Invitation

La vie d'Émile a changé lorsque ses parents ont décidé que, dorénavant, il irait vivre chez sa tante.
Celle-ci demeurait dans une petite ville aux confins de la Haute-Loire et de la Lozère.
En fait, elle n'était pas vraiment sa tante, mais une parente éloignée, une vague cousine, du coté de sa mère.
Mais, dans la famille, tout le monde l'appelait "La Tante", en baissant la voix.
Les problèmes de la banlieue surpeuplée, avec sa criminalité en hausse constante et ses écoles mal fréquentées, avaient motivé ses parents à accepter la proposition de la tante. Ses parents travaillaient beaucoup et n'avaient pas assez de temps de s'occuper du gamin qui passait une partie de son temps livré à lui-même.
"Chez moi, il y a des écoles tout à fait convenables, et je les connais toutes. Les écoles publiques et celles qui sont gérées par des religieux. Je suis certaine de pouvoir faire accepter Émile, si je leur recommande le gamin. Si vous préférez être sûrs, je peux leur poser la question. Je peux vous garantir leur sérieux et les bons résultats de leurs élèves."
Émile sentit un frisson lui parcourir le dos. Quoi! Aller habiter dans ce trou perdu, chez sa vieille tante, tellement guindée, bardée de principes et de consignes. Ce serait l'horreur. C'était inconcevable pour lui d'aller vivre là-bas.
À chaque séjour chez elle, pendant les vacances, en l'absence de ses parents, elle devenait autoritaire et directive, intransigeante et sévère. Elle lui avait même baissé sa culotte pour lui donner une fessée, il y a quelques années, parce qu'il avait fait une bêtise, selon elle. Il en rougissait encore d'humiliation.
Émile regarda son visage ridé et sévère, puis reporta son attention sur ceux de ses parents qui semblaient captivés, comme si la proposition de la tante avait un sens. Évidement, ils ne pouvaient pas se douter, n'ayant jamais vu le comportement inadéquat de cette vieille folle à son égard. En arrivant, elle l'avait serré dans ses bras de manière déplaisante, l'écrasant contre sa grosse poitrine et insérant sa cuisse charnue entre ses jambes, la remontant et lui faisant mal en lui comprimant les bourses, alors que les autres avaient le dos tourné.

Elle lui avait coupé le souffle en heurtant ses testicules. Émile rougit en y repensant et perdit le fil de la discussion.
"Mais comment cela se passera, il devra loger à l'école, ou alors?" demandait sa mère, intéressée.
"Cela dépend, il y a des écoles externes et des pensionnats, les deux systèmes sont possibles. Selon l'option choisie, je peux déjà vous offrir mon aide, et si vous le souhaitez, je peux loger le gamin chez moi. Ma maison est suffisamment grande et j'ai toujours une chambre de prête!" dit-elle en souriant chaleureusement.
La tante avait mis sa main sur la tête d'Émile et lui ébouriffait les cheveux, comme si elle était complice avec lui.
Elle le dévisagea et vit qu'il voulait protester, rejeter sa proposition. Elle n'attendit pas sa réaction, elle lui coupa la parole en ajoutant des détails et, avec sa main sous la table, la glissa à l'intérieur de sa cuisse, près du genou.
Elle affermit sa prise, massant les chairs tendres à l'intérieur de sa cuisse.
Ils étaient assis l'un contre l'autre et la nappe masquait ce qu'elle faisait aux yeux des parents, de l'autre côté de la table.
La sensation lui coupa le souffle et il devint écarlate à cause de son geste, écarquillant les yeux en s'assurant que personne ne voyait ce qu'elle faisait. Émile sentit la main de la tante caresser sa cuisse doucement. Il ferma sa bouche, ne voulant pas attirer l'attention.
Il était tétanisé, la main sensuelle de la tante l'excitait, une douce et insidieuse chaleur se propageait de sa cuisse à son entre-jambe, et malgré lui, son pénis commença à s'ériger.
Le comportement tyrannique et captatif de la tante l'avait toujours troublé et il avait essayé de se rebeller, ce qui semblait plaire à cette maîtresse femme. Des larmes de rage impuissante perlaient au coin de ses paupières en la voyant prendre possession de son existence, de ses choix, de ses désirs, devant sa famille sans qu'il n'ose se rebeller.
Il était hors de question d'accepter cela, de se soumettre à sa volonté, il allait crier et tout dévoiler … repousser cette main torride … refuser qu'elle décide de son avenir …
Émile retint son souffle, espérant que la main cesse sa progression vers le haut de sa cuisse, essayant d'imaginer un moyen de la stopper, tandis que sa verge se tendait douloureusement, coincée par ses vêtements, s'allongeant injustement vers la cuisse qu'elle caressait.

Il ne pouvait pas quitter la table pendant qu'ils parlaient de lui, ils se retournaient vers lui fréquemment en débattant de la question.
Émile avait perdu le fil de la conversation animée, faisant semblant d'être intéressé par ce qu'ils disaient.
Émile gémit de honte en réalisant que la main de la tante avait atteint son but. Elle restait en appui contre sa verge et pétrissait sa cuisse, massant le gland décalotté. Troublé et séduit, il espérait encore que la tante ne réalise pas son audace et son impudeur, et surtout qu'elle ne l'expose pas à ses parents.
Sa verge s'était enthousiasmée et son gland était devenu le centre du monde, la main de la tante se frottait vigoureusement, répétitivement, obstinément bandante. Une douce excitation envahit son bas-ventre.
Émile s'étrangla de terreur en pensant qu'il allait avoir un orgasme devant tout le monde. Il devait stopper la savoureuse caresse.
"Cette situation ici doit cesser!" dit-elle en tapotant du bout des doigts sa verge tendue, créant la confusion entre son émoi et les problèmes de sécurité dans la ville. "N'est-ce pas?" demanda-t-elle en le fixant.
Elle avait suspendu sa caresse. Tout le monde le regardait. Émile était conscient de la menace de cette main redoutable.
La tante voulait son approbation, il s'est liquéfié.
"Euh … oui … je … pense ..." s'entendit-il dire pour qu'elle stoppe sa caresse et désireux d'échapper aux regards inquisiteurs.
"Tu es d'accord mais tu hésites encore à l'idée de quitter ta famille, tes amis! Bien sûr, tout cela va faire un changement mais tu te feras vite d'autres amis là-bas. Dans ces écoles, les jeunes sont de bonne fréquentation. Et ta famille, tu la verras pour les vacances, le temps va passer vite!" dit la tante.
