Ma Femme Se Lâche

MA FEMME SE LACHE

Cette histoire vraie, est arrivée il y a quelques années. A l’époque nous étions, ma femme Sandra et moi, dans la quarantaine, bien installés dans la vie . Nos s grandissaient , et seul le plus jeune était parti avec nous pour ce court sejour en Crête.
L’hotel, à quelques, kilomêtres d’Héraklion était un quatre étoile, ce qui n’est pas exceptionnel dans ce pays. Prestations de qualité, mais un service un peu léger, vu que l’hôtel était surtout fréquenté par des groupes de tourisme. Il comportait trois piscines et nous avions jeté notre dévolu sur celle qui était la plus près de notre chambre. En réalité, l’hôtel était composé de petits blocs de quatre ou cinq chambres, avec entrées extérieures séparées et terrasse privative donnant sur le bleu de la méditerrannée. Nous avions une suite avec une chambre pour notre fils, qui avait dix ans, et une plus grande pour nous.
La journée, Notre fils était pris en charge par le mini-club et nous ne le voyions que très peu la journée. Comme nous étions tous les deux fatigués par le stress de nos métiers respectifs, nous avions opté pour une semaine de farniente.
Le premier jour, alors que nous somnolions sur les transats, au bord de la piscine, j’avais remarqué qu’une bonne partie des femmes présentes bronzaient topless, ce que ma petite femme ne faisait que lorsque nous étions seuls. Je lui en fis la remarque, et elle me répondit qu’elle n’allait pas exposer ses seins devant tout le monde.
Le deuxième jour, alors qu’elle revenait sur sa chaise longue après un cours d’aqua gym, elle s’est mise a discuter avec une jolie trentenaire, brune à la peau mate, qui avait suivi le cours avec elle, et, occupait un transat assez prôche. Tandis qu’elles papotaient, la jeune femme qui se prénommait Delphine, dénoua son haute de maillot, et s’en débarrassa, exposant une poitrine rebondie, aux tétons saillants, aussi halée que le reste de son corps, avant de s’allonger à plat ventre, uniquement vétue d’un mini slip de bain qui laissait découvertes une bonne partie de ses fesses fermes et dorées.


Sandra s’allongea, à son tour, me demandant de lui passer de l’huile solaire. Je m’exécutai, en commençant par ses jambes et en remontant progressivement vers son fessier, repoussant légèrement le tissu, du bout des doigts. Puis, je m’attaquai à son dos, et dénouai la cordelette du soutien gorge, sans essuyer de protestation. J’enduisai consciencieusement son dos fin mais musclé des épaule à la cambrure des reins, venant flirter avec la limite de son slip noir, que je tirai légèrement vers le bas. Après quoi je ne manquai pas de m’enduire à mon tour, avant de me rallonger. Le soleil tapait vraiment fort, et près d’une heure plus tard, elle me sollicita pour enduire le côté pile. Elle se retourna sur le dos, oubliant de rattacher son soutien et dévoilant deux sphères naturelles, attachées haut, et bien fermes, a défaut d’être volumineuses.. Elle se débarrassa du tissu, et se laissa aller tandis que je commençai à masser ses seins dont les pointes s’érigeaient sous mes doigts, tandis que Delphine, derrière ses verres solaires observait la manœuvre relevée sur ses coudes.
-Je te connaissais plus pudique, lui murmurai-je , à l’oreille
Sans ouvrir les yeux, elle balaya ma remarque d’un geste de la main
-De toute façon, tout le monde le fait, répondit-elle, et puis ici, on ne connaît personne
J’achevai de l’enduire de crème, quand Delphine lui demanda, si elle accepterait que je lui passe également de l’ambre solaire. Sandra ouvrit un œil et me dévisagea avant de répondre : pas de soucis, il va se faire un plaisir, énonça t’elle avant de refermer les yeux.

Je contournai le transat de ma femme pour venir m’asseoir au bord de celui de sa voisine. Je m’enduis les mains de crème protectrice et entrepris de l’étaler en massant depuis ses épaules, en descendant le long de son dos, jusqu’au trait, après la cambrure, de son tanga bien échancré. Je passai ensuite sur une jambe en partant des pieds, et en remontant vers la fesse, avant de redescendre à l’intérieur de la jambe, qu’elle écarta complaisamment.
