Collection Zone Rouge. Poupette. Saison I (5/10)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai réussi deux coups presque parfaits quand maman me confirme une mauvaise nouvelle.
Je me suis débarrassée de mon fumier de beau-père le faisant passer par-dessus un balcon.
J’ai aussi réussi à satisfaire le client chez qui Bob m’avait fait venir pour me prosti ?
Ce monsieur ayant 91 ans m’apprend qu’à part un cousin il est sans descendance.
Il me couvre devant la police assurant que je suis restée à discuter avec lui.
L’inspecteur semble craindre ce monsieur qui a été sénateur et accepte nos dires.
Il me demande ce que je veux, j’y vais direct.
L’épouser, il accepte.
Deux points positifs, mais revenus à la maison, maman m’apprend que celui que j’ai estourbi avait attrapé le sida et qu’elle est infectée.
Ce fumier a baisé avec moi sans protection, moi aussi je vais peut-être mourir.

• Maman, il y a des traitements, je ferais ce qu’il faut pour te faire soigner.
• Ma chérie, si tu savais par quoi mon délire de faire de toi un mannequin célèbre m’a fait passer.
Tu aurais honte de moi et les traitements ici sont tellement onéreux que je veux t’éviter de prendre les mêmes chemins déviants que moi.
Tu seras toujours ma Poupette.

Poupette c’est moi pour elle et depuis deux ans pour mes clients.
Mais tout cela va bientôt finir quand j’aurai épousé le Sénateur et que j’aurais capté sa fortune.
91 ans quelques bons coups de bite et adieu, son cœur ayant flanché.
Je me dirige vers ma chambre où trois personnes l’inspectent méticuleusement dans chaque recoin.

• Inspecteur, pouvez-vous me dire pourquoi vous fouillez ma chambre.
Bob est mort en se suicidant, j’ai entendu que vous le disiez au sénateur alors pourquoi perquisitionnez-vous notre maison.
• Claudia, cette affaire m’a empêché de dîner.
Je connais un restaurant de nuit sur l’autoroute ou je vais pouvoir dévorer un énorme steak, votre affaire m’a donné faim.



J’ai conscience que c’est moi qui ai tué mon beau-père aussi je monte dans sa voiture banalisée pour l’empêcher de me soupçonner ?
Après avoir dit à maman que je partais, l’inspecteur voulant m’interroger à son commissariat.
Depuis que ma vie a basculé, j’ai appris à mentir, même à ma mère.

Nous restons silencieux, jusqu’au resto que nous rejoignons grâce à une barrière qu’il peut ouvrir en tant que policier.
Nous nous installons à une table.
C’est bizarre ou est-ce voulu, il m’a emmené au restaurant ou maman travaille.

• Claudia, tu vas devoir me dire toute la vérité sans rien me cacher, pour commencer, je suis avec Claudia ou avec Poupette à cette table.

Fichu, dans cinq minutes il me passe les menottes et je vais finir la nuit en prison.

• Inspecteur que voulez-vous dire ?
• Je m’appelle Tex, je vais tout t’expliquer.
Si je me trompe tu m’interromps et nous verrons jusqu’où va ton implication dans cette affaire.

Je sens le vent des geôles se rapprocher de plus en plus.

• Si nous sommes venues chez le Sénateur ce soir, rapidement, c’était pour l’arrêter avec ton beau-père.
Nous savions depuis longtemps qu’ils dirigent un réseau de prostitution repérant leurs proies en organisant de soi-disant concours de mini-miss.
Quand vous êtes plus vieille ils vous promettant de faire de vous des mannequins célèbre.
Ils gagnent du temps pour vos âges grâce aux législations différentes entre États.
18 ici, 16 au Nevada, vous faisant basculer dans la prostitution.
Ils sont malins, ils vous repèrent jeunes et surtout sont prudents avec la législation suivant chaque État.
Aucune des jeunes filles mineures ne subit le moindre cévice au contraire, ils aident souvent les mamans allant même comme Bob à les épouser pour mieux rester à portée de main de cette jeunesse en attendant votre majorité sexuelle.


Il sort de sa poche des photos.

• Je t’ai posé une question, Claudia ou Poupette.
• En ce moment c’est Claudia.
• Et là c’est Poupette à Vegas dans ta seizième année.

Je me vois assis au bar et il me montre la photo suivante ou Bob interpelle un client ayant gagné gros, je me souviens, ça avait été un affreux salaud.

