Mon Nouveau Voisin

Bonjour, je m’appelle Julie j’ai 26 ans et je suis célibataire. Je travaille dans une petite supérette en bas de ma rue où nous sommes trois salariés. Le patron et deux employés avec des horaires décalés. Je travaille donc une semaine en horaires du matin et une semaine l’après-midi. Ma collègue, Tatiana, fait l’inverse pour pouvoir couvrir la journée. Le patron lui fait les deux, il ne compte pas ses heures.
C’est un homme d’environ 35ans, célibataire car il est difficile de trouver quelqu’un avec toutes ses heures de travail. Il est assez sympa mais beaucoup trop stressé, ce qui lui fait pousser des coups de gueule, mais rarement contre moi.
Tatiana, l’autre employée, a 45 ans environ, mariée 4 s. Elle subit plus les montées d’adrénaline du patron.
Comme vous l’avez compris, je vis en ville, dans un petit T1 de 22m² au premier étage. Si je devais me décrire, on dit que je ressemble un peu à Caroline Garcia la joueuse de tennis, moi je ne trouve pas car elle est jolie et pas moi, je suis assez réservée, limite timide ce qui explique sans doute mon célibat.
Je n’ai connu qu’un seul homme dans ma vie quand j’avais 16 ans, lui 19 et ça ne s’est pas très bien passé. Depuis j’hésite à franchir le pas, ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque …
L’appartement à côté du mien est l’exact symétrie, les deux chambres sont séparées par une fine cloison. Celui-ci était occupé par ma copine Isabelle qui est partie il y a deux mois pour vivre avec son copain moussa car l’appart était trop étroit pour deux.
Avec Isa, on est très proche et ça nous est arrivé d’être au lit ensemble et de se caresser. C’est elle qui m’a fait tout découvrir les choses du sexe et m’expliquer comment faire avec un homme. Malheureusement, je n’ose pas mettre en pratique ses conseils, par timidité sans doute. Les hommes je les regarde de loin, mais je fantasme sur eux le soir seule dans mon lit. Il faut dire que j’y arrive très bien, il me suffit de vivre une situation pour la mémoriser et m’en servir le soir.


Pour le moment, ça me suffit et je me trouve assez bien dans ma vie. Et puis j’ai aussi le porno qui de temps en temps (rarement quand même) me permet de prendre du plaisir en solitaire. Je ne suis pas une grande consommatrice mais ça permet de me soulager. Et puis il y avait Isa et Moussa, je les entendais presque tous les soirs faire l’amour et je dois dire que ça m’excitait follement. Moussa, un black assez musclé, pas trop mon truc mais ce qu’il arrivait à faire avec Isa était très, très excitant.
Il faut dire que de mon appartement, j’entends tout ce qui se passe de l’autre côté de la cloison de ma chambre. Venant de chez moi, on n’entend rien car c’est calme et je ne reçois quasiment jamais personne.
Au boulot, tout va bien, on n’est pas hyper bien payés mais ça va. Mon patron n’est pas très porté sur la chose et c’est mieux ainsi car comme ça, j’ai la paix. C’est un fou de boulot et il doit bien passer 14h par jour au travail, 7/7 jour. Il ne doit pas avoir le temps à consacrer à la séduction pour trouver chaussure à son pied ! Tatiana dit qu’il doit encore être puceau et qu’il ferait mieux de se faire dégorger le poireau de temps en temps. Elle dit aussi qu’elle voudrait bien s’en occuper car c’est vrai qu’il n’est pas moche. Je crois qu’elle a déjà dû essayer de lui faire du rentre dedans et que ça doit être pour ça qu’il n’est pas toujours très sympa avec elle. Dès fois, elle l’appelle le PD …
Moi, il ne m’attire pas spécialement mais je sens parfois son regard s’arrêter sur ma poitrine au travers de mon tee-shirt. Ce regard ne me dérange pas et j’avoue que je me suis mise à rechercher des hauts plus échancrés. Comme ça quand je me penche et qu’il est en face, je vois qu’il me regarde plus que d’accoutumé. Cet été, j’ai essayé le petit short et j’ai trouvé qu’il avait plus chaud ce jour-là, il avait de plus une petite bosse à l’entre jambe de son pantalon, mais ça à l’air d’être une toute petite bite. Pas attirant en tout cas. Tatiana elle, elle aimerait que cette petite bosse soit pour elle mais elle n’arrive pas encore à attirer son attention.
Pourtant elle se promet d’y arriver.
