Max (2) Remplace Son Lit Par Un Vrai Homme

Après avoir passé des moments chaud avec mon lit, j’avais envie de découvrir de vrai moment de chaleur humaine. J’ai eu différentes petites copines avec qui j’étais bien. Nos moments intimes se passaient normalement mais il me manquait quelque chose à chaque fois alors j’ai continué à profiter de moment seul dans la maison de mes parents pour exploser mes entrailles avec un des poteaux de mon lit.

Je me suis lancé dans la vie professionnelle et pourtant je continue de vivre chez mes parents. Je dois dire que j’ai opté pour la facilité car j’ai moins de dépense, même si je participe au frais de la maison. Surtout je n’ai pas les soucis du quotidien (lessive, cuisine, ménage…).

Lorsque j’ai une copine, je me rends chez elle car la seule règle que m’impose mes parents est l’interdiction qu’une fille passe la nuit chez eux. Je n’ose pas imaginer la tête de mon père si j’avais demandé qu’un homme partage ma chambre!

De toutes les façons je ne fais pas de rencontre masculine et même si j’apprécie me sodomiser avec des objets que je trouve, je me sens pas gay. Je vis mes moments avec mes conquêtes du moment et quand je ça se finit j’en cherche simplement une nouvelle. Je pense que malgré mes 29 ans, je ne suis jamais tombé amoureux mais ça ne me dérange pas.

J’ai 15 jours de stage sur Paris, comme j’habite loin de la capitale, je suis obligé de prendre un hôtel sur place. Mon budget étant très serré j’opte pour un petit hôtel à Créteil, ça me permet d’être sur la bonne ligne de métro. Il y a pas mal d’ouvrier qui loge aussi dans cet hôtel, l’avantage c’est que le soir c’est très calme.

Je préviens mes parents que je ne rentrerai pas pour le week end car les deux nuits d’hôtel me coutent moins cher que l’aller retour en train. La version officieuse c’est aussi que j’ai envie de profiter de faire des sorties dans la capitale. Je m’y mets dès le vendredi soir en sortant près de la Bastille.



J’ai beau aborder les filles qui me plaisent mais je ne me prends que des râteaux. D’ailleurs la plus part me répondent simplement qu’elle attendent leur petit copain. En fin de compte, je rentre bredouille à mon hôtel, la queue entre les jambes. Le problème dans les hôtels pas cher, c’est que les cloisons sont plutôt fines, mais l’avantage c’est que lorsque je me retrouve nu dans mon lit j’entend un couple faire l’amour.

Leurs bruits m’excitent de plus en plus et je me branle en m’imaginant m’occuper de madame qui a une voix qui porte bien. Je me masturbe frénétiquement en m’imaginant m’occuper du cul de la dame dont je n’ai aucune idée de son physique. Monsieur est très endurant car ils ont commencé avant moi et j’éjacule déjà. Une fois l’excitation redescendue, je dois dire que leurs bruits m’empêches maintenant de dormir.

Le samedi, j’en profite pour dormir un bon moment, j’ai mis quand même un réveil pour ne pas rater le petit déjeuner (le prix est compris dans la chambre). Ensuite je vais profiter de la journée ensoleillée pour visiter la capitale et en fin d’après midi, je me rends dans un bar près la place de la République, l’intérieur est vide mais la terrasse bondée.

Je m’installe à la seule table de libre, comme dans un premier temps, je veux uniquement me détendre, j’ouvre mon journal et le lis. J’adore le sport, aussi bien le pratiquer que de le suivre à la télé, du coup je lis le plus régulièrement possible l’Equipe. Je suis plongé dans les pages foot quand une voix derrière moi me demande:
« Tu en penses quoi de l’O.M.? »

Comme on est à Paris et que je sais bien que les villes sont rivales je n’ose pas répondre que c’est l’équipe que je soutiens. Je me retourne et je découvre un mec qui doit avoir mon âge, il est plus grand que moi, à les cheveux très foncés et une peau assez matte. Je descelle un petit accent quand il parle mais je ne pourrai pas dire d’où.

Il me demande si j’ai vu le match de la veille mais je lui réponds que je découvrais la capitale et ses charmes.
Il vient s’assoir à ma table en emportant sa bière et me demande d’ou je viens. Je lui réponds et lui explique que je suis ici pour seulement deux semaines car je suis une formation.