Cela acheva de convaincre sa mère qui ajouta enthousiaste:
"C'est parfait alors, ma tante, s'il te plait, choisit la meilleure école pour assurer son avenir," dit sa mère enchantée.
Émile retrouvait peu à peu son calme.
La main de la tante était toujours posée sur sa verge, menaçante mais immobile, le muselant. Les plans s'échafaudaient rapidement dans la discussion des adultes. Émile ne participait plus à la discussion.
Son trouble sexuel fut progressivement remplacé par un sentiment de révolte. Il voulait crier et faire cesser ces discussions.
Mais son pénis restait douloureusement tendu et par moment un spasme l'agitait dans la main de la tante.
À chaque fois, elle lui répondait d'une pression pour lui montrer qu'elle l'avait sentit.
Quitter sa ville, ses copains, pour aller vivre chez la tante était inconcevable. Mais il ne pouvait pas protester, dans son état avec la main de la tante qui le paralysait. Émile devrait expliquer son refus plus tard à ses parents.
"C'est important que je me mette à jour, tu peux me montrer ta chambre … Émile?" Elle tapota sa verge puis le lâcha.
"Euh … oui!" répondit-il essayant de comprendre la question, il avait encore perdu le fil de la conversation.
Tout le monde rit de sa confusion. Sa mère et sa tante se levèrent de table. Il les imita et fut gêné par son érection.
Émile se tourna un peu, espérant que ça ne soit pas trop visible. Sa verge était douloureusement tendue et compressée dans ses habits. Émile ne pouvait pas se rajuster car sa tante le regardait et attendait visiblement qu'il l'emmène voir sa chambre.
Émile fut soulagé de pouvoir échapper aux regards et d'aller se réfugier dans sa chambre.
"Venez, suivez-moi, par ici," dit-il en la précédant dans les escaliers. Son visage était rouge d'émotion.
Il ouvrit sa porte et pénétra rapidement, espérant disposer de quelques secondes pour réajuster son pénis.
Mais la tante le suivait de près et claqua la porte derrière elle après être rentrée dans sa chambre.
Émile se tenait debout, faisant face, bras ballant, attendant le sermon qui allait probablement sortir de ses lèvres pincées.
La tante inspectait lentement la chambre.
Son regard s'arrêta sur un tas d'affaires sales qui traînaient dans un coin.
"Émile, tu as beaucoup de mauvaises habitudes, je veux que cela change dès maintenant. Chez moi, je ne supporterai pas de voir traîner tes affaires ainsi!"
Son regard se durcit: "Range immédiatement tes habits!" dit-elle fermement en désignant le sol.
Il était décontenancé par le changement de physionomie, son ton autoritaire ... Il était chez lui et ne voulait pas aller habiter chez elle. Mais il n'osait pas la contredire, sachant que cela ne ferait qu'empirer les choses, en plus son pénis douloureux et tendu ne lui laissait aucun répit. Il grommela une menace en se penchant pour prendre les habits.
"Comment? je n'ai pas bien compris?" dit-elle d'une voix menaçante.
"Je … euh … oui …" bafouilla-t-il en se relevant.
"Émile, tu n'as quand même pas déjà tout oublié! Tu te tiens droit devant moi, les bras le long du corps, tu me regardes et tu me réponds correctement!"
Émile retrouva ses réflexes, qu'elle lui avait inculqué lors de ses séjours chez elle, se redressa et la regarda.
Son pénis restait horriblement tendu et douloureux. Il savait que son érection était visible. Il soutint son regard.
Elle lui semblait vieille à présent. Son visage sévère et grave restait impressionnant, et il savait qu'elle avait de la force.
Sa poitrine proéminente le troublait toujours, les mamelons pointant comme des obus, le regard du garçon était inexorablement attiré par sa poitrine à chaque fois.
"Oui ma tante, je vais ranger ma chambre," dit-il poliment.
Il se maudissait intérieurement en se reprochant sa lâcheté, humilié, alors qu'elle restait silencieuse, imposante de fermeté.
"C'est bien mon garçon, range ta chambre et présente-moi le résultat lorsque tu auras fini" dit-elle, radoucie.
Émile travailla rapidement, grimaçant de douleur lorsque sa verge frottait contre son pantalon. Il plia les habits avec soin, sachant ce qu'elle voulait de lui. Elle restait immobile, surveillant ses gestes appliqués.
"Voilà ma tante, j'ai terminé!"
Il regarda la tante parcourir sa chambre, ouvrir les tiroirs de sa commode et fouiller dans ses affaires.
Elle poussait des exclamations horrifiées au fur et à mesure de ses découvertes.
"Mon dieu ... Tu as tout oublié … Je vais avoir du travail pour t'éduquer, jeune chenapan!" dit-elle sévèrement.
"Bon Émile, il se fait tard. Je veux que tu te mettes en pyjama et que tu ailles te brosser les dents. Je vais en profiter pour mettre un peu d'ordre ici!" dit-elle en pointant le meuble.
"Mais … ma tante!" bafouilla-t-il.
Ses revues pornographiques étaient dissimulées dans le tiroir du bas et elle allait les trouver en fouillant sous ses habits.
Émile rougit violemment en imaginant la scène et les reproches qu'elle ne manquerait pas de faire en découvrant ses magazines.
Émile aurait voulu lui intimer l'ordre d'arrêter mais il était comme statufié, il se comportait de nouveau comme un apeuré.
À bientôt dix-sept ans, elle lui disait quand se coucher et quand changer de vêtements, et il lui obéissait, veule et servile.
Pourtant, ces derniers temps, il ne se déshabillait plus devant elle. En fait, il avait fait preuve d'énergie une fois, alors qu'elle le lavait entièrement, malgré sa pudeur grandissante. Il se lavait seul depuis longtemps à la maison.
Elle s'était indignée, lui disant qu'elle avait du temps et qu'il fallait qu'il profite de sa disponibilité, qu'il n'avait pas à se gêner devant elle, qu'elle avait l'habitude des garçons et que ceux-ci étaient généralement négligents avec leur toilette intime.
Émile avait cédé encore une fois l'été dernier, devenant écarlate lorsque la tante pour lui savonner la verge, lui avait décalotté le gland en tirant avec sa main sur le prépuce. Sa verge se tendait un peu plus à chaque fois.
Elle avait recommencé plusieurs fois en lui disant que c'était normal et qu'il grandissait maintenant.