Elle pas si mal conservée pour une quarantaine bien tassée même si elle est un peu boulotte, elle doit encore plaire. En tout cas, elle n’a pas dû connaître que son mari dans sa vie même si elle s’est mariée à 19 ans. Je ne la vois pas beaucoup au boulot car nous nous relayons à mi-journée. Je la connais surtout car nous sommes sorties quelques fois ensemble, au resto souvent, dans un bar une fois et chez elle quelques fois. Elle dit que je suis belle comme tout et c’est un gâchis de me voir toute seule. Elle m’a dit aussi avoir vu son mari me reluquer plusieurs fois et que je dois être à son goût. Elle n’est pas jalouse mais je l’ai assurée que ça n’arrivera jamais, je crois qu’elle a confiance.
Elle est pote aussi avec Isa, et j’ai bien vu aussi que Moussa pourrait l’intéresser, elle a sans cesse le regard sur son entre-jambe et doit être envieuse d’Isa d’avoir un si gros membre à disposition.
A l’annonce de son départ, Isa m’a assuré qu’on se verrait aussi souvent mais je vois bien que ce n’est pas le cas, nos visites s’espacent et nos confidences sur l’oreiller me manquent. Son remplaçant est arrivé il y a trois semaines, je ne l’ai pas vu dès le début, j’ai juste entendu du bruit à côté. Puis, j’ai aperçu, par ma fenêtre car je la regarde souvent, un très beau garçon la trentaine, brun, bronzé, assez grand, à l’allure sportive et très bien habillé. Au début je n’ai pas fait le rapprochement mais le soir j’ai un peu fantasmé sur cette vision, rêvant que cette belle silhouette vienne frapper à ma porte. Je ne me suis pas caressée ce soir là mais j’ai fait de beaux rêves.
J’ai recroisé le jeune homme dans mon quartier et là je l’ai trouvé vraiment beau, comme je les aime et me disant qu’il ne devait pas habiter bien loin. Le soir en rentrant, j’ai vu qu’un nom avait fait son apparition sur la boîte aux lettres de l’appart d’à côté : Marc.
Un matin, le jeune homme est venu à la supérette et là j’ai pu le regarder de près.
Et dire que j’étais mal fagotée, pas coiffée, pas maquillée et pas parfumée, je n’ai pas dû lui faire une grosse impression en plus je n’ai pas su trouver les mots pour lui parler, je devais être toute rouge et il n’a même pas eu le droit à un au revoir ! Quelle gourde je suis.
Le lendemain, j’ai pensé à mieux soigner mon apparence, on ne sait jamais. Je me suis maquillée et mis une jupette avec des collants et mon chemisier le plus échancré. Malheureusement, il n’est pas venu et c’est le patron qui ne m’a pas lâchée des yeux. Là il avait un regard plus libidineux et je crois bien que si on s’était retrouvé dans la réserve, il m’aurait sauté dessus. Je n’ai pas aimé et je ne reviendrai jamais dans cette tenue. Bien plus tard, j’apprendrai que c’est Tatiana qui a eu droit ce jour là mais que ça n’a pas été le coup de sa vie. Elle ne m’en a plus jamais reparlé.
Cela faisait maintenant plusieurs jours que je n’avais pas vu le beau jeune homme dans le quartier et perdu un peu mes illusions quand, à ma grande surprise au moment où je rentre dans l’immeuble, il est là devant moi à fouiller dans une boîte aux lettres puis commence à monter les escaliers. Je reste bouche bée à lui mater l’allure élancée, ses épaules, son dos, ses fesses et ses cuisses. Tout me plait en lui, même les trainées de parfum encore présents dans le hall. Je reconnais sans problème la boîte aux lettres qu’il a visitée, c’est celle de Marc ! Ainsi, il se pourrait qu’il soit mon voisin !
Je sens déjà quelques petits frétillements dans mon ventre et je rentre à mon appart. J’écoute à travers la cloison et j’entends la douche couler donc, il y a bien quelqu’un à côté. Les indices se multiplient et je commence à croire fermement que c’est bien lui. Je m’imagine le voir dans sa douche et pouvoir le rejoindre. Là ma petite culotte commence à être sérieusement trempée et je m’allonge tout en retirant mes fringues. En sous-vêtements, je passe une main dans ma culotte pour fourrager mon petit bouton et une main sur mon soutif à triturer les tétons de mes seins.
