Berlin, Son Histoire, Ses Vices 4

Chapitre 4 : Immersion totale.

- Vous parlez français en Suisse ?

- Oui, comme vous pouvez le constater.

Elle parle un peu français, mais très mal. Aussi, je me propose de le lui apprendre. Cependant, coquine, j’insiste pour le lui apprendre en utilisant ses méthodes de dresseuse. Elle me sourit, me fait longuement l’amour en acceptant. Nous avons épuisé toutes nos forces en des orgasmes saphiques aussi voluptueux que délectables. Cela étant, je ne me souviens que de cette odeur de café allemand, infecte à boire. Dans son salon, nous avons longuement bavardé, en buvant cet infâme jus de chaussette. Assise près d’elle, je prends ma première leçon de code, d’us et coutumes de son monde, devenu pratiquement mon monde en moins de temps qu’il avait fallu pour le dire. Ma Maîtresse, oui, elle est ma Maîtresse, elle m’oblige à ne plus jamais serrer ou même croiser mes jambes en public comme dans le privé. Elle m’apprend comment me tenir face à un dominant. C’est ainsi que je croise mes bras dans mon dos quand je suis debout. C’est encore ainsi que je m’agenouille, mes mains offertes sur mes cuisses, mes genoux écartés. Dorénavant, en public, en sa compagnie, je n’ai le droit de m’assoir sur une chaise que si elle m’y autorise. Sinon, je dois me tenir à genou, le corps bien droit, mes bras croisés dans mon dos. Plus la journée avance, plus je me donne à cette femme. Je suis mue par un amour qui me dévore. Exactement le même qui m’a fait flasher sur Béa. Je trouve enfin ma place dans la vie, celle d’une soumise prête à tout par amour. Même si Alain venait, devant lui, mon comportement nouveau ne serait changer. Du reste, dans une lettre que je lui écris, je lui raconte tout, sans rien lui cacher de mes amours nouveaux. Avec ça, s’il ne comprend à quel point sa bite, son corps, tout de lui me manque, autant arriver nue chez lui en exigeant qu’il me viole.

Mademoiselle et moi, nous baisons encore.

Elle me soumet à ses désirs vicieux et je me plie sans plus aucune pudeur à tous ses caprices, même les plus pervers. Je deviens rapidement une fervente adepte de ma soumission, allant jusqu’à lui amener un martinet dans entre mes lèvres ainsi que le panier de pinces posé sur mon dos. Envoutée par cette femme et Béa, sa compagne et soumise, je suis bien obligée de reconnaitre que je suis amoureuse, et profondément amoureuse de ce couple démoniaque. Le retour de Béa en toute fin de journée n’est qu’une simple et merveilleuse confirmation quand elle me saute dessus pour me faire l’amour devant sa Maîtresse, ma Maîtresses, notre maitresse. Désormais, il me sera impossible de revenir en arrière, toutes les deux me tiennent par « les couilles » avec leurs sentiments, leur amour, leurs cœurs. Elles m’enivrent de leur amour, de leurs vices. Et moi, complètement submergée, je me laisse couler, noyer dans leurs perversités lascives

Berlin prend alors un nouveau sens dans ma tête, mon corps et surtout dans mon cœur. Mademoiselle reçoit ses clients, ces payants comme elle dit avec un dédain certain. Hommes et femmes se succèdent dans son donjon. Tous sont à la recherche de sensations aussi jouissives que violentes. Dans ces moments, je deviens l’assistante de Mademoiselle, je participe parfois, me faisant remplir par ses soumis. C'est toujours un homme qui me baise en guise de récompense. Et moi, envoutée, e, souffrant d’une profonde addiction à ces jeux, je prends mon pied de ne plus être qu’un objet à l’entière et totale disposition de Mademoiselle Janice. Quand Béa est présente avec nous, ses jours de congé, nous ne sommes plus les chiennes de Mademoiselle, nous agaçons les sens des hommes soumis par nos danses lascives, amoureuses, nos coups de langue pervers. Ayant interdiction d’avoir la moindre érection, on prend plaisir à les voir bander dur comme fer avant d'en subir les conséquences. Avec les femmes, c’est encore plus vicieux et pervers. Et là encore, elles en paient un prix cruellement élevé pour avoir eu du plaisir.