Une fois revenu à ses pieds je passai à l’autre jambe, puis je massai les fesses en mouvements circulaires, de plus en plus larges, tandis qu’elle écartait plus largement les cuisses, mes doigts longeant le sillon fessier, en soulevant légèrement le tissu , ce qui provoqua un soupir de satisfaction. Sandra, la tête tournée vers moi devait m’observer derrière ses verres opaques.
J’allais me lever quand Delphine se retourna, m’offrant la vue de sa poitrine, plus imposante que celle de Sandra , et saisit ma main pour la poser sur son ventre , m’enjoignant de continuer. J’enduisis donc ses épaules avant de diriger mon massage sur ses seins, que je trouvais fermes. Les tétons s’érigèrent sous mes doigts et devinrent vite durs comme du bois, je glissai un peu plus bas sur son ventre et ne pus m’empêcher de venir chatouiller son nombril, ce qui la fit frissonner. Je m’attaquais ensuite à ses jambes, en remontant vers le maillot. Quand je remontais le long de la gauche, après avoir tartiné la droite, elle la replia, en écartant un peu vers l’extérieur, dégageant l’accès à son entre-cuisse. Mes doigts pétrissaient l’intérieur tendre des cuissses, au bord de la culotte, et je profitais de cette jambe, savamment repliée pour glisser le bout de mes doigts sur sa fente, au dessus du tissu qui était bien humide. La tension était extrème. Je caressais une femme, parfaitement inconnue, il y a quelques heures, sous le regard de mon épouse, qui semblait comme anesthésiée par la chaleur. C’est du moins l’impression que j’avais, mais une voix , légèrement étouffée, venue du transat voisin me ramena à la raison.
-ça va, on s’amuse bien
J’enlevais aussitôt mes mains, et Delphine resserra ses jambes.
Je rejoignis mon transat où je m’allongeais rapidement, à plat ventre, pour masquer un début d’érection.
En fin d’après midi, notre voisine se leva, et s’enroula dans un paréo transparent qui ne masquait quasi rien de ses seins magnifiques, avant de nous quitter, car elle devait aller récupérer ses s.

Après nous être baignés une dernière fois, nous avons décidé, à notre tour de lever le camp.
Sandra, se drapa dans une robe de plage rose , mais très transparente, sans remettre son soutien gorge. Les pontes de ses seins semblaient crever le mince tissu.
Bof, apparemment c’était l’usage, ici, et personne ne semblait choqué. Je surpris, au contraire, le regard appréciateur de quelques hommes se dévissant le cou pour la suivre du regard, et j’en fus secrètement flatté.
Après avoir récupéré notre fils Kevin, nous nous retrouvâmes dans la suite pour une douche, avant de nous préparer pour aller diner.
Kevin douché eut droit à un short et une chemisette propres. Sandra avait mis une robe légère, boutonnée sur le devant, et je m’étais contenté d’un pantalon de toile claire, et chemise en voile assortie.
Le restaurant était vaste, et comportait des tables rondes pour 8 personnes. Nous cherchions une place quand Sandra avisa Delphine, qui lui faisait signe. Elle était déjà installée à table a coté d’un grand type brun, assez baraqué qu’elle nous présenta comme son mari. Philippe. De part et d’autres du couple deux s étaient assis qu ‘elle nous présenta comme Thomas, six ans, et Emelyne 8 ans, tous deux aussi bruns que leur père.
Nous prîmes place, et en voyant, leurs assiette largement garnies, nous comprîmes que nous devions aller nous servir, au buffet, au fond du restaurant. Le diner fut agréable. Philippe était un fou de plongée et il nous raconta ses explorations des abysses environnates. Il avait, comme moi une tenue décontractée, mais plus classe que la masse des vacanciers qui débarquaient en bermuda ridicule et en tongs. Je remarquais que les femmes faisaient plus d’efforts vestimentaires que les hommes, en général. Les animateurs passaient de table en table, vétus de tenues sportives aux couleurs de l’hôtel, et discutaient un instant ou plaisantaient, avant de passer à la table suivante. Delphine était assez élégante dans une robe noire à bretelle, dont je ne pouvais voir la longueur tant qu’elle était assise.
La tension sexuelle de l’après-midi semblait s’être dissipée. Après le repas, chacun regagna ses pénates et, nous dûmes nous échapper au racolage des animateurs qui voulaient nous attirer pour la soirée qu’ils avaient préparé.