Maintenant, je l’entends chanter sous la douche et sa voix mélodieuse et masculine vient me faire vibrer tout le corps. J’ai l’impression qu’il est là auprès de moi et qu’il ne va pas tarder à intervenir. Mais, il s’interrompt dans son répertoire et j’imagine qu’il fait autre chose que se laver car l’eau a cessé de couler. J’ai l’impression de tout voir et dans mon imaginaire, il prend sa grosse queue dans sa main pour se tailler une magnifique branlette. Moi je n’y tiens plus et mes sous-vêtements ont maintenant totalement disparu, j’ai deux doigts dans la chatte et m’imagine que c’est son gros dard qui me pilonne.
Il y va fort car je l’entends jouir au travers de la cloison, ainsi il était bien en train de se branler. Là c’en est trop pour moi et mon corps tout entier est pris de tressaillements et le jus s’écoule de ma chatte par saccade. Quel pied, je n’ai jamais aussi bien joui de ma vie, ma chatte est trempée et le bout de mes seins est tout dur, presque douloureux. Lui il refait couler l’eau, sans doute pour évacuer son liquide précieux. Je mets plusieurs minutes à émerger en continuant doucement les caresses sur mon corps. Quand je sors de mes rêveries, j’entends sa porte claquer et il s’en va. Je me précipite à la fenêtre pour tenter de l’apercevoir et j’ai une vue furtive de lui se retournant et regardant ma fenêtre, moi je suis toute nue derrière. J’ai un petit mouvement de gêne. Je ne crois pas qu’il m’ait vue mais il faudra que je sois plus prudente à l’avenir !
Le reste de la matinée, je me suis douchée et encore un peu touchée en repensant à ce qu’il avait fait, j’ai mangé et je suis partie travailler. Le patron avait perdu son regard lubrique et ç’a m’allait bien, je ne voulais pas qu’il pense avoir la moindre chance avec moi. En soirée, marc est venu à la supérette et je n’ai pas su lui parler, c’est le patron qui s’en est occupé et moi je l’ai regardé discrètement par-dessus les rayons. Il m’a quand même dit bonjour et moi j’ai balbutié maladroitement quelque chose d’incompréhensible en ayant l’impression de rougir honteusement.
Vraiment quelle gourdasse je fais. Je ne sais pas quoi faire pour qu’il me remarque. Le soir, je finis à 20h00, je rentre et je ferme la porte en étant claquée autant physiquement que moralement. En préparant ma popotte du soir, j’entends rire de l’autre côté de la cloison. Je vais dans ma chambre pour entendre mieux et perçois la voix de marc et une autre féminine. Je rage il reçoit une autre femme que moi. Pourvu que ça n’aille pas trop loin. Je me décide à prendre mon repas, seule comme d’hab, et ne pas en tenir compte. Vers 22h je vais me coucher avec l’ordi.
On dirait qu’il n’y a plus personne à côté. Mais plus au calme, j’entends le lit légèrement grincer, il y a un peu de mouvement on dirait, est-il seul ? Je décide de me mater un petit porno sur porn hub pour passer le temps et alimenter mon rêve cette nuit. Pendant mon choix, j’avoue que je recherche un acteur ressemblant à marc, j’entends des petits soupirs et des chuchotements. Là pas de doute, il n’est pas seul. Ce doit être des bruits de succions que j’entends et je les imagine en 69 se faisant du bien mutuellement, j’envie très fortement la femme qui l’accompagne et ôte ma chemise de nuit pour me retrouver en culotte. Je laisse l’ordi de côté avec un film pris au hasard qui défile.
Les gémissements se font du plus en plus forts et je distingue bien maintenant deux tonalités. Ma main droite prend la direction de mon bas ventre et ma gauche pince le bout de mes seins avec frénésie. Je me masse au travers de ma culotte mais bientôt je trouve qu’elle est de trop au contact de mes doigts sur mon minou enflammé. Je m’en sépare et pendant ce temps les bruits deviennent de plus en plus clairs, j’ai entendu « préservatif » et j’imagine marc grimpant sur sa salope de partenaire. Le film porno est lui aussi très suggestif et commence à attirer mon attention, le mec se mettant aussi en position pour pénétrer assez énergiquement sa partenaire, dans la chambre d’à côté, elle pousse un petit cri qui devient des gémissements, le lit craque à chaque coup de buttoir que marc lui donne. Moi ma chatte en feu n’en peut plus et mes doigts ne suffisent pas à la calmer, je mouille comme une folle et je vois presque marc à la place de l’acteur porno du film, il est extrêmement bien membré et à l’air de donner un plaisir ravageur à sa compagne. Je m’imagine à sa place mais avec marc et ça marche, les gémissements d’à côté sont les notre et marc est l’étalon. Il doit aussi savoir bien y faire car la fille ne se tient plus. Moi, j’ai sorti un god pour matérialiser ce gros membre qui pénètre l’actrice porno.
