Collection Zone Rouge. Poupette. Saison I (7/10)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Arriver à faire un crime parfait, chaque personne qui souhaite faire disparaître une personne qui lui déplait ou avec laquelle elle a un différent rêve d’en réaliser un.
C’est peut-être le cas pour moi, la petite poupette.
Poupette qui sous couvert de concours de mini-miss s’est retrouvée propulsée pute dans les hôtels de Las Vegas par Bob mon beau-père.
Beau-père à qui j’ai fait faire un saut de l’ange depuis le balcon du sénateur s’avérant être le chef de ce réseau dans lequel je suis tombée.
Je vois tout l’intérêt de me faire épouser, par ce vieillard presque sénile sans et qui peut me mettre hors de danger pour le restant de mes jours.
En ce moment, je joue une partie serrée entre lui et Tex l’inspecteur de police qui compte bien le faire tomber.
S’il y arrive, c’est moi qui perdrais tout, alors je ruse une nouvelle fois.

• Et si c’était moi qui avais exécuté mon beau-père en le poussant au bas de l’immeuble.
• Là, tu vas trop loin, il était trop massif pour qu’une frêle femme comme toi ait pu réussir à le faire basculer.
Nous arrivons chez moi, viens, nous allons sceller notre coopération.

Nous rentrons dans une petite maison qui se trouve près d’Hollywood.
Je comprends tout de suite que je suis chez un célibataire.
Une question me taraude les méninges, mais j’évite de la poser, son équipe a-t-elle trouvé la cachette de mon pécule accumulé à chaque passe pendant deux ans à Vegas, j’irais voir en le quittant.
Pour l’heure une seule chose m’intéresse sa queue.
Je sais, je suis peut-être positive, mais c’est ma peau que je joue depuis que j’ai tué Bob.
Depuis que je suis tombée dans les mains de toutes ces personnes du réseau, si je pollue l’inspecteur, ce sera un dégât collatéral de l’action que j’ai entreprise.

Si je l’avais voulu, j’aurais remis Tex à sa place étant sûr d’être tranquille.


Vu sa fonction il aurait du mal à justifier à ses supérieurs qu’il a couchés avec la pute au centre du réseau qu’il doit démanteler.
Les photos qu’il m’a montrées sont explicites, l’enquête qu’il conduit devrait l’obliger à avoir des réserves envers moi.

Je dois dire que la queue que j’ai en main et que je prends dans ma bouche va servir mes dessins autant qu’elle va me donner du plaisir.
Depuis le petit Bill qui aurait pu avoir des ennuis pris dans les mailles d’un filet trop grand pour lui quand j’étais suivi à la veille de mes 16 ans et qui m’a permis de tromper mon beau-père me déflorant avant lui.
Bob ce fumier de beau-père, Bob l’éponge, je manque d’éclater de rire à l’évocation de son surnom.

Tex est bien monté, je sens ma petite chatte bien humide, il devrait me sauter sans le moindre problème.
Nous sommes toujours dans le vestibule et n’y tenant plus, il m’appuie sur le guéridon les jambes écartées étant derrière moi, il me pénètre d’un mouvement rectiligne.
Il passe sa main devant moi et me caresse le clito.
La position et les coups de bite de Tex me font partir irrémédiablement.
À Vegas, c’était toujours sur le lit que mon client me couchait et où j’écartais les cuisses toujours pressées de me sexer.
Baiser de façon tarifé, c’était baiser utile, jamais de fioriture.
Il est tellement résistant que je jouis deux fois avant qu’il ne me quitte.
Il me prend la main et m’entraîne dans sa chambre.
Son lit a des draps tout froissés, mais je me fiche de ce détail.
Je veux que sa bite retrouve mon fourreau et m’éclate encore.
Je veux baiser, baiser et encore baiser.
Pépère aura du mal à me donner autant de plaisir que mon amant inspecteur et comme j’ignore ce que l’avenir me réserve à force de prendre des risques au milieu de ce panier de crabes, autant prendre du bon temps.

Depuis presque deux heures, je viens de céder à Tex sa queue entre et sors de moi sans jamais sembler fatigué et surtout éjaculer.

Je suis en sueur alors qu’il m’a fait mettre en levrette et qu’il me bourre en me tenant les hanches.
Je donne des coups de cul espérant le faire lâcher la purée maintenant que je me suis éclaté.
Autant je suis contente du moment passé autant, j’ai hâte de retourner chez moi me changer et retrouver mon argent.

• Tex j’aimerais que tu me remplisses la bouche, j’aimerais voir le goût de ton sperme.

Je sais par expérience qu’une bonne fellation est le plus sur moyen d’achever un homme prenant son temps.
Bob avait de mauvais penchant mais de bon côté, le temps c’était de l’argent, une pute est faite pour vider les couilles de son client et si c’est trop long, là où tu devrais en passer deux, tu en perds un qui passe à la concurrence.

Sans attendre, je pivote et je le remets dans ma bouche.
Là encore, Bob m’a appris le métier en faisant des gorges profondes ce que je réalise formidablement.
Surtout que Tex me prend de chaque côté de ma tête et se sert de ma bouche comme d’un second sexe féminin.
Il y a encore une demi-heure qu’il lime sa bite dans ma bouche, quel homme, si j’étais au tapin, c’est sûr mon mac me foutrait une rouste d’être si longue.