En ce dimanche matin, Mademoiselle nous pose nos colliers, nos laisses. Sans rien d’autre qu’une simple cape noir sur le corps, Mademoiselle décide qu’il est temps de m’exhiber. Nos mains menottées dans notre dos, Mademoiselle se pose derrière le volant de sa puissante limousine. Après avoir pratiquement traverser Berlin, près d’un luxuriant parc, elle nous oblige à sortir. Dans ce parc, en plein centre, le Tiergarten, Mademoiselle nous promène. Nos capes s’ouvrent à chacun de nos pas. Béa marche telle une pouliche. La voyant se déplacer ainsi, je l’imite. Derrière nous, Mademoiselle flatte nos culs d’une badine en nous obligeant à marcher lentement, sans stress. Puis, dans une clairière, elle regarde soigneusement aux alentours. Elle veut s’assurer qu’aucun de moins de 18 ans ne s’y trouve. Rassurée, elle ouvre nos capes, les noue dans notre dos. Nos mains libérées, elle nous fait mettre à quatre pattes, toujours en laisse. Telles deux chiennes, n’hésitant pas à nous cingler nos culs de sa badine, Mademoiselle nous fait faire le tour de cette clairière. Là, devant un imposant chêne, elle nous oblige à nous soulager comme les chiennes que Béa et moi, sommes. J’avoue ma peine, ma honte. Mon visage, depuis la découverte de ces lieux, est rouge, bouillant de honte. Cela amuse énormément Mademoiselle qui n’hésite pas à me moquer. Avisant une femme arborant le dau arc-en-ciel, elle lui demande si elle ne désire pas se faire lécher par nos bouches. J’avoue en avoir une envie irrépressible. Je devance même Béa, léchant déjà les pieds nus emprisonnés dans des sandales romaines. La femme se baisse un peu, relevant sa jupe sur une toison plus qu’abondante. Ma langue, ne me demandez pas la raison, s’en vient dévorer ce minou. Un gout acre envahit ma bouche, elle doit avoir uriné il y a peu. Pourtant, ma langue s’enfonce déjà dans ce sexe et la femme de mieux plaquer mon visage contre sa chatte. Béa nous contourne, écarte les fesses de cette femme. Je ne vois pas ce qu’elle fait, mais je le devine aisément.
Après quelques minutes de ce traitement, la femme se soulage de son trop plein de cyprine. Cela me coule de partout, jusque sur mes cuisses. Derrière moi, Mademoiselle ne peut s’empêcher de me masser mes épaules en m’encourageant. Puis, la femme me repousse du pied, fait de même avec Béa. Elle se colle à notre Maîtresse, la remercie comme si elles se connaissaient de longue date. Et même si c’est le cas, je me sens heureuse d’avoir prouvé à ma Maîtresse ce dont j’étais capable par amour pour elle. C’est aussi en me redressant que je découvre le Reichstag à quelques encablures de nous. En me tournant, je découvre le mémorial soviétique. À peine à une dizaine de mètres de nous, je vois des meutes de touristes débarquant de cars bondés. Mademoiselle donne le signal du retour. Nos capes cachent maintenant nos corps. Béa me fixe brièvement, je découvre son désarroi de ne pas pouvoir se laisser voir. Le mien, identique, elle peut aussi le lire sur mon visage. Béa et moi, nous sommes maintenant sœurs jumelles dans notre soumission.

Près de la limousine, Mademoiselle nous retire nos capes, ouvre le coffre. À ce moment précis, un grand bus, remplit de touristes, s’arrête derrière la limousine. À peine les touristes sur le trottoir, que Mademoiselle nous exhibe encore une fois, ses mains sur nos nuques. Puis, devant des touristes hébétés, elle nous force à monter dans le coffre après nous avoir menotté dans notre dos. Une jeune femme s’approche, nous prend en photo. Béa et moi, nous lui adressons notre plus beau sourire avant que la porte du coffre ne referme sur nous. Nous entendons Mademoiselle discuter quelques minutes avec la jeune femme. Malheureusement, si mon allemand est excellent du point de vue scolaire, ma connaissance des dialectes laisse encore à désirer.

