L'Apprentissage Du Futur Mâle Dominant Par Sa Soeur. 2
Lapprentissage du futur mâle dominant.
Mon poulain est monté comme un étalon. Première monte à cru.
-Ta bite est pleine de poils, je vais remédier à tout ça !
-Quentends-tu par là ? Sinquiète-t-il.
-Tu vas bientôt le savoir
Je fais un détour par la salle de bain et ramène tout le nécessaire. Comme il est allongé sur le lit, les jambes maintenues écartées par les liens, il est à ma merci. Je mets de la mousse à raser sur sa bite et ses couilles et attaque le labeur. Jy vais très délicatement de peur de le couper avec le rasoir.
Je pars du pubis tout doucement en tenant fermement son pénis de lautre main. Il bande toujours et ça me facilite le travail. Ma main gauche sactive tout au long de son gourdin que maitrise difficilement ma main droite.
Il ne bouge plus dun poil, cest le cas de le dire, quand je passe le fil du rasoir le long de ses couilles dodues. De minuscules gouttes de sang tachent la lame. Je mapplique craignant toujours un incident fatal mais tout ce passe bien. Raser ensuite les poils de son bas-ventre nest plus quune rigolade.
Une fois totalement sans poil, je lave et essuie tout ça avant doindre d'huile parfumée son sexe et ses couilles.
Le résultat est admirable, son engin glabre et luisant parait encore plus énorme. Lustensile idéal pour faire se pâmer les filles.
Il faut que je men occupe sur le champ,
Comme en transe, je saisis son sexe horriblement dressé, et passe à laction en torturant le membre des deux mains, je coulisse la peau fine qui le couvre en partie et arrive à décalotter le gland.
Il se démène sous mon attaque, projette son bassin au devant de ma bouche en tirant sur ses liens. Mais comme je connais sa promptitude à atteindre lorgasme, à la première alerte, au frémissement annonciateur de son plaisir, je cesse toute manipulation de son outil pour faire retomber la pression.
Je le regarde ensuite dans ses yeux implorant et approche ma bouche.
Je masturbe avec douceur ce sexe en rut sous ses gémissements de plus en plus forts. Il sagite comme un beau diable quand je joue de mes doigts sur le sommet du chapeau de ce champignon inconnu qui suinte quelques gouttes, il fait de véritables bonds sur le lit.
J'essaie mais en vain de prendre dune seule main cette prune violette mais elle est trop grosse pour que mes doigts lencerclent.
Je me penche et gobe le gland énorme, les mâchoires distendues au maximum.
Il est si gros que je me venge en prenant ses boules douloureuses dans ma bouche, il gémit comme en souffrance. Délicatement je les caresse avec le bout de ma langue avant de les gober toutes les deux.
Je prends un mouchoir que je pose sur le gland violacé pour en frotter avec vivacité la partie la plus sensible de lorgane masculin. Il se cabre comme un animal, ruant criant, suppliant pour que jarrête cette . Je dois arrêter souvent pour éviter léjaculation avant de reprendre vigoureusement à le tourmenter. Je donne des tapes sur le chapeau, sur les couilles si délicates.
Il halète, son membre saute et tressaille sous les attaques perfides, son corps sarque tellement que jen ai presque pitié.
Jarrive à dominer ce paquet érigé, prolongeant seconde après seconde le moment fatidique où va couler le flot de salive blanche en une symphonie de gestes très étudiés, triturant et astiquant encore et encore cette teub familiale. Pour augmenter encore son plaisir, je titille son anus de mon index et le sent souvrir comme une fleur quand jy enfonce mon doigt enduit de salive.
Il grogne de plus en plus fort et je suis obligée de le bâillonner sinon il va réveiller les parents.
Quand je sens linstant fatidique poindre, je prends ce que je peux de son engin dans ma bouche ne voulant pas encore une fois avoir à nettoyer ses épanchements et continue mon petit tripatouillage anal.
