Hélène 28 : Mél : Deuxième Épisode : La Séduction, Deuxième Partie.
Hélène 28 : Mél : deuxième épisode : la séduction, deuxième partie.
- Je me suis tellement amusé, je ne veux pas être seule.
- Moi non plus, tu moffres un thé pour commencer
Je pose le plateau avec le service, la théière, et les gâteaux secs, sur la petite table du salon.
Hélène sest calée dans le divan, le dos contre des coussins, les mollets sur lassise. Du bout des pieds, elle se déchausse, et replie ses jambes, occupant deux des trois places du divan.
Je magenouille, je lui remplis une tasse et lui tend la boisson fumante.
Je pique deux coussins, et je minstalle sur le tapis, à hauteur de ses genoux découverts.
- Dis donc, tu es toujours aussi coquine avec Pierre.
- Tu veux dire aussi friponne. En fait, non je ne suis pas aussi friponne avec mon chéri. Il aime plus quand cest suggéré. Mais une fois
- Une fois
- En fait, la première fois que jai enlevé ma culotte au resto, je lai perdue. Il la ramassée, mais cest lui qui la pliée sous les yeux du serveur. Jétais aussi rouge que mes dessous.
Un silence. Puis je pose ma tête sur le canapé contre ses jambes. De la joue, je touche le nylon de ses bas. Je menhardis, je glisse ma main sur son genou. Je la regarde. Elle me sourit. Je ne la quitte pas des yeux, je remonte sur sa cuisse, jatteins la lisière de ses Gerbes. Doucement, elle relève un coin de son sourire. Elle sait où je veux en venir, elle est daccord, je touche enfin sa chair tiède.
- Stop.
Je me bloque, je recule ma main.
- Dégrafe ta robe. Je veux te voir en dessous.
Toujours assise, je me déshabille en faisant glisser ma robe au-dessus des épaules. Je reste à genoux, en soutien-gorge, et en porte jarretelles, sans culotte.
Hélène
- Lève-toi !
Mel est magnifique, sa lourde poitrine présentée dans les balconnets, ses tétons en érection déformant la dentelle.
A peine dissimulées par son vison, des grandes lèvres, un peu grasses entourent un sexe fendu assez haut. Je ne verrais ni les nymphes, ni son bouton dissimulés par ce con charnu et appétissant comme un abricot mûr.
- Tourne-toi.
Des hanches rondes saccordent avec un cul opulent, légèrement tombant. Les bas sarrêtent au deux tiers des cuisses pleines, et charnues. Les coutures affinent des mollets ronds prolongés par des chevilles un peu fortes, mais élégantes
Bref, une matrone splendide.
Mél
Je lui fais face. Sans quitter son sourire de madone, elle dégage ces deux seins de son corsage.
- Mes seins, sil te plait. Me lance-t-elle.
Jembouche un téton et je le mordille pour lagacer. Je pince délicatement lautre. De légers soupirs approuvent mon initiative.
Après quelques instants de cette sollicitation mammaire, une pression sur ma tête mintime de descendre plus bas.
- Trousse-moi mordonne-t-elle
Je magenouille entre ses jambes et je bisoute sa cuisse en remontant vers sa chatte. Elle nest pas épilée, mais son foin intime nest pas très fourni.
Je peux discerner tous les détails de son sexe annelé. Et en dessous un rosebud rouge.
Je mâchouille ses lèvres intimes, je minsinue dans sa fente, elle a une saveur légèrement salée. Jenroule ma langue autour de son bourgeon. Elle soupire daise.
Elle replie ses jambes vers ses épaules, pour me donner laccès à son périnée.
- Enlève-moi mon bijou.
Je tire sur la rosace. Au passage du renflement, sa corolle sécarte, et son muscle samincit. Ma belle amie soupire quand jextirpe un bulbe large comme trois de mes doigts. Son poids me surprend, il méchappe et émet un joli tintement métallique en tombant sur le sol
- Laisse-le et lèche-moi.
Je pose ma langue sur son orchidée
- Lèche-moi plus bas
- Mais
.
- Lèche moi plus bas, naie pas peur, je suis très propre.
Je suis son ordre, je cajole avec réticence cet endroit associé à des images scatologiques.
