La Campeuse

Cette histoire m’est arrivée, à l’époque où je sillonnais les routes de France, pour vendre des produits alimentaires, aux collectivités. J’étais sur la route entre Axat et Limoux. Il faisait chaud, bien qu’il ne soit que dix heures du matin. Pas question de rêver d’une voiture avec clim. Le patron en avait une, oui, et une belle qui coutait la moitié du budget véhicules de la société. Avec l’autre moitié, il nous achetait des véhicules utilitaires, avec le moins d’options possibles. La route sinueuse était pourtant ombragée, mais, en plein mois de juillet, ça ne suffisait pas pour amener de la fraicheur. J’avais balancé ma veste sur le siège passager, mais je sentais le dos de ma chemisette coller au skai bon marché du siège.
Au détour d’un virage, j’aperçus, pas très loin une forme féminine qui tendait le pouce.
En m’approchant, je découvre une grande blonde, plantureuse, aux jambes pâles, moulée dans un short de toile claire, au-dessous d’un haut noué autour du cou, qui pend négligemment sur une poitrine impressionnante, libre de toute entrave.
Je m’arrête, et elle s’approche. Elle se penche à la fenêtre de ma voiture. Pas de décolleté, mais un ras de cou. Le soucis, c’est qu’il n’est pas tenu en bas, et que ses seins imposants ne pouvant défier la gravité, viennent repousser le tissu, qui s’écarte sur le côté, laissant apparaître une large bande de chair tendre et rose de chaque côté.
- Vous pouvez m’amener, alors ? dit elle
En fait, j’ai été captivé par le spectacle, et je n’ai rien capté de ce qu’elle m’a dit.
- Heu, oui, à Limoux , c’est ça
- Mais non, je vais dans un petit camping, un peu plus haut ! vous n’écoutez pas ?
- Vous avez un accent charmant.
- Je souis inglèse, mais je n’ai pas l’accent !
- Ok, montez, je vais vous avancer
Elle ramasse un sac en osier et embarque sur le siège passager. J’ai juste eu le temps de virer ma veste. Elle met son panier derrière les sièges.

Il y a de la place. Je ne transporte jamais rien d’autre que moi et quelques documents commerciaux dans ce fourgon.
Je reprends la route tandis qu’elle étend ses jambes sur le tableau de bord. Son short est si serré qu’il dessine son anatomie, en lui rentrant légèrement dans la fente. Elle secoue le bas de son top en soufflant.
-C’est très très chaud aujourd’hui, dit elle en me regardant. Tu fais quoi ?
me demande t’elle
_Qu’est-ce que tu veux dire ?
- C’est quoi ta job ? Tu as un camion, mais rien dedans, et tu es en chemise, avec le cravatte.
- Ah, ça ! Je ne livre rien, en fait, je suis un représentant. Je vends des marchandises, mais je ne les livre pas, j’ai un petit camion, au cas où je devrais le faire, mais ça n’arrive jamais, et, surtout, c’est moins cher qu’une vraie voiture.
- Oh I see, me dit elle. Tu n’as pas très chaud ? tu devrais enlever le cravatte.
Et en disant cela elle s’attaque à mon nœud de cravatte qu’elle défait, avant de déboutonner trois boutons de ma chemise.
- C’est mieux ainsi, commente t’elle, avec un sourire.
Nous approchons de Limoux. Je jette un coup d’œil à ma montre. Fin de matinée, j’ai bien bossé tôt ce matin, et suis un peu en avance, et puis, si je rate quelques clients, je les appellerais au téléphone, ou je passerais demain. Je décide de l’accompagner jusqu’à son camping, et lui demande de m’indiquer le chemin. Elle bat des mains, à cette nouvelle. Un quart d’heure plus tard, après avoir sinué sur une route de montagne, nous arrivons.
