La Soubrette

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

La semaine qui suivit ma visite au club hippique, j’avais promis à Marielle de passer chez elle dans l’après-midi afin de lui remettre ses affaires. Le matin au bureau, je faisais passer les entretiens individuels d’évaluation à mes collaborateurs, dont certains faisaient l‘objet de plan d’amélioration, leur performance n’étant absolument pas au rendez-vous. J’étais particulièrement attentive à un jeune commercial dont le CV m’avait été poussé par Robert qui connaissait sa famille, concessionnaires automobiles dans la région à qui j’avais acheté ma fiat, et dont le patron avait participé aux enchères. Je me montrais d’une grande rigueur et un peu dure voir même hautaine avec lui connaissant son caractère dilettante. Ce qui pouvait passer pour de l’arrogance de ma part n’était que de l’exigence, et je dois avouer que je préférais mettre des distances avec mes collaborateurs, surtout connaissant les attirances et perversions du cousin. Nos affaires prospéraient et je ne pouvais pas me permettre en tant que femme du PDG de montrer une quelconque familiarité. L’homme était d’ailleurs très dragueur et depuis son arrivée dans la société n’arrêtait pas de faire des remarques déplacées et des blagues inconvenantes sur les femmes. J’avais décidé de le remettre à sa place, ce qu’il n’appréciait absolument pas. Une fois les entretiens terminés, je déjeunais avec notre directeur commercial, quand par le plus grand des hasards, je tombais sur Sébastien mon neveu avec qui j’échangeais des politesses d’usage. Après le déjeuner je pris ma fiat pour me rendre chez Marielle, quand je reçus le SMS de Sébastien. « Ma Chère Tata, tu étais absolument magnifique dans ta jupe écossaise bleu aujourd’hui, pourrais t’on déjeuner ensemble ?? Je meurs d’envie de te revoir… ». Je lui répondais, « pourquoi pas, mais qu’il fallait qu’il me garantisse de se tenir bien sage … ». Je ne souhaitais pas recommencer une aventure avec lui, mais le revoir m’avait fait plaisir…

J’arrivais chez Marielle, et sonnais à la porte, Robert m’ouvrit et me fit entrer, Marielle était un peu en retard.

Nous montions au salon, ils habitaient une villa splendide avec piscine, en haut de colline avec une vue magnifique sur toute la ville.

- Installe-toi, je t’en prie, ta copine ne devrait pas tarder, tu es toujours aussi élégante… Cette tenue me rappelle une belle soirée chez nous il y a quelques mois.

Je me rendais compte que j’étais habillée comme lors de notre soirée de préparation de mariage qui m’avait valu l’excitation de toute une bande de senior pervers et affamé. Ma longue jupe fourreau écossaise bleu et mon pull moulant me rendait très pulpeuse.

- Tu veux boire quelque chose… Un café ou autre chose, une coupe de champagne ?
- Non merci Robert, je ne reste pas longtemps, je rends les affaires à Marielle et je repars.
- Tu as le temps en plus avec Richard à l’étranger pour la semaine, rien ne presse…

J’étais gênée, connaissant Robert, je savais qu’il profiterait de la première occasion pour r de moi. Je m’installais sur le canapé croisant les jambes et me tenant éloigné de Robert.

- En plus, tu arrives juste au beau moment, j’étais en train de regarder une vidéo, je suis sûr que tu vas aimer…

Il alluma la télé, et démarra un film, et à ma grande surprise, c’était la vidéo de la vente aux enchères du caveau, ou on pouvait me voir sur la scène, en combinaison résille et masque. J’étais abasourdie, aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche… Quand dans une ultime tentative, je lui dis :