Mais cet été, il avait refusé son aide pour le lavage, sachant qu'il aurait une érection et craignait un accident car il se masturbait régulièrement maintenant. Ils s'étaient affrontés, elle l'avait menacé, fait pression, mais il avait tenu bon. C'était une petite victoire, mais elle lui avait fait du bien au moral car il était convaincu d'être débarrassé d'elle et de ses manigances à présent.
Depuis ce jour béni, elle le laissait seul dans la salle de bains ou lorsqu'il changeait ses habits, mais il voyait bien que sa tante ruminait sa vengeance.
Et elle avait trouvé comment le contraindre, reprendre la main, en lui faisant passer toute une année scolaire chez elle.
Là, elle reprenait le contrôle, asservissait le jeune homme, l'obligeant à se soumettre.
"Émile, tu m'as entendue?" dit-elle plus fermement. Il sortit de sa torpeur. Elle se tenait devant lui, campée sur ses jambes écartées, scrutant son regard pensif. Elle défit lentement les premiers boutons de son corsage, glissa la main dans l'échancrure puis dans son soutien-gorge.
Émile la regardait faire, halluciné. Que voulait-elle faire, sortir ses seins pour lui montrer? Sa bite déjà tendue eut un soubresaut, mais quand elle retira sa main, elle tenait juste un petit billet de cinq.
Elle lui tendit le billet mais avant qu'il s'en saisisse, elle l'avait fait pivoter d'un quart de tour et plongé sa main au fond de sa poche.
Ses doigts englobaient sa verge tendue et, du bout des ongles elle grattouilla légèrement le gland gorgé de sang.
"Tu vois, je le mets bien au fond de ta poche pour ne pas que tu le perdes" ajouta-t-elle souriante, énigmatique.
Émile sentait ses joues brûlantes de pudeur. Sa bite a eu plusieurs sursauts, il pensa que c'était cramé, qu'il allait éjaculer dans sa main, lorsqu'elle l'abandonna en lui disant d'une voix soudain rauque:
"Sois gentil, fais-moi plaisir, obéis-moi!"
Pendant que la tante rangeait ses tiroirs, pliant adroitement ses vêtements, Émile se retourna vers le lit et sortit son pyjama de dessous les coussins. Avec des gestes brusques, il retira ses vêtements, ne gardant que sa culotte.
Dos tourné, en enfilant son bas de pyjama, il en profita pour caler confortablement sa verge tendue dans une position moins visible.
Émile sursauta en entendant la tante l'apostropher:
"Vraiment Émile, tu n'es pas raisonnable, cela n'a aucun sens de garder ta culotte sous le pyjama. Tu fais comme cela maintenant?" demanda-t-elle surprise pendant que le garçon enfilait le haut.
"Oui...oui.." confirma-t-il, en pensant: "de toute façon, hors de question de lui montrer mes fesses!"
"Je ne suis pas d'accord, enlève-moi cette culotte tout de suite!" ordonna-t-elle en s'approchant de lui, ses yeux lançaient des éclairs.
"Je … non … pas question, ici c'est moi qui décide!" dit-il d'une voix qu'il espérait ferme.
"Émile, ne soit pas puéril, soit tu m'obéis, soit je te donnerai la fessée!" dit-elle fermement.
Il la regarda estomaqué, pensant qu'elle bluffait, et bien décidé à lui tenir tête.
"Bien, tu as gagné 5 coups de martinet. Tu m'obéis maintenant ou tu en veux 5 de plus?"
Il se trémoussait, inquiet, se demandant quand elle aurait les moyens de mettre sa menace à exécution.
"10! lui dit-elle en le faisant sursauter. Et pour répondre à tes interrogations muettes, c'est une correction que tu recevras en arrivant chez moi," dit-elle en le fixant. C'est avec plaisir qu'elle le vit pâlir et se trémousser de nervosité.
"15, Émile, c'est beaucoup! Et je vais devoir te corriger devant témoin. Je réunirai mes meilleures amies pour les faire bénéficier du spectacle. Elles seront ravies d'admirer tes fesses écarlates et ton pénis se balançant. Car bien sûr, pour que ce soit plus drôle, on procédera à ta punition avec les culottes baissées, mon chéri!"
Il devint livide en s'imaginant dans une position humiliante avec toutes ces femmes le regardant.
"Mais .. mais!" Il s'étranglait de honte, les menaces de la tante le troublaient et il ne parvenait pas à trouver une réponse appropriée.
Elle le regardait, moqueuse, perdre ses moyens. Elle le savait excité et jouait avec cela.
Il respirait de manière irrégulière et perdait ses ressources devant elle. Apaisée, elle reprenait le contrôle du gamin.
"Mais, de toute façon, je ne viendrais jamais habiter chez vous!" lança-t-il méchamment.
"Détrompes-toi, mon cher, ta mère est enthousiaste, crois-moi cela fait plusieurs semaines que nous préparons ton transfert avec elle, tu étais le seul à ne pas savoir, aujourd'hui c'était simplement pour t'annoncer la bonne nouvelle," dit-elle ironique.
"Non, vous mentez, ce n'est pas possible!" murmura-t-il, stupéfait.
Il restait pétrifié pendant qu'elle lui donnait les détails, lui faisant comprendre que tout avait été décidé et organisé auparavant.
En même temps, il se souvenait de l'atmosphère étrange qui planait sur la maison ces derniers temps, ces chuchotements, ces cachoteries. Il était anéanti, mais tout cela se mettait en place maintenant, leurs attitudes, ce repas inhabituel et surtout l'autorité de sa tante. Il sentit des larmes de rage et de désespoir s'échapper de ses yeux.
"Mais .. pourquoi faites-vous ça, pourquoi me détestez-vous autant?" bredouilla-t-il, en plein désarroi.
"Mais non, mon grand, c'est tout le contraire. J'ai toujours eu beaucoup d'affection pour toi, comme si tu étais mon propre fils."
Elle se rapprocha de lui et le prit dans ses bras, lui caressant affectueusement la nuque et le dos.
Il sanglotait de plus belle, la tension et l'émotion le submergeant.
Il enfouit son visage en larmes sur le sein de la tante qui le câlinait doucement:
"Là, là, ça va aller, maintenant, ne t'inquiète plus de rien, je vais prendre soin de toi, je suis venue te chercher pour m'occuper de toi." Elle souleva sa tête et l’écarta pour essuyer ses larmes avec son mouchoir, comme lorsqu'il était petit.
