui ai dit.
Elle a piqué un fard, s'est trémoussée en battant des cils: "Oh! Tu es gentil!"
Ensuite, j'ai balancé mon pavé: "Tu es une transsexuelle, n'est-ce pas?"
"Non, pas du tout!" Elle s'est insurgée. Je rougis, penaud et confus, et je commençais à m'excuser.
"Mais non, tu es bête! Tu es une cible tellement facile! Non, je suis un travesti. Je m'habille parfois ainsi parce que j'aime ce sentiment, juste le trouble que ça me donne, je ne vis pas comme une femme et je ne suis pas en transition. En fait, c'est la première fois que je m'habille ainsi en public, et je ne suis jamais allée avec un homme auparavant."
J'ai pris un moment pour traiter cet information, perplexe sur la conduite à tenir.
"Hé, j'aime bien cette musique; aimes-tu danser?" S'exclama-t-elle alors que les haut-parleurs diffusaient une musique sirupeuse.
"Viens danser!" J'ai tendu la main comme un gentleman dans un vieux film.
Elle blottit contre moi son corps mince et gracile. Je la tenais par sa taille étroite et souple et je sentais la chaleur de son ventre collé au mien. Malgré nos vêtements, elle a parfaitement senti mon érection. Elle a rougit et a posé sa tête sur mon épaule pendant que nous évoluions lentement sur la piste de danse. La musique a pris fin et quelque chose de plus rapide l'a remplacée. Elle a pris ma main et m'a entraîné vers une table, dans un coin discret.
"Tu es mignon." Elle m'a dit en me caressant la cuisse. "Tu ne m'as rien dit sur mes seins! Penses-tu qu'ils sont trop petits? Je ne porte pas de postiche, c'est naturel, je mets simplement un soutien-gorge un peu … flatteur!"
"Non, en fait, je préfère les petites poitrines, plutôt que les gros nichons qui se balancent.
C'était l'une des sources de conflit avec mon ex, elle voulait se faire mettre des implants, je la préférais sans."
"Tu aimes les femmes? Tu es hétéro? Que fais-tu ici, alors?"
"J'ai toujours vécu avec des femmes, mais dernièrement, j'ai eu envie d'expérimenter un peu, de voir de nouvelles choses."
"Tu veux m'essayer?" Demanda-t-elle, en sortant la pointe de sa langue pour s'humecter les lèvres.
"Je pensais que tu ne le demanderais jamais."
C'était brumeux quand je suis entré dans le bar, mais maintenant il pleuvait, ce à quoi je ne m'attendais pas. Je tenais ma veste au-dessus de la tête de Déborah, réalisant qu'elle avait passé du temps pour sa coiffure et son maquillage, et que la pluie n'allait pas arranger cela.
"Où veux-tu aller, Déborah?" J'ai demandé.
"Ma voiture est juste là-bas." Elle désignait le parking sombre. Nous avons couru, elle a sorti ses clés de son sac à main et a sauté à l'intérieur.
"Hé, monte!" Elle m'a appelé, se penchant pour ouvrir la portière passager. J'ai couru autour de la voiture et me suis glissé dedans.
"Tu es tout mouillé." Elle riait en m'essuyant le visage avec un mouchoir en papier, puis elle a saisi mon visage à deux mains et s'est penchée pour m'embrasser.
Alors que la pluie tambourinait sur le toit de la voiture, elle m'a fait goûter son rouge à lèvres qu'elle avait tartiné abondamment. Je l'ai embrassée en retour et elle m'a surpris en répondant à ma tentative de glisser le bout de ma langue dans sa bouche, lorsqu'elle a enfoncé profondément sa langue de manière agressive dans la mienne.
Elle gardait mon visage entre ses mains et elle a maintenu longtemps ce premier baiser. Ses lèvres étaient pulpeuses, sa langue agile luttait efficacement avec la mienne, son baiser était délicieux et je perdais la notion du temps en explorant son corps avec mes mains.
