Rencontre D'Une Femme Mariée... Début
Jai aperçu Julie pour la première fois dans le hall de lhôtel. Elle est passée devant moi avec sa jupe bleu à fleur, son petit débardeur noir, ses lunettes de soleil sur la tête et ses magnifiques cheveux roux qui caressaient ses épaule. Elle se rendait à laccueil de létablissement pour demander des renseignements sur les promenades autour du lac dà côté.
Je nai pas pu mempêcher de poser les yeux sur ses belles jambes. Sa peau avait lair dune douceur exquise.
Elle nétait pas très grande, mais ses chaussures à talons compensaient sa petite taille.
Je me suis rapproché du comptoir de lhôtel pour savoir de quoi il en était. Elle cherchait effectivement une promenade à faire en fin daprès-midi, après le rendez-vous quelle avait un peu plus tôt avec des clients.
Lorsque je lai entendu poser des questions sur la partie est du lac, je nai pas pu mempêcher de donner mon avis dhabitué...
« - Cette partie-là est très jolie, il y a pas mal de végétation, des fleurs, mais par contre il y a pas mal de passage en fin de journée. Surtout quils ont mis un bar doù vous avez une vue imprenable sur le lac...
- Cela à lair plutôt prometteur alors.
- Vous ne pourrez pas être déçu ! »
En quelques secondes jétais sous le charme de son regard, et de son sourire...
La jeune femme de laccueil ajouta :
- Cest un endroit romantique que prisent les jeunes couples.
- Ah, malheureusement mon mari nest pas avec moi, cest un déplacement professionnel.
- Après cela ne vous empêchera pas dapprécier la vue.
Elle referma le plan du site quelle avait déballé pour questionner la réceptionniste et commença à se tourner pour partir. Elle fit une pause pour me souhaiter une très bonne journée. Je lui rendis son grand sourire et lui souhaita à mon tour de passer de bien profiter de son séjour dans la région.
Il va bientôt être 18h, et cela fait déjà 1h que je me promène de ce côté du lac en espérant recroiser Julie.
Effectivement, quelques minutes plus tard, la voilà qui apparaît sur le chemin un peu plus loin. Jai attendu cet instant toute laprès-midi, mais maintenant quelle arrive jai le cur qui bat fort.
Je ne veux pas paraître de lattendre... Je me suis assis sur un banc avec un livre pour avoir lair plus naturel. Je lève finalement les yeux lorsquelle arrive tout près, pour me rendre compte que cest elle qui sapproche de moi avec un petit sourire, visiblement elle ma bien reconnu de ce matin, cest elle qui entame la conversation.
« - Bonsoir,
- Bonsoir, votre journée cest bien passée ?
- Pas trop mal, je ne suis pas sure davoir convaincu mes clients mais jaurais essayé.
- Ah pas toujours facile vos rendez-vous ?
- Non, surtout en ce moment, ils ont les moyens dêtre de plus en plus exigeants. Bref, un peu de détente maintenant !
- Oui ! Vous avez finalement suivi mes conseils et vous êtes venue admirer la vue.
- Exactement.
- Je viens régulièrement pour prendre lair également, jaime beaucoup cet endroit.
Elle regarde autour delle, observe le lac quelques minutes...
- Je comprends, le lac est superbe.
Et, en pointant le bar près de leau :
- Vous maccompagnez pour prendre un verre ?
- Avec plaisir !
Je naurais jamais cru que la demande viendrait delle, mais voilà une proposition que je ne peux pas refuser.
Après quelques minutes de conversation, nous avons commandé chacun une pression, et nous arrivons à parler de son mari, qui visiblement est à la maison et soccupe des s.
Elle mexplique être heureuse avec lui, mais que cela ne lempêche pas de boire un verre avec un homme quelle vient tout juste de rencontrer.
Le soleil commence à descendre sur le lac et les couleurs du ciel deviennent rouge et rose.
Elle porte toujours sa jupe qui remonte à mi-cuisses de ses jambes croisées.
Conscient que je ne la reverrais certainement jamais, il me faut faire un pas de plus si je veux découvrir davantage de cette belle femme.
Du bout des doigts, je commence à effleurer la peau de sa cuisse, comme pour tester sa résistance. Sans réaction négative de sa part, je continue à apprécier la douceur de sa peau, avec un peu plus dassurance ma main se pose entièrement sur sa jambe.