"Chut garçon, calme-toi!" en voyant ses larmes couler de plus belle. Elle le prit par la tête et le pressa contre elle, en maintenant son visage entre ses seins volumineux. Le contact était voluptueux et doux sur son visage. Il pleurait mais étrangement cela lui faisait du bien, comme si ses soucis s'effaçaient. Elle le berçait tendrement.
"Je vais m'occuper de toi comme quand tu était petit, tu as besoin d'être pris en main, je le sais. Tu vas redevenir le petit garçon docile et respectueux d'il y a quelques années, que j’appréciais tellement. Tu verras, c'est cela qu'il te faut, tu n'es pas encore assez mûr pour t'émanciper, tu as besoin que ta tante te dise ce qui est bon pour toi."
La tante l’écarta doucement d'elle et le regarda dans le yeux pendant que ses mains descendaient de ses épaules sur ses hanches. Il était comme hypnotisé et paralysé lorsque les mains de la tante repoussaient son pyjama vers le bas.
"Non, ma tante, non!" protesta-t-il faiblement
"Chut, garçon, tu sais que j'ai raison, et tu sais aussi que tu dois m'obéir." Elle le fixait, inflexible, alors que le pantalon de pyjama tombait à ses pieds. Il était hypnotisé par la volonté de la tante qui se baissait devant lui en le maintenant fermement par les hanches.
Il la vit s'agenouiller à ses pieds. Alarmé, il sentit les mains de la tante s'emparer de la culotte et la tirer vers le bas.
"Non, ma tante, non!" souffla-t-il encore, mais restait incapable de l'empêcher. Il regardait glisser sa culotte. L'habit dévoila son pubis, puis le pénis se libéra d'un coup. La tante stoppa son geste, examinant sa virilité en semi érection.
"Tu vois, ça va mieux maintenant que tu ne luttes plus contre ma volonté, que tu acceptes mon autorité, tu es plus détendu. Ton corps reflète ton état mental." Elle lui fit lever un pied, puis l'autre pour retirer sa culotte, le laissant nu sous la taille.
"C'est comme cela que je veux que tu sois, lorsque tu habiteras chez moi, soumis à ma volonté." Son visage était à quelques centimètres de sa virilité et il sentait son souffle chaud. Elle détaillait son pénis qui s'était bien développé, allongé et épaissi.
Ses testicules étaient volumineux et moulés par le scrotum. Elle réprima un sourire en voyant sa verge se tendre à nouveau.
"Tu ne peux rien me cacher, car je sais ce qui se passe dans ta tête, comme maintenant, je vois ta résistance à mon autorité, et tu te contractes pour me résister, tu te tends."
Il essayait de se dérober mais elle le tenait fermement et il était coincé contre le lit qui appuyait sur ses mollets.
"Reste immobile, j'aime te voir complètement épanoui."
Il réprima un sanglot lorsque sa verge se dressa, impudique et insolente devant le visage de la tante. Elle examinait le gland qui s'était découvert, violacé et gonflé. Le membre pulsait lentement et parfois un spasme l'agitait, faisant gonfler les veines.
Elle sourit en constatant son triomphe. Le garçon était totalement à sa merci, sous son contrôle.
"Tu as grandis comme j'espérais. Je voulais m'en assurer. Je t'avais un peu perdu de vue, depuis deux ans. Dorénavant, ça va changer, je vais m'occuper de toi comme avant, et tu vas m'obéir!" insista-t-elle.
Elle lui passa le bas du pyjama rapidement, recouvrant sa verge durcie et se releva.
"Chez moi, je n'accepterais ton érection seulement si je l'autorise. Et je veux que tu restes flaccide entre mes mains lorsque je te lave. Je ne veux pas d'un garçon qui a des érections à répétition. Je ne veux pas que tu embarrasses tout le monde quand tu seras nu."
La tante se dirigea vers la porte, l'ouvrit, mais fit une pause avant de partir et le regarda:
"Essaye de te détendre un peu avant de venir nous souhaiter une bonne nuit, tu n'es pas présentable," dit-elle en montrant sa virilité qui tendait le pyjama.
Il pleurait de rage et de honte alors que la tante quittait sa chambre en laissant la porte grande ouverte. Elle faisait tout pour l'humilier, le rabaisser et l'obliger à se taire. Elle voulait reprendre le contrôle et le pouvoir sur lui comme quand il était .
Malgré les années et sa résistance, elle était prête à tout pour réussir à le dompter.
Elle l'avait muselé et traqué jusque dans sa chambre. Elle l'avait fait plier, puis avait ri devant son impuissance à lui tenir tête, malgré les années et le terrain durement gagné lors de leur précédentes confrontations.
Elle voulait le voir régresser comme lorsqu'elle décidait de tout pour lui et faisait intrusion constamment dans son intimité.
Elle voulait le laver comme par le passé, pour réveiller son trouble qui s’emparait de lui lorsqu'elle le manipulait longuement.
Il avait fantasmé sur sa tante, rendant les séances de plus en plus stimulantes.
Même longtemps après, le souvenir du regard et de la main de la tante sur son corps nu réveillait sa libido et entretenait ses fantasmes pour se masturber.
Souvent, il s'était imaginé se branlant devant elle tandis qu'elle lui ordonnait de faire des choses sales, qui le rendait honteux mais excité. Il savait que cette femme avait comprit son ambiguïté et en profitait pour le soumettre mentalement à elle.
Sa verge était maintenant complètement tendue et lancinante, le gland décalotté frottait contre son pyjama. En sentant la persistance du regard et le souffle chaud de la tante sur son intimité, celle-ci prospérait et submergea son esprit. Il se précipita vers le lavabo et eut juste le temps de baisser son pyjama tandis que son sperme giclait violemment par saccades.
Il regarda inquiet le couloir au travers de la porte ouverte, craignant que la tante revienne, incapable d'aller la fermer pendant que le plaisir le terrassait. Il ferma les yeux et serra son pénis dans une main. Le sperme jaillissait encore et encore, le vidant complètement.
À bout de souffle et sanglotant de rage, il alla fermer la porte et rinçât sa verge rapidement, sursautant en effleurant le gland, puis se sécha. Il se regarda dans le miroir et vit son visage défait et ses joues écarlates.
Il dut patienter encore un long moment avant de rejoindre les autres en bas.
Sa mère et sa tante ayant décidé qu’Émile s'habiait plus facilement si le gamin passait la dernière semaine de vacances chez la tante, ils firent le voyage dès le lundi.