Nous avons rompu ce premier baiser quand une voiture s'est arrêtée dans le parking près de nous en nous éblouissant dans la lumière de ses phares.
"Chez toi ou chez moi?" Déborah m'a demandé.
Nous avons ri tous les deux avec ce truc ringard.
"J'habite à quelques kilomètres de là, la voie est libre, ma copine sors avec des copains ce soir, elle va sûrement se faire tringler, et j'ai trop envie, je ne peux plus attendre pour t'avoir." Elle m'a dit.
Je secouais la tête, d'accord, et j'essayais de contrôler mes pulsions pendant qu'elle m'amenait chez elle.
Mais nous n’avons pas réussi à arriver jusque chez elle.
Nous sommes descendus au sous-sol pour garer la voiture dans son box, mais à peine elle avait coupé le moteur qu'elle s'est retournée vers moi et nous avons recommencé à nous embrasser frénétiquement, passionnément, les mains palpant le corps, échangeant nos salives avec nos jeux de langue.
Je lui ai caressé les jambes et, ravi qu'elle porte des bas, j'ai soulevé sa jupe pour admirer ses cuisses fuselées.
Je n'avais pas eu beaucoup d'expériences avec des filles qui soignaient leur lingerie, c'était une découverte excitante.
"Tu aimes ça?" Elle a demandé. "Mes bas t'excitent?"
"Ooh! Oui. Tu es vraiment très sexy."
"Oh, je t'aime bien." Elle se cambra pour soulever ses fesses du siège afin que je puisse rouler sa jupe autour de sa taille et admirer son porte-jarretelles, les jarretelles qui retenaient les bas et sa petite culotte en dentelle.
J'ai caressé ses bas et sa peau et j'ai adoré la différence de sensation entre le tissu de ses bas, sa petite culotte et le contact de sa jarretière.
Sans mesurer ce qu'impliquait mon geste, sans décision consciente, emporté par ma pulsion et mon désir, je me suis penché pour embrasser ses cuisses.
"Oh, tu es plein de surprises, chéri!" Elle haletait en caressant ma nuque. Je me suis déplacé pour embrasser son autre cuisse, elle a reculé son siège à fond en inclinant le dossier, elle a avancé ses hanches, ce qui a approché sa culotte de ma bouche.
Elle m'a saisit par les cheveux pour frotter mon visage contre son entrejambe:
"Tu es confortable, chéri? Mon clitoris ne te dérange pas, n'est-ce pas?"
"Non, pas le moins du monde!"
"Encore mieux que ce que j'espérais.
" Elle murmurait "Donne à mon clitoris un peu d'amour, chéri."
Je commençais à faire courir mes lèvres sur sa culotte, tandis que sa queue se déployait sous ma caresse. Je trouvais un endroit humide et je léchais la fine culotte soyeuse.
"Oh mon Dieu, chéri, c'est ça! C'est exactement ça!" Elle a attrapé et glissé sa culotte sur le côté, libérant sa queue pour me permettre un meilleur accès.
Je ne suis pas un gentleman, mais je sais ce qui plaît aux femmes. J'ai pris mes responsabilités, j’ai ouvert la bouche pour glisser sa bite chaude et collante entre mes lèvres, me soûlant de l'arôme musqué et sexuel de son entrejambe et de ses jus qui suintaient.
Elle a gémi en avançant son bassin au bord du siège et en pressant mon visage contre son nid d'amour, poussant sa queue au fond de ma bouche, puis en pressant plus fort pour pénétrer ma gorge. J'ai avalé, avalé et avalé encore, espérant surmonter mon réflexe nauséeux afin d'obtenir toute la longueur du doux "clitoris" de Déborah.
Son gémissement rauque faisait frémir mes reins et dresser ma bite pendant que ma bouche montait et descendait le long de sa bite. Elle maintenait fermement ma tête à deux mains, une sous le menton, l'autre sur la nuque, pendant que son long et épais chibre se frayait un chemin au plus profond de moi.