Il me répond que lui est ici pour un mois car il a trouvé du travail sur un gros chantier. Sinon il habite à Montpellier, du coup peut être que lui aussi soutient l’O.M. Je me décide enfin à me présenter, je tends ma main et lui dit:
« Max »
Il serre ma main et me répond « Pablo ». Comme son verre est vide, il nous commande deux bières. Nous n’arrêtons pas de parler de nos vies, nos activités mais aussi les filles.

Ni lui ni moi n’avons de petites copines en ce moment. La discussion sur les filles ne durent pas très longtemps nous préférons parler sport. Vers 22 heures, je lui annonce que je vais devoir le laisser car mon hôtel est assez loin. Je lui propose de se retrouver le lendemain mais il me demande où je loge exactement.

Je lui réponds que je suis sur Creteil, il me répond que lui aussi et nous découvrons que nous sommes dans le même hôtel. C’est étrange parce qu’il est arrivé avant moi et pourtant je me rappelle pas l’avoir déjà croisé dans les couloirs. Un physique comme ça je l’aurait repéré!

Nous continuons à discuter en nous dirigeant vers le métro, c’est agréable de ne pas faire le trajet seul surtout que nous nous entendons très bien. Nous sommes assis sur des strapontins et les mouvements font que nos jambes se frôlent régulièrement. C’est étrange mais ces brefs contacts m’émoustillent plus que je ne le pensais. Ce n’est pas parce que j’aime me rentrer des trucs dans le cul que je suis homosexuel, du moins c’est ce que je pensais.

Une fois arrivé à notre station, nous marchons rapidement car il fait maintenant assez frais et surtout le quartier ne nous semble pas des plus calme. Une fois à la réception, nous récupérons chacun notre clef et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Je suis au deuxième et lui au troisième.
Son bras se balade et ses doigts effleurent les miens, nous nous regardons fixement et une étrange envie nait en moi.

Quand les portes s’ouvrent à mon niveau, Pablo me souhaite simplement une bonne soirée. Je me retourne pour le regarder une dernière fois et je quitte l’ascenseur pour rejoindre ma chambre. Une fois que je referme la porte ma bite est tellement tendue que je me déshabille pour aller me soulager sous la douche.

Quand j’allume la lumière j’entends que l’on tape à ma porte. Je me cache derrière le battant car je me suis pas rhabillé et j’ouvre la porte. C’est Pablo, il me regarde avec un large sourire et admire mon épaule nue. Je ne sais pas quoi lui dire mais il ouvre la bouche le premier et me m’annonce simplement:
« J’ai envie de toi »

Je ne m’attendais pas à ça ou du moins qu’il soit si direct. Je sens mon coeur qui bat la chamade, j’ai envie de le faire rentrer mais je suis comme tétaniser. Mes battements cardiaques ne diminuent pas mais j’arrive à reprendre mes esprits et ouvre un peu plus la porte en me cachant toujours pour ne pas être vue par quelqu’un qui passerait dans le couloir.

Une fois que nous sommes isolé par la porte fermée, Pablo se rapproche de moi et commence à me caresser les bras nus. Comme par réflexe mes mains se croisent devant mon sexe pour cacher mon érection, ça le fait sourire. Il se rapproche de moi jusqu’à ce que nos corps soient collés. Avec sa main il caresse ma joue et sa bouche se rapproche de la mienne.

Je suis plutôt stressé, je n’ai jamais embrassé de garçons; j’ai l’habitude de tous ces gestes mais uniquement avec des filles. Nos lèvres s’entrecroisent, lui au dessus et ensuite c’est mon tour. Je sens sa bouche s’ouvrir et sa langue percer une trouée alors que ses mains sont sur mon dos et descendent vers mes fesses.

Quand nos langues dansent l’une contre l’autre, ses mains reviennent sur le devant de mon corps et il commence à me pincer les tétons.
Je ressens un mélange d’appréhension mais aussi de plaisir. Bien que ma bouche soit collée à la sienne, je commence à gémir quand il les fait tourner entre ses doigts. Je me laisse faire et je profite bien du moment.