Le train plus l'autocar, l'expédition était pénible et interminable dans cette chaleur de fin d'été.
La tante lui ayant offert gentiment un jus de fruit en arrivant à la maison, Émile s'assit à l'ombre d'un grand arbre, sur la terrasse.
Il prit un livre et profita du moment agréable, finissant rapidement son jus un peu aigrelet.
Le temps s'écoulait lentement. La tante avait dit de l'attendre ici, qu'elle n'en avait pas pour longtemps.
"Voilà, merci de m'avoir attendue."
Émile sursauta, il s'était assoupi. Il se redressa sur sa chaise, embarrassé et s'aperçut immédiatement qu'il avait une érection.
Il rougit et se cacha sous son livre, puis se rapprocha de la table.
En se penchant en avant, il sentit sa vessie pleine et douloureuse. Cela expliquait son érection, pensa-t-il.
Gêné, il vit la tante approcher une chaise et s'asseoir à côté de lui. Elle avait tout un tas de papiers qu'elle étala devant lui.
"Voilà, c'est important de ne pas perdre de temps pour remplir ta demande d'inscription. Tes références sont bonnes mais tu dois faire preuve de plus de sérieux et d'obéissance. Aujourd'hui, tout au long du voyage, je t'ai trouvé particulièrement dissipé."
La tante avait repris la litanie de ses reproches, mais il ne l'écoutait déjà plus.
Rêveur, il repensait à cette jeune fille assise juste de l'autre côté de l'allée centrale dans l'autocar.
Elle était charmante, avec une jupe un petit peu trop courte, et il avait passé un délicieux moment.
La tante lui avait posé une question et attendait sa réponse, la main posée sur sa cuisse, tout à côté de sa verge tendue.
La main de la tante pressait légèrement sa cuisse tandis qu'elle attendait sa réponse.
Paralysé, sa verge tendue vers le bas dans la jambe de son pantalon, il sentait la main de la tante tout contre son érection.
"Je … je …" bafouilla-t-il, écarlate.
Elle lui coupa la parole, agacée, reprit ses explications, mais Émile ne parvenait pas à se concentrer sur autre chose que cette main posée sur sa cuisse. Les mouvements de la main faisaient bouger le tissu de son pantalon contre le gland décalotté, ce qui répandait une chaleur puissante dans son bas-ventre.
"Tu m'écoutes … Émile?"
"Heu … oui, oui!"
"Bien, je vois que tu as l'esprit ailleurs, nous allons t'installer, on verra pour ces papiers plus tard!"
Se levant, elle prit appui sur le haut de sa cuisse, écrasant au passage sa verge dilatée, ce qui lui arracha un cri de douleur.
"Mon pauvre garçon, comme tu es douillet!"
Elle pénétra dans la maison et Émile en profita pour remettre de l'ordre dans sa tenue avant de la suivre.
À chaque pas, sa vessie menaçait d'exploser: "Ma tante, j'aimerais aller aux toilettes" demanda-t-il timidement.
"Bien sûr, suis-moi!"
Elle le précéda dans le couloir, ouvrit la porte de la salle de bains en chantonnant, joyeuse:
"Voilà les toilettes que tu devras utiliser. Comme je les utilise aussi, je tiens à ce qu'elles restent impeccables!"
Elle releva la lunette des toilettes, la maintenant d'une main et attendit, fixant son entrejambe.
"Euh, oui?" Sérieusement, pensait-elle qu'il allait uriner devant elle?
Catastrophé, il n'osait pas défaire sa braguette devant elle à cause de son érection et savait qu'il devrait s'asseoir pour uriner dans ses conditions.
"Euh, ma tante...?"
"Tu es gêné? C'est normal, on vient d'arriver, tu n'as pas encore l'habitude. Ça viendra vite, tu verras. Pour cette fois, je vais te laisser seul, dépêche-toi!"
Il soupira, ouvrit son pantalon et baissa son caleçon. Son pénis pulsait douloureusement et il était rouge violacé. Il s'assit sur le WC et poussa sa verge vers le bas. L'urine est sortie difficilement, lentement de son sexe tendu. Il n'en finissait plus de se vider.
L'urine coulait encore et encore, et son érection ne se détendait pas. Finalement, il put se relever et cala sa verge qui ne débandait pas dans son pantalon en essayant de la masquer du mieux possible.
Son visage était livide dans le miroir, mais il ne pouvait pas la faire attendre plus longtemps et la rejoignit pour commencer son installation.
"Porte tes valises en haut, je vais t'aider à t'installer."
Émile grimpa les escaliers et tenta d'ouvrir la porte de sa chambre, mais elle était fermée à clef.
Sur le palier, la tante lui montra son lit.
"Ce sera ton lit, dit-elle en montrant le petit d'. Je t'ai installé ici, c'est plus pratique, je t'aurais tout le temps sous la main."
Il se trouvait sur un palier sans fenêtre, éclairé par un puits de lumière à l'aplomb du lit, avec au fond deux commodes destinées à ranger ses vêtements. Il restait médusé en comprenant dans quelles conditions il allait être logé.
En chantonnant, elle ouvrit ses valises et jeta tous ses vêtements en vrac dans des panières à linge, en lui précisant:
"Cette semaine, je vais m'occuper de ce linge pour que tu sois impeccable à la rentrée des classes. Aide-moi à porter cela en bas."
Dans la buanderie, elle lui réclama les vêtements qu'il avait sur le dos. Il dut se déshabiller entièrement. Une fois totalement nu, il lui demanda ce qu'il allait porter. Elle resta perplexe quelques secondes, le détaillant de la tête aux pieds, puis lui tendit un vieux maillot de corps de son défunt mari, un "Marcel" de couleur bleu délavé, qui s'arrêtait au milieu de ses fesses, laissant tout le bas de son cul et son sexe parfaitement visibles.
"Tiens, pour traîner ici, c'est bien bon. De toute façon, demain matin, tu ne sortiras pas, tu dois récurer la cuisine et la salle de bains, à fond! Allez, maintenant, va faire ta toilette et couche-toi, ce soir je n'ai pas le temps de m'occuper de toi!"
Elle se détourna de lui en chantonnant pour attaquer sa première lessive.
Sur le palier qui allait lui servir de chambre, il fit le tour des portes. Elles étaient toutes fermées à clef, sauf la chambre de la tante et la salle de bains. Elles communiquaient entre elles et il comprit à cet instant qu'il n'aurait aucune intimité.