- Je vois que tu nes pas très coutumière de ces caresses. Fait-elle en me relevant la tête, et en me pinçant le menton entre le pouce et lindex.
Elle plante ses yeux dans les miens, et autoritaire, elle mordonne
- Tu vas rouler ta langue sur elle-même, comme un petit cigare et tu entreras en moi.
- Mais
- Pas de mais, sinon nous en restons là. Ne fais pas la prude. Je sens bien que tu nes quune petite bourge qui nattend que dêtre soumise et dévergondée.
Je retourne à son cratère, japplique mes lèvres sur le pourtour de la rosette, ma langue la pénètre comme un micro pénis.
Un petit gémissement approuve cet enculage. Je commence à la pistonner. Elle roucoule.
Son gout est légèrement poivré, mais agréable, jai même limpression dy retrouver une odeur fruitée, probablement son savon intime.
En tout cas, cest plutôt plaisant, je ne suis pas du tout dégoutée.
Jai une petite crampe à force de contraindre mon muscle. Je me déploie à lintérieur de son rectum, et je lexplore.
Je lentends haleter, mon initiative semble appréciée.
De mon pouce, je retrousse le capuchon du clitoris et je stimule son bourgeon.
Son bassin sagite davant en arrière. Jai de plus en plus de mal à laisser ma langue dans son anus.
Dans un sursaut, elle explose, et seffondre, libérant ma bouche.
Elle mattire à elle, me serre, et me colle un doux baiser lesbien.
- Tu vois, ce nest pas sale, nest-ce pas.
- Oui maitresse.
- Evite le mot « maitresse ». je ne suis quune amante un peu directive après tout.
- Cétait bien ???
- Mél, cétait délicieux. Tu avais déjà expérimenté cet attouchement.
- Non, jai toujours pensé que cétait, comment dirais-je, « sale ».
- Alors, ma belle, nous trouverons bien une opportunité de tinitier. Montre-moi le chemin de ta chambre.
Hélène
Mel passe devant moi. Elle a une démarche légère et dansante, malgré ses formes. Je peux observer le léger roulis de sa croupe opulente. Elle monte lescalier, son cul à hauteur de mes yeux. A chaque marche, une fesse monte, accompagnée dune légère houle des hanches. Le jeu vertical de ses miches laisse entrevoir le bijou bleu inséré dans son anus.
Je ne peux pas résister, je tends la main et je pose ma main sur cette chair si tentante. Elle se retourne et menvoie un sourire attendrissant
La chambre de Mél est décorée avec gout, dans les tons pastel, mais je vois tout de suite quelle nest pas partagée avec son mari. Pas de ces petits arrangements qui dénotent une vie de couple, comme deux oreillers de chaque côté du lit, une montre masculine posée sur une table de nuit, pas de dressing partagé. Je peux presque sentir la solitude de cette épouse abandonnée.
Mél.
- Déshabille moi. Mordonne-t-elle.
Je me glisse derrière elle, et jouvre la fermeture éclair de sa robe. Puis je fais glisser son vêtement, elle est en bas et guêpière. Son cul en liberté sépanouit devant moi
Je narrive pas à quitter ses fesses des yeux. Elle doit le sentir.
- Il est un peu gros.
- Quoi, Qui ?
- Mon cul, cest bien ce que tu regardes.
- Oui, mais
- Cest ma marque qui tintrigue ?
- Mais cette cicatrice
- Tu veux toucher ? Doucement, elle date davant-hier, elle est encore un peu douloureuse.
Javance mes doigts, et je caresse du bout des doigts le renflement violacée qui travers en biais son or-gueilleux popotin.
- Allonge-toi, cest ton tour ! fait-elle en me poussant sur le lit
Elle se penche sur mon mont de vénus, et dépose un léger baiser.
Sa menotte ouvre mon coquillage. Je mécarte, pour lui faciliter laccès de mon intimité. Elle me fouille, je suis trempée, ma mouille coule sur mon périnée. Un index décalotte mon bourgeon et lagace. Je soupire doucement. Un doigt se présente à mon entrée secrète. Je me crispe.