Une semaine et demie en compagnie de ces deux femmes exquises, ça passe vite. Si Mademoiselle m’a instruite sur ce rendez-vous avec Monsieur Heinz, je suis toute tremblante en me levant.
C’est que c’est aussi le jour du casting. Avec Mademoiselle, nous arrivons les dernières dans cette usine désaffectée et en ruine. Sur moi, je ne porte qu’une simple robe relativement courte, un collier de cuir à mon cou, rien de plus si ce n’est une paire de talons aiguilles. Une dizaine de femme sont présentes. Tous les âges, tous les physiques sont présents devant moi. Ma Maîtresse est accueillie comme une princesse par Maître Heinz. Moi, je me contente de me mettre à genou, au pied de ma Maîtresse. Si je ne participe pas en tant que future actrice, une demande insistante de ma Maîtresse fait tout pour que Maître Heinz me fasse passer le casting. En le voyant faire, je découvre un casting bon , décontracté, rien à voir avec les films. Si Mademoiselle refuse encore que je participe, pour le moment, à un quelconque film de Maître Heinz, je me retrouve sous son joug. Une fois sous la coupe de Monsieur Heinz, je lui abandonne mon corps. Mademoiselle suit tout, elle ne perd pas une miette de mes supplices. J’avoue que j’apprécie quand d’autres femmes viennent, me touchent pendant que Monsieur Heinz me fesse durement. Même la cire brulante sur mon corps ne me fait pas reculer. Je veux prouver à Mademoiselle que je suis sa soumise, que je suis prête à tout pour la servir fidèlement et avec amour. Je subis encore deux fistings, j’en jouis même é plusieurs reprises. Puis, le supplice des pinces à linge me fait encore jouir quand, d’une longue cravache, Monsieur Heinz me les retire une à une pendant que je fixe Mademoiselle. Enfin, il me fait écarteler et aveugler. Là, mon corps est soudain entièrement en feu. Je hurle en sentant ces orties frotter, fouetter mon corps. Maître Heinz va jusqu’à en glisser quelques feuilles dans ma chatte déjà en feu. Je hurle de plus belle quand la bouche de Mademoiselle se pose sur la mienne. C’est que je jouis avec une violence sans comparaison possible.

- Ma chère, cette petite me plait. Elle en a dans le coffre. Si j’en avais dix comme elle, j’en serai ravi. IL faut que nous discutions, vous et moi, ma chère Janice.

- Certes, je ne suis pas contre le fait qu’elle tourne pour vous, très cher. Reste que c’est à elle d’en décider. Officiellement, elle n’est pas encore ma soumise, n’ayant aucun contrat signer à cette date. Cela dit, tout à fait entre nous, mon cher Heinz, cela m’étonnerai beaucoup qu’elle se refuse à vous.

- C’est ce que j’ai pensé lors de notre toute première rencontre, dans le magasin, au sous-sol. J’ai vu dans son regard qu’il ne lui fallait qu’un léger coup de pouce pour qu’elle bascule dans notre monde. N’est-ce pas, Aroa !

- Oui Monsieur, c’est vrai. C’est Béa qui a été l’interrupteur, si vous me permettez cette comparaison. Puis, Mademoiselle Janice s’est montrée délicieusement persuasive. Enfin, j’ai vu pratiquement tous vos films, Monsieur Heinz. Alors, tourner pour vous, si Mademoiselle m’y autorise, je suis partante si cela se passe comme aujourd’hui.

- Dis-moi, Aroa, que penses-tu de mes orties ?

- Que du bien Maître, que du bien.

- Vous autres, décrochez-là et que quelqu’un la soigne. Ma chère Janice, il vous faut lui faire signer son contrat sans perdre de temps. Sinon, c’est moi qui lui fais signer un contrat. Vous la prendre, je ne vous le cache pas, me réjouirais. Béa me manque tellement.

- Béa ? Oui, je me souviens de cette passe d’arme. Mon cher, elle va le signer son contrat, mais avec moi. Si elle venait à refuser, je lui promets un mois de suffisamment douloureuse pour qu’elle nous signe n’importe quoi. Tenez, voyez comme je suis bonne, c’est son adresse. Du moins, une fois que j’aurais équipé son appartement.

