Enterrement De Vie De Jeune Fille

Je suis chargée d’organiser l’enterrement de vie de jeune fille à ma meilleure copine, qui va bientôt se marier. Son futur mari, un con, que je n’aime pas, car il est trop vantard et pense qu’il est meilleur que tout le monde, il se vente de faire un enterrement de vie de garçon avec ses copains, et il raconte même partout qu’il y aura des filles ! Je me suis creusé les méninges pour lui trouver moi aussi à ma copine, quelque-chose dont elle se souviendra toute sa vie.

Ce n’est pas si évident que ça à organiser, mais il le faut car elle m’a demandé être son témoin ? J’avais entendu dire que 3 artistes acceptaient de se déplacer même pour un petit groupe pour faire leur numéro « assez spécial ». Prise par le temps, je les ai engagés pour la date fatidique.

Nous nous sommes toutes, installées dans une salle avec une piste au centre à l’atmosphère surchauffée. Un homme et deux filles sont venus sur la scène, le corps uniquement vêtu d’un boxer et de strings-ficelle. Les filles avaient un corps de rêve, à nous foutre des complexes. L’homme entraine la fille blonde au milieu de la piste et s’assied sur un divan au centre de la scène qui se met à tourner. La blonde lui ôte son slip et apparaît alors un énorme serpent endormi entre ses cuisses.

La brune les rejoint, elles s’accroupissent de chaque côté de ses jambes, pour exciter ce bel étalon. Elles s’y emploient avec la bouche gardant leurs mains dans le dos. A chaque tour de la scène, nous découvrons, les yeux exorbités, l’évolution de la verge. Le serpent c’est transformé en un membre énorme, bien raide, décalotté. Les bouches de ses compagnes volent tout le long de ce manche incroyable, quand elles le gobent, le tuyau est si long qu’il en reste encore un bon bout à l’air libre.

Après ce préambule, il se place dans le divan pour être un peu plus allongé pendant que les 2 filles retirent leur string. La blonde vient se coucher sur lui. Il passe une main entre ses cuisses pose l’autre entre ses omoplates et avec une facilité déconcertante l’élève au-dessus de sa tête.

Comme dans un exercice de music-hall, il la monte à bout de bras et la redescend comme si elle ne pesait rien.
La brune s’est assise sur lui et pose un pied sur chaque accoudoir du divan, se retrouvant à faire le grand écart. Elle se soulève guide d’une main la poutre de l’homme pour s’empaler dessus ses jambes monte et baisse sur la poutre énorme.
C’est un exploit aussi bien pour l’homme que pour la brune. Après quelques minutes, ils changent de figure, il a reposé la blonde. Elle s’assied sur sa poitrine pour lui donner sa chatte à dévorer, ses jambes pendant derrière le dossier du divan.
La brune a libéré le monstre toujours aussi ferme. Il se redresse sans effort et se retrouve debout, la fille à cheval sur ses épaules se faisant dévorer le minou, elle saisit de ses mains les cuisses de la blonde et se hisse à son tour sur l’homme, ceinturant de ses jambes les reins du porteur qui en véritable équilibriste libère une de ses mains pour diriger son missile vers la cible désignée.
La brune laisse ses 2 comparses continuer le numéro. Il retourne la blonde comme un bâton de majorette pour continuer à lui dévorer la foufoune pendant qu’elle se retient comme elle peut à la poutre qu’elle enfourne entre ses lèvres. La brune revient à la charge, se mettant assise entre les jambes de l’artiste pour prendre en bouche la totalité de ses burnes. Nous prenons des photos avec nos Smartphones malgré l’interdiction qui nous en avait été faite.
- Attention ! nous dit l’artiste ! Pour chaque photo, prévient-il, Il y aura un gage tout à l’heure !
Il remet la blonde de nouveau dans le bon sens, la retourne face à nous, en position assise et la laisse glisser le long de son torse. Quand elle arrive à la bonne distance, la brune redresse le pal de l’homme pour qu’il disparaisse dans la grotte trempée de mouille et de salive de la blonde. La blonde a un sourire un peu crispé quand il la laisse descendre un peu trop bas et le manche de pioche devant supporter trop de poids, tout au fond de sa matrice.

