Un Grand Verre De Sperme (Branlette À Quatre Pattes)

Candice s'en donnait désormais à cœur joie. Dès qu'une occasion se présentait, elle en profitait pour me faire avaler mon propre sperme... Un matin, tandis que nous prenions le petit-déjeuner, elle me prit par surprise et me branla jusqu'à la jouissance. Elle me fit éjaculer dans un yaourt, qu'elle me força ensuite à manger.
Bref, ce ne fut qu'un exemple parmi tant d'autres de la domination psychologique et physique que Candice exerçait sur moi. Même si la honte m'envahissait généralement après nos petits jeux, j'étais toujours diablement excité de cette situation.
Lorsque Candice était chaude, elle n'avait qu'un mot à dire. Je me jetais alors sur elle et la baisais comme un dingue, renversant temporairement les rôles de dominant / soumis. Parfois, après avoir éjaculé en elle, Candice écartait alors les cuisses, et m'intimait l'ordre de la lécher, afin de reprendre le contrôle. Chose que je faisais désormais avec plaisir. Je n'avalais pas tout, mais le goût de mon sperme mêlé à sa mouille était vraiment puissant.
La plus grosse humiliation qu'elle me fit subir arriva comme d'habitude, complètement par surprise. Nous devions sortir tous les deux faire quelques courses. Candice finissait sa liste de courses dans la cuisine lorsque je vins la rejoindre.
-T'es prête ? On y va ?
Candice ne répondit pas. Elle se contenta de suçoter son stylo tout en me fixant silencieusement.
-Qu'est-ce qu'il y a ? Ça va pas ?
Toujours pas de réponse. Elle commençait à me foutre la gaule avec sa façon de me reluquer en suçant son foutu stylo... Voulait-elle me sucer ? Je devinais son excitation et m'approchais lentement d'elle. Elle posa alors la main sur ma poitrine et enleva le stylo de sa délicieuse bouche.
-Arrête-toi là chéri. Baisse ton pantalon et ton boxer, et mets-toi à quatre pattes.
-... Quoi ?
-Tu m'as bien entendu. Discute pas, tu baisse ton froc et tu te fous à quatre pattes. Ici et maintenant.


Moi qui pensais qu'elle allait me faire une pipe, je me trompais lourdement... Soumis par sa voix ferme, je m'exécutai. Je dégrafais mon jean, le baissa jusqu'aux chevilles, ainsi que mon boxer. Puis je me mis à quatre pattes sur le sol carrelé de notre cuisine. Je sentis le carrelage froid sous mes genoux. Ma queue était déjà dure, mes couilles pendaient au-dessus du sol.
Candice s'agenouilla. Une de ses mains me caressa délicatement le ventre, puis s'aventura plus bas. Elle joua un moment avec mes bourses, puis empoigna mon manche bien raide, et commença à me branler comme jamais.
-Je vais te traire... me souffla-t-elle dans le creux de l'oreille.
Le mot « traire » me fit perdre tête. Je gémissais de plaisir. J'étais complètement dominé, à quatre pattes dans la cuisine, rendu fou d'excitation par les gestes et les mots de Candice. Elle me branlait vigoureusement.
-Ferme les yeux. Profites de ce moment. Je vais te traire comme on trait une grosse vache...
C'était si bon. Je me sentais complètement à nu dans cette position de faiblesse, à quatre pattes, les fesses à l'air, et aussi totalement rabaissé par les murmures de Candice qui me comparait à une grosse vache... C'était honteux, mais trop excitant.
-Garde bien les yeux fermés. Tu les ouvriras quand je te l'ordonnerai.
Je hochais la tête en signe de confirmation. Le plaisir était tel que je ne pouvais parler, du moins clairement. La main douce de Candice sur ma queue s'apparentait vraiment une caresse divine...
-Aaah !
Soudain, je sentis un objet long et fin se glisser dans mon anus.
-Chut ! me souffla Candice.
L'objet en question fit des mouvements de va-et-vient... Dans mon plaisir décuplé, j'arrivais à l'identifier. C'était le stylo que Candice suçotait tout à l'heure. Elle l'avait bien lubrifié avec sa salive et me l’enfonçait maintenant dans le cul, tout en me masturbant avec son autre main.
Candice continua cet exquis manège. Elle me branla et me sodomisa avec son stylo pendant de délicieuses et humiliantes minutes, tout en ne manquant évidemment pas de me rabaisser.