- Mais c’est tout près de votre domicile, très chère.

- Alors, imaginez seulement la suite, délicieux ami.

Pendant qu’on me soigne, Mademoiselle et Monsieur Heinz discutent encore de moi, de la suite à donner à ma vie de future actrice de film fétichiste et SM. Les orties, ça, je peux prétendre avoir aimé au-delà de ce que je pouvais supposer. Je crois que je deviens légèrement masochiste. Pire que tout, j’aime ça, souffrir un peu.

Le lendemain, en robe moulante, corset et talon aiguille XXXL, je me rends à mon nouvel appartement. Le soir précédent, pendant que ma douce Béa me soignait encore, j’ai écrit une longue, très longue lettre à mon ami et chef, Alain. Je lui ai tout raconté sans ne rien lui cacher. Je sais d’avance que ma lettre va me le faire bander comme un âne. Mais là, tout en flânant dans ces rues émoustillantes, je passe devant une boutique et dans la vitrine, une photo, la photo d’une belle poitrine ornée de ses petits anneaux et de la petite chainette qui les unit. Je décide de me renseigner. Derrière un petit comptoir, une femme, les tétons dénudés, reliés par une chainette et une autre, formant un triangle avec son nez, lui aussi annelé. Je suis fascinée par cette vision surréaliste et sublime. Un homme sort de derrière un rideau, me demande ce que je désire. Je me mets à lui poser mes questions. Il ordonne à la femme de retirer sa courte jupette. Je la devine délicieusement soumise en la voyant rougir devant moi au moment où sa jupette glisse sur ses jambes. Devant ce sexe annelé, je ne peux empêcher ma main de caresser ce sexe glabre en titillant les anneaux et le cadenas qui obture sa chatte. Nous devons avoir pratiquement le même âge et son sexe se pare vite d’une légère humidité. L’homme la retourne, me montre son cul tatoué au nom de son Maître, l’homme de la boutique. Je me pose mille et une questions, à savoir si cela plairait à Mademoiselle que je lui revienne annelée entièrement. Le prix ne représente pas un problème en soi. Le problème est de savoir si je peux supporter la douleur que me décrit cet homme avec une précision diaboliquement pervers. Convaincue, je décide de sauter le pas. Si l’homme ne peut me prendre ce jour, nous fixons tout de même un rendez-vous.

Puis, notant notre rendez-vous, il me demande qui m’envoie, là, le simple nom de Mademoiselle Janice accélère grandement les choses. Il biffe notre rendez-vous, frappe dans ses mains, deux autres femmes arrive, aussi nues que celle derrière son comptoir. On me sourit, des sourires de connivences. On me guide, me déshabille, on me caresse, on me lèche partout, même mon cul. Devant les quelques poils qui repoussent, on me rase de près jusqu’autour de mon anus. On m’installe et ça commence et par ma cloison nasale. Je sais pertinemment que je vais souffrir et je l’accepte parce que c’est par amour pour Béa et Mademoiselle Janice que je le fais avant tout. Il est tout juste dix heures du matin, mon nez porte mon premier anneau et j’ai à peine souffert. Les deux assistantes désinfectent les emplacements au fur et à mesure que l’homme me transperce de ses aiguilles. Je souffre et pas qu’un peu, surtout mes seins encore terriblement sensibles après la petite séance de martinet de la veille. Sur mon sexe, l’homme peine un peu à poser sa pince, je mouille en abondance en pensant à la surprise de mes deux amours, ce soir. Une des assistantes me plante une fine aiguille qui traverse mon téton, par surprise. Le temps que je comprenne, je ne mouille plus et je suis percée. L’autre mamelon subit le même sort peu après et mon sexe est annelé.