Sans rien dire, elle décroise les jambes, son regard toujours perdu vers lhorizon, et cette invitation à continuer provoque immédiatement chez moi une érection.
Au bout de quelques minutes, alors que je nai pas vraiment encore cherché à maventurer plus loin, plus haut, elle cherche dans son sac pour attr son téléphone.
Vu ses mouvements, jai retiré ma main, le temps de comprendre ce quelle avait lintention de faire.
« Allo mon chéri ? Oui tout va bien, la journée sest bien passée... Je ne peux pas trop te parler je prends un verre avec quelquun... Tu sais ce dont on a parlé la dernière fois, que tu voudrais que je fasse lors dun déplacement... Tu es bien sûr dêtre partant ?... Oui avec la personne avec qui je suis en ce moment... Ok... Je lui demande... Gros bisous je taime... »
Elle remet son téléphone dans son sac et se tourne vers moi :
« Vous voulez bien prendre une photo de moi avec votre téléphone et la lui envoyer ?
- Si cela peut vous faire plaisir.
- Il ma dit quil voulait savoir quand je me fais draguer.
- Ah, je dois minquiéter ?
- Pas du tout, au contraire, il veut juste une photo sinon il ne me croit pas.
- Très bien, faite lui un beau sourire...
- Envoyez là au 06... vous pouvez même ajouter un petit commentaire.
- Ok ça marche...
Quelques instants plus tard, le mari répondu « Merci pour cette belle photo, jespère en avoir dautres au cours de la soirée.
Julie commanda une pression de plus, et regarda autour delle, comme si elle cherchait quelque chose.
« Cela vous embête si je fume ?
- Pas particulièrement.
- Mon mari me linterdit en général, mais cette fois je veux profiter de ma soirée.
- Vous pouvez en acheter au bar si vous voulez.
- Parfait, vous mêtes décidément très précieux. »
Elle revint avec un paquet et son demi. Et nous poursuivîmes notre conversation. Japprenais quelle était mariée depuis plus de 15ans, quelle avait 3 s, et que son mari lencourageait dernièrement à plaire aux autres hommes pour renforcer son estime de soi. Apparemment lui faisait partie de ces hommes qui aiment voir leur femme plaire et procurer du plaisir à quelquun dautre. Je découvris par la suite que cette pratique portait un nom, le candaulisme.
Tout en observant le soleil se coucher et le ciel sassombrir, je caressais doucement Julie pendant quelle fumée une nouvelle cigarette. Son mari me demandait régulièrement des nouvelles et je lui envoya une photo de la belle en train de fumer, avec ma main posée sur la cuisse, légèrement sous la jupe.
Visiblement marqué par cette dernière photo, il répondit du tac-au-tac : « ah ben voilà quelle fume ! Elle a vraiment décider de samuser ».
Julie me proposa enfin de regagner lhôtel pour continuer la soirée, la fraicheur de la nuit commençait à tomber, et je sentais quelle voulait voir ma main caresser autre chose que ses cuisses.
On se mit en route côte à côte, et je ne savais pas trop comment entreprendre la suite des évènements.
Je bandais déjà dans mon boxer et javais terriblement envie de la serrer contre moi.
Après quelques pas, je me décida à larrêter. Jattrapa son bras et la bascula contre moi. Elle se laissa faire, les yeux pétillants et me laissa lembrasser.
Rapidement, comme instinctivement, mes mains se retrouvèrent sur ses fesses. Comme nous étions sur un chemin public, je retenais mes gestes, mais le contact de ses lèvres contre les miennes me donnait envie de la posséder encore davantage.
Elle posa ses mains dans mon cou et ma nuque, et membrassait comme sembrassent les ados... nos langues de caressaient, nos souffles semmêlaient, et nos sexes semblaient hurlaient de désir.
Après quelques longues secondes, elle décida de nous hâter jusquà lhôtel pour finir à labris des regards ce que nous avions commencé.
« Je passe dans ma chambre me rafraichir et je te rejoins dans la tienne dici 30min ? »
Cette proposition raisonnait dans ma poitrine durant les longues minutes pendant lesquelles jattendais de lentendre frapper à la porte de ma chambre.
