Collection Zone Rouge. Poupette. Saison I (3/10)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

• Sénateur, je vous laisse avec la prunelle de mes yeux, prenez en soins car c’est une perle rare, depuis le temps que je vous admire surtout au moment où vous auriez pu devenir vice-président.
• Je sais Bob, tu t’es beaucoup investi dans cette campagne jusqu’à ce que celui qu’ils ont élu apprenne que je me rendais fréquemment dans des bordels.
Je suis serein, j’ai bien vécu, dommage que j’aie oublié d’épouser l’une de ces salopes et avoir une descendance.
C’est le fils de mon frère qui vote pour le parti du mal qui va hériter de ma fortune.
Allé éclipse-toi, j’ai une vieille envie qui me démange quand je vois son joli petit cul.

Ce sont les propos que j’entends avant que ce fumier prenne sa bouteille et sorte de la pièce.
Je me déshabille et je viens entre les cuisses du sénateur qui dans son fauteuil est en pyjama avec une vieille veste d’intérieur.
Son sexe est rabougri, mais avec l’expérience acquise quand Bob veut me sauter plein comme une barrique, je réussis à lui faire tendre la verge très longue et très fine.
J’ai en tête ce qu’il s’est dit entre les deux hommes et surtout que le sénateur est sans succession.
Je sens que si je prends le temps de l’introduit en moi, sa tension va retomber et ma prestation sera incomplète.
J’ai tout appris à Las Vegas, je sais que ma bouche et une bonne fellation feront l’affaire et que je pourrais le chevaucher.
C’est ce que j’arrive à faire.

• Poupette tu es sensationnelle, continue, les filles que Bob fait monter chez moi me fond seulement éjaculer dans leur bouche.
Sentir ta petite chatte autour de ma vieille verge est un nectar pour un vieux monsieur comme moi.
Demande-moi ce que tu veux je te l’accorderais.

Fort de cette promesse, je mets les bouchers doubles et pour la première fois de ma vie, je sens trois gouttes de sperme arroser le fond de mon vagin.


Rapidement, je sens qu’il débande et surtout qu’il s’est endormi à tel point qu’un moment j’ai peur de l’avoir fait passer de vie à trépas.
Je cherche la salle de bain pour me nettoyer et laisser mon client récupérer car je vois qu’il s’est assoupi.

Quand, je passe près de la baie vitrée, je vois Bob debout près du garde fou de la terrasse son verre posé près de la bouteille.
Sans faire de bruit, je m’approche de lui par-derrière.
Je lui prenant les deux jambes par les mollets, je pousse avec un mouvement vers le haut.
Quand il sent qu’il est dans le vide, il se retient à une partie de la barrière avant dans un grand cri de plonger vers le trottoir.
J’ai le temps d’entendre le bruit que fait son corps sur le sol malgré la hauteur avant de retourner dans la salle sans me relever afin d’éviter d’être vue d’un autre immeuble.

• Sénateur, réveillez-vous j’aimerais que vous me fassiez encore l’amour.

Je sens sa main caresser mes cheveux et un beau sourire illuminer son visage quand notre regard se croise.

Je sais que j’ai commis l’impensable.
Je viens de faire ma première passe à Los Angeles, le jour de mes 18 ans et j’ai commis l’irréparable quand j’ai fait basculer Bob mon beau-père et mon Mac par-dessus la rambarde de protection du dixième étage de l’appartement où il m’a amené.
Mon premier client un vieux monsieur de 91 ans qui a été sénateur dans un état du centre du pays avant de se retirer au soleil de la Californie pour ses vieux jours, va me servir de témoin après le geste que je viens de commettre.
Au moment de basculer Bob a tenté de se retenir à une des barres de fer constituant le garde-fou avant de plonger irrémédiablement vers son destin.

Mon acte ignoble proféré envers celui qui a fait de moi une prostituée, je me réfugie nue aux pieds du sénateur que je réveille doucement pour qu’il témoigne que je suis restée toujours avec lui dans ce bureau.


Ouf, il semble que dans son sommeil, quand je le réveille, il puisse dire que je suis toujours resté avec lui.
Nous nous regardons avec un regard plein de tendresse.
Je repose ma tête sur ses genoux alors qu’il me la caresse, son regard ayant recouvré sa jeunesse.
C’est au moment où cette pensée traverse mon esprit que l’on sonne à la porte.

• Attends, Poupette, j’ignore qui vient nous déranger à cette heure, je vais aller voir, habille-toi si je dois faire entrer mon visiteur ici.

Je me lève, et il réajuste son pyjama, car j’ai juste écarté les pans de sa braguette pour que nous baisions.
Je récupère mes affaires, rapidement, je suis redevenue présentable.
Il faut dire que Bob avait voulu que je fasse pro du sexe.
Je pense déjà qu’il est mort l’ayant fait faire ce grand saut, en pensant « avait ».
La porte est près et j’entends ce qui se dit en tendant l’oreille.