- Je ne pense pas que ta femme soit très heureuse de savoir que tu montres des films de cul à ses copines en son absence…
- Et moi, je ne crois pas que Richard soit franchement heureux de savoir que sa femme se fait filmer habillée comme une pute en se vendant à une bande d’inconnu… Qu’en penses-tu ? Et ne nie pas, je sais que c’est toi…
- Tu es odieux, comment ma copine a pu tomber amoureuse de toi…
- Peut-être parce qu’elle est aussi perverse que moi… Et maintenant que tu es sur mon canapé, on va reprendre la discussion de la dernière fois… Et je te conseille d’être docile… Lève-toi maintenant…

Tout en maugréant, j’obéissais de toute façon, je n’avais pas le choix… Il me retourna, me maintenant les bras dans le dos, et sortit une corde douce et solide avec laquelle il m’attacha, enroulant la corde autour de mes bras croisés, et repassant la corde plusieurs fois autour de mon corps.
Il était un vrai spécialiste du bondage, et je me retrouvais une fois de plus contrainte, avec pour finir une boule de bondage dans la bouche afin de me bâillonner entièrement et de m’imposer le silence. Il finit avec une seconde corde sur mes chevilles me ligotant fermement et me contraignant à l’abandon total. L’adrénaline commençait à monter me poussant progressivement vers un état d’excitation et dans l’incapacité totale de me rebeller. Une fois ficeler comme une oie, debout au milieu du salon, il me fit tourner sur moi-même. Je sautillais contrainte par les cordes, et me promena dans la grande pièce, me faisant passer devant les grandes baies vitrées ou vue de tous… Il en profitait pour s’arrêter régulièrement et me peloter mes gros seins face aux fenêtres extérieures. Il me ramena vers le canapé, et poussa à califourchon sur l’accoudoir dans la même position que la dernière fois, et entrepris de soulever ma longue jupe, découvrant une fois de plus de magnifique bas et un tanga Lise Charmel. Il s’exclama devant la vue de ma croupe offerte à lui et me plaqua une grande claque sur les fesses…

- Voilà enfin, ce que je voulais depuis si longtemps, quand je pense que tu t’es faite fourrer par tous et que moi j’au eu droit qu’à ta vidéo ; tu vas prendre chère ma salope.

Il ouvrit son pantalon et sortit son sexe, toujours positionné derrière moi, et le frotta sur mes fesses, le tapotant sur ma croupe… Il écarta mon tanga et me pénétra… Il s’accrocha à ma jupe et commença à me pilonner comme une bête. Je sentais son sexe tout dur en moi, sûrement bourré de Viagra, ce sexagénaire bandait fort et dur. Il s’appliquait à me fourrer comme une oie, quand la porte s’ouvrit et Marielle rentra en hurlant nous voyant tous les deux sur le canapé moi en levrette et son mari en train de me saccager les fesses et le tout avec une vidéo de moi tournant en boucle.

- Non mais je rêve, qu’est ce que vous êtes en train de faire, je rentre 5 mins en retard et tu baises la première salope qui passe, dit-elle en hurlant…
- Non ma chérie, c’est elle qui m’a provoqué avec sa vidéo, c’est une vraie nymphomane ta copine, je n’ai pas pu résister…
Il continuait à me buriner tout en expliquant à sa femme que sa meilleure amie était la plus grosse des cochonnes.
Marielle écoutait en regardant la vidéo intriguait… Bâillonnée et ligotée ou plutôt troussée comme une oie, je ne pouvais me défendre et allais sûrement endurer la vengeance de mon amie

- Arrête de la baiser, avec un cul pareil, tu vas jouir trop vite. Mets-lui ta bite dans la bouche pendant que je vais me changer et m’équiper.
Robert me laissa fesses en l’air, et se positionna assis sur le canapé, m’enleva mon bâillon, et sans même me laisser le temps de protester m’enfonça son gros dard dans la bouche.

T’as entendu ta copine, suce-moi maintenant.