Quand nos bouches se décollent j’en profite pour lui avouer que c’est ma première fois avec un homme et que je ne sais pas trop quoi faire. Il me regarde en me souriant et me répond:
« Tu es déjà dans la bonne tenue, pour le reste laisse toi aller. »
Il retire son jean et son t-shirt et se retrouve, tout comme moi, en tenue d’Adam.

Mes yeux ne décrochent pas de son sexe qui est en train de gonfler. C’est la première fois que je vois d’aussi prêt une bite qui n’est pas la mienne et encore plus se tendre et s’exciter pour moi. Je n’ose pas bouger mais Pablo se rapproche de moi et me demande de l’embrasser encore une fois. J’ouvre la bouche pour accueillir sa langue, avant même que nos lèvres rentrent en contact.

Ses mains retournent directement sur mes tétons qui sont plus tendus que tout à l’heure. Nos sexes tendus s’embrassent eux aussi, en arrêtant pas de se cogner. Je n’ose toujours pas le toucher même si sa bite circoncis, contrairement à la mienne, me donne très envie. Pablo cesse notre baiser et me demande de m’allonger sur le ventre.

Il s’assoit sur mes cuisses et commence à me masser le dos pour m’aider à me détendre. J’adore sentir sa queue raide contre mes cuisses et quand il se penche pour atteindre mes épaules son gland vient dire bonjour à mes fesses.Alors que ses doigts continuent de me faire du bien il me dit:
« Tu n’as pas besoin de stresser, on va y aller très délicatement et si tu veux arrêter tu n’auras qu’à me le dire. »

Ses paroles me rassurent et je me décontracte, il doit le sentir au niveau de mes épaules et en profite pour remonter un peu sur moi et bien caler sa bite, qui est plus longue mais plus fine que la mienne, dans ma raie. Puis il me demande si je me sens plutôt actif ou passif. Comme c’est la première expérience je ne sais pas quoi lui répondre même si mes expériences avec le poteau de mon lit me font dire plutôt passif.

Comme je reste silencieux, il parle à ma place en redescendant sur mes cuisses:
« Dès que je t’ai vu j’ai senti un côté femelle en toi, ça m’a tout de suite attiré. »
Je ne parle toujours pas mais profite de ses mains qui sont maintenant sur mes fesses. Il me les masse fermement et alors qu’un doigt se rapproche de ma rondelle, Pablo m’explique que lui est surtout actif qu’il a envie de me faire découvrir le plaisir de sentir mon cul plein.

Ses mains écartent bien mes fesses alors que son index me masse l’anneau en crachant régulièrement dessus. Alors que je me sens m’ouvrir progressivement, je repense au marteau de mon père mais surtout aux poteaux de mon lit. Pablo a heureusement pas le même calibre donc je pense qu’il va pouvoir facilement me pénétrer. D’ailleurs son doigt commence à rentrer en moi, je sens de la chaleur au niveau de mes fesses mais son index à du mal à rentrer.

Il redescend le long de mon corps et son visage se retrouve au niveau de mon cul. Il me le soulève bien puis écarte de nouveau mes fesses, cette fois c’est sa langue qui se pose sur mon oeillet. Le coté râpeux qui me lape avec sa salive qui me lubrifie me fait frissonner de partout. Il dégage sa tête d’entre mes globes et me dit:
« J’avais raison tu as bien un côté femelle. Je vais faire de toi ma femme. »
Et il reprend son anulingus.

Rapidement sa langue rentre dans mes entrailles puis un premier doigt vient la rejoindre. Quand sa bouche me quitte, je le sens remuer derrière moi, son érection se frotte contre mes pieds. Il att un tube et je sens une crème visqueuse et froide couler dans ma raie. Une deuxième doigt ne tarde pas à me sodomiser alors que je sens sa tige palpiter contre mon mollet.

Il se soulève et me fait mettre sur le côté alors que ses doigts sont toujours planté en moi. Sa main reste au niveau de mon derrière, son avant bras vient titiller mon sexe et sa queue se rapproche de mon visage. Je peux mieux l’admirer et me rend compte que même si nous sommes à peu près du même calibres nos bites sont très différentes.