Une fois dans la chambre, Kevin ne tarda pas à s’endormir, exténué par cette journée au grand air.
- Tu veux aller voir le spectacle ? me demanda Sandra
- Et toi ?
- Tu sais bien, je n’aime pas laisser Kevin seul.
- Ok, vas-y, je reste ici
- Non, vas-y toi.
- Non j’insiste. De toute façon je n’en ai pas trop envie. Je vais me mettre au lit avec un bon bouquin. Profites –en, je sortirais peut-être demain.
- Ok, dit elle, et elle vint me claquer un baiser sur les lèvres A plus
- Prends ta clé. On ne sait jamais, si je dors.
- Ok t’inquiète dit elle en me montrant la carte magnétique qu’elle rangea dans son petit sac de soirée avant de sortir.
Je m’installais rapidement au lit, avec le dernier roman policier, mais après un peu plus d’une heure de lecture, mes yeux se fermaient tout seul et j’éteignis, avant de m’endormir.
Je fus réveillé par le bruit de l’eau, dans la douche. Sandra venait donc de rentrer. Un coup d’œil à ma montre : 3h passées. Elle avait dû bien s’amuser pour rester aussi tard. L’eau s’arrèta bientôt, et quelques minutes après je sentis ma femme se glisser discrètement dans le lit en prenant garde de ne pas me réveiller. J’attendis, un moment dans le noir,et sa respiration régulière m’indiqua qu’elle dormait.

Le lendemain matin, c’est notre fils qui se leva le premier, et débarqua dans notre chambre. Je me levai rapidement, mais Sandra restait prisonnière des bras de morphée. Je demandais à Kevin de s’habiller, et le rejoins dans sa chambre . Puis vétus de l’uniforme des vacanciers : short, tee-shirt et sandales, nous quittâmes la suite pour aller prendre un petit déjeuner , où Kevin retrouva les copains qu’il s’était fait, la veille.
Le repas achevé, je l’accompagnai au club où une jeune animatrice d’une vingtaine d’années, fraiche et souriante, accueillait les bambins de 8 à 12 ans. Ils étaient déjà une dizaine, et je lui demandai, si ce n’était pas trop, mais elle me rassura, en me disant qu’elle n’était pas seule et que son collègue allait arriver. De fait, presque aussitôt, arriva un jeune homme, toujours dans la vingtaine, assez grand, brun, au sourire tout aussi rayonnant que la demoiselle, à qui les s déjà présents firent la fête, ce qui acheva de me rassurer. Je repartis donc, et rejoignis la chambre, après être passé au restaurant, où, le personnel me prépara un petit sac avec un thermos de café chaud, sucre, fruits et croissants.
A mon arrivée Sandra, était debout. Elle avait enfilé un maillot de bain, hyper sexy, en crochet rouge et argenté, composé d’un mini slip, noué par deux cordons sur les cotés, et d’un soutien gorge, noué dans son dos, dont les deux triangles peinaient à dissimuler ses seins.
- Oh, super, tu m’as rapporté un petit dej ! s’exclama-t’elle, en voyant les victuailles que j’étais en train de placer sur un petit plateau trouvé dans un placard de la kitchenette.
- Merci mon chéri de t’être bien occupé de Kevin, dit elle en me claquant un gros bécot sur les lèvres. J’allais aller m’étendre sur la terrasse.
- Encore fatiguée ?
- Un peu. Je suis rentrée assez tard.
- Je sais. Tu t’es bien amusée ? demandai-je en déposant mon plateau sur une table basse, à côté de son transat.
- Le spectacle était moyen, mais j’ai retrouvé Delphine et son mari, et je suis allée à la discothèque avec eux. On a discuté un peu et surtout dansé. L’ambiance était sympa. Quand je suis rentrée j’ai cru que tu dormais.
- Oh je dormais, oui. J’ai émergé vaguement pendant que tu étais sous la douche, et je me suis rendormi. Tu vas aller à la piscine avec ce maillot ?
Elle pouffa.
-Mais non idiot, si je vais dans l’eau avec ce maillot, il va se gorger d’eau et je l’aurais vite sur les chevilles. Non je vais rester ici, pour profiter du soleil, et peut-être redormir un peu, dit elle, en enlevant son soutien-gorge, avant se s’allonger sur le transat, après avoir chaussé ses lunettes de soleil.
Tu pourras me passer de la crème solaire ? ajoute t’elle, avant de se metter à plat ventre.