J’obéis comme une bonne soumise que je suis. Mon arrogance du matin laissait la place à la cochonne perverse que j’étais et qui aimait se faire forcer et dominer… Je prenais sa grosse bite dans ma bouche et le suçais… Marielle réapparut… Elle était en sous-vêtement noir porte-jarretelles et escarpins mais autour de la taille avait une ceinture gode. Le gode tout noir faisait au moins 20 cm…

- Je sais que tu aimes les bonnes bites de black bien grosse donc tu vas déguster ma salope, tu vas voir ce que c’est de me piquer mon mec sans demander l’autorisation…
Elle se plaça derrière moi toujours en levrette sur l’accoudoir, fesses en l’air, je sentis son gode plonger en moi. Elle s’agrippa à ma jupe et me pilonna comme une hystérique. Robert me maintenait par les cheveux forçant l’entrée de ma bouche où je sentais son sexe aller et venir. Ils abusèrent de moi comme ça, jusqu’à ce que Robert se repositionne derrière pour me reprendre la croupe. Marielle me força l’entrée de ma bouche avec son gode m’obligeant à sucer son gode jusqu’à ce que Robert se libère giclant sur mon gros cul… Je le sentais gémir et grogner accrocher à mes fesses ses ongles mes marquant ma croupe juste avant de se répandre sur mon cul et ma jupe. Marielle me saisit par les cheveux…

- Ce n’est pas fini pour toi, on va te garder pour la soirée, tu vas être notre petite boniche, ca tombe bien on a des invités.
Ils vont adorer notre nouvelle soubrette. Robert emmène la dans la chambre d’ami et attache au lit, qu’elle se repose un peu avant d’attaquer le ménage… Quant à toi ma belle, tu vas être ma petite pute pour la soirée. À chaque erreur, tu seras punie. Dis moi que tu as compris et que tu seras une bonne soumise… Appelle-moi maîtresse à partir de maintenant…
Elle m’avait attrapé par les cheveux m’attirant vers elle pour me dire tout ça, m’obligeant à lui confirmer que j’étais sa soumise, sa chose, son objet…

- Oui, je serais docile, je suis à vous maîtresse… Votre soumise….
Elle me roula une pelle hystérique, sa langue m’envahissant toujours assise sur le canapé ficelé comme une dinde. Robert s’empara de moi et me chargea sur ses épaules pour m’emmener dans la chambre. Il m’assit sur le lit à barreau et me re attacha les bras en croix au barreau de la tête de lit. Après avoir enlevé ma jupe, me laissant en bas et Tanga, il replia mes jambes pour les ficeler à mes cuisses de chaque côté. Mes chevilles solidement attachées au pied du lit afin d’écarter mon entre-jambe me laissait comme une femme offerte. Il ne me restait que ma pauvre culotte, et mon pull Wolford moulant qui exagérait encore plus mon corps pulpeux. Avant de sortir il me re bâillonna la bouche avec ma boule de latex et sortit me laissant seule. J’essayais pendant quelques minutes de me libérer, mais je renonçais, et m’assoupis. À mon réveil, il faisait sombre, j’avais dû dormir deux bonnes heures, quand Marielle rentra dans la chambre…

Elle était toujours en sous-vêtements et dans ses mains portait 3 paquets. Elle s’assit dans le lit à mes côtés et m’enleva mon bâillon pour m’embrasser tout en me gardant solidement attachée et offerte jambes et cuisses écartées. Sa langue plongea en moi. Je répondais à son baisé de façon gourmande. J’adorais qu’elle m’embrasse, elle m’avait toujours excité… Nos langues s’entrechoquaient, et une forte tension érotique se répandait dans la chambre. Dans sa main, elle tenait un immense vibromasseur, stimulateur massant avec en son extrémité une large tête en silicone soutenue par un bras légèrement articulé. Elle le brancha sur le secteur, et l’appareil se mit à vibrer. Elle me le plaqua entre les cuisses au-dessus de mon tanga et me massa avec. Je devenais folle, attachée, immobile totalement écartelée, je jouissais sous les caresses automatiques de ma maîtresse, qui continuait à me forcer la bouche de sa langue gourmande et envahissante. J’étais à elle. Je jouis… Gémissant et me tortillant comme hystérique… Elle savait et connaissait mes penchants… Elle devenait ma dominante et moi son esclave, son jouet, son objet… Elle se releva sans rien dire, me montrant son vibromasseur, qu’elle se mit à lécher. Elle suçait cet immense gode qui contenait le jus de ma jouissance. Je la regardais en attente de la suite, car je savais que ma soumission ne faisait que commencer… Elle s’empara du second paquet qu’elle brandit en face de moi comme un trophée…