La sienne suit une courbe qui part vers la gauche alors que la mienne est droite comme un piquet. En fin de compte il est tout aussi épais que moi et même un peu plus mais sont gland est étrangement petit par rapport au reste de sa tige. Alors que le mien est plus gros et large que ma bite et très violacé. Son sexe est parcourue d’une multitude de veines, c’est peut être ça qui donne son côté épais.

J’ouvre la bouche pour l’accueillir et la gouter, Pablo se rapproche de moi et met son gland entre les lèvres alors que ses deux doigts s’agitent toujours dans mon cul. Je ne pensais pas que j’apprécierais autant de lécher, sucer et même aspirer le sexe d’un homme. Vu ma position je ne peux pas trop bouger alors je me contente de mettre plus ou moins de pression avec mes lèvres et faire tournoyer ma langue.

Pablo lui fais rentrer et sortir sa bite de ma bouche au rythme qu’il désire mais vu les gémissements qu’il pousse, je dois assez bien me débrouiller pour une première sauf qu’apparement j’utilise un peu trop mes dents. Il quitte trop tôt ma bouche, rajoute un peu de lubrifiant et introduit un troisième doigt avant de revenir dans ma bouche.

Beaucoup plus rapidement, il me fait arrêter, peut être que je lui fais trop de bien. Il retire aussi ses doigts un a un de mes fesses et va chercher un préservatif dans la poche de son jean. Je me rassure en me disant qu’il est d’abord passé dans sa chambre pour récupérer des capotes et du lubrifiant. Après s’être plastifié, il met du gel sur son sexe et me demande de me mettre à 4 pattes sur le lit.

Il monte debout derrière moi et se remet à me masser la rondelle à trois doigts. Il les fait régulièrement rentrer et sortir puis se baisse pour enfin poser son gland, que je convoite tant, à l’entrée de mes entrailles. Il tape contre ma rondelle et me demande de pousser pour qu’il puisse rentrer plus facilement. Son petit gland passe sans trop de problème mais quand c’est sa tige qui commence à me sodomiser je sens mon cul s’écarte.

Je retrouve la même sensation que lorsque je me suis totalement empalé sur le plug improvisé de mon lit. Sa bite m’ouvre les entrailles tout en titillant ma prostate. Plus sa queue me sodomise plus je me sens rempli et épanouie même si un fond de douleur reste présent. Une fois qu’il s’est totalement introduit en moi, il s’immobilise un moment.

Il refait couler du lubrifiant sur ma raie alors que sa bite ressort lentement de mon cul. Grace à se rajout, il glisse facilement en moi et se met à me limer de plus en plus rapidement. La douleur disparait au fur et à mesure pour laisser place un plaisir de plus en plus intense. Ma queue ne durcit pas, sans doute du à une certaine appréhension, mais se balance aux rythmes des coups de reins que je reçois.

Maintenant qu’il me lime de plus en plus sauvagement, j’ai envie de lui crier de continuer à me remplir comme la chienne que je suis. Mon sexe se met à grossir et durcir, il vient me taper le ventre et les cuisses à chaque mouvement. Pablo se met à me traiter de « salope », « de sac à foutre » et tout autres mots crus qui m’excitent de plus belles.

Alors que je couine comme une cochonne vu que c’est la première fois que je prends autant de plaisir à me sentir rempli, il se retire d’un coup sec de mon cul. Il m’att par la taille et me fait me retourner en me disant:
« J’ai envie de te prendre comme une vraie femme! »
Je ne comprends pas où il veut en venir et en plus de sentir un grand vide entre mes fesses, j’ai une boule au ventre qui me fait immédiatement débander.

Pablo att mes jambes et place mes pieds contre ses épaules, il empoigne son sexe et vient le glisser entre mes jambes. Il me sodomise d’un coup sec mais cette fois sans me provoquer aucune douleur, je prends un pied fou quand il commence à me pilonner de plus en plus sauvagement. Je préfère cette position car je peux le voir prendre du plaisir à me sodomiser.

Il garde une main autour d’une de mes jambes et empoigne ma bite avec l’autre. Il me masturbe au même rythme qu’il me lime et mon sexe, qui était complètement flasque, grossit à une vitesse encore inconnue pour moi. J’apprécie de plus en plus qu’il s’occupe en même temps de mon avant et de mon arrière. Sa queue, malgré sa forme étrange, me donne encore plus de plaisir que l’énorme plug en bois de mon lit.