Tout se mélange et marc et sa compagne jouissent presqu’en même temps et moi je me suis tellement lâchée que j’ai dû faire du bruit aussi, sans m’en rendre compte. Quel pied ! C’est marc qui m’a baisée ce soir. L’acteur porno lui n’en a toujours pas fini, c’est incroyable l’endurance de ces mecs-là. Je le laisse poursuivre pour m’inquiéter de ce qui se trame derrière la cloison. La douche coule, marc lui parle, elle répond à peine, elle semble se chausser, j’entends ses talons hauts sur le sol, la porte s’ouvre puis claque. Dis donc, c’était juste un petit coup vite fait ! Une pute ? En tout cas je suis rassurée, il ne va pas me ramener une greluche qui risque de s’imposer. De toute façon, l’appart est trop petit pour deux non ?
J’ai décidé, à partir de ce soir de tenter ma chance coute que coute. Il faut absolument qu’il se couche sur moi avant la fin de semaine, sinon je ne vais pas tenir car je suis dans un état … que même le mari de Tatiana pourrait faire l’affaire.
Le lendemain midi, quand je me rends au travail, mes pensées ne sont que pour marc et pour avoir l’air moins nunuche que les autres fois, je me suis maquillée et habillée d’un style plus sexy. Au travail, je ne pense qu’à la soirée d’hier et mes secrétions vaginales se sont mélangées à la sueur me coulant par la raie des fesses. A un moment, j’ai une bonne partie de mon corps qui a été pris de frisson quand j’imaginait marc derrière moi me tripotant les seins et sa bite tentant de fourailler ma vulve, j’avais les joues très empourprées et ce couillon de patron a commencé à me faire des avances. Sans parler, il m’a saisi par les hanches et tenté de coller sa toute petite bite contre mon cul en disant :
- On dirait que je t’excite ma belle, depuis le temps que j’attendais ça.
- Moi pas - répondis-je - dégagez de mon chemin et laissez-moi tranquille. Jamais vous m’entendez, jamais vous n’aurez mes faveurs. Je ne vous aime pas vous comprenez !
Devant tant de fermeté, il recule d’au moins trois pas en balbutiant quelque chose d’incompréhensible. Ce fût le première et la dernière fois qu’il tenta sa chance. Ensuite, il retourne à ses occupations pour avancer dans ses 14 heures de travail quotidiennes. Pauvre chou, s’il était monté comme un âne peut-être, mais là …
La journée se termine sans problème et mon patron a réussi une chose, c’est à faire retomber mon excitation. Le soir venu, personne dans l’appart d’à côté, je prends ma douche et je vais donc tenter d’envisager une stratégie. L’idéal serait que j’arrive à chopper son numéro de portable et l’appeler au secours en petite tenue et là, enfermé dans ma pièce, il ne pourrait pas résister bien longtemps à mes provocations. Mes provocations, est-ce que je saurais faire ? Est-ce que je ne perdrais pas tous mes moyens ?
C’est perdue dans mes pensées à imaginer plusieurs scénarii que j’entends sa porte qui claque. Au moins il est seul et si je veux agir, il faut faire vite. Je me change rapidement pour mettre ma culotte et mon soutif blancs à dentelle, celui qui me dessine si joliment les seins puis ma petite robe à fleur achetée il y quelques jours, assez courte pour montrer une bonne partie de mes cuisses, mais pas trop pour en laisser deviner, avec un bon décolleté qui lui aussi ne montre pas tout. J’improvise un peu car ça presse : j’entends qu’il fait couler sa douche. C’est le bon moment. Un petit coup de parfum, un coup de brosse dans les cheveux et me voilà partie à l’aventure si précipitamment que j’en ai oublié mes chaussures.
Je sonne à sa porte, le cœur palpitant à la chamade, tout excitée de ne pas savoir ce qui va se passer. Marc met un peu de temps à ouvrir, je comprends le temps de s’habiller, moi j’aurais préféré qu’il ne le fasse pas !