Je débarrasse le plateau, et vais chercher la lotion. Je lui enduis consciencieusement le dos jusqu’à arriver au creux de ses reins.
-Fais attention de ne pas graisser le tissu, me recommande Sandra,
Je m’essuie les mains, et descend le maillot bas sur ses fesses, avant de remonter le tissu vers l’intérieur des jambes, dégageant largement son petit postérieur que je couvre ensuite de lotion, avant de finir par ses jambes. Sa peau est déjà dorée, et il ne s’agirait pas d’attr un coup de soleil. Ma belle somnole bientôt, chauffée par la caresse du soleil qui commence à devenir bien chaud. Demon côté, je m’enduis également, avant de m’étendre sur la chaise longue contigue à la sienne.
Une demi-heure plus tard, elle se retourne et s’empare d’un livre qu’elle commence à lire.
Je saisis la crème solaire, et entreprends d’huiler la face pile de ma chérie. Rapidement, mon massage fait son effet et ses tétons s’érigent, devenant durs et longs sous mes doigts. Je n’en reviens pas. Elle si pudique d’ordinaire se laisse caresser, en extérieur, sur cette terrasse au rez-de-chaussée, séparée, certes du jardin par un muret assez haut, mais il suffirait que quelqu’un passant dans le jardin, s’approche, et jette un coup d’œil par dessus le mur, pour la voir exposée, quasi nue.
Je profite de l’aubaine et continue mon massage en descendant sur son ventre,. Elle soupire d’aise, et dépose son livre. Allongée, face au soleil, son regard, mangé par les verres solaires est inexpressif, mais son corps parle pour elle. Mes mains glissent
Sur son ventre, titillent son nombril et les mouvements circulaires m’amènent non loin de sa culotte, bien basse, qui laisse dépasser le haut de son buisson taillé en triangle. Je tire sur les cordons et défais les nœuds qui retiennent le slip avant de le repousser, plus bas, du bout des doigts. Je commence à masser son bas ventre, que je sens se tendre sous ma main. Son bras, de mon côté, vient se poser sur ma poitrine, et me caresse machinalement. Peu à peu, le dos de ma main repousse le tissu qui finit par s’effacer complètement, découvrant sa courte toison sans qu’elle fasse un geste pour se couvrir, mes doigts se faufilent dans ses poils et viennent sur sa fente que je trouve largement humidifiée. Quelques mouvements suffisent à dégager le clitoris, qui s’éveille sous mes agacements. Mon majeur glisse sur son sexe, et se fait presque absorber par sa vulve, qui s’ouvre pour lui laisser le passage. Le doigt fureteur s’introduit en elle et son bassin vient au devant de lui, pour l’enfoncer plus profond. Elle écarte largement les cuisses, et gémit maintenant, en donnant des coups de reins qui ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle prend.
Mon index rejoint mon majeur pour lui donner du plaisir. Elle mouille abondamment et soulève son bassin en cadence pour venir au devant de mes doigts. J’essaie de varier les mouvements, tantôt à deux, puis à trois doigts, faisant des cercles en elle. Elle replie ses jambes sur le transat, et s’appuie dessus pour soulever encore plus son bassin. Je veins me caler entre ses cuisses, et pose mes lèvre sur sa chatte en feu. Elle pousse un léger cri quand ma langue entre en action, venant compléter le travail de mes doigts. Je lubrifie les doigts de ma main droite, qui viennent compléter le travail de ma langue sur son clito. Ses plainte s’intensifient, et elle se gigote sous les caresses. Ma main gauche passe sous ses fesses, et mon bras la soutient, tandis que mes doigts effleurent son périnée détrempé, et vont titiller sa rondelle, qui s’ouvre légèrement. Encouragé, je lubrifie l’endroit le plus possible, et y introduis un doigt, petit à petit. J’ai senti une hésitation, au début, mais tout à sa recherche de plaisir, Sandra se donne sans retenue. Mon doigt franchit le premier sphincter sans encombre. Le passage du second semble plus douloureux pour elle et les mouvements se font plus lents. Enfin , son cul absorbe mon doigt entier, et elle recommence à agiter ses reins devançant parfois le va-et-vient de mes doigts. Le rythme n’est pas très rapide mais c’est le sien, et elle fait maintenant ressortir mes doigts, à chaque mouvement, avant de les enfoncer de nouveau profondément en elle. Elle marmonne des mots pas toujours compréhensibles, et lance des Oh oui !