Je me mets à lui demander de me défoncer le cul encore plus virilement, j’ai l’impression d’être sa femelle bien soumise et j’apprécie ça. J’en redemande, je lui demande d’y aller plus vite et plus fort, il me fait plaisir. Je vois le premier homme qui possède mon cul , se mordre les lèvres, il ferme les yeux et se déchaîne encore plus dans mes entrailles avant de déculer d’un coup sec.

Pendant qu’il retire sa capote il me demande si je préfère qu’il gicle sur mon cul ou dans ma bouche. Toutes mes ex-copines ont toujours refusé les éjaculations buccales, comme je ne comprends pas pourquoi je m’assois sur le lit et ouvre en grand ma bouche. Il att ma tête la penche en arrière et hors du lit, après m’avoir allongé sur le dos.

Même si la position est étrange, j’ouvre en grand ma bouche et il enfonce sa queue au delà de ma glotte, j’en ai un haut le coeur mais le garde en bouche. il fait quelques allers retours entre mes lèvres rentre, de nouveau son gland dans ma gorge. Alors qu’il reste ainsi, immobile, je sens que sa bite tressaute en moi. Il se contracte à deux reprises en se vidant directement dans ma gorge.

Il recule un peu pour me laisser respirer et continuer de gicler sur mon palet. Malgré le goût étrange de son jus (c’est le premier que je goûte, j’ai même pas encore testé le mien), j’apprécie plus ce genre d’éjaculation qu’en gorge profonde. Une fois qu’il finit de juter, il compresse sa queue pour faire sortir les dernières gouttes et se retire d’entre mes lèvres.

Je ne sais pas quoi faire de son sperme, j’hésite entre aller cracher et prendre le risque de l’avaler. Je n’ai pas le temps de réfléchir que Pablo se penche vers moi et m’embrasse à pleine bouche pour que nous partagions son jus. Je dois bien avouer que cette façon sa semence a un bien meilleur goût, je sens ma bite palpiter de plaisir.

Quand nos lèvres se descellent, il redescend sur mon corps. Pablo me fourre son sexe flasque dans la bouche et empoigne ma queue. Il me masturbe vigoureusement et en moins d’une minute, j’arrose mon ventre et mes cuisses. Il lèche mes different jets avant de revenir m’embrasser comme quand ma bouche était remplie de son jus. C’est étrange mais j’apprécie énormément de gouter ma propre semence.

Nous nous réinstallons dans le lit mais dans une bonne position, Pablo me prend dans ses bras et je ne tarde pas à m’endormir. Je me réveille à cause d’un bruit dans la salle de bain, mon premier amant n’est plus à côté de moi. Le soleil rentre déjà dans la chambre quand lui ressort de la salle de bain complètement habillé. Sans venir vers moi il quitte la chambre, j’att mon téléphone pour regarder l’heure, il est 9h30 alors je me bouge.

Je me prépare rapidement pour descendre au petit déjeuner. Quand je rentre dans la salle, Pablo est assis seul à une table. Je me fais un plateau et vais m’assoir à la table à côté de la sienne. Nous n’échangeons rien d’autre qu’un « bonjour », je pensais être gêné après la nuit que nous avons vécu mais je suis bien plus à l’aise que lui.

Quelques minutes après mon arrivée, il se lève et quitte la salle. J’att la fin de mon croissant et je me dépêches de le rejoindre avant qu’il ne monte dans l’ascenseur. Quand les portes se referment nous sommes seuls, juste avant qu’elles s’ouvrent à mon étage, je me retourne vers Pablo et comme lui la veille, je lui lance un:
« J’ai envie de toi! »

Je quitte l’ascenseur et Pablo disparait derrière les portes. Je suis un peu déçu mais en me dirigeant vers ma chambre je me dis qu’il va peut être faire comme la veille. Quand je referme ma porte, je me déshabille complètement et attends l’arrivée de Pablo. Une demi heure après toujours rien, je me rhabille et déambule dans l’hôtel mais comme tout le reste de la semaine je ne le vois plus…

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