- Pas de ça avec moi. Ouvre-toi. Fait-elle en me fixant dans les yeux.
Dun sourire, jacquiesce, je glisse mes paumes entre le lit et mes fesses et je dégage le passage. Elle salive sur ses phalanges et les présentent au pertuis étroit. Elle sintroduit et entame un mouvement circulaire comme pour mévaser.
Elle retire sa main et la pose sur mes lèvres.
- Goute-toi.
Jai un mouvement de recul.
- Goute-toi, ou jarrête.
Jentrouvre ma bouche, ses doigts me forcent.
- lèche-les, je veux sentir ta langue.
Je les caresse, je les suce comme si cétait le membre de mon mari. Japprécie cette saveur issue du plus profond de moi-même.
Elle se retire, puis revient à mon illet. Elle me pistonne avec douceur.
- Tu ne jouiras que par le cul. Mannonce-t-elle autoritaire.
- Oui ma chérie ! Branle moi.
Jondule des hanches et du croupion. Elle accélère mon enculage. Ma rosette menvoie des ondes de plaisir, je me couvre les yeux de mon avant-bras. Je gémis, je suis au bord de lorgasme Les sensations sont si intenses que jai limpression de nêtre plus quun anus jouisseur.
Je flotte, puis un coup de langue sur mon clitoris, jexplose.
Jouvre les yeux, ma belle maitresse me sourit.
- Excusez-moi, jai un peu bâclé les choses sur la fin.
- Merci, Hélène, cétait délicieux. Je nen pouvais plus.
Elle mentoure de ses bras. Ses formes sont moins opulentes que les miennes, mais on ressent comme une volupté maternelle à leur contact. Je suis bien.
Cest maintenant le temps de la tendresse, Hélène se cale contre la tête du lit, sur une pile doreillers comme sur une chaise longue, Je mallonge contre elle, en posant ma tête, sur son ventre, sous sa poitrine. Je me laisse aller aux confidences.
- Tu es ma première lesbienne. Lancé-je à ma tendre amie.
- Je ne suis pas lesbienne, jaime les hommes, ou plutôt jaime le mien.
- Alors je dirai que tu es ma première amante.
- Voilà qui est mieux, et toi, tu es ma deuxième.
- Vraiment, et qui est la première, je la connais ?
- Oui, depuis ce matin, cétait Odile. Me répond la friponne
- Odile, cette maigrichonne.
- Tu exagères, elle est fine, élégante, et elle était si timide.
- Et moi, je suis grosse alors, lui répond-je pour la provoquer.
- Non, tu es opulente, mais ta silhouette est bien équilibrée, et puis tu es appétissante. Fait-elle en se redressant, et en me retournant sur le ventre.
Je me laisse faire, espérant un tendre baiser. Mais cest le contraire, elle se jette sur mon popotin et le mords à pleine dents.
- Tes folle ! fais-je en me retournant et me replaçant contre elle.
- Douillette ! Menvoie-t-elle.
- Dis donc, à propos, sur ton cul, cest quoi ? la questionne-je
- Cest Pierre.
- Il te bat.
- Mais non, cest moi qui lui ai demandé de me marquer de sa cravache avant son voyage.
Elle se redresse et sassoit, à ma hauteur, et me regarde dans les yeux.
- Ne me dis pas que tu ne savais pas cette façon de faire lamour existait.
- Si, je savais que ça existait, mais je nai jamais été confrontée à la réalité dune relation de ce type.
Tout doucement, elle me prend la main, passe ses doigts entre les miens et pose le tout sous ses seins.
- Tu sais, il y a encore quatre ans, moi aussi jétais ignorante de cette manière daimer. Javais été mal mariée, et je métais résolue à une vie sans amour. Et puis je suis tombée sur Pierre, au sens strict du terme. Depuis je suis raide dingue de lui.
- Cest ton, maitre ?
- Non, cest mon sultan, et je suis sa sultane. Cest un amant exigeant et tendre. Il est autoritaire, mais il fait mes quatre volontés. Il me fouette, mais il porte mes marques. Tout ça, cest de lamour.
- Et puis , si jai été bien dotée par la nature, cest pas seulement pour sassoir dessus. Alors , cest normal que Pierre soit tenté.