-Tu es vraiment un beau salopard... Tu ne m'avais pas dit que tu aimais te faire prendre le cul mon cochon... Tu le sens, ce stylo que j'ai sucé comme une chienne ? Je le fourre dans ton anus pendant que je te branle... T'aimes ça hein ? T'aimes ça quand je te branle, enfoiré... Garde bien les yeux fermés.
Le stylo me titillait désormais la prostate. J'haletais et gémissais de plus en plus vite, de plus en plus fort... Jusqu'au final moment d'extase où j'explosais.
Dans un long râle de plaisir, je sentis mes couilles et ma bite se décharger dans une éjaculation inhabituelle, forte et abondante, mais coulante et non par jets. Les yeux toujours fermés, j'imaginais répandre en une grande cascade ma semence sur toute la surface de la cuisine.
Une fois tout mon jus évacué, je sentis le stylo sortir de mon cul.
-Redresse-toi, et reste sur tes genoux.
Je m'exécutai lentement, les membres légèrement tremblants, les yeux toujours fermés.
-Ta surprise t'attend mon amour. Tu peux ouvrir les yeux.
Candice était à genoux, à côté de moi, sourire coquin sur les lèvres. Elle lâcha ma bite pour ramasser un verre posé sur le sol... Je compris alors tout le but de la manœuvre.
Candice m'avait effectivement trait comme une vache, et avait pris le soin de poser discrètement un verre par terre, à l'endroit où pointait mon gland. Tel un seau qu'on pose pour recueillir le lait d'une vache, le verre avait récolté toute ma semence. Enfin presque : j'aperçus quelques giclées de sperme qui avaient débordées sur le carrelage...
-Tu vois ça bébé ? Tout ton sperme... Ça fait beaucoup.
J'étais comme hypnotisé. Candice leva le verre, le secoua doucement, faisant tournoyer le foutre à l'intérieur. Il y en avait vraiment beaucoup.
Elle porta le verre à ses narines, puis prit une bonne et longue inspiration, tout en ne me quittant pas des yeux. Elle grimaça légèrement :
-Ça sent très fort...
Elle l'approcha alors sous mon nez.

-Sens-le bébé... Sens ton foutre.
Je fis plusieurs inspirations. Le verre puait le foutre L'odeur de sperme était effectivement très, très forte... Ma semence, très odorante, dégageait un parfum plus qu'amer.
Candice se réjouissait du spectacle. Elle secoua légèrement le verre, faisant monter des effluves encore plus puissantes. Elle chuchota :
-Ça sent bon ? Tu aimes l'odeur de ton sperme ? Il vaut mieux, car tu vas maintenant tout boire...
Même si j'étais désormais habitué, je secouai la tête en signe de protestation. Je ne voulais pas boire mon foutre récolté dans un verre, pas comme ça. Surtout pas après la session odorante que Candice m'avait fait subir.
Elle hocha la tête.
-Si si, mon petit cochon. Tu vas boire ce verre, sois-en sûr, et sans rien renverser. Allez, allez... Bois le sperme que j'ai récolté comme la traite d'une vache.
Elle porta le verre à mes lèvres et le leva. Je n'avais pas vraiment le choix. Je me laissai faire une nouvelle fois, totalement à sa merci. J'entrouvris ainsi la bouche, prêt à recueillir le nectar. Tout le foutre se déversa alors lentement dans mon gosier.
-Avales... Vas-y...
J'avalais une gorgée, puis deux. Candice leva encore plus le verre, faisant déverser tout le reste du verre. Il y avait vraiment de grosses giclées de jus...
Je réprimais un haut-le-cœur et continuai d'avaler ma semence par gorgées. L'odeur envahissait mes narines. Le goût était terrible. Mon sperme était vraiment consistant, visqueux, très amer et piquant. Je le sentais descendre dans ma gorge.
-Allez... Bois-moi tout ça.
Je déglutis tout le reste du foutre. C'était vraiment humiliant, j'eus beaucoup de mal à tout finir, car le goût était particulièrement repoussant.
Une fois fini, Candice ramassa le stylo et le mit dans le verre, puis posa le tout dans l'évier.
-Tu me nettoieras tout ça. Et le sol aussi. Je vais finir de me préparer.
Elle se leva et m'abandonna ainsi, à genoux et froc baissé sur mes chevilles.
Une fois le choc passé, je finis par me relever et me rhabiller, honteux. Je nettoyais rapidement les dégâts sur le carrelage, puis lavai consciencieusement le verre et le stylo dans l'évier.
Candice revint au moment où je voulus aller dans la salle de bain me rincer la bouche.
-Où tu vas comme ça ?
-Dans la salle de bain...
-Pourquoi ?
-Pour me brosser vite fait les dents bébé...
Candice haussa les sourcils.
-Non non non, mon cœur. Tu vas venir avec moi comme tu es. Si t'as une haleine de foutre, c'est parce que tu le voulais bien. Et que j'aime te savoir comme ça.
J'étais hyper dégoûté. La grosse honte. Candice avait bien joué le coup. Le stylo, le verre, le cul-sec de sperme juste avant de sortir et d'aller dans un endroit public. Si j'osais parler, les gens aller sentir mon haleine de sperme... L'humiliation était vraiment réussie. Il fallait encore une fois reconnaître à Candice le don pour imaginer des perversions aussi incroyables...
Être à boire un verre entier de ma propre semence fut une expérience inoubliable, qui me marqua profondément... Merci Candice...

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