Après une toilette rapide, il alla se coucher, heureux que son corps soit dissimulé sous les couvertures.
Lorsqu'il entendit le pas lourd de la tante monter l'escalier en faisant grincer les marches, il ferma les yeux pour faire semblant de dormir. La tante vint se pencher sur lui mais le croyant endormi, elle n'insista pas et alla se coucher.
"Debout, garçon dormeur" dit une voix douce.
Il gémit doucement, encore endormi, son rêve l'emportait dans une demi-conscience.
Sa peau était chaude et agréable, elle avait glissé sa main sous son maillot et grattait son dos lentement.
Elle caressait son flanc et descendit sur sa fesse blanche.
Il ne semblait pas réaliser qu'elle le découvrait lentement. Il était sur le coté et se tourna sur le dos. Sa main caressait son ventre, remontait sur son torse pour agacer les tétons qui durcirent. Le garçon respirait profondément, rendormi.
Elle se pencha pour apercevoir son pénis épais qui pendait et qui était malheureusement en semi-érection. Ses caresses ne semblaient pas le faire durcir. Le manque d'habitude, pensa-t-elle, déçue. Elle le lâcha, remonta la couverture et se leva.
"Aller, debout maintenant!" dit-elle d'une voix forte le faisant sursauter.
Il se retourna et la dévisagea, incrédule.
"Je te laisse 30 minutes pour te laver minutieusement et me rejoindre en bas. Tu ne vas pas paresser toute la matinée!"
Émile a tourné la tête pour voir la tante s'éloigner. Il émergeait lentement, réalisant où il se trouvait.
Il repoussa le drap pour se lever et constata qu'il était à moitié déshabillé. Il se rajusta, alla à la salle de bains et ferma la porte à clé. Elle était baignée de lumière. La chambre de la tante était vide. Il n'avait pas le choix et il espérait que la tante respecte son intimité. Il ôta son maillot et le suspendit à un crochet sur le mur. Nu, il traversa la pièce et se mit sous la douche. Il tournait le dos, faisant face au mur et ouvrit l'eau. Un jet puissant et chaud l'enveloppa. Il se sentait bizarre, complément exposé aux regards.
Sa verge durcit malgré ses efforts.
Oh non! pensa-t-il en se retournant, regardant la chambre. Son pénis était dur et pulsait. Il se masqua avec ses mains un moment puis se décida à se savonner. Il savait que ses fesses étaient exposées mais espérait que la tante ne viendrait pas rôder par là.
Il se lava les cheveux puis coupa l'eau. Couvert de mousse il frottait son corps.
"Allez Émile, tu vas nous mettre en retard, rince-toi et viens déjeuner," dit la tante depuis le seuil de la chambre, le faisant sursauter.
"Oui … ma tante" dit-il en s'étranglant. Il rouvrit l'eau et se rinçât. Lorsqu'il regarda, la tante était partie.
Il mit ses mains sur son pénis dressé et traversa la pièce pour prendre son maillot. Il se sécha et remit son maillot. Sa tête lui tournait. Sa verge pointait vers le bas mais restait lancinante. Il prit la serviette et l'enroula autour de sa taille pour se cacher et quitta la salle de bains, rejoignant la tante en bas pour prendre son petit-déjeuner.
"Pourquoi as-tu remis ce maillot sale après ta douche?" demanda-t-elle surprise en lui ôtant la serviette.
"Tu ne te gênes quand même pas devant moi?" insista-t-elle.
"Euh .. non .. non!" bafouilla-t-il.
"Tant mieux parce que nous allons vivre ensemble un long moment et je suis une femme mûre qui sait comment est fait un garçon, j'espère que tu n'en doutes pas?" dit-elle, comme si elle était offusquée par son attitude.
"Euh .. oui .. je .." murmura-t-il décontenancé et mal à l'aise.
La tante le toisait, les bras croisés. Il restait immobile, n'osant ni se déshabiller ni lui tenir tête.
"Allez, dépêche-toi, Émile, nous avons une journée chargée." La tante se retourna pour s'affairer plus loin.
"Et puis nous n'avons pas discuté les détails, mais tu seras hébergé ici en demi-pension, petit déjeuner le matin et repas le soir.
Et comme je ne veux pas que tu traînes dehors, pour le repas de midi, nous verrons."
"Pour me payer, tu feras du travail de ménage dans la maison, et un peu de jardinage, deux heures par jour. C'est d'accord avec ta mère. Je noterais tes heures et à la fin du mois, on verra si tu n'as pas le total."
"Je sais que deux heures chaque jour de la semaine c'est difficile, mais tu peux les rattr le week-end, même si tu risques d'y passer ton samedi en entier. Le dimanche est réservé au seigneur, et nous irons le matin à la messe."
"Et puis je vois bien que tu as besoin de moi, pas seulement pour la religion mais aussi pour t'éduquer au quotidien. Tu es encore un jeune garçon dans ta tête, avec un corps de jeune homme, et c'est là qu'une femme mûre comme moi peut te guider et t'imposer une discipline indispensable."
Elle toisait le garçon stupéfait qui restait silencieux, le regard fixé sur son bol.
"Laisse-moi décider de tout, c'est beaucoup mieux pour toi. Tu vas être évidemment souvent surpris par ma sévérité et la discipline que je vais t'imposer mais à terme tu comprendras que je fais cela pour ton bien. Tu seras très bien ici, c'est exactement ce qu'il faut à un garçon comme toi, tu as juste besoin de te soumettre à ma volonté."
Le visage d'Émile se décomposait au fur et à mesure de ses explications.
Le petit-déjeuner avalé, Émile passa le reste de la matinée à nettoyer la cuisine et la salle de bains, comme lui avait promis la tante.
À quatre pattes, fesses nues, son pénis se balançait doucement au gré de ses mouvements. La tante surveillait les opérations, assise sur une chaise, un petit verre d'alcool à la main qu'elle sirotait doucement.
Dans l'autre main, une baguette de noisetier, qu'elle appelait sa badine, lui servait à diriger Émile, lui demandant d'insister à un endroit ou à un autre en lui tapotant les fesses, comme on dirige un animal.
L'après-midi, elle ajouta un vieux short de son défunt mari à la tenue d'Émile, c'est-à-dire son vieux maillot de corps, pour le faire travailler au jardin, ramasser les feuilles et tondre la pelouse. Il faisait chaud et la tante s'était assise à l'ombre, un verre à la main, pour surveiller l'avancée des travaux et se rendre compte si le travail d'Émile était satisfaisant.