C’est un marc tout mouillé (comme moi d’ailleurs) qui vient m’ouvrir, il n’a pas pris le temps de s’habiller et une simple serviette autour de la ceinture lui sert à cacher son entre jambes. Il est tellement beau ainsi avec son torse musclé et bronzé perlé de gouttelettes, ses cheveux plaqués car aussi très humides, ses épaules larges et découvertes, son ventre plat, ses bras solides me donnent envie qu’il me prenne et m’embrasse vigoureusement. Comme je passe un peu trop de temps à le scruter, il a un regard interrogateur pour savoir ce que je veux.
Moi, ce que je veux, c’est qu’il me prenne et vite, ma culotte va devenir une éponge, donc je balbutie :
- Voulez-vous me prendre … du sel s’il vous plaît ?
- Non, pourquoi vous en vendez ?
C’était assez cocasse, je l’avoue, mais moi je ne suis pas très fière. Je dis :
- Bonjour, je me présente, je m’appelle Julie, je suis votre voisine- dis-je en montrant ma porte du doigt.
- Bonjour, moi c’est marc – dit-il en me serrant la main d’une poigne ferme et doucereuse en même temps.
J’aime déjà ses grandes mains à la peau si douce.
- Veuillez me pardonner de vous déranger, mais auriez-vous un peu de sel et un peu de lait pour mes crêpes ? – alors là j’assure !
- Oui probablement, mais comme nous nous sommes présentés, pourquoi ne viendriez-vous pas les faire vos crêpes ici ? Moi je ne sais pas quoi manger et je n’aurais rien contre une crêpe partie.
- D’accord (même si c’est d’une autre partie dont je rêve).
- Allez chercher vos ingrédients, pendant que je m’habille. (Honnêtement, vous pouvez rester comme ça), on se retrouve tout de suite.
Oh oui, je me dépêche. Je suis excitée comme une puce, dès le premier soir obtenir une invitation chez lui s’est inespéré. Tout ce que j’avais échafaudé comme plan est tombé à l’eau mais j’ai réussi sans réfléchir, spontanément. Je fais le tour de ma cuisine, mais je n’y trouve ni lait, ni farine mais il y a le sel. Pour ne pas avoir l’air ridicule en n’apportant que le sel, je décide de prendre un litre de cidre. En espérant qu’il ait le reste …
Vite fait, je me regarde dans la glace, pour savoir ce qu’il va voir et ma fois, ça ira très bien, je décide juste de me tirer les cheveux en arrière et les tenir par une queue de cheval. Je sais que moussa me disait souvent que j’étais très belle ainsi coiffée. Pour le maquillage, ça ira. Comme je crains d’avoir un peu mouillé ma culotte tout à l’heure, j’en change rapidement, on ne sait jamais. Cette fois-ci je mets mes chaussures histoire d’avoir la panoplie complète et un petit gilet noir sur mes épaules.
Là, je suis prête et je retourne chez mon voisin le cœur rempli de joie et de bonheur. Lui a passé une chemise bleu ciel à col ouvert, avec les manches repliées aux coudes et un jean moulant jurant qu’il n’a pas de caleçon en dessous. Il est très sexy les cheveux encore mouillés mais bien coiffés, l’ouverture du col de sa chemise laisse voir une partie de ses pectoraux fermes et bronzés.
En passant derrière moi, il laisse ses mains me débarrasser de mon petit gilet noir, -pour me mettre à l’aise dit-il. Il prend aussi la bouteille de cidre et me dit :
- Du coup, c’est tout ce que vous avez pour les crêpes ?
- Oui, je pensais être plus riche ! dis-je avec embarras
- Pas grave, je vais voir ce que je peux faire.
- Il y a longtemps que vous habitez là ? - dis-je, en feignant de ne pas le savoir.
- 3 semaines, on s’est croisés plusieurs fois je crois (c’est bon, il m’avait remarqué !). Tout est parfait, j’ai tous les ingrédients, par contre, je suis une bille en cuisine, vous pourriez vous en occuper ?
- Pas de problème, je fais des crêpes depuis toute petite.
La soirée débute à merveille, mon hôte est prévenant et très bien élevé. J’espère toujours qu’il va finir par se délurer !
En faisant la pâte à crêpe, les secousses du mélangeage font bouger toutes les parties charnelles de mon corps et ça n’a pas échappé à son regard, je le vois me mater les seins qui balancent de droite à gauche rythmés par le fouet. Son regard est loin d’être désagréable et je dois dire que je prolonge volontiers cet exercice vu qu’il à l’air de plaire à l’hôte de ses lieux. Puis je dis :
- Maintenant, il va falloir qu’elle repose 1 heure au frigo
- Ah bon, je ne savais pas. On va bien arriver à s’occuper pendant 1h. Déjà, je propose que l’on se tutoie, tu ne penses pas ?