- Tu sais ce que c’est, ma salope … Oui, je vois que tu as deviné… C’est un harnais facial bâillon avec godemiché. Tu vas mettre cela ma pute et je vais m’empaler dessus, et tu as intérêt à bouger ta face de cochonne et me faire jouir si tu ne veux pas que je te donne en pâture à tous mes invités ce soir ….
Vers l’intérieur, il y avait une boule qu’elle me rentra dans la bouche afin de me bâillonner entièrement et à l’extérieur un gode d’une vingtaine de cm, sur lequel elle allait s’empaler. Le tout maintenu par un harnais en cuir qu’elle m’entoura autour du visage. Toujours attachée au lit, avec le harnais sur le visage, elle se positionna au-dessus de moi fesses en l’air, écarta sa culotte et s’empala sur mon visage. Elle s’agrippa à mes cheveux m’obligeant à la baiser avec mon visage d’une façon totalement bestiale. Elle jouissait sous mes coups de tête continus. Je bougeais rapidement comme un homme en train de buriner le cul d’une bourgeoise en chaleur. Elle jouissait gémissant alors que j’étouffais sous mon bâillon en train de baiser ma maîtresse…. Elle cessa au bout de quelques minutes, me retirant mon gode et plaçant sa chatte devant mon visage.

- Gouine ma petite boniche, fourre-moi avec ta langue….
- Ohhhh Marielle, oui….
- Madame Marielle !!!!! à partir de maintenant !!!!!!
Elle me tirait les cheveux sévèrement en me disant cela. J’obéissais et plongeais ma langue en elle…. Je la suçais la happais, presque meilleur qu’un sexe, tellement différent, moi immobile sur le lit, attaché de tous les côtés entrain de sucer ma meilleure amie… Elle jouie enfin comme une furie... Elle se releva m’embrassa longuement, et me tendit le dernier paquet…

- Habille-toi avec ça, prépare-toi, ma belle boniche… Tu as du boulot ce soir, on a deux invités et du menage à faire…
Elle me détacha, j’ouvris le paquet dans lequel je trouvais un déguisement… Une tenue complète de soubrette noire en latex composait d’une robe à dos nu noire, d’une coiffe assortie à la robe, et d’une paire de jarretelles de même couleur avec un string dont la ficelle allait sûrement me rentrer dans la raie des fesses. La robe courte était ornée de dentelle blanche d’un petit tablier sur le devant, le tout soutenu par un décolleté rond plongeant… Je trouvais également des bas résilles pour jarretelles, des cuissardes noires en latex également ainsi qu’un masque en dentelle noire de type vénitien me recouvrant une bonne partie d’un visage. Pour finir une perruque sexy cheveux noirs avec un brushing sophistiqué. Avec cela, j’étais censé être méconnaissable.

- Dépêche-toi, ma boniche, les invités vont arriver.
- Oui Madame Marielle, je fais au plus vite…
Elle sortit me laissant seule pour me préparer…. Je revêtis le déguisement, et enfiler la perruque et le masque qui me dissimulait le visage. Je regardais le résultat dans le miroir. Marielle avait le coup d’œil, tout était à ma taille, et l’effet final était très excitant. Ma poitrine ressortait massivement du décolleté et mes cuisses étaient mises en valeur par les cuissardes. Robert n’allait pas pouvoir résister longtemps… Je sortais de la chambre et me rendais au salon, ou Marielle et Robert m’attendait.