"Et bien, voilà le nouveau!" dit une voix ferme qu'Émile ne reconnu pas. Il vit une forte femme, âgée et souriante, dans le jardin d'à coté, visiblement la nouvelle voisine qu'il ne connaissait pas encore.
"Je .. oui!"
Le visage de la femme se durcit, visiblement agacée, et elle héla la tante: "Jacqueline, je vous l'emprunte un moment!"
Puis à Émile: "Viens ici, garçon, j'ai quelque chose à te dire."
Émile la vit s'éloigner et l'attendre sur le pas de sa porte. Il hésita un moment, puis décida de la suivre.
"Allez, allez, ne traîne pas, garçon!" dit-elle impatiente.
Il était tellement surpris par son toupet qu'il obéit et rentra dans la maison. Le salon était très grand et meublé avec soin. Il se retourna alors que la femme claquait la porte. Il se sentit tout à coup mal à l'aise. Il regarda la femme qui s'asseyait dans un fauteuil et montrait le sol devant elle, lui indiquant d'approcher. C'était une maîtresse femme avec une énorme poitrine qui tendait sa chemise.
Le décolleté était plongeant à cause de la chaleur et découvrait le haut de ses seins blancs couverts de sueur, il rougit en voyant les tétons pointés sous son corsage. Il releva la tête brusquement et vit qu'elle le dévisageait.
Il se sentit mal à l'aise en se sachant surpris en train de reluquer ses seins. Elle était immobile, son visage maquillé avec un rouge à lèvre excessivement voyant. Il hésita, pensant un moment à s'enfuir sans donner d'explication, mais renonça, ne connaissant pas les liens qui unissaient cette femme autoritaire et sa tante. Il s'avança sans discuter à l'endroit qu'elle continuait de lui montrer du doigt.
"Tu es le nouveau mignon de Jacqueline, affirma-t-elle sans attendre de réponse. Je m'appelle Madame Barbara .. tu es plutôt délicat pour un galant," continua-t-elle en souriant et en l'examinant de la tête aux pieds.
Il rougit sous le regard de cette femme qui l'évaluait sans gêne.
"Tu as une petite amie?" demanda-t-elle, curieuse.
"Je .. non .." bafouilla-t-il confus et surpris de son audace.
Le visage de la femme se ferma, devenant sévère, presque inquiétant.
"Je ne supporte pas les gamins effrontés qui ne savent pas se tenir. Je m'en doutais en te voyant, jeune et écervelé, et manquant cruellement d'éducation. Je vais devoir tout reprendre par le début, et cela risque de prendre du temps .. La première chose que tu dois apprendre, c'est à te tenir correctement, et me répondre poliment. Tiens-toi droit, les bras le long du corps, et tu dois dire Madame ou Madame Barbara"
Elle attendit sa réaction en le scrutant fermement, l'air sévère.
"Ah .. euh .. oui, Madame Barbara!" dit-il en masquant sa stupeur.
Elle laissa passer un long moment de silence, le rendant de plus en plus inquiet.
"Tu dois savoir que j'ai un arrangement avec ta tante pour les tâches domestiques, son jouet peut aussi travailler chez moi, je la paye ensuite directement. Et c'est plus intéressant chez moi car je paye le double de ta tante!"
"Ah .. euh .. oui, merci, Madame Barbara!" finit-il par dire en la voyant s'impatienter.
"Mais j'ai plusieurs exigences, dit-elle en le coupant brusquement. D'abord la correction, j'exige que tu sois toujours irréprochable, poli, obéissant et attentif à mes ordres."
"Oui .. Madame Barbara" soupira-t-il voyant qu'elle attendait encore. Il se demandait comment s'échapper de ce traquenard. Il n'aurait jamais dû la suivre chez elle.
"Je vais t'apprendre les bonnes manières, comment te tenir droit et respectueux lorsque je m'adresse à toi, la position correcte pour servir mes invitées. Sachant qu'un jeune rustre comme toi ne connaît pas grand-chose, il faudra te dégrossir rapidement pour que tu sois utilisable de manière acceptable rapidement.
"Oui, Madame!" souffla-t-il. Émile commençait à s'énerver et cherchait un moyen pour abréger cette conversation déprimante, sans risquer de provoquer un clash entre les voisines.
"Ensuite, et là dessus je serai intraitable après m'être fait voler des objets de valeur par des garnements, j'exige que tu sois entièrement nu lorsque tu seras à mon service."
Émile ressentit comme un coup dans l'estomac, tandis qu'il réalisait ce que la femme exigeait.
"Comme cela tu ne pourras rien dissimuler, et lorsque tu auras terminé, je te rendrai tes vêtements et tu te rhabilleras devant moi!"
"Mais .. mais ..!" bafouilla-t-il.
"Ne t'inquiètes pas, lorsque tu travailleras au jardin, tu pourras mettre un short, ce n'est que pour l'intérieur. Ici, il n'y a pas soucis, en dehors de moi, il n'y a que la femme de ménage et mes amies, que je préviendrais à l'avance bien sûr," dit-elle en souriant.
"Ça ne les gênera pas que tu sois nu, car tu es bien équipé d'après Jacqueline, donc elles seront agréablement surprises," dit-elle.
La femme se leva et se mit devant lui. Il était écarlate, comme paralysé devant sa volonté. La femme passa la main dans les cheveux du garçon et le recoiffa.
"Je sais qu'à ton âge les garçons sont pudiques, mais tu vas vite t'habi et ça ne te posera plus de problèmes dans quelques jours. Tu trouveras cela plus pratique de ne rien porter et tu seras admiré par des dames de bonne compagnie."
Elle le prit par l'épaule et le poussa vers la porte.
"Je dois d'abord demander à ta tante si elle peut te libérer une fois par jour. Mais en général elle apprécie mon influence sur ses jouets, même si mes méthodes sont plus exigeantes que les siennes. Viens demain après-midi, à 16h. Si elle accepte, je commencerai ton éducation en t'indiquant le détails de mes exigences et ce que j’attends de toi."
Il était choqué tandis qu'elle le poussait dehors. Ce que lui avait dit la femme était inacceptable et pourtant elle en parlait comme si cela allait de soi. Elle était complètement folle, pensa-t-il. Il pensait en parler à sa tante mais ne savait pas comment lui présenter la chose. En marchant et en repensant à Madame Barbara, il fut surpris de sentir son pénis durcir et convulser violemment.
