Sexapade Au Québec

Je vais raconter mes exploits sexuelles au Québec, ils n’ont rien de remarquables si ce n’est l’exotisme du lieu. Je dois avoir un sixième sens pour repérer les lieux de drague même dans une région où je n’avais pas mis les pieds . Au cours de mon séjour au Québec, j’ai découvert intuitivement un lieu de drague nature, certes, il doit y en avoir plein d’autres, mais celui-là je l’ai découvert par mon flair, toujours en quête de quéquette pour faire joujou.
Je suis arrivé sur une petite île sur la Rivière des Prairies à Montréal (je ne pourrais donner son nom officiel, je l’ai oublié) et tout de suite, j’ai senti que ce devait être un lieu de drague même si à ma première visite, cette île accueillait des familles venues pique-niquer par dimanche ensoleillé et des pêcheurs à la recherche d’une bonne prise… Moi aussi j’étais à la recherche d’une bonne prise, pour niquer sans me faire piquer ! J’y suis donc retourné un beau matin, au lever du jour, et j’ai découvert des hommes flânant ça et là, l’île n’est pas grande et l’on peut la voir, dès l’entrée, dans toute sa dimension. Il y tout de même des recoins et des décrochages de terrain pour des ébats discrets. Je me suis donc mis en planque dans un endroit discret et j’ai attendu tel un pêcheur qui vient de lancer sa ligne. Dans leurs rondes au-dessus de l’onde, les hommes passaient et repassaient sans pour autant s’approcher. Mais il y en a eu un, plus téméraire qui a fait des rondes de plus en plus rapprochées. J’étais assis sur un rocher me permettant d’avoir ma tête à hauteur de ses couilles. Je suçais mes doigts de façon suggestive. Il s’est enfin approché à portée de bouche et a sortit son vermisseau que j’ai gobé. Le froid avait sans doute flétrit plus que de coutume ce petit serpent cracheur qui a pris de l’assurance et de l’ampleur au sein de ma bouche chaude, humide, accueillante et avide. Ce donneur de queue était sur l’expectative et lorsqu’un autre personne est passé à vue, il s’est vite retiré, a remballé son matériel et s’est éloigné de moi comme si l’on ne s’était jamais vu.