• Sénateur, excusez de vous déranger, connaissez-vous un dénommé Bob !
• Qu’est-ce qu’il a fait, il est sur ma terrasse à boire un whisky pendant que je discute avec sa belle-fille qui est une amie ?
• Il vient de s’écraser sur le trottoir au bas de votre immeuble.
Nous voulions éviter de vous déranger, mais nous avons frappé à toutes les portes et personne ne connaissait de Bob.
Peut-on entrer, je crois que nous avons frappé à la bonne porte, montrez-moi cette terrasse ?
Bonjour, Mademoiselle, je crains que votre beau-père n’ait commis l’irréparable.
• J’ai entendu ce que vous avez dit, il est mort !

En prononçant ces mots, je m’écroule en larmes, montrant par là même que maman avait raison, je peux percer à Hollywood en bonne comédienne alors que j’ai simplement failli dire il est mort comme si je savais ce qui venait de se passer.

• Vous savez mademoiselle, dix étages sans ascenseur, excusez, car c’était un membre proche de votre famille, mais c’est toujours irrémédiable quand on s’écrase sur le trottoir.

La seule chose que vous pouvez-vous dire, c’est qu’a la vitesse où il est arrivé, il est mort sans avoir le temps de sentir la moindre chose.
Je me présente, c’est la moindre des politesses, je suis inspecteur au commissariat qu’une femme a appelé lorsqu’elle a failli le recevoir sur la tête.
Elle entrait d’une soirée entre amis, et habite au troisième étage de votre immeuble, monsieur le sénateur.
• Reste ici, Claudia inutile de venir voir où Bob a sauté, inspecteur suivez-moi c’est par là.

Ils partent vers la terrasse, mais je les suis trop anxieuse pour rester assise dans le bureau contigu à la salle à manger qui donne sur la terrasse.

• Voyer sénateur c’est de là, qu’il a dû sauter.
Regardez, il a posé son dernier verre qu’il a dû boire avant de mettre fin à ses jours sur la table.
La bouteille était pleine lorsque je lui ai donné, il a dû se donner du courage avant son acte désespéré.
Pourquoi était-il sur cette terrasse ?
• Il a voulu aller fumer et est parti avec la bouteille que vous voyez là et comme je viens de vous le dire, je lui avais dit d’emmener.
• Nous avons retrouvé dans sa poche un briquet et une boîte qui contenait encore dix joints qu’il avait préparés.
Nous nous sommes étonnés qu’il en ait roulé autant s’il pensait se suicider.

Le froid du boulet me passe dans le dos.

• Sénateur, si je comprends bien, vous étiez tous les deux dans cette pièce, l’un de vous a-t-il quitté votre salon, il y a environ une demi-heure !
• Non, Claudia et moi nous parlions de son avenir, car je cherche une assistante et Bob à qui j’en avais parlé ma proposé d’embaucher sa belle-fille.
Il m’a paru soucieux, on aurait dit qu’il voulait que la petite ait un avenir.
Je pense qu’il était proche de passer à l’acte et il voulait lui assurer un avenir, il était si proche de sa maman et d’elle depuis qu’elles étaient arrivées aux USA.

Quant aux joints, c’était pour moi, je suis très malade.
D’ailleurs voyez, je vis en grande partie sur un fauteuil roulant, c’est pour soigner mes vieilles douleurs.
Quand il a été sur ma terrasse, l’appel du vide a dû être le plus fort.
Passez-moi les menottes, je suis dans l’illégalité à cause de cette drogue.
• Inutile sénateur, je comprends et je fais faire le nécessaire pour que ces joints ne posent plus question dans notre affaire.
Comment le connaissiez-vous ?
Excusez de vous poser toutes ces questions sénateur, mais il va falloir que je fasse mon rapport et plus il sera précis et moins mes supérieurs se poseront de questions et moins j’aurais besoin de revenir vous déranger.

C’est beau le pouvoir, il faut éviter de déranger le vieux monsieur, même s’il se tape des jeunettes, car la tenue que je porte pour un entretien d’embauche peut paraître suspecte.

• Bob, je l’ai connu, il y a des années au Vietnam où il m’avait sauvé la vie.
Quand nous sommes rentrés, pour le remercier, il s’est souvent occupé de mes campagnes, il recrutait des gens pour divers besoins dans ces moments-là.
Nous sommes toujours restés en contact, on peut dire qu’il était mon bras droit, même s’il était un peu con.

C’est à ce moment que je comprends que Bob habitait dans le même état que le sénateur et devait l’approvisionner en jeunes femmes avant de le suivre ici.
Il se peut que ce soit ce vieux monsieur qui dirige un réseau dont j’ai dû faire partie sans le savoir ce qui collerait avec ce que Bob me faisait subir.
Je suis aux aguets, tout ça devient intéressant si je m’en sors les cuisses propres…

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