- Oh si, ce sera moins formel comme ça et puis ça va me mettre à l’aise.
- Mets-toi à l’aise tant que tu veux, ici c’est comme chez toi. Je te propose de prendre un petit apéritif ?
- Oui mais je n’ai pas du tout l’habitude de boire.
- Du champagne, ça ne se refuse pas.
- D’ac, mais un tout petit peu, si j’en bois de trop, je ne me tiens plus.
- Mon intention n’est pas de te faire boire.
Sa voix est suave, virile, masculine, il s’exprime très facilement et a un charme fou et encore plus dans sa façon de bouger. En fait, il est en train de me séduire et ça marche plutôt bien, je décide de me laisser faire. Nous sommes assis dans le canapé, le champagne devant nous et je laisse volontairement ma robe remonter sur le haut de mes jambes croisées. Lui, le regard franc et direct, ses beaux yeux bleus envoûtants sont assez accaparants. Pris sur cette fixette, je ne remarque pas que mon verre est vide et qu’il m’en ressert un. C’est vraiment un moment délicieux, une soirée idyllique. Je ne suis pas excitée mais bien et détendue. Son sens de l’humour fait mouche. Il m’arrache tellement de sourires et même de rires j’en oublie presque mes objectifs de finir dans son lit et me faire baiser.
Là il se lève et dit :
- Je reviens
- Voilà une photo de moi avec une joueuse de tennis, je trouve qu’elle te ressemble comme deux gouttes d’eau.
- C’est Caroline Garcia.
- Oui.
- Tu es sorti avec Caroline Garcia.
- Oui, même mieux, on a été amants pendant treize mois. Avec elle, ç’a été l’amour fou !
- Contente de l’apprendre – dis-je un brin contrariée
- Non, je ne veux pas te vexer, mais tu lui ressembles tellement, c’est troublant !
- On ne se ressemble pas tant que ça !
- Oui, c’est vrai, il me semble que tu as un corps encore plus parfait que le sien. En tout cas, moi je suis fan. (de moi ou de caroline ?)
Donc, il m’a regardé sous toutes les coutures, bon point pour moi …
- Bon c’est pas le tout, lâchons les photos et le passé pour revenir à ce soir et nos crêpes, on attaque ?
- Oui, je vais essayer d’être bonne, car le champagne commence à me saouler.
- Bon ça va aller, est-ce que tu peux m’apprendre la cuisine ?
- Pourquoi pas ! Déjà, une poêle très chaude, ensuite un peu d’huile, comme ça, puis une louche de pâte à crêpe, on fait tourner comme ça, on laisse cuire, on retourne comme ça et on met une garniture si besoin, encore un peu de cuisson et on démoule puis c’est prêt. Tu vois c’est simple !
- Ok, je me méfie de ce qui à l’air simple, c’est toujours plus compliqué que prévu. Je veux bien faire ma première, mais j’aimerai bien qu’on la fasse tous les deux, à quatre mains ?
- D’ac !
Je saisi la poêle, lui se tient derrière moi et met l’huile. Je peux sentir ses pectoraux dans mon dos, son souffle dans mes oreilles et ses mains agiles saisir mes mains. Je trouve qu’il me colle de toutes les parties de son corps et je commence à sentir sa virilité. Je prends sa main et la met sur la louche, pour qu’il coule la crêpe. Lui me serre encore de plus près et là je sens son membre durci contre mes fesses. C’est une situation très agréable et je ne fais rien pour résister. Il prend les choses en main en tournant la poêle et moi je mets mes mains sur ses bras musclés. La caresse de ses pectoraux sur mon dos et de sa pine sur mes fesses est terriblement excitante. Je mouille intensément et incline ma tête en arrière pour mieux sentir son souffle. Il retourne habilement sa crêpe et termine parfaitement la cuisson.
En me retournant vite fait vers lui pour être entre ses bras je lui dis :
- Tu t’es moqué de moi, tu connais les crêpes !
- Oui, je voulais juste en profiter pour me rapprocher de toi.
Et là, je ne peux pas résister à notre proximité et je prends sa bouche dans la mienne. Nos langues se mélangent voluptueusement dans un long et tendre baiser. Tout en continuant à s’embrasser, je le colle littéralement et fait une grosse pression avec mon pubis sur sa tige raidi, pour bien lui montrer mes intentions. Lui, il répond à cette pression par une tension délicieuse et toute virile.