- Mais il te fait mal.
- Non, il me fait souffrir un peu et jouir beaucoup.
- Jouir ???
- Le meilleur moment, cest quand il me prépare, quil mattache, ou quil me conduit au supplice. Jai le cur qui bat à cent à lheure, jai limpression dêtre le centre de son monde. Et après
- Et après
fais-je pour la relancer
- Après, jadore quand il soccupe de moi, quand il me caresse en me passant la pommade.
-
.
- En résumé, je suis une compagne comblée, une amante adorée, et une soumise épanouie.
- Je tenvie. Au moins ton homme sintéresse à toi Fais-je,
- Ah, tu veux être fouettée ? pourquoi pas , tu as un cul si tentant. Me répond-elle en rigolant.
- Peut-être un petit peu, juste pour essayer, ou jaimerai bien voir.
- Oui jai remarqué que tu étais légèrement voyeuse sur les bords,
- Bon, disons que je nai rien dit.
La fin de laprès-midi se passe en tendres câlins, et pelotages divers. Ma belle amie se laisse tripoter sans aucune gêne. Et dailleurs elle nest pas en reste pour explorer les replis les plus intimes de mon corps. La journée se finit par un savonnage mutuel sous la douche.
Cest lheure de nous séparer. Hélène me demande
- Aide-moi à attacher ma guêpière.
Je fixe les agrafes, puis elle tend sa jambe vers moi. Je comprends immédiatement. Je prends un bas et je le fait remonter à deux mains le long de sa jambe. Puis jagrafe son gerbe sur la jarretelle.
Je fais de même sur lautre cuisse.
Elle att sa robe fleurie et lenfile. Je remonte la glissière. Je ne peux me résoudre à tirer le rideau sur ce corps.
Je me penche, je la trousse et jembrasse ce cul si tentateur.
Je saisis un déshabillé mais
- Non remets tes dessous. Jaime bien quand tu es plus que nue, et moins que vêtue. Mordonne-t-elle.
Je suis son injonction avec plaisir. Jenfile ma lingerie, je la vois saisir son portable.
- Je peux faire une photo ?
Et sans attendre une réponse, elle fait cliquer lappareil.
- Tourne toi, mets-toi de dos, mais tourne ton visage vers moi.
Clic-clic.
- Je peux en faire une plus coquine.
- Oui, si tu veux.
- Baisse ta culotte à mi-cuisse, sil te plait.
Je lui obéis sans discuter.
- Je la double, voilà, cest parfait.
Je me reculotte et je mapproche delle.
- Montre
- Tu rêves, cest pour moi. Mets ta robe, et accompagne-moi à la voiture.
Nous sommes sur le trottoir, jai le cur un peu gros de la laisser partir. Je ne sais pas quand nous renou-vellerons cette parenthèse sensuelle. Elle tourne la tête à droite et à gauche. Elle me saisit la nuque de ses doigts et mattire vers ses lèvres pour un intense baiser. Puis elle saute dans sa voiture et me plante là, sur un petit geste de la main par la fenêtre ouverte
Pierre, Aéroport de Vantaa, Helsinki.
Je viens juste de passer le contrôle, et je me dirige vers le lounge VIP, quand la sonnerie signalant un SMS de ma Chérie.
Une photo dune belle poule en dessous, visage coupée, le cul tourné vers lobjectif. Et une splendide marque de dents sur le gras de la fesse gauche. Je renvoie ma réponse.
- Mais ce nest pas ton cul !!!
- Réponse à la maison, grand coquin !
Le taxi séloigne, jouvre doucement la porte, et je me déshabille dans le salon, laissant mes vêtements dans le canapé, je monte lescalier vers notre chambre sur la pointe des pieds.
Hélène est allongée sur le côté droit, respirant doucement. Je me glisse sous le drap. Je me colle contre le cul voluptueux de ma belle. Une main saisit la mienne et la colle dautorité sur son sein.
Un murmure.
- Il était temps, jai failli mendormir.
- Merci de mavoir attendue, ma chérie, Puis jajoute, ça cest passée comment avec Mel.
- Cétait bien agréable, mais il faudra que tu maides pour la suite
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!