Javais rapidement débarrassé le lit de mes affaires, et javais même pris le peine de me rincer sous la douche, car jespérais quelle viendrait gouter à mes charmes.
Pour patienter, je relisais les sms envoyés à son mari durant la soirée, et bandais à nouveau en regardant les photos de Julie.
Jétais prêt à le prendre à nouveau en photo dès son arrivée dans la chambre.
Voilà quelle frappe à la porte...
Je vais ouvrir. Jatt la poignée et je tire la porte vers moi pour la découvrir petit à petit. Elle sest changé. Elle porte maintenant une nuisette bleue foncée avec des fleurs blanches. Ses petits seins pointes difficilement sous la soie. Elle porte aussi des chaussures à talons un peu plus hautes que tout à lheure. Elle me fait un grand sourire en prenant la pose sur le palier.
« Julie, vous êtes ravissante, et tellement sexy. »
Sans lui laisser le temps de répondre, je latt par le bras et lentraine à lintérieur, referme la porte derrière elle et lembrasse passionnément. Mes mains attnt de suite ses fesses pour la serrer contre mon sexe déjà dur dexcitation.
La soie glisse délicatement sur la peau de son cul, et je devine rapidement quelle porte un string pour unique lingerie.
Ses mains descendent rapidement sur mon pantalon quelle essaie de déboutonner, avec un peu dagacement. Je lâche finalement ses fesses pour laider dans sa tâche. Elle me déshabille rapidement, me fait reculer jusquau lit, et fait un pas de recul pour mobserver. Je bande terriblement, mon sexe long est dur je me considère plutôt bien pourvu couché sur mon bas-ventre, mes bourses rasées en dessous.
Je la sens gênée par un conflit intérieur. Finalement elle se lance : « ça vous embête si je vous prends en photo ? cest pour mon mari ». Je secours la tête en signe de non. Vu la situation, comment pourrais-je lui refuser quoi que ce soit. Cest bien connu quun homme qui bande pour une femme acceptera tout ce quelle veut sil a une chance de pouvoir la prendre...
Elle att son portable dans un petit sac quelle avait amené avec elle, et fait tombé à lentrée lorsque je lai embrassé, et prend une photo de la scène.
Puis elle jette son téléphone sur le lit, pose ses mains sur mes cuisses, et me caresse doucement en remontant vers mon sexe. Je la laisse faire, en appréciant cette merveilleuse façon de soccuper de moi.
Une de ses mains, si petite à coté de ma bite, latt enfin et commence doucement à me branler.
Je gémis immédiatement de plaisir. Puis elle sapproche davantage, fait un bisous sur mes bourses, sort sa langue et remonte jusquà mon gland, pour le faire disparaître dans sa bouche.
Un plaisir divin me fait frissonner et ma bite se gonfle encore davantage.
Sans rien dire, jatt mon téléphone pour immortaliser la scène. Je lenvoie à son mari avec le commentaire « Elle suce bien ta salope... et toi tu es cocu ! ».
Je pose le téléphone, et fini par me redresser pour faire comprendre à Julie que je veux passer à autre chose.
Elle relève la tête. Elle est superbe. Ma bite dans une main, lautre posée sur le lit, sa nuisette qui me laisse entrevoir ses petits seins... Je la relève et me met debout en lembrassant, pour la déshabiller.
Elle sourit en levant les bras pour laisser passer la nuisette. Puis se laisse tomber dos sur le lit. « Lèche moi partout ! »
- Partout ?
- Partout.
Jatt son pied, qui porte toujours son escarpin à talon, et je commence à lécher délicatement ses orteils. « Hmmm oui cest parfait, tu as compris ! »
Je remonte doucement le mollet, le genou, la cuisse... « hmm tu te rapproches de la cible... mais vient dabord me lécher dans le cou ».
En continuant ma course jeffleure son minou, et je poursuis sur son ventre, jatt un téton, et je fini sur sa bouche, puis son cou.
« Hmmm oui cest trop bon ».
Ma bite est maintenant tout contre son sexe, et je sens déjà son bassin remuer, pour frotter son clito sur mon membre dur.
Elle gémie doucement, att mon sexe de la main pour le frotter contre le siens. Je lui propose une pause préservatif, que jatt et jenfile sur mon membre, et je retourne prendre possession de son corps pendant quelle se masse le clito avec ses doigts et mon gland.