En fait de camping, il s’agit d’un champ, qui longe une rivière, où sont éparpillées quelques tentes. Au fond du champ, un batiment adossé à la ferme voisine abrite les sanitaires. Elle me guide jusqu’à sa tente, devant laquelle j’arrête mon véhicule.
- On va boire un coup, me lance la demoiselle avant de sauter à terre.
Quelques instants plus tard, nous sommes installés dans des fauteuils en toile, un verre à la main.
Elle s’appelle Jeanie, et vient de la banlieue de Liverpool. Elle voyage seule pour visiter la France. Le reste du camp a l’air désert,mais elle me dit que les autres campeurs partent souvent en randonnées alentours et ne reviennent qu’au soir.
-J’ai très chaud, me dit elle soudain, viens on va se fraichir.
Elle se lève et contourne la tente, pour aller au bord du torrent de montagne qui jouxte le terrain, se déchausse et descend dans l’eau transparente, qui si j’en juge par ses petits cris, ne doit pas être très chaude.
- Viens, me dit, elle, en pataugeant dans l’eau peu profonde, tu verras, ça fait du bien.
- Plutôt que de rester planté à la regarder, je me déchausse, remonte le bas de mon pantalon, et je descends prudemment dans l’eau que je trouve glaciale.
Jeaniearpente le cours d’eau, et je me rends compte que l’eau peut monter presque en haut de ses cuisses par endroit. J’essaie de la suivre, mais le fond est inégal, les galets roulent sous mes pieds. A un moment, je glisse, et m’étale de tout mon long. Je me redresse aussitôt, mais le mal est fait, et je dégouline de flotte, alors que Jeanie éclate de rire.
Elle vient cependant à ma rescousse, et nous sortons de l’eau, tant bien que mal.
J’enlève ma chemise et entreprend de la tordre.
- Tu es trempé, tu devrais oter ces vêtements
- Et je mettrais quoi ?
- Rien, il n’y a personne ici, et il fait chaud. Je vais les étendre et dans deux heures ils seront secs.
Je lui tends ma chemise, et j’enlève mon pantalon, me retrouvant en boxer. Elle les étend sur un fil tendu entre deux arbres. Je constate alors que son top a pris l’eau, et que ses obus collent au tissu. Elle surprend mon regard, et défait son haut qu’elle étend également.
- Tu vois, tu n’es pas seul deshabillé
Je récupère mes chaussures et chaussettes restées au bord de l’eau et je vais les déposer à l’arrière du fourgon, dont j’ai ouvert les portes arrières, pour éviter trop de chaleur.

Jeanie, me rejoint, et s’intéresse au fourgon.
-C’est super, ce camion, ce serait parfait pour moi, on a la place de dormir dedans. En disant ces mots, elle est venue s’adosser au plancher, ses deux seins laiteux, mais fermes aux tétons rose sombre érigés me font face. Mes mains sont attirés par ses globes qu’elles viennent couvrir avant de les masser doucement. Elle me tend ses lèvres pulpeuses pour un baiser, suave. Ses mains caressent mon torse, mes épaules, mon dos, et descendent jusqu’à mon Boxer
- Tu devrais l’enlever, dit elle, en le faisant glisser le long de mes jambes. Mon sexe déjà dûr, se détend comme un arc, et vient taper contre sa cuisse. Elle l’empoigne et commence à me masturber. Je la pousse en arrière et la fais basculer sur le dos. J’att
le plaid que j’ai toujours en voiture, et le cale sous sa tête, puis je reviens caresser ses seins généreux. Je les malaxe, les caresse, les pince, les suce, les mordille, lui arrachant des gémissements de bonheur. Je vais explorer son ventre plat, son nombril plissé et sensible, pour arriver à son short, que je dégraffe, j’ouvre la fermeture éclair et le fais glisser, tandis qu’elle m’aide en soulevant son bassin. Le tissu qui descend, me dévoile, un buisson de poils soyeux, qui ne parvient pas à cacher la peau diaphane, ou le début de la fente de son abricot dodu, encore fermé. Je la débarrasse du vêtement, et viens embrasser ce fruit juteux qui s’ouvre sous ma langue. Je découvre son clito qui grossit sous ma caresse. La vulve s’ouvre déjà, et j’y introduis un, puis deux doigts, qui ne rencontrent aucune résistance. Je cherche, à tatons, son point G, et elle lance des ruades du bassin, en psalmodiant des mots que je ne comprends pas tous, ses mains cramponnées à mes cheveux, mon nez fouillant les replis de son sexe. Mes doigts suivent le chemin de la cyprine qui s’écoule dans le sillon de ses fesses, et vient arroser le petit anneau plissé de son anus. Sans cesser de la lécher, je titille l’anneau froncé, bien lubrifié déjà.