Je continue mes caresses et essaie d'avaler toute sa liqueur mais en vain. La dose est trop abondante mais au moins jai sauvé les draps. Quand enfin la source se tarit, je reprends mes caresses buccales pour nettoyer tout son pieu et son corps souillés de sa liqueur si abondante.
Il ne bouge plus, reprenant ses esprits après avoir connu lorgasme. Son vit débande un peu mais reste en semi-érection.
Jai ma chatte trempée, je ne vous parle pas de ma petite culotte à tordre
Je me caresse avec sa grosse queue. Lenvie de m'empaler dessus me tord les tripes mais ça me fait peur.
Je me dénude et me mets sur lui. Avec mes mains J'entrouvre ma chatte et att sa teub pour frotter son gland sans appuyer.
Tout doucement je me redresse et descends au devant de ce monstre. Je l'enfonce en moi, je nen reviens pas quun tel morceau puisse disparaître au centre de ma chair ! Un afflux de sang gonfle mes muqueuses, je gémis tout bas quand une secousse tellurique mavertit que je ne peux aller plus loin. Il me possède jusqu'à la garde mais je peux encore mettre une main entière autour de la racine de ce nud. Quelle queue
Après quelques allers-retours, ma chatte se détend peu à peu, je coulisse sur son membre en douceur. Je suis pleine de sa queue qui appuie au fond de moi.
Je ny tiens plus, ma chatte explose et se liquéfie, je me vide mais l'emboîtement est si ajusté que ma cyprine brûlante est piégée. Pas une goutte ne sort de mon fourreau contribuant à huiler encore plus le piston. Je sens la chaude liqueur se répandre sur toutes mes parois intimes.
Je change de position, le chevauchant en lui tournant le dos pour lui offrir une perspective de mon cul quil na encore jamais admiré et mempale à fond sur son membre.
Il essaie de participer en donnant de bons coups de reins mais est gêné par les liens.
-Jespère que tu aimes mater mon cul pendant que je te baise, hein, frérot ?
Je détache sa main droite et la guide vers mon cul.
Moi aussi je sens venir lorgasme et quand il me dit quil va encore gicler, ce mot magique ouvre mes vannes.
-Donne-moi ton sperme ! Rempli- moi la chatte !
Nous jouissons ensemble dans une communion familiale.
Il memplit de sperme chaud, ses jets viennent butter au fond de mon ventre, memplissant comme le vin remplit une bouteille, je ne sais plus où jen suis. Quand enfin je reprends pied et me retire de son chibre, un bruit de ventouse emplit la chambre. Une bave blanche sécoule de ma vulve.
Encore heureux que je prenne la pilule !!!
Je sers les cuisses et me déplace sur son corps pour lui donner ma chatte à lécher en embrassant sa peau en remontant. Il a compris ce que jattends de lui et me dévore le minou avec sa longue langue inexperte. Je contacte ma matrice pour en expulser les restes de ma mouille et de son sperme quil est obligé de recueillir dans sa bouche.
-Tu dois tout avaler, comme moi tout à lheure !
Il ne rechigne pas et absorbe avec application ce que ma chatte expulse en abondance.
Je saisis à nouveau sa queue, la nettoie des miasmes de notre copulation. Je la sens battre en cadence à chaque contraction de ses muscles. Il rebande à nouveau
Je suis surprise de sa vigueur mais reprends vite mes esprits et le branle des deux mains pendant quil me dévore la chatte.
Je suis comme une affamée devant un buffet de roi. Je varie les positions pour profiter le plus longtemps possible de ce gode de chair infatigable.
Plus il me pénètre, plus je jouis. Sa source m'a gratifiée de copieuses giclées mais baisse de débit comme un ruisseau en été. Je nai jamais connu un amant aussi prolixe de son foutre. On dirait quil se vide dun trop-plein de plusieurs années.
Je suis épuisée, complètement fourbue car cest moi qui ai uvré une grande partie de la nuit.
Je le détache enfin, lembrasse et me sauve comme une voleuse (de sexe).
Vivement demain soir
(À suivre)
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