- Va te mettre près de la porte pour attendre et accueillir nos invités… Tu les débarrasseras de leurs manteaux et t’occupera de l’apéritif. Je ne veux pas t’entendre si ce n’est pour me dire « Oui Madame Marielle », tu as compris ?
- Oui Madame Marielle
Je me rendis à la porte d’entrée, et attendis. 5 minutes plus tard, le carillon retentit, et j’ouvris… Deux hommes étaient devant la porte !!! Le concessionnaire et son cousin, mon collaborateur que j’avais eu en entretien le matin même… J’étais piégée !!! Ils allaient me reconnaître… Ma réputation serait détruite et les affaires de mon mari également. J’étais uniquement protégé par mon masque et ma perruque…. Après s’être exclamé en me voyant, ils entrèrent…

- Marielle, tu as un goût exquis, ta nouvelle soubrette est superbe,
- Ahhhh, je savais bien que ma nouvelle boniche allait te plaire… Plutôt bien gaulé non ?
- Hummmmm, j’espère que c’est une bonne soumise, ta soubrette… On peut toucher, je suppose ?
- Oui bien sûr, elle est là pour cela. Ce n’est pas une première main, mais vous devriez apprécier le service.
- Oui je confirme – Dit Robert – C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures purées …. Hahahahahahah…
- Ouahhhh une mature en plus, tu vois cousin, tu vas pouvoir te venger de ta salope de patronne avec cette bonne mature…
- -Que s’est Il passé – demanda Marielle à Jérôme – ça ne se passe pas bien avec Patricia, tu sais que c’est ma meilleure amie.
- -C’est une grosse pute arrogante et hautaine – répondit le garagiste – elle s’acharne sur mon cousin. Je te jure que la prochaine fois qu’elle m’achète une bagnole cette salope, je vais lui faire un bon prix en liquide… En plus, je suis sûr que bonne comme elle est, c’est une vraie chaudasse…
Tout le monde s’esclaffait, parlant de moi sans se rendre compte sous mon masque qu’y, j’étais. J’espérais juste que Marielle et Robert gardent mon identité secrète.

- Allez prenons l’apéritif… Servez-nous du champagne – me demanda Marielle…
- Oui Madame Marielle
Je servais le champagne à chacun des invités, qui pendant mon passage, profitèrent de mon corps… Mes fesses pour Robert, et le concessionnaire, ma bouche et ma langue pour Marielle, qui me roula une pelle devant tout le monde… Seul Jérôme ne profita pas de la situation… M’étais-je trompé sur le jeune homme ? L’apéritif ce poursuivi : petits fours, tapas, verrines, Toast, champagnes, cocktails, mains sur mes fesses, blagues graveleuses,… Chaque fois que je repartais à la cuisine, Robert me suivait et je subissais une fouille en règle…

- Alors comme ça, on joue les patronnes hautaines et arrogantes ma pétasse... Tu vas te faire fourrer comme une oie ma belle ce soir… On va te prendre de tous les côtés… On va t’utiliser comme un vulgaire objet ma cochonne, mais dis donc c’est quoi ce bordel, tu n’es pas censé faire la vaisselle… On t’avait prévenu… Pas d’erreur… D’ailleurs, je vais te mettre une bonne fessée pour te motiver un peu, ça va te stimuler, tu vas voir…
Il s’assit sur une chaise de la cuisine, et me coucha sur ses genoux de sa main gauche, il me tenait par les cheveux et de sa droite me releva ma robe de soubrette en latex moulant, dévoilant mes fesses juste protégées par la ficelle de mon string… Docile, je me laissais faire, quand les premières claques s’abattirent sur ma croupe, 1, 2 3 4… clac, clac, clac, à gauche à droite, tirant sur ma ficelle pour la rentrer encore plus profond dans ma raie des fesses… Je remuais mes jambes sous les claques, gémissant… Quand Marielle rentra dans la cuisine.