Mon majeur s’y enfonce doucement. Elle a un petit sursaut , mais, écarte encore plus les cuisses, et son rectum accepte mon doigt fureteur, puis un deuxième.
Ses jambes passent sur mes épaules, et elle geint de plus en plus fort. Son clito est maintenant bien dur, et je la fouille, deux doigts dans son vagin et deux dans son cul. Elle se met à trembler et lâche des cris aigus quand elle a un orgasme.
Nous redescendons tous les deux. Elle allongée sur le dos, caressant ma verge doucement, alors que je me suis étendu à ses côtés.
Elle se lève d’un coup et saute du fourgon, partant en courant vers sa tente.
J’en profite, pour déplier le plaid, ce qui amortit un peu la dureté du sol en tôle.
Elle réapparait, toujours nue, un sourire espiègle sur les lêvre, et vient, à quatre pattes sur le plaid. Elle me pousse sur le dos et, à genoux, caresse ma queue, qui instantanément se tend. Elle déchire un emballage qu’elle avait au creux de sa main et vient déposer un préservatif sur mon sexe. Puis sa tête s’incline vers moi, et sa bouche s’empare de ma queue, et y déroule le capuchon caoutchouté. Aussitôt, elle m’enjambe dos à moi, et vient s’empaler sur mon vit déployé. D’une longue poussée, s’aidant des bras en s’appuyant sur le plafond de la camionette, elle m’enfonce en elle, jusqu’à ce que mon ventre vienne taper contre ses fesses. Elle commence alors à coulisser le long de mon chibre, en ondulant des reins, m’offrant le spectacle de ma queue, entrant et sortant de sa chatte écartelée dans un bruit mouillé. Après un moment, elle se dégage et se retourne, pour venir face à moi. Le buste droit, les seins tantôt balottant, tantôt prisonniers de mes mains avides, elle gémit en ondulant du bassin autour de mon sexe, ses yeux verts clair rivés dans les miens, les traits crispés, concentrée sur sa recherche de plaisir. Le rythme va crescendo, et ses cris également. S’aidant de la puissance de ses cuisses elle monte et descend sur moi avec la puissance d’un marteau pilon. Emporté par cette frénésie, je ne tarde pas à lâcher de longs jets de plaisir avec des grognement rauques qui viennent compléter les hurlements de Jeanie qui jouit à grands cris.
Après quelques minutes de récupération, nous sortons de la voiture. Jeanie fait quelques pas, alors que je reste prudemment planqué derrière les portes arrières qui me servent de paravent. Je remarque les dégoulinures à l’intérieur de ses cuisses quand elle se tourne, et se met à faire signe de la main. Je risque un œil par dessus une porte et je découvre, à une cinquantaine de mêtres, une jeune femme, aussi nue que Jeanie, aussi brune que Jeanie est blonde, étendue nue sur une paillasse, offrant au soleil une peau aussi brune que celle de Jeanie est blanche. Pendant ce temps, Jeanie a filé jusqu’à la rivière. Je m’enroule dans le plaid pour la rejoindre.