Ma main se glisse entre les cuisses de cette jeune femme. Je sens déjà la douce moiteur de son sexe. Je la branle sans ne plus penser à autre chose qu’à la faire jouir. Il ne reste que le capuchon de mon clitoris. Quand l’aiguille le traverse, je ne peux empêcher un cri de douleur. La bouche de l’autre assistante sur la mienne, me muselle. On me désinfecte, on me bichonne. Alors, chose insensée, je demande à l’homme d’user de mon corps pour en jouir. C’est Mademoiselle qui, dans sa très grande bonté, m’a autorisé les hommes dont je suis encore particulièrement très vorace. Alors, devant ses assistantes, il me baise, je branle ses deux soumises de mes mains. L’homme passe de mon con à mon cul. Ma bouche, mes mains s’activent entre les cuisses annelées de ces deux femmes. Il ne jouit pas en moi, me forcent à boire son sperme dont je me délecte. Je n'ai plus guère l'occasion d'en déguster depuis mon arrivée dans cette ville, Berlin.

Puis, à la caisse, il refuse que je paie sous prétexte que Mademoiselle possède un compte chez lui. Je refuse de laisser Mademoiselle payer ma décision. Je pose mille mark, l’affaire est conclue. Je ne peux m’empêcher de faire jouir la troisième des employées. Ma bouche la boit, mes mains la couvrent de caresses. Sa cyprine inonde ma bouche, une femme fontaine, ma première femme fontaine, je me régale d'autant plus. Dans mon appartement, je me change après une longue douche suave. Je ne peux aller voir ma Maîtresse chez elle ce soir, elle reçoit un client depuis mon départ, un payant particulièrement masochiste. Alors, tout de court vêtu, je me présente à Béa, fière de ma chainette pendant à mon nez. Je cicatrise vite, c’est une chance. Devant elle, je plaque sa main sous ma courte jupette de gamine vicieuse. L’effet est immédiat, ses mains me fouillent, sa langue lèche mon nez. Derrière, elle me baise, me viole, parfois sous le regard attendri d’Agnès qui se refuse encore. Si seulement elle savait ce que nous vivons, la pauvre. Alors, je raconte tout, du perçage de mon nez jusqu’au moment où l’homme me baise et que je fais jouir ses assistantes. Là, le regard d’Agnès change quand je me redresse nue devant elle. Voyant mes seins et mon nez reliés par ces cette longue chainette, je m’approche d’elle, son regard bloqué sur ces chainettes. Dans son cou, je pose mes lèvres.

- Tu es sublime ma chérie. Si tu voulais…mais je ne suis pas pressée à vouloir te faire jouir et pourtant.

Je pris sa main, la posant sur mes chainettes.

- Tu pourrais me guider là où tu veux que j’embrasse ton corps, me forcer même.

- J’ai peur, tu me fais peur, vous me faites peur, toutes les trois.

Béa comprend vite que mon désir de corrompre sa collègue et elle m’y encourage d’une main discrètement posée sur mon fessier. Sans le savoir encore, je deviens accro, nymphomane et une putain de salope de chienne soumise. Je deviens une e du sexe, merveilleuse addiction s’il en est. Agnès me cède un baiser, un vrai, se laissant maintenant caresser. Je me permets même un baiser sur sa chatte, à travers sa culotte.

- Aroa, puis-je te dire quelque chose en privé ?

- Tout ce que tu veux et tu le sais.

Elle m’entraine au sous-sol, nous passons rapidement la porte de la réserve. À peine la porte fermée à double tour, elle me gifle durement. Je me tombe à ses pieds que baise tendrement. Elle me relève, m’embrasse à pleine bouche.

- Ma belle, il y a que je t’aime depuis que tu es entrée dans notre boutique. C’est seulement maintenant que j’arrive à te le dire. La gifle, c’était juste pour te reprocher de n’avoir pas fait le premier pas avant.

- Ma chérie, ma douce, toi, Béa et Mademoiselle, vous me rendez folle d’amour. Tu comprends ça ? Je ne pouvais avant et ce n’est pourtant pas l’envie qui me manquait. Il fallait juste que je sache si tu étais prête. Oui, je te voulais prête à faire le premier pas dans notre direction. Je te sais soumise au fond de toi, Béa me l’a si souvent répéter. Elle non plus n’a pas osé. Comme moi, elle attendait un signal fort venant de toi. Je voudrais tant te voir avec nous deux, afin de t’offrir à Mademoiselle. Ne me dis surtout pas que tu ne l’aimes pas. À chaque fois qu’elle vient, tu fonds d’amour devant elle. Tu files même te branler juste après son départ comme une sale gamine. Maintenant, si tu veux me punir, mon corps est devant toi. Tu peux en user comme bon te semble.