• Putain salope, je sens que cela vient.
Je vais te remplir l’estomac, j’ai bien fait d’éviter de t’arrêter.
J’aurais perdu une complice et une baiseuse professionnelle, si un jour, je veux convoler, je mettrais ma future au tapin quelques mois, car vous les putes en connaissez un morceau pour satisfaire les hommes.

C’est sous ces louanges aux femmes qui se prostituent que je quitte Tex lui promettant de venir bien vite.

• J’ai aimé ta queue, mais il va falloir faire attention quand nous nous rencontrerons, car il faut éviter de donner des soupçons au sénateur que nous le cocufions, surtout avant notre mariage.
• Tu as raison restons prudent, je suis à deux doigts de devenir commissaire si j’arrive à attr toute la bande et surtout le Sénateur son cerveau.

• Dis, j’aurais besoin de récupérer quelques affaires chez maman dans ma chambre, tu peux me déposer !
• Sans problème, je dois retourner écrire mon rapport sur la mort de l’éponge afin de le remettre à mes supérieurs demain.

Nous arrivons devant ma maison, ton les enquêteurs sont partis.

• Merde j’avais oublié que tu habites là, ils ont posé les scellés, attends, je vais les faire sauter.
Voilà c’est fait, tu peux entrer, viens, je te suis.
• Surtout pas, nous serions capables de baiser de nouveau.
Je me change et je rejoins le Sénateur pour signer les papiers qu’il a fait préparer pour notre mariage.
Il faut battre le fer pendant qu’il est chaud et je souhaite me marier le plus rapide possible.
Prévient moi simplement quand je pourrais faire enterrer maman.
• Ainsi que Bob ton beau-père je vais clore sa mort par un suicide et te donner l’autorisation de l’inhumer.

Cour toujours, l’inhumer, il rêve je vais commander leurs incinérations
Quand ce fumier sera parti en cendres, je serais tranquille, il sera impossible à Tex de prouver qu’il y avait au cas où il est de nouveaux doutes.
Le sénateur m’a promis de s’occuper de maman pour la faire incinérer, une petite pipe devrait le convaincre de cramer Bob dans la même cérémonie.

Je vois Tex s’éloigner, il a un mouvement pour m’embrasser, mais se reprend, il a raison on peut être surveillé.
J’entre chez moi et je me dirige vers ma chambre.
Ils ont tout laissé en bazar, je range quelles affaires qui m’empêchent de soulever les deux lattes de parquet où se trouve la boîte de biscuits bourrée de mes paquets de dollars.
Ma cache est vide.

• Allo Tex, je suis chez moi et j’ai un problème.
• Explique-moi ?
• Je cachais de l’argent soutiré à mon beau-père quand nous allions à Vegas, dans une boîte sous le parquet et elle a disparu.
• Il y avait combien ?
• Deux ans de travail à Vegas environ 50 000 $.

• Merde, j’espère mon équipe hors du coup.
Je viens d’arriver au commissariat et personne ne m’a signalé une somme d’argent trouvée chez toi, je vais mener mon enquête je te rappelle, je vais faire le maximum.

Il me faut de l’argent, je vais dans la cuisine.
Maman mettait de la monnaie pour nos menues dépenses elle aussi dans une boîte où il était marqué THE, elle aussi a disparu.
Dans le salon, les quelques livres où je savais qu’elle en cachait sont eux aussi vides, même carrément jetés au sol.
Pour retourner vers le parc, il me reste mon vélo et presque huit kilomètres à parcourir.
Quand, j’arrive toute trempée, la douche que je viens de prendre est loin et après avoir attaché mon vélo, j’entre dans l’immeuble.
Je vois arriver une jeune femme fort jolie au demeurant qui monte avec moi dans l’ascenseur.

• Ou allez-vous ?
• Deuxième.

C’est la fille que j’ai failli en faisant descendre Bob vers le trottoir justement sans cet ascenseur.
Elle descend me salut et se dirige vers la porte située du même côté que celle de notre appartement et qui doit donner sur le parc comme me l’a dit Tex avant que nous soyons amants.

• Mademoiselle, je peux vous voir, j’habite au dernier étage.

Je sors laissant se refermer la porte.

• Oui, venez, c’est de chez vous que ce pauvre homme s’est suicidé.
Depuis j’ai appris qu’il avait le sida.
• C’était mon beau-père.
• J’ai eu de la chance, il est tombé à cinquante centimètres de moi.
Je rentrais de mon travail avec mon vélo et sans une pédale qui a tapé dans le trottoir me faisant perdre l’équilibre, je le prenais sur la figure.
Entrez, vous êtes en sueur, je vais vous offrir une boisson fraîche.

Pourquoi je la suis.
Depuis qu’elle a failli prendre mon souteneur sur la tête, et que j’ai décidé de me venger de nombreuses turpitudes subit à cause de la parano de maman enfermée dans ses certitudes.
Je sens les choses et mon petit doigt me dit que j’ai intérêt à m’en faire une amie !
Mon portable sonne, je décroche.
Enfin une bonne nouvelle…

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