Alors, il éteint le feu sous les crêpes et me dit :
- Viens.
Par la main, il m’attire vers la chambre et me dirige vers le lit en me faisant tournoyer. Je fais mine de m’envoler et ma chute fait valser ma robe bien au-delà du nombril. Là, il s’allonge à côté de moi pour m’embrasser avec frénésie. Son baiser chaud et langoureux me donne des fourmillements dans le bas du ventre. Puis après, il enlève sa chemise pour libérer ses pectoraux tant désirés. Ce faisant, il oriente sa tête entre mes cuisses tout en tirant sur ma petite culotte en dentelle blanche.
Sa langue commence à exciter ma vulve déjà bien humide et s’amuse avec les grandes lèvres. Cette douceur provoque en moi toutes sortes de frissons et je suis impatiente qu’il s’occupe de mon bouton de plaisir. Il ne tarde pas et ses passages de langues délicats me font déjà pousser de petits gémissements de plaisir. Qu’est-ce qu’il est tendre et doux, rien à voir avec ma première expérience, qui ne s’était pas très bien passée. Là je m’abandonne complètement à ses caresses et lui saisi la tête pour le guider là où je veux qu’il masse.
Débordant complètement de désir, je serre légèrement les cuisses pour lui faire comprendre de passer à autre chose. Il se relève et j’en profite pour enlever ma robe. Lui aussi fait sauter ce qui lui reste de vêtements et je peux enfin voir son sexe veineux et droit comme un i, il est tellement beau et de taille impressionnante. Je décide de le gouter, je regarde de très près le méat qui me nargue, puis son gland gonflé de désir pour moi puis je le prends dans ma bouche. Marc apprécie ma caresse et pousse maintenant de petits grognements de satisfaction.
Lui entreprend alors de réaliser l’accouplement parfait. Il se met sur moi et s’occupe adroitement de mes seins. Les bouts, déjà hyper tendus, apprécient cette caresse me donnant des frétillements jusqu’au bas ventre. Puis, une main quitte sa zone de jeu, pour prendre sa queue et la guider avec efficacité vers ma chatte toute offerte. L’impatience pour recevoir ce membre dur et chaud, autrement plus efficace qu’un godmichet, n’est pas comblée tout de suite. Marc joue avec son membre à l’entrée de ma vulve, sur mes grandes lèvres, faisant suinter abondamment de cyprine mon petit trou. Je n’y tiens plus et je veux le sentir en moi. C’est moi qui donne le coup de rein énergique qui permet la pénétration tant attendue. Ensuite, je m’accroche à ses robustes épaules, mes jambes autour de sa taille et ses cuisses, je suis ainsi reliée à lui et nos corps ne font qu’un. Je peux l’embrasser dans le cou et lui susurrer mes mots doux à l’oreille. Il est dans cette position, au plus profond de moi et je peux tout à fait sentir sa chair palpiter dans mon vagin. Il est impatient.
Je me décide à libérer un peu mon étreinte pour qu’il puisse commencer ses mouvements de va et vient et ainsi approfondir notre plaisir. Lui, il veut changer de position et me fait tourner d’1/4 de tour et allongée sur le côté droit, il se positionne derrière moi pour coller son gros membre gorgé de sang contre mes fesses. De sa main gauche, il tripote furieusement mon sein gauche, je trouve cette caresse exquise, puis son membre parvient à me pénétrer sans même être guidé, ma chatte et son gland étant suffisamment humides. Je peux sentir son souffle dans mon cou et son gros membre venir buter le fond de ma chatte. Ses mouvements sont terriblement virils, mais tellement doux à la fois. J’ai l’impression d’osmose et que sa bite est adaptée à mon anatomie. Elle me procure un plaisir intense, jamais connu jusqu’à maintenant, et je ne peux pas contenir plus longtemps les flots de l’orgasme qui arrive. Je jouis intensément, longtemps et profondément dans tout mon corps. Tous mes sens sont mélangés et il me faut un moment avant de récupérer.
Lui n’en a pas fini, il a attendu la fin de mon plaisir pour continuer à me pistonner. Là, il m’a fait à nouveau changer de position pour me mettre à quarte patte et me prendre sauvagement en levrette. Je le sens tellement bien en moi, ses coups de rein sont tellement précis, j’étais tellement en manque de sexe que je ne tarde pas à avoir un deuxième orgasme, tout aussi puissant que le premier.