- Ohhhhh, mais qu’est ce que tu fais à ma boniche !!! Demanda Marielle, regarde moi cela, tu lui a rougi son beau gros cul…
- Ohhhhh ma chérie ta boniche est vraiment trop chaudasse… Je lui donne une petite leçon, faut dire qu’elle n’est pas très efficace en cuisine, peut-être qu’elle est plus douée pour le nettoyage !!!!
- Ramène le champagne belle boniche et sers les invités ensuite, tu iras nettoyer les WC à l’étage, apparemment, c’est sale !!!!
J’obtempérais, servais les invités, pour ensuite monter à l’étage et nettoyer les toilettes… Je prenais des gants mappas un sceau une brosse et commençais à récurer les WC… Pendant que je nettoyais, penchais en avant vers la cuvette, la porte s’ouvrit juste derrière moi… C’était le garagiste et son cousin, qui s’étaient glissés derrière moi, pouvant admirer ma croupe tendue vers eux alors que je nettoyais la cuvette. Le garagiste me saisit par la nuque afin de me maintenir dans cette position…

- Tiens tiens tiens, voilà notre petite soubrette… Tu as besoin d’aide beauté ?
Je ne répondais rien… J’avais peur qu’ils reconnaissent ma voix, je décidais donc de rester muette et d’obéir et de me soumettre, ce qui était la meilleure solution pour rester incognito. Ils avaient refermé la porte nous laissant tous les trois dans ce petit cabinet exigu. Me maintenant par la nuque, il me força à m’accroupir devant la cuvette…

- Je crois que tu as besoin d’une petite leçon soubrette…Qu’en penses-tu Jérôme. C’est sûrement une bourgeoise chaudasse, un peu comme ta patronne. Que dis-tu de lui faire passer un entretien d’évaluation à cette bourgeoise ?
- Oui bonne idée mon cousin, j’ai bien envie de m’occuper de ses grosses fesses… Occupe-toi de sa bouche, c’est sûrement une arrogante hautaine qui doit profiter de sa position sociale. On va voir si elle est toujours aussi arrogante avec ta bite dans la bouche. Attends avant, j’ai une idée, maintiens lui tête sur la cuvette, et toi salope regarde-moi…
Le garagiste m’avait plaqué la tête sur la cuvette, m’obligeant à regarder son cousin qui se dégrafait sortant son sexe et le dirigeant sur la cuvette. De grands jets d’urine inondèrent la cuvette… Il urinait avec ma tête sur sa trajectoire. Des éclaboussures m’aspergeaient le visage, juste un peu, histoire de m’humilier et de me soumettre. Je me laissais faire, évitant le risque de la confrontation et de révéler mon identité. Une fois soulagé, Jérôme me demanda d’essuyer la cuvette…

- C’est cela belle soubrette, nettoie moi la cuvette qu’on puisse s’assoir…
Je m’appliquais à nettoyer et faire disparaître les gouttes d’urine sur la cuvette, quand impatient le garagiste me poussa le visage vers la cuvette… « Avec la langue salope !!! ». Je passais ma langue sur le tour de l’abattant des WC et aspirer la moindre goutte. Pendant ce temps Jérôme avait relevé ma robe et s’occupait de mon large fessier dont la ficelle de mon string ne faisait qu’exagérer ma croupe appétissante… Le garagiste s’installa sur les WC, sexe libre et fièrement dressé et me pris par les cheveux pour me diriger la bouche vers son sexe. Sous la force de sa poigne, il arracha ma perruque libérant mon carré roux coloré tellement typique de ma bonne tenue de bourgeoise…. Alors que je me retrouvais avec ce gros sexe en bouche, Jérôme, toujours occupé avec mon cul, s’exclama !!!