J'ai essayé d'augmenter l'amplitude de mon mouvement en bougeant ma tête de haut en bas, de bouger sa queue, mais l'arrière de ma tête heurtait le volant et limitait mes évolutions.
Alors, après m'être retiré de quelques centimètres, je donnais de petits coups, permettant à son gland d'entrer et de sortir de ma gorge. Je serrais mes lèvres autour de sa tige et je tirais la langue pour lécher ses bourses, pendant qu'elle geignait et gémissait de plaisir. Alors je me donnais entièrement à la tâche de plaire à cette jolie demoiselle et à son clitoris long et charnu.
"Oh, oui! Vas-y, bouffe-moi toute! Tu veux avaler mon jus, n'est-ce pas?" J'ai gémi une réponse que je voulais affirmative. Elle l'a prise comme une invitation à baiser mon visage plus fort. Ses mains accrochées à ma tête, elle a utilisé mon visage comme une chatte, enfonçant sa queue dans ma gorge.
J'avais du mal à respirer mais je savourais l'intensité de l'expérience. "Prends-le! Prends-ça! Prends ma bite, putain de salope!" Sa voix rauque grondait quand elle a violé ma bouche. J'ai adoré, ses paroles autant que sa domination agressive sur moi. Cette fille m'excitait de plus en plus.
Je m'étouffais, essayant de lui dire à quel point j'aimais ce qu'elle me faisait subir.
"Tu es prête, salope? Tu es prête à avaler mon sperme comme la pute gourmande que tu es?" Elle gronda, poussant férocement dans ma gorge, me remplissant de son merveilleux poteau de chair brûlante.
Je gémissais, incapable de répondre tandis qu'elle me martelait plus fort, bloquant ma tête sous le volant et poussant son bassin de toutes ses forces, écrasant mon visage contre son pubis.
"Putain! Prends-ça! Avale tout, salope! Elle a crié avec cette voix sexy et gutturale en éjaculant des litres de sperme directement au fond de ma gorge. J'ai tété et sucé sa queue pendant qu'elle évacuait tout son sperme, et puis doucement elle a ramolli dans ma bouche, j’observais tout autour de moi, les bas, le porte-jarretelles, la jupe qui couvrait ma tête, la bite qui mollissait toujours coincé dans ma bouche, le goût sucré du sperme de Déborah. Je suis restée là, suçotant sa queue comme un bébé qui allaite, jusqu'à ce qu'elle m'ait finalement repoussé, épuisée.
"Merci, chéri, tu m'as fait une pipe fantastique, la meilleure que j'ai jamais eue. J'aimerais que tu puisses donner des cours à ma copine, cette salope tord le nez chaque fois que je lui demande une gâterie."
Elle murmurait et se pencha pour me donner un baiser passionné.
"Je suppose que c'est ton tour." Dit-elle. "Je ne suis pas une spécialiste, sûrement pas comme toi, mais je suppose que je te dois d'essayer."
Elle ouvrit mon jean, libérant ma bite déjà palpitante. "Waouh, t'es tout collant, t'as déjà joui?" Elle a demandé.
"Non, mais je suis proche." Je haletais, alors qu'elle caressait délicatement ma bite, faisant courir ses doigts effilés de haut en bas, tout le long de la tige.
Ma bite a tressailli dans sa main et j'ai gémi: "Oh putain, je viens!" Alors que ma queue tremblante commençait à évacuer mon sperme à gros bouillon dans sa paume tendue. Elle me caressa de son autre main, faisant couler tout mon foutre, puis regarda la flaque de foutre chaud dans sa main.
"Je pense que je connais quelqu'un qui va aimer ça." Elle ronronnait, très chatte et, levant sa main remplie de sperme, l'approcha de mes lèvres en disant: "Lèche, salope. Je sais que tu aimes ça, petite pute!" Et je l'ai fait.

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