Ah, c’est bon, avant de geindre de plaisir de plus en plus fort, jusqu’à ce qu’un orgasme l’emporte subitement dans un cri sourd, mes doigts profondément enfoncés en elle. Lentement, je sors mes doigts avant de les sucer, m’enivrant de son parfum intime. Une de ses mains s’est glissée sous mon boxer et caresse mon sexe bien tendu. Elle a vite fait de le dégager de son écrin de tissu, et l’entoure de ses doigts
-Oh qu’il est bien dur, celui-là, dit elle en me masturbant doucement.
Puis elle me repousse sur mon transat. Je me laisse faire alors qu’elle fait glisser mon slip. Nous voilà nus tous les deux, sur cette terrasse. Elle vient entre mes jambes, me regarde par en-dessous, en massant mes testicules. Elle souffle sur ma verge, s’en approche, dépose un baiser sur mon gland, et repart, fait glisser mon sexe le long de sa joue, avant d’entortiller se cheveux autour. Elle maintient une main autour de mon chibre pour le sentir grossir. Je tends les reins vers elle pour l’inviter à me prendre en bouche. Elle lèche depuis les testicules jusqu’au gland qu’elle suçote d’abord, avant de l’engloutir. Elle commence un mouvement coulissant sur ma queue, l’enfonçant de plus en plus loin dans sa gorge. Je profites de ce moment de plaisir intense, allongé sur le dos, quand mes yeux captent un mouvement.
Juste au-dessus de nous, à quelques mêtres une tête est apparue. Evidemment, les voisins du dessus, ont aussi une terrasse ! Je reconnais instantanément le mari de Delphine, qui nous observe. Sandra, n’a rien remarqué, sauf peut-être, une petite déconcentration de ma part, mais sa langue entame un ballet qui renforce mon érection. Elle se relève et vient enjamber mon transat pour m’enfourcher. Elle guide mon sexe vers sa grotte et s’empale sur moi, s’aidant de ses jambes pour initier un mouvement de piston, ses seins tressautant sous les coups de reins que je lui donne.
Je soutiens ses fesses et les soulève en rythme pour la laisser retomber sur mon sexe.
Mon regard repart vers le haut, et je croise celui de Delphine, accoudée au mur, les seins ballotants dans le vide, sous les assauts que doit lui faire subir son mari. Je peux entendre ses halètements, même si les gémissements de Sandra les couvrent.
Je sens mon sexe grossir encore, et j’empoigne les seins de ma moitié, que je malaxe longuement, sans cesser de la pénétrer. Le ton monte rapidement, et Sandra entame une sarabande enflammée sur ma queue. Je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Au dessus de moi, Delphine hoquète, la bouche ouverte, les yeux révulsés, prenant son plaisir presque en silence, tandis que mon transat tremble sous les coups de boutoir de notre coit, Sandra, emet une longue plainte modulée, et je l’accompagne d’une vocalise rauque au moment où je me déverse en elle .
Elle se relève d’un coup et file à l’intérieur. Je lève les yeux vers le premier étage, où je ne vois plus personne. Aurai-je rêvé ?
Je me lève, et me dirige, à mon tour vers la douche où je retrouve Sandra. Nous nous savonnons mutuellement, en profitant pour nous caresser de nouveau
- Je te trouve plus osée que d’habitude, ma chérie. Nue sur la terrasse, c’est une première !
- Et ça te déplait ?
- Au contraire, j’en redemande, dis-je en lui caressant les seins.
- C’est les vacances, profites-en, me dit elle.
- Tu ne l’as pas remarqué, mais quelqu’un nous a vu
- Tu me prends pour une idiote ? Ils étaient déjà là quand tu me léchais.
- Et tu n’as rien dit ?
- Quand je les ai vus, tu étais en pleine action. C’était si bon que je n’ai pas voulu t’interrompre. Et après, je me suis dit qu’ils en avaient déjà tellement vu, qu’il aurait été ridicule de se cacher.
- Humm, et ça t’a excitée ?
- J’étais déjà excitée. Par contre, toi, j’ai vu que Delphine te faisait pas mal d’effet hier.
- C’est vrai, mais juste, en tout bien tout honneur
- Tu sais, tant que c’est moi qui en profites, dit elle en frottant ses fesses contre ma queue qui se redressait déjà.

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