L’eau fraiche nous fait du bien et nous rince de nos ébats et de la transpiration qu’ils ont provoqué. Le seul inconvénient, c’est qu’avec le froid, ma virilité se ratatine comme un escargot dans sa coquille.
- Viens vite au soleil, me dit elle en constatant l’effet du froid. Je la suis, et j’étends le plaid sur l’herbe, derrière le fourgon, à l’abri des regards. Elle vient s’allonger à mes côtés. Nous restons ainsi, quelques minutes, sans rien dire.
- C’est si bon, dit elle, mais je dois faire attention, sinon bientôt, je serais tout rouge brûlée,
C’est sur qu’avec sa peau de lait, elle doit craindre les coups de soleil. Elle se déplace et vient, à genoux entre mes jambes. Elle se penche et vient emboucher mon sexe ramolli. Je sens sa langue qui s’agite , et s’enroule en même temps qu’elle m’aspire . Ses mains caressent mes bourses. Je reprends de la vigueur sous ses caresses. Ses doigts s ‘égarent entre mes jambes , et elle vient titiller mon anus, avant d’y introduire un doigt, ce qui a pour effet de me faire rebander. Les lêvres serrées autour de mon mat, elle me pompe avidement, puis ressort et vient me lécher, depuis le gland, jusqu’à mes couilles, son index continuant à me perforer.
Elle se relève avec une mimique satisfaite, et remonte, pour enserrer ma queue entre ses deux seins. Elle les maintient autour de mon vit, en pressant de chaque côté sur ses globes, aux pointes turgescentes, puis elle commence à se déplacer, faisant coulisser mon membre tendu entre ses miches. A chaque fois que mon sexe remonte vers sa bouche, elle crache dessus pour lubrifier, ou le capte entre ses lèvres. Le mouvement n’est pas aisé, et j’essaie de l’accompagner, en soulevant mes reins au rythme de son balancement. Après quelques minutes de cette superbe branlette espagnole, elle me relache, et se relève, alors que mon plaisir commençait à monter.
Elle se rapproche de la fourgonnette ouverte, et vient appuyer ses mains sur le plancher, tendant le cul vers moi, et se retourne avec un sourire coquin. D’où je suis, j’ai une vue superbe sur ses cuisses écartées, dévoilant sa chatte ouverte, luisant de mouille.
L’appel est explicite. Je me lève et vient me coller derrière elle. Ma bite trouve son chemin vers sa vulve accueillante et je m’enfonce d’un trait, tout au fond de son antre. Je suis, pile à la bonne hauteur, et il me suffit d’un balancement des hanches pour la ramoner profondément. Elle a couché son buste sur le plancher, m’offrant un angle qui me permet d’aller encore plus loin en elle. Elle halète sous mes coups de rein qui font rebondir le fourgon sur ses suspensions. Les seins écrasés cotre la tôle, elle att mes hanches, pour me projeter en elle avec plus de force. Plus je viens buter en elle, plus ses gémissements s’intensifient, et elle jouit en relevant le menton, vers le ciel, alors que j’ai saisi ses cheveux comme des rènes dans cette chevauchée fantastique.
Comme à chaque fois, la deuxième fois, la jouissance vient plus lentement, et j’ai gardé ma raideur. Je sors de son vagin, et profitant de ma position, recueille ce qui sort d’elle pour en enduire son sillon et son anus, qui s’ouvre cette fois à mon doigt, sans retenue.
Encouragé par cette réception, je viens présenter ma queue contre son cul, et je pousse doucement. Quand elle réalise que ce n’est pas mon doigt, elle se cambre
- No ! not like that ! crie t’elle
Mais mon gland s’est déjà immiscé en elle.
- Keep cool, relax babe, lui dis-je
Elle se détend, et je progresse lentement dans ses reins, jusqu'à venir en butée contre ses fesses.
- Tu es un salaud. Dit elle, mais je commence à la ramoner et lui arrache quelques cris de douleur.