- Je ne veux pas te faire mal. Je suis…je…

- Moi aussi, ma douce, je le suis, amoureuse de toi.

Que m’arrive-t-il. Faut-il que je la pervertisse elle aussi ? Ne suis-je pas assez heureuse ainsi, avec deux femmes à aimer sans qu’il ne me faille aussi Agnès ? à vrai dire, quand une personne me plait, il me faut la rallier à moi, c’est plus fort que moi. À croire que je deviens folle mais folle d’amour pour la gent féminine. Maintenant, une chose est certaine, Agnès nous aime, Mademoiselle, Béa et moi. Cela se voit sur son visage quand nous sommes là, devant elle. Et puis, avec Béa, elle fait tout pour ne pas lui montrer ce qu’elle ressent. Nous la savons avec un homme, je ne sais si elle est heureuse avec lui. Je n’ose le lui demander, attendant qu’elle me le dise. Elle retire la chainette de mon nez, m’embrasse, passant ses mains sur tout mon corps. Je la couche, l’aime, la fais jouir et, main dans la main, l’emmène devant Béa en lui donnant sa main. Je m’habille, je rentre.

Dans mon appartement, je me sens soudainement seule, très seule, trop seule même. Je sais que Mademoiselle ne veut me voir, cela m’attriste. Le téléphone sonne, c’est Béa qui me dit avoir averti Mademoiselle pour mes anneaux. Elle ajoute qu’elle ne va plus tarder à débarquer chez moi. J’ai juste le temps de me mettre une nuisette de salope dévergondée. Derrière la porte, je m’agenouille, mes mains sur la tête, mes mains menottées comme mes chevilles. Elle arrive telle une tempête, me voit, m’ordonne de me relever. Je lui abandonne mon corps, elle me gifle, les larmes lui coulent sur ses jouent. Je les lui lèche, lui susurrant mon amour indéfectible. Elle me fouette de sa cravache, derrière, Béa et Agnès arrivent, main dans la main. Je me fais punir et à juste raison, je n’ai pas demandé son autorisation à Mademoiselle. Elle cesse, me redresse, inspecte mes anneaux. Mon corps brule de passion pour Mademoiselle. Derrière, Agnès arrive sans bruit. Elle n’est plus la femme effrayée, elle s’en vient vers moi, s’agenouille devant moi, embrasse mon pubis. Puis, elle se retourne, embrasse les mains de Mademoiselle, l’implorant de ne plus me punir. Notre Maîtresse la relève, l’embrasse tendrement. C’est gagné, Agnès fond d’amour pour notre divine Maîtresse. Ce soir, elle ne rentre pas. Dans mon lit, nous l’aimons jusqu’à ne plus pouvoir. Elle m’avoue enfin ne plus jouir avec son mari. Elle se dit en manque, un manque qui la rend folle de désir pour Béa, Mademoiselle Janice et enfin moi.

Deux jours plus tard, Agnès, sans prévenir, avec armes et bagages, déboule chez moi sans crier gare. Immédiatement, elle se jette à mes pieds, me les baise, me les lèche.

- Maîtresse, Mademoiselle m’envoie à vous, elle exige de moi que je sois votre esclave et je l’accepte très volontiers parce que je vous aime.

Le trouble m’envahit, c’est déjà une soumise, une divine et belle soumise. Mon dieu, que cette femme est belle, ainsi prosternée à mes pieds. Je m’accroupis devant son visage. Je l’embrasse, ses lèvres sont aussi douces et sucrées que du miel.

- Relève-toi, ma douce. Et ton mari…

- Il m’a mise dehors après que je lui ai avoué mon amour pour vous, Béa et notre déesse. Cependant, il en est une que j’aime plus que les autres, vous Maîtresse. Faites mon éducation, je vous en conjure. Je vous serais fidèle jusque dans la mort, Maîtresse Aroa.