Le danger passé, il est revenu à la charge, son objet ayant gardé une certaine tenue ce qui m’a permis de poursuivre ce que j’avais commencé sans avoir à tout reprendre du début.
Ma bouche experte a mené mon visiteur à l’extase, mais là juste avant d’exploser il s’est retiré et a fécondé la terre de sa semence, me laissant sur ma faim, malgré une tentative d’attr à la main le précieux liquide blanchâtre de sa jouissance. D’autres queues se sont présentées, toute aussi avares de leur jus et naturellement, pas question de sodomie, malgré mes fesses exposées et attirantes. Prudence, prudence.
Cette île est pourtant surnommée « l’île aux fesses », vous ne trouverez nulle part cette indication, c’est un des jouisseurs de sperme qui me l’a dit. Celui-ci arrivait sur l’île à vélo et s’asseyait toujours à la même place sur un banc avec table (celle-ci permettant une certaine discrétion pour une fellation). Lors de mes flâneries sur cette île, j’ai aperçu son goujon légèrement sorti de son nid, j’ai compris qu’il attendait un suceur. Je me suis approché, assis à côté de lui et je lui procuré ce qu’il attendait et il m’a récompensé par un don en liquide qui a réjoui mes papilles. Il est devenu alors sur les semaines suivantes mon fournisseur officiel, puisqu’il venait toujours à la même heure. De plus celui-ci acceptait de se déverser dans ma bouche. Mais au bout de quelque temps, je l’ai laissé car il me posait beaucoup trop de questions et ma quête de queue pour moi doit rester anonyme pour être jouissive. C’est lui qui m’a donné le nom de cette île.
- En France, j’ai eu pendant des mois, un tel fournisseur de spermes, contacté, sur un site de rencontre gay. Nous avions rendez-vous sur un parking de covoiturage. Je laissais ma voiture et lui m’emmenait dans un coin tranquille. Pendant qu’il conduisait, j’étais couché sur lui pour donner vie à son serpentin et arrivés dans sa zone de sécurité, il sortait, je m’agenouillais devant lui et le pompais jusqu’au jus.
Je devais l’avaler c’était la condition de cette rencontre. J’aimais bien avoir mon sperme régulier. C’est lui qui me contactait par sms, j’étais à sa disposition. Un jour, il m’a fait bander fort car il m’a demandé si j’acceptais de me faire enculer pendant que je le sucerais. Il avait trouvé sur le net, un enculeur pour moi, mais comme cela arrive souvent sur le net, cet éventuel baiseur était un mytho que nous n’avons jamais eu. Mais il m’a permis de me masturber à fond dans l’espoir d’être pris entre deux queues. Fermons cette parenthèse et retournons au Québec -
En dehors de cette « île aux fesses », j’ai découvert un autre lieu lors de mes promenades dans les rues de Montréal, je n’utilisais pas alors de GPS ou de Google Map, cela n’existait pas encore pour le grand public. Et pourtant, j’ai trouvé un des rares et peut-être le seul cinéma-porno de cette ville. Un petit cinéma glauque, avec seulement deux salles contiguës, l’une avec un film hétéro, et l’autre Gay. Mais dans l’une et l’autre salle il y avait de la queue à déguster. Là, j’ai pu me faire prendre à cru plusieurs fois. Je restais debout, au fond de la salle, le cul offert. C’était un self service ou les gens pouvaient venir plonger leur bite raide désireuse de jouir dans ventre ou pas. Dans une salle, un spectateur se faisait sucer et moi j’avais la bouche disponible. Je me suis assis près de celui qui se faisait pomper, montrant un grand intérêt à ce jeu sexuel. Il a compris et s’est amusé en allant d’une bouche à l’autre et lorsqu’il a senti la crème monter, il s’est extrait de la bouche de mon concurrent pour venir se vider dans la mienne. Joie comment a-t-il su que j’étais un très bon récepteur ?
Dans l’autre salle, j’ai eu deux queues en même temps en bouche. Une volumineuse et rêche et l’autre plus modeste mais très douce à mes lèvres. J’ai vu l’opportunité de les répartir au mieux, proposant à la douce de venir s’enfoncer dans mon anus. Mais le propriétaire, prudent ne voulait pas tremper son engin dans un canal inconnu, sans doute avait-il peur d’attr de petites bêtes.
Aussi, il est revenu à la charge en direction de ma bouche, je me suis donc résolu d’offrir mon fondement à l’autre queue plus rude et agressive, sachant qu’il allait me faire mal. Effectivement, il a voulu entrer brutalement en moi, sur le coup je me suis redressé, pour stopper cette douleur fulgurante. Mais la queue douce m’engueule et me dit de me plier à nouveau pour laisser l’autre m’enculer profondément. J’ai bien humecter mon anneau et tenté de l’assouplir pour qu’il puisse accueillir ce membre imposant. Finalement, il a pu entrer et je me suis concentré sur la douce pour l’amener à l’extase, laissant mon bourreau labourer mon cul afin d’y jeter sa semence. Ce qu’il fit avant que la douce ne me donne de son plaisir. Il s’est alors retiré laissant mon fion palpitant de ces va-et-vient rudes et de la récompense déposée au fond de mes entrailles. L’autre quidam m’a demandé si l’enculeur avait joui en moi, à ma réponse affirmative, il a arraché  sa queue de ma bouche et l’a masturbée vigoureusement devant moi pour qu’elle gicle elle aussi. J’avais la bouche ouverte devant ce gland gonflé de plaisir et il m’a envoyé toute la sauce au fond de ma gorge dans un puissant orgasme. Comblé de ce double don de spermes dans les deux orifices. Je me suis assis pour me masturber de plaisir en ressentant encore les assauts dont j’avais été victime consentante. Et ma jouissance, recueillie en main, a finalement rejoint celle de la douce dans ma bouche.
Voilà, rien d’extraordinaire mais ça ma fait plaisir d’évoquer ce séjour québécois essentiellement entre hommes.

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