Pendant qu’Émile était chez la voisine, la tante se versa une liqueur et se repassa la séquence vidéo.
La tante s'était équipée d'un matériel vidéo sophistiqué, soigneusement dissimulé, et elle ne regrettait pas son investissement.
Elle avait décidé de s'occuper de lui, l'été dernier, en le voyant nu. Avant il ne pouvait pas correspondre à ses attentes, son visage était trop efféminé, son corps trop fluet.
En voyant son gland dilaté et sa verge dure et épaisse qui s'allongeait quand il se masturbait, elle avait poussé un cri de surprise.
Il avait bien réagit à sa préparation, une décoction de plantes qui passait inaperçue dans le jus de fruit, bien qu'elle n'ait mis que la moitié de la dose pour le faire bander.
C'est ce genre de garçon qu'elle voulait, inexpérimenté mais monté comme un étalon. Elle allait dresser rapidement ce jeune chien avec l'aide de sa voisine, la grosse Barbara. Une fois soumis à la volonté des deux femmes, elles allaient pouvoir le chevaucher, ses cuisses musclées enserrant ses hanches, sa verge chaude, épaisse et dure profondément plantée en elle, pendant que la grosse Barbara s’assiérait sur son visage, quitte à l'.
Elle s'imaginait déjà sautant sur la bite rigide, la faisant sortir et rentrer, l'énorme gland l'étirant délicieusement, sa main serrée fermement autour de ses couilles pour l'entendre gémir de douleur, pour qu'elle jouisse encore et encore.
Elle en avait besoin et il allait devoir la servir quotidiennement. Il ne savait pas encore ce qui l'attendait et semblait récalcitrant à se soumettre, mais cela importait peu, elles n'allaient pas lui laisser le choix.
Elle était certaine que la grosse Barbara allait l'aider, car sa voisine était experte en humiliation.
Quand Émile revint à la maison, la tante l'attendait, assise sur son canapé, au salon.
Il vit la tante lui tendre un objet. Il prit dans sa main une sorte d'anneau en acier brillant, lourd. Il était perplexe.
"Tu ne sais pas encore ce que c'est, mais ça va devenir rapidement un objet familier pour toi, car tu vas le porter tout le temps."
Il la vit dégrafer son chemisier lentement. Il restait paralysé par cette succession de paroles et de gestes qui le perturbaient.
Il ne pouvait détacher son regard du décolleté qui s'agrandissait. Ses seins volumineux se découvraient lentement, la peau était blanche et fine. Elle s'arrêta et plongeât sa main entre ses seins gonflés.
Il retint sa respiration tandis qu'elle en sortait une petite clé attachée à un fil doré.
Elle releva son visage, le surprenant dans son voyeurisme pervers.
"Donne-moi l'anneau," dit-elle en tendant la main.
Elle le travailla avec la clé, ouvrant l'anneau en deux.
"Après m'avoir donné tes habits, tu te positionneras au-dessus de mes genoux, les jambes écartées pour que je t'équipe avec l'anneau. Je sais ce que tu en penses déjà, qu'il est trop lourd pour toi, mais en fait c'est le plus petit et le plus léger. J'en ai des plus grands et beaucoup lourds que je te mettrai dès que ton sac sera suffisamment étiré," dit-elle d'une voix tranquille.
La tante le reposa sur la petite table, ce qui fit un gros bruit.
Il ne respirait presque plus, essayant de comprendre mais refusant l'évidence. Elle releva la tête et vit son trouble.
"L'anneau est très important, car il m'assure la soumission du garçon et lui rappelle constamment sa place. Il pèse au repos, lorsque tu marches, si tu changes de position, tu le ressens tout le temps. En plus j'aime bien les garçons avec un sac étiré et des testicules qui pendent. À ton âge le scrotum est serré et cet anneau permet de l'étirer graduellement. Avec certains garçons cela va lentement et il faut plusieurs semaines pour l'allonger suffisamment. Mais parfois les couilles descendent rapidement."
La tante éclata de rire. Il avait envie de pleurer, voulait s'enfuir, mais son cerveau ne fonctionnait pas, comme hypnotisé.
"En général, je m'arrête au moment ou le sac pend suffisamment pour pouvoir le saisir avec ma main .. les testicules en dessous, dit-elle en serrant le poing fortement, ses jointures devenant blanches et en lui montrant du doigt l'endroit où elle voulait les voir."
"Chaque garçon réagit différemment, certains gémissent et pleurnichent presque tout le temps, d'autres ont des érections involontaires qui durent même si je les fais éjaculer plusieurs fois de suite. Je suis impatiente de voir comment tu vas réagir," dit-elle, souriante.
La tante s'arrêta de parler, attendant une réaction de sa part. Il restait muet, ne sachant quoi dire, hormis qu'il se refusait à cette comédie et qu'elle était folle. Il ne voulait pas lui demander l'autorisation de parler, il ne voulait pas lui faire ce plaisir.
Il voulait juste appeler sa mère pour lui demander de le retirer des griffes de la tante.
"Bien, mon garçon, je suis contente de toi," dit-elle en le voyant soumis et silencieux.
"Tu n'es pas circoncis, dit-elle en pointant son entrejambe. Je préfère un garçon avec un gland exposé. Je m'occuperais de ça plus tard, je sais couper les prépuces, ce n'est pas une grande affaire!"
Il restait muet, de plus en plus malade. Sa verge pulsait et était maintenant complètement dressée vers le haut dans le short trop large.
"Aujourd'hui, je voulais simplement t'expliquer, mais je peux te mettre l'anneau pour l'essayer si tu désires connaître son effet."
Il resta muet, comme paralysé.
"Tu peux parler, mon garçon," dit-elle d'une voix plus douce.
"Je .. non .. veux pas .. ma .. tante ..." bafouilla-t-il
"Parles correctement, en faisant des phrases. Ma tante, je préfère attendre demain pour que tu me mettes l'anneau!"
Émile bafouilla en répétant la phrase, n'arrivant pas à dire autre chose.
"Tu es certain, mon garçon? Tu n'as qu'à me laisser faire, je t'att les bourses et je te passe l'anneau. Comme cela tu seras moins nerveux cette nuit."
"Euh .. je suis certain .. Ma tante ..."
"Bon, tiens, prends-le, comme cela tu peux le tester. Tu pourras le mettre après avoir pris une douche chaude, ton sac sera plus détendu, et ne craint pas de rester bloqué, il faut une clé pour le fermer."

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