- Oh, fait attention avec ton calibre, tu me défonce le vagin n’oublie-pas que tu es monté comme un vrai taureau !
Il la relève de ses bras et ordonne à la brune :
- Par derrière !
Elle reprend son manche et le présente à l’anus. Le gland s’immerge avec une aisance à peine croyable dans le cul de la blonde…
- De ce côté-là, je n’ai pas de limite, rigole-t-il.
Elle serre les dents mais pas un cri ne s’échappe de ses lèvres tout le long de l’intromission de ce colosse de chair. Je viens de réaliser que depuis le début, il n’a jamais joui !!!

La blonde hurle de plaisir sous nos applaudissements. Il la repose et va s’équiper avec un gode-ceinture aussi gros que son sexe. La blonde, plus menue, se positionne en levrette devant lui la brune se couche sur son dos, touchant à peine le sol. Il se glisse entre leurs cuisses et pénètre les deux en même temps, le gode de chair dans la chatte de la blonde, le gode de silicone dans la chatte de la brune.
J’ai déjà vu deux hommes baiser une femme mais jamais deux femmes tronchées en même temps par un seul homme ! La poitrine de la blonde accuse les coups de boutoir en bougeant dans tous les sens. Soudain on voit une flaque se former sous le trio, une des filles vient d’atteindre l’orgasme mais je ne saurais dire laquelle. Il s’acharne encore des minutes avant de s’étendre sur le sol, exténué.