- Oulalala, mais voilà que les vrais visages se divulguent, une bourgeoise, une coupe au carré rousse, des yeux bleus, je crois qu’on se connaît ma pute ????
- T’en as mis du temps cousin, J’ai reconnu sa voiture dans la cour à cette beauté, des modèles comme cela vert menthe décapotable, je n’en ai pas vendu beaucoup. Et surtout à des canons comme elle… Plutôt bien conservé la mâture… Jamais vu une gonzesse avec la cinquantaine aussi bien gaulée. T’as vu comme elle est mameleuse, des bons gros pies. Ça a dû être une bonne laitière. Dis-nous salope combien de gosses t’as eu… Au moins 5 avec des miches pareilles…
- Elle en a trois… Je vois la photo de famille tous les jours sur son bureau… Tu sais du style photo de dynastie ou dallas… Dans le genre famille d’arriviste qui étale son succès devant tout le monde…. Tu sais que tu as étais très vilaine ce matin patronne, tu mérites une bonne punition... Une bonne fessée sur ton gros cul, je vais te faire bien rougir tes belles fesses ma bourgeoise, tu vas enfin comprendre ou est ta vrai place... Je vois que rouge comme est ton cul, ca ne va pas être ta première fessée de la journée salope...
Ils m’avaient démasqué, j’étais donc à leur merci, je les écoutais tout en suçant cet odieux garagiste et subissant les mains de mon collaborateur sur mes fesses. Je devais être docile et obéissante… Pendant que je suçais le garagiste, les mains de Jérôme s'abattaient sur ma croupe. Il m'appliqua de grandes claques sur mes fesses. Il se comportait comme un animal... À chaque claque, j'entendais un commentaire... "Ca, c'est pour me traiter de dilettante... Cella la pour non-performant... Celle-là pour me dire de rester à ma place... "... Il arrêta enfin... ". Viens cousin on va la prendre sur la mezzanine, comme ça tout le monde pourra participer...". Me tenant par les cheveux, ils m'entraînèrent sur la mezzanine qui surplombait le salon.

L'espace était grand et très moderne et utilisé comme bibliothèque qui faisait le tour de la plateforme. Le garde-corps était une rambarde en métal avec des câbles donnant un aspect très moderne et loft. Me poussant vers le garde-corps, ils m'attachèrent les mains à la rambarde, je pouvais surplombais le salon où je voyais Marielle et Robert sur le canapé, avec mon amie absorbée à sucer son mari dont elle essayait de réveiller la flamme... Jérôme reprit sa position debout derrière moi et me pénétra en levrette... Il me labourer les reins me tenant par ma tenue de soubrette. Le garagiste quant à lui avait libéré mes seins et replacer sa grosse bite dans ma bouche. Un devant et l'autre derrière ils m'utilisaient comme un objet, inter changeant les positions régulièrement pour ne pas jouir trop vite et multiplier les plaisirs.

Je regardais Marielle sucer et masturber Robert, tout en subissant les coups de reins de mes deux partenaires. Mes seins étaient régulièrement malmenés, par leurs mains gourmandes...
Robert joui enfin dans la bouche de sa femme... Alors que simultanément, Jérôme et son cousin me positionnèrent à genoux pour me recouvrir de leur sperme également. J'étais toujours attachée, masquée, mais mon costume partiellement déchiré, je restais la bouche ouverte afin de recevoir leur semence. Ils me recouvrirent, sur mon masque mon visage, mes seins, j'en avais partout... Pour finir, ils se nettoyèrent le sexe dans ma bouche, me demandant de tout aspirer...

Ils me laissèrent, seule attachée et défaite, sur la mezzanine... et rejoignais Marielle et Robert... Je fus enfin libéré par mon amie 10 minutes plus tard, et pus enfin me rhabiller pour rentrer discrètement chez moi, évitant tout contact avec Jérôme, Robert et le garagiste. Je me doutais bien que la journée suivante au bureau soit compliquée...

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