• Là tu vois, l’homme qui part à ton bras dans les étages est un complice qui t’a baisé pour donner le change et voir si tu faisais bien ton travail comme pute.
Ce que Bob t’a fait faire est légal, car c’est lui qui racolait et tu partais simplement au bras d’un homme.
Au Nevada tu pouvais avoir des rapports avec un homme sans qu’ils prennent de risque à ton âge.
Et là, reconnais-tu cette fille ?
• Oui, c’est Alexandra, elle a eu le même âge que moi quinze jours avant.
Un jour, elle a disparu des concours de mini-miss.
• Et cet homme, le connais-tu ?
• Oui, c’est le premier client que Bob à lever pour moi pour que je devienne sa pute.
• C’est bien, tout cela est exact et je vois que tu coopères.
Je saurais m’en souvenir.
Regarde, celui-ci, c’est Johnny belle gueule dans leur milieu.
Il conditionne les filles et est par ailleurs Mac d’Alexandra.
C’est lui qui lui serre de rabatteur, certaines fois le même jour que toi dans un hôtel différent de la ville.
Tu aurais pu tomber sur elle, car l’hôtel miteux où Bob t’emmenait passer la nuit et te préparer est l’une des propriétés du sénateur ?
Je dois t’avouer à ce moment de mes questions qu’il est le chef du réseau depuis des années et que nous essayons en vain de coincer.
• Tex, tu as dit que tu intervenais ce soir pour les arrêter, pourquoi ?
• As-tu ta carte d’identité américaine après ta nationalisation sur toi ?
• Oui, maman me l’a donné il y a trois jours.
• Tu es née à quelle date ?
• Le 6.

• Et nous sommes le.
• 5.
• Exacte, quand ta maman a reçu la lettre lui disant qu’il l’avait contaminée par les seringues qu’il lui enfilait dans le bras, lorsqu’ils se droguaient ensemble, lui injectant le virus du Sida, elle nous a appelés pour le dénoncer.
Je lui ai montré ces photos prises au Nevada et comprenant qu’en plus il te prostituait elle a eu l’idée du jour de ta naissance quand il lui a demandé le combien tu étais née.
Elle lui a dit le 5 et c’est pour cela qu’il t’a emmené chez le patron un jour avant tes 18 ans et que je venais les arrêtés, car à un jour près tu étais encore mineur.
• Pourquoi as-tu laissé le Sénateur en liberté ?
• Si tu savais le nombre d’avocats qu’il paye pour le défendre, nous comptions sur Bob étant un pleutre pour s’allonger et faire définitivement le faire tomber.
Prosti une mineure dans cet état qui plus est sa belle-fille, le procureur aurait pu lui proposer une remise de peine intéressante contre une bonne dénonciation du sénateur et éviter un procès onéreux pour notre état.
• Tex, j’ai une idée, le Sénateur à flasher sur moi et j’ai obtenu qu’il m’épouse.
Il a accepté et demain nous signons la demande de mariage.
J’ai accepté pensant lui voler tous ses biens, tu as vu il a 91 ans, j’ai peu de temps à attendre pour devenir son héritière.
• Je vois que tu es maligne, réussir cela en une seule soirée, chapeau, tu as dû être persuasive.
• Depuis deux ans que Bob m’a mise au tapin, je suis devenue une experte et même à son âge, on arrive à faire sortir un peu de sperme de sa vieille carcasse.
Le sexe, c’est par là que nous les femmes nous tenons les hommes.
• J’oublie ce que tu viens de me dire.
Mes oreilles chastes ont du mal à entendre certaines confidences.
Essaye d’avoir le code du coffre qu’il a chez lui.
Il est caché derrière un des tableaux de maître.
À l’intérieur, nous savons qu’il garde tous les renseignements sur leur petit commerce.

Et cette photo, tu le connais.
Non, celui-là, je sais déjà qu’il est hors du réseau.
• Fais-moi voir, je t’ai tout dit, fait en de même.

Il finit par me la faire voir, c’est une photo où l’on me voit me faire baiser par Bill dans la Buick de ses parents pour perdre mes pucelages.

• Tu vois, deux mineurs jouant ensemble rien de sanctionnable.

Je pousse un phare et comme j’ai la main sur la table, il pose la sienne dessus.

• Veux-tu te faire arrêter pour détournement de mineur ?
• Regarde ta montre, il est quelle heure ?
• Minuit dix.
• Et, et, nous sommes le 6.
• Sauvé par le gong, je suis majeur depuis dix minutes paye-moi une bière…

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