Petit à petit, j’augmente le rythme, et ses cris s’adoucissent pour devenir des plaintes de plaisir. Elle faufile sa main sous elle, et se caresse tandis que je la lime. En dessous de mon chibre, je peux voir ses doigts qui s’agitent dans sa chatte. Elle suit maintenant ma cadence, et mon ventre vient taper régulièrement contre son cul. Pour faire bon poids, je lui claque ses fesses blanches, qui prennent une jolie couleur rosée. Je suis bien serré dans son conduite, et je sens au travers de la mince paroi, ses doigts qui s’affairent sur son point G, et m’excitent, en même temps. Elle se met à couiner, et je grogne à l’unisson. Nos corps s’entrechoquent et se déchainent dans une quète de plaisir. Accroché à ses hanches pleines, je la défonce sans retenue. La jouissance monte peu à peu dans mes reins et un torrent dévastateur m’emporte. Plaqué contre elle je décharge tout mon plaisir, ma tension, dans son cul qui tremble et se crispe autour de moi. Après cet instant de bonheur, nous nous séparons enfin. La voisine aperçue un peu plus tôt est toujours nue sur sa paillasse, le visage masqué par des lunettes de soleil, et sa main s’agite entre ses jambes. En voilà une qui a profité de nos ébats. Nous allons nous rincer à la rivière
Jeanie, tout en se trempant dans l’eau glacée qui hérisse sa peau de chair de poule me dévisage.
- Tu es un pervers. You know, I’ve never been fucked in the ass, me dit elle. It hurts me
- Oui, mais tu as aimé ça
- Je ne croyais pas, je pouvais jouir autant.
- Donc, tu le referas.
- For sure. Each time you want.
- Tu sais, je ne suis pas le seul. Et puis, je ne suis que de passage
- Je suis là encore un mois. Tu peux revenir, et tu as vu Mary, ma voisine
- La fille à poil
- Non, elle n’a pas beaucoup de poil
- Je voulais dire : naked
- Oh yes ! Elle n’a pas d’homme et je suis sure qu’elle serait heureuse…
- Hola ! je t’arrête. Elle est surement très chouette, mais pas pour moi.
- Pourquoi ?
- J’ai déjà assez avec toi.
- Oui mais moi, ce n’est pas possible, repond elle
- Tu as bien couché avec moi.
- Oui parce que tu m’as conduit. Il fallait bien que je te remercie. C’était pour te faire plaisir.
- Nous sortons et je récupère mes vêtements, un peu froissés, mais secs. Une fois habillé, je m’apprète à repartir. Refermes les portes du fourgon. Quand je me retourne, Jeany, se tient face à moi, et, à ses côtés, la brune Mary.
- Steve, c’est Mary. Tu ne la trouves pas jolie.
La jeune femme brune doit avoir dans les trente ans, ses cheveux de jais encadrent un visage aux traits fins, aux pommettes hautes avec des yeux bleus qui tranchent avec sa peau mate.. Jeanie, dégraffe son paréo et Mary se retrouve nue. La silhouette est longiligne avec des attaches fines, des seins plantés bien haut, pas trop gros, avec de larges aréoles et des tétons longs et durs, la taille est marquée, le ventre plat, imberbe, avec une fente qui va se perdre entre les jambes longues et musclées. Sur, c’est une beauté. Elle se tourne pour masquer sa nudité, et me dévoile un dos fin et cambré, terminé par deux fesses rondes. Je ramasse le paréo, et viens la couvrir avec.
-Jeanie a raison, tu es une très jolie fille. Je dois partir, maintenant, mais nous nous reverrons peut-être, lui dis-je.
Je dépose un baiser sur les lèvres de Jeanie, en caressant, au passage, un sein, pusi je me hate de monter en voiture et de démarrer. Dans mon rétroviseur, j’aperçois une dernière fois, Jeanie, et Mary, nues, avant de m’engager sur la route.

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