Je redescend tranquillement, teste la sensibilité de ses tétons, et je maventure enfin dans la chaleur de son intimité. Elle maccueille en écartant bien ses cuisses, et en me lançant un « oh putain cest bon » dapprobation.
Elle mécarte ses lèvres pour mieux me guider jusquà son clitoris, puis dun mouvement de bassin elle me propose sa chatte coulante de désir. Je déguste son jus avec passion, ratt ce qui coule plus bas, et lorsque je me rapproche de son petit trou elle lève encore le bassin pour my accueillir. « Hmmm que tu me fais du bien ».
Je relève rapidement la tête et je constate que son téléphone est pointé vers moi. « Tu prends des photos pour ton homme ? »
- Oui !
- Cest un cocu maintenant.
- Et oui !
- Je lui dirai comme tu es bonne.
- Oui très bonne idée. »
Je continue à la lécher, de plus en plus passionnément, je glisse mes doigts en elle. Elle matt la main et la guide vers son cul, et je comprends quelle veut que je glisse un doigt dedans.
A peine rentré elle se contracte, je sens que son plaisir arrive.
« Oh oui cest trop bon ! Je vais jouir ! »
Ses cuisses se resserrent contre ma tête, elle me presse fort pour me maintenir contre son sexe coulant de bonheur.
Elle continue à me dire son plaisir bien que je narrive plus à distinguer ses mots, mes oreilles compressées par ses cuisses.
Finalement elle se relâche, comblée.
Je me redresse pour lobserver. Je regarde son visage serein, son sourire magnifique, ses seins, ses jambes... Elle est belle.
Jatt mon téléphone pour la prendre en photo temps quelle a les yeux fermés. Je lenvoie à son mari « ta femme après lorgasme ».
Elle reprend ses esprits et regarde mon sexe, toujours tendu au-dessus delle.
« Attends »
Elle se retourne, à quatre pattes, « vas-y, prends moi fort ! »
Je présente mon sexe devant son sexe, et lorsque je sens la chaleur humide entre ses lèvres, je menfonce dun coup au plus profond delle.
Elle crie de plaisir, je donne un coup de rien, elle crie de nouveau. Cela dure plusieurs secondes mais le plaisir est intenable.
Je sens mon plaisir monter à chaque coup de reins.
« Je vais bientôt gicler ma belle ».
- Fais-toi plaisir !
- Jaimerais jouir sur toi, pas dans la capote.
Elle se retourne, att mon sexe, retire la capote et commence à le sucer.
- Dans ma bouche, ça ira ?
- Hmmm oui !!
Elle me suce doucement et me tend son téléphone dune main, je comprends quelle veut que jimmortalise la scène pour son mari cocu.
Sa langue joue avec mon gland, lèche ma tige dun bout à lautre tandis que sa main me branle doucement.
« oh oui ça vient ! suce moi bien salope ! »
Je vois ses yeux qui souvrent en grand à ces mots.
« Je vais jouir dans ta bouche de salope. »
Elle continue à bien me sucer, prenant garde de bien garder mon gland dans sa bouche en attendant que mon jus sy déverse.
Mes mains se resserrent sur ses bras.
« Hmmm oui ça vient ! Cest trop bon, tu es trop bonne ! »
Ma bite se gonfle une dernière fois, et je lâche mon sperme dans sa bouche. Elle me branle encore un peu, puis me libère.
Une dernière photo... jatt mon téléphone... « Vas-y tu peux ouvrir la bouche ? »
Elle me regarde en souriant, comme pour mindiquer que ce nest pas gagné. Puis elle ouvre doucement. Je vois mon sperme mélangé à sa salive, elle a la bouche pleine... Elle bouge un peu la langue et mon jus sécoule doucement du coin de ses lèvres. Je capture cet instant. Elle est assise la, sur mon lit, nue hormis ses talons hauts, la bouche pleine de mon sperme... Jenvoie la photo au cocu, avec en commentaire : la salope est satisfaite. Je te la rends.
Julie rassemble ses affaires et quitte la chambre. Ce nest que quelques minutes plus tard que je me pose la question, finalement, est-ce quelle aura avalé le sperme de son amant dun soir ?
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