Son sexe est si long que le bout qui dépasse suffit à la brune pour se l’introduire de quelques centimètres dans le vagin. L’endroit le plus sensible de notre sexe qui permet même aux hommes peu pourvu de ce côté-là d’arriver quand même à nous faire décoller, s’ils savent bien s’y prendre bien sûr. Elles en profitent pour s’embrasser à pleine bouche, seins contres seins, ventre contre ventre.
C’est sur ce dernier tableau que ce termine leur spectacle. Ils se redressent enfin, saluent et l’homme de s’exclamer :
- Mesdemoiselles et Mesdames… Nous sommes honorés de vous avoir présenté ce numéro, j’espère que ça vous a plu…
Un tonnerre d’applaudissements et de cris nourris lui prouve que nous avons apprécié les exercices de haute voltige qu’ils ont réalisés devant nos yeux.
Mais il reprend la parole, son jonc vigoureux toujours dressé devant lui :
- Maintenant je vous demande de me montrer à tour de rôle votre portable pour en effacer les photos prises et comme gage à celles qui ont enfreint le règlement, elles devront me prendre en bouche !
Nous nous regardons, ravies d’avoir le privilège de toucher l’instrument de l’artiste. C’est au tour de Catherine de commencer. Elle branle cette grosse verge à deux mains, elle renifle le gland pour en prendre plein les narines, sentant l’odeur de la bite et des chattes de ses comparses. Elle sort sa langue et parcourt le chapeau chinois, comme s’il s’agissait d’une boule de glace à la fraise. Elle gobe son gland. Arrivée à mi-chemin qu’elle doit stopper, car elle ne peut plus rien avaler. La tête doit lui toucher les amygdales. Elle commence une fellation, il est rare de croiser une matraque comme celle-là, ça sera peut-être la seule fois de sa vie.
C’est maintenant le tour de Véronique, elle prend en main son pieu toujours aussi dur et bien plus gros et long que celui de son mari, (que je connais mais elle ne le sait pas). Lentement elle branle cette superbe colonne de chair, les yeux fermés. Ses lèvres se posent sur l’objet. Puis elle se retire avant de recommencer cet exploit infernal. L’artiste ne peut retenir des gémissements sous ce terrible supplice. Elle le regarde et ses yeux ont l’air de lui demander :
- Tu aimes?
C’est enfin mon tour. Devant mes yeux ébahis se dresse le membre viril gonflé. Je n’aurais jamais imaginé être confrontée à un membre plus important que celui de mon époux. Il est vrai que je n’ai pas eu beaucoup d’aventures. Si mon mari possède une verge que j’ai toujours considérée de bonne taille, celle devant moi m’apparait démesurée.
J’essaie de m’imaginer le plaisir qu’une femme doit ressentir à être pénétrée par un monstre d’une telle dimension. Je repousse délicatement la peau qui recouvre le prépuce afin de dégager complètement le gland gonflé et me jette frénétiquement sur son membre dur comme l’acier et doux comme la soie.
Je l’engloutis jusqu’au plus profond de ma cavité buccale mais dois abdiquer comme les copines, je peux à peine bouger ma langue. Il est monté comme un mulet, c’en est effrayant, comment une fille peut-elle accepter. Tout à mes réflexions, je reste sans réagir alors dans un grognement de réprobation, il projette son bas-ventre en avant, me faisant ainsi comprendre son impatience.
Déchiffrant le message, j’entreprends aussitôt d’agiter ma main refermée comme elle le peut sur la partie de la hampe que je ne peux absorber, la faisant coulisser le long de cette virilité orgueilleuse. Durant quelques minutes mes doigts s’activent le long de la verge tendue et ma bouche sur ce prépuce énorme. Qui suçant avec un plaisir extrême ce mâle hors du commun.
Je me sers de ma seconde main pour enserrer le démonte-pneu tendu entre mes paumes. Je presse fermement la colonne de chair gonflée, la fait rouler entre mes mains tout en agaçant du bout de la langue le méat. Sous cette caresse qui ne fait qu’accroître son plaisir, il se cambre en laissant échapper un grognement de contentement. Il me semble que sa verge est prête à exploser sous ma caresse.et j’entreprends de prolonger mon supplice jusqu’à son explosion.
Le rictus qui fige les traits de l’homme me confirme qu’il accomplit un intense effort pour essayer de contenir l’explosion finale qui le libérerait. Mais à mon grand désespoir, il me quitte pour passer à la suivante.
Il ne lui reste plus maintenant qu’à s’occuper de notre future mariée et lui annonce :
- C’est à toi que j’ai réservé l’honneur de me faire jouir, mais si tu ne veux pas salir ta robe, je te conseille de la retirer !
Sans se faire prier, elle se retrouve quelques instants plus tard en petite tenue pour attaquer la flamberge du mâle. La queue qui sort de la énième bouche est là, juste devant ses lèvres. Elle veut lui répondre mais le sexe profite de l’ouverture de la bouche pour venir cogner contre les dents de la future mariée.