Mais lui n’a pas envie d’arrêter en si bon chemin, quel amant, quelle endurance, c’est mon étalon !
Alors il me demande s’il peut passer par le cul, moi je lui réponds que je n’ai jamais essayé par cet orifice et que j’ai peur d’avoir mal. Alors, il saisi dans sa table de nuit un tube de vaseline qui devrait permettre à sa grosse queue de forcer un peu mon passage étroit. Moi j’ai un peu peur, sa queue est si grosse, ça ne passera jamais.
Il me rassure, dit qu’il ira lentement et que je peux lui dire d’arrêter à tout moment. C’est d’accord, essayons. Là il me fait allonger sur le ventre, cuisses légèrement écartées, il m’enduit le petit trou de cette pâte visqueuse, puis s’en enduis le sexe. Il me conseille de pousser quand il rentre. Là j’essaie mais c’est trop douloureux et je préfère lui dire de stopper.
Il comprend et s’allonge auprès de moi, la queue toujours aussi grosse et dure. Il essuie le reste de lubrifiant inutilisé et moi je me décide à le prendre dans ma bouche. Je commence par une lente succion avec la langue sur son gland et mes mains tripotent ses couilles puis je le prends entièrement dans la bouche avec des mouvements de haut en bas, lent dans un premier temps, puis de plus en plus rapide, ma langue tournoie rapidement autour de son gland et mes mains sont parties explorer ses pectoraux. Pendant tout le temps de mes caresses on ne se quittent pas des yeux et lui produit de petits râles approbateurs sur la qualité de mes mouvements. Il tient encore, tout en éprouvant du plaisir, quel amant vous dis-je ! ça vaut tous les acteurs du porno !
Alors, toujours allongé sur le dos, il m’invite à le chevaucher pour m’asseoir sur sont poteau et ainsi imprimer les mouvements à ma guise. Lui, il peut me caresser les hanches, le ventre, les seins je le vois toujours me regarder avec ses yeux magnifiques prendre du plaisir dans cette position. Une de ses mains descend maintenant vers mon bas ventre et entreprend de s’occuper de mon clito. Cette caresse est de trop pour moi et je ne peux pas retenir mon troisième orgasme. C’est puissant et voluptueux à la fois.
Puis, il m’invite à m’allonger sur le dos et se met au-dessus de moi, sa queue toujours aussi raide, il entreprend de la glisser entre mes seins. Tout en saisissant ceux-ci, il se met à faire des mouvements entre les deux seins. Moi je vois de plus en plus près son méat s’ouvrir à l’approche de ma bouche. Va-t-il jouir ainsi et me gicler sur le visage ?
Non, il change encore de position pour revenir sur moi et me pénétrer de sa bite toujours aussi dure. Quelle nuit de folie ! Là ses mouvements sont moins précis, plus saccadés et son souffle est parlant. Il va venir, je le sais, je le sens. Tout en étant concentrée sur l’approche de sa délivrance, je ne peux que constater que moi aussi je suis toujours aussi émoustillée et je ne tarde pas à le rejoindre dans la jouissance. C’est ensemble que nous explosons et nos liquides organiques se confondent et se mélangent dans l’organe le plus reproducteur de mon anatomie. J’ai mes mains sur ses fesses pour ne pas en perdre une goutte. Lui, tous les muscles bandés, pour un gros râle de satisfaction et la déformation de son visage indique l’intensité de son orgasme. Moi c’est le quatrième ce soir, incroyable, on dirait que je ratt le temps perdu. Certaines femmes n’en ont pas un seul dans une vie et moi en une nuit …
Après quelques discussions, nous nous écroulons de fatigue pour le reste de la nuit. Ce fût pour moi une nuit magique et je savais qu’il y en aurait d’autres. Je sentais que c’était l’homme de ma vie.
Je tombais amoureuse dès la première nuit.
Depuis, on a réussi à faire et à manger nos crêpes le lendemain, mais après le repas, ç’a encore dérapé et on a passé à nouveau une nuit formidable. Puis on en a eu marre de franchir nos portes pour se voir, on a décidé de casser la cloison de nos chambres, sans le dire aux proprios, comme ça, on a un appartement plus grand, idéal pour deux !

Voilà mon histoire, j’espère qu’elle vous a plu. Et vous, avez-vous déjà regardé votre voisin par la fenêtre en étant nue ?

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