Je ne sais comment m’y prendre. Agnès me trouble car, à quelque part, elle me ressemble quand je me donnais à Mademoiselle Janice. Soumise, je le suis et jusqu’au bout des ongles et je ne peux le nier. Je crois être davantage encore, bien plus que je ne le suppose. Mais quant à dresser et éduquer une soumise, je ne sais pas. Empruntée, perdue, je cherche comment. Et puis, je comprends tout dans une sorte de révélation et tout me devient limpide. Je l’emmène. Une fois dehors, je trouve vite ce que je désire. Dans cette boutique animalière, mais pas que, je lui achète le même collier et le lui impose sans aucun refus de sa part. À son doigt, je mets la bague, la même que Béa et moi. Je lui mets encore une laisse à son collier et lui impose mon ménage à demi-nue. Là encore, je prends vite un gout certain à la dominer amoureusement. Pendant qu’elle nettoie mon appartement, je me rends chez Béa, dans la boutique. Le matin, c’est toujours calme.

- Alors, comment va ma douce amante. Me demande ma douce compagne

- En face de toi, merveilleusement bien ma douce. Y a juste un petit problème.

- Lequel ?

- Agnès, sur ordre de notre Maîtresse, elle est arrivée y a deux heures avec ses valises. Elle m’a apprit avoir été virée de chez son homme.

- Le petit merdeux, l’enculé, le…

- Chut, calme-toi, ma chérie. Là, en ce moment, je ne vais pas arriver à nous faire vivre toutes les deux. Même avec son salaire, j’ai explosé mon budget avec mes anneaux. Tu peux mettre une annonce pour…

- Pour faire comme Mademoiselle ?

- Oui, exactement, le temps que je commence mon boulot.

- Sans problème, je fais passer le mot. Je donne ton adresse et ton téléphone ?

- Si tu veux, oui. Marque bien qu’on est deux enfin, sauf si tu veux te joindre à nous, ma belle amazone.

- C’est à voir. L’idée n’est pas pour me déplaire.

- Je baise ton petit cul, ma douce amante. Il faut que je retourne m’occuper de l’éducation de notre nouvelle amie de cœur.

- Ne sois pas trop vache.

- Aucun souci.

Béa me promet de passer après la fermeture. Dans mon appartement, je dois rire en découvrant Agnès sur le sommet de mon bar, se donnant du plaisir sur ce gros gode placé en son extrémité. Aussi, avant qu’elle n’ait le temps de se retirer, je menotte ses pieds à mon bar et me presse d’appeler Mademoiselle pour lui signifier l’arrivée d’Agnès. Pour faire voir à Mademoiselle, qui est en chemin, je me menotte mes mains aux pieds d’Agnès et me mets à genou, nue, à attendre l’arrivée de ma déesse de Maîtresse.

À peine dans le salon, elle s’arrête net. C’est très lentement qu’elle retire sa cape, ses gants. Vicieuse, elle prend un martinet et flagelle délicieusement mes seins sans défense. Je me mords ma lèvre inférieure, signe plus qu’évident que j’éprouve du plaisir. Elle ne me frappe encore pas très fort. C’est ensuite le tour d’Agnès de recevoir ces lanières exquises. Sa mouille me dégouline dessus. Vicieuse, Mademoiselle l’oblige à se soulager. Quand ce liquide chaud me coule sur le corps, je suis déjà au bord de l’orgasme. Ma tête renversée en arrière, je me gave de cette urine salée. La main de mademoiselle masse mes seins, les étire, les tord en tous sens. Elle en profite même pour étaler l’urine sur ma poitrine, mon ventre et ma chatte détrempée. Plongeant mon regard dans celui de ma Maîtresse adorée, je suis sur le point d’hurler mon bonheur quand Mademoiselle plaque sa bouche sur la mienne. Elle avale mon long râle de bonheur, se masturbant de ses deux mains maintenant.

- Je te reconnais bien là, espèce de sale pute. Tu es la pire chienne que je connaisse avec Béa. Comme Béa, je t’aime mon adorable chienne.

- Wouaf ! Que je lui rétorque, trop heureuse de passer pour une chienne.
- Et toi, Agnès, c’est ce que tu veux devenir ?

- Oui, servir, vous servir, servir Aroa. Je veux aussi vous aimer, vous vénérer à chaque instant de ma vie, ne plus vous quitter, vous, mes deux maitresses. Mais surtout, je ne veux plus m’appartenir.

À suivre…

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