Surprise, elle ouvre la bouche plus grande et le pal va se planter au plus profond de sa gorge. Le va-et-vient commence.
Nous nous sommes approchées pour voir la scène de plus près, que dirait son futur mari s’il la voyait sucer cette queue énorme ? Elle n’aurait jamais pensé lui faire ça à quelques jours du mariage !
Elle se donne à fond sur ce manche de pioche, mais ses mains et sa bouche ne lui suffise plus, totalement fascinée par cette bite gigantesque, elle veut qu’il la prenne, qu’il la laboure avec son soc de charrue. Elle lui murmure :
- Tu attends quoi ? J’ai envie que tu me pénètre, que tu me mettre ta queue dans le ventre. Je veux que tu m’embroche, me défonce. PREND-MOI !
Ça y est, c’est sorti comme un cri du cœur, le sexe l’a emporté sur la raison, elle va faire cocu son futur mari 2 jours avant les noces !!! Je ne sais pas s’il n’attendait que ça mais il ne perd pas une seconde, il lui retire sa culotte et la prend entre ses bras pour la déposer sur le divan à plat-ventre. Il se met derrière elle et pose ses mains sur les omoplates de mon amie la clouant littéralement au divan.
Son membre à l’horizontale, il s’avance, écarte le compas de ses cuisses, se rapproche à genoux entre elles. A cause de la taille de son rostre, il descend le bassin pour aligner son mandrin sur la vulve offerte. Je me rapproche pour voir la matraque coulisser dans son con. Il présente son pénis à l’entrée de l’antre et après une petite résistance, il la pénètre de quelques centimètres puis jusqu’à la garde.
Enfin... Ce qu’elle peut accueillir dans sa chatte !
Il commence des aller/retour sous nos yeux et je peux vous dire que nous n’en perdons pas une miette. Mon dieu que c’est beau à voir et pas mal de mains s’égarent dans les culottes déjà durement éprouvées par tout ce que nous avons vu depuis le début de l’après-midi ! Cette queue énorme qui va et vient dans ce vagin la fait crier de plaisir.
L’effet est incroyable. Il s’enfonce en elle encore plus profond, ne la ménageant pas, et c’est planant de réaliser ce que le sexe de la femme peut supporter. Je m’enhardis et prends la queue entre mes mains quand il se retire d’elle et en agace le chapeau violet de ce cep du bout de mes doigts, mes ongles râpent la peau si sensible du gland, puis je le dirige à l’entrée de la chatte béante et m’amuse à la faire entrer et sortir.
- Ça va ma chérie ? Profite de ta dernière nuit de jeune fille avec ce bel étalon et ne regrette rien !
- Oui ! C’est bon de se faire défoncer le minou mais il est tellement gros, c’est à peine supportable mais j’ai déjà décollé 2 fois.
- C’est à force de l’avoir toutes branler qu’il est si gros, hein les filles !
- Alors, s’énerve-t-elle, tu vas jouir un jour ou quoi ?… Et dire que je me marie samedi !
- A tes ordres belle demoiselle, répond le bellâtre, tu vas voir comme tu vas déguster…
Il la lime encore quelques minutes avec une étonnante douceur. Comme la mouche du coche, quand je sens que l’éjaculation est proche, j’excite encore plus l’homme en griffant de mes ongles ses bourses toujours aussi pleines. Mais le problème c’est que je le gène pour se retirer de cette gaine de velours et quand sa lance s’extirpe de la chatte en feu, la lave blanche a déjà monté dans la chambre magmatique et l’éruption est déjà commencée.
Des jets d’une puissance folle zèbre le dos de la future mariée de la raie des fesses à ses cheveux. Il s’est tellement retenu depuis le début de sa prestation que la pression dans les bourses doit redescendre d’une façon ou d’une autre.
Les trainées de foutre s’accumulent sur le dos de ma meilleure copine et commencent à dégouliner.
- Bravo Virginie, tu lui as faits rendre les armes ! Et les dernières secondes étaient le bouquet final du spectacle.
Virginie reste allongée sur le lit, le visage enfoui dans les coussins.
- Ça va ? Je lui demande en posant la main sur son épaule pour la secouer.
Elle a du sperme sur tout le dos et sa vulve est encore béante de l’exercice qu’elle vient de subir.
- J’en peux plus, je suis complètement vidée et j’ai mal partout, gémit Virginie !
Deux jours plus tard, la demoiselle est devenue Madame et neuf mois plus tard Maman d’un beau petit garçon. Mais quand j’ai vu le zizi de son fils, je suis sûre et certaine que le phénomène de foire avait déposé un œuf de coucou dans le nid. Et que même si ce n’était qu’une minuscule goutte de sperme, la semence de l’étalon a battu à plate couture celle de son bourrin de mari !
Et quand je disais que je me creuserais les méninges pour lui trouver quelque-chose dont elle se souviendrait toute sa vie, je ne pensais vraiment pas à ça !!!

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