Ted 06 Le Premier Jour 2

TED 06
LE PREMIER JOUR 2


On est resté encore un long moment comme ça, sans bouger. J'avais la tête en feu et le cul … Je ne vous dis pas ! Je sentais mon cul totalement dilaté, c'était une sensation très agréable, maintenant c'était très agréable. Quelques instants plus tôt j'étais à la limite de la panique. Maintenant je me sentais bien, j'avais joui avec sa bitte dans le cul sans juter puis j'avais juté sans jouir quand il s'était retiré. J'avais ses bras autour de moi. J'avais ses lèvres qui m'embrassaient partout ou elle pouvaient se poser. J'avais … Je me sentais comblé. J'étais bien !

Le temps de récupérer, je l'entraînais sous la douche. Sa peau était salée et rugueuse, elle devenait douce et lisse. Je le lavais, il en faisait de même. Je le shampooinais, il en faisait de même. On hurlait pour ne pas se mettre de savon dans les yeux, on riait, on se chatouillait, on se caressait, on s'embrassait, on bandait. De nouveau j'étais bien, dans ses bras, sa queue impressionnant se relevait entre mes cuisses, moi je ne bandais pas, là je ne bandais plus. Je sentais toujours mon cul dilaté, j'avais toujours cette impression d'avoir un gros truc dans le cul. Je m'abandonnais dans ses bras, j'étais bien !

On s'installait sur un sofa, toujours dans la véranda, je me blottissais dans ses bras, de la main il me caressais avec tendresse, je lui caressais le bras. Par moment il passait une main sur mon sexe, il le prenait alors à pleine main, refermait sa main dessus, sans me faire mal ce n'était pas le but, puis il lâchait tout. Si je venais à bander, il n'insistait pas.

Ted : Tu sais, je suis actif, exclusivement actif !
Moi : J'ai vu que tu étais actif !
Ted : Ça te dérange pas ? Tu ne m'enculeras jamais !
Moi : Non ! Moi je suis passif, je suis surtout passif !
Ted : Cool !

…

Ted : C'est ton cul qui m'intéresse tu sais !
Moi : Au moins c'est franc !
Ted : Et tu m'as impressionné, je ne trouve pas souvent des mecs qui sont capable d'encaisser comme tu l'as fait !
Moi : Avec toi c'est sûr … C'est du lourd, genre démonte pneu !
Ted : De camion !

Je rigolais.

Il m'agrippais mon sexe, et me serrait fort.

Moi : Doucement là !

Il n'en tenait pas compte et continuait à me serrer fort tout en m'embrasant. Je supportais, il me faisait un peu mal mais je supportais, j'y prenais presque un peu de plaisir, en fait, j'y prenais du plaisir.

Il me lâchait, m’allongeait sur le dos et me chevauchait, je bandais.

Ted : Tu vois c'est ça que j'aime pas trop …

En disant cela il me tripotait la bitte et les couilles.

Moi : Ça ?
Ted : Bein oui, tu bandes.
Moi : Mais c'est parce que tu m’excites
Ted : Oui mais moi je préfère les mec … soumis … Le mâle c'est moi !
Moi : Et tu n'aimes pas que le mec que tu encules bande ?
Ted : Non !
Moi : Tu as peur de la concurrence ?
Ted : C'est pas ça ! Non mais … Un mec avec une grosse bitte ça suffit, et c'est moi qui ai la grosse bitte !
Moi : Oui, mais j'en ai une aussi moi ! Et on ne va pas l'enlever !
Ted : Ah non tu ne serais plus un mec, et moi j'aime les mecs uniquement !
Moi : T'es pas un peu compliqué dans ta tête toi ?

Je lui caressais la bitte, il bandait de nouveau, j'avais du mal à y croire. Un truc de cette taille, j'en avais déjà eu dans la main mais à chaque fois c'était en plastique …

Il me regardait avec des yeux farceurs. Je me disais : '' Qu'est ce qu'il va me sortir comme conneries là … '' . Finalement il se penchait et attrapait son sac de plage. Il fouillait dedans et en sortait un maillot de bains de petite taille.

Je me disais : '' C'est pas sa taille ça ou alors c'est un de ces truc qui ne couvre presque rien … Ça doit être marrant à porter ce truc . ''.

Ted : Tu veux pas l'essayer ?

Il me laissait me relever, je regardais le truc. C'était un jock-strap, vous savez c'est sous vêtements entièrement ouverts sur les fesses. Devant ça maintient bien tout le matos mais au niveau des fesses c'est grand ouvert, je me disais qu'il devait être sexy avec ça sur lui.


Je devinais rapidement que ce n'était pas sa taille, mais ce truc était très élastique. J'avais du mal à y glisser ma queue, je bandais mais c'était amusant, finalement on était à l'aise avec ce truc sur soi. Je dis '' On '', oui, je sais je devrais dire '' Je '' mais c'est vrai qu'il avait l'air à l'aise avec ce truc sur moi … Lol !

Il bandait ferme de nouveau à ce moment. C'était moi qui lui faisait cet effet ? Si c'est le cas, je ne ne porte plus que ce genre de sous vêtements là c'est sûr. Il me tirait vers lui en attrapant ma main. Il se relevait et je me retrouvais de nouveau dans ses bras. Ma queue ne voulait pas rester dans ce sous vêtement, en le mettant quand on ne bande pas ça devait marcher mais là je l'avais mis et je bandais déjà avant.

Il me serrait fort contre lui, il me glissait à l'oreille …

Ted : Tu penses qu'on peut remettre ça ?
Moi : Je ne sais pas !

A cet instant je sentais ma queue se contracter encore plus, elle dépassait bien droite, bien raide de mon jock-strap. Ouai je suppose que si je le met quand je ne bande pas, ce truc bien ajusté devrait retenir l'érection. Il faudra que j'essaye.

En attendant je lui rendais chacun de ses baisers et je frémissais déjà de désir et un peu aussi de crainte. Je l'avais senti passer tout à l'heure, j'avais eu des moments de panique et si je me sentais bien là, je sentais aussi mon cul se contracte, se dilater puis se contracter de nouveau … Je sentais la panique me reprendre.

Dans ses bras j'étais un pantin, il me retournais en me guidant par les épaules, je suivais le mouvement, résigné … Je me penchais en avant, je m'appuyais de nouveau sur mon fauteuil. Je respirait bien à fond, bien lentement et de nouveau je me détendait dans ma tête …

Le le sentais me lubrifier le cul, tout de suite il y allait fort, il y glissait deux doigts puis presque aussitôt un troisième. C'était bon, c'était super bon.
Jusque là pas de panique …

Quelques instants plus tard je sentais sa queue qui frappait à la porte, sont gland appuyait sur mon cul, je savais qu'il ne resterait pas dehors bien longtemps. En effet il poussait pour entrer, mon cul se dilatait rapidement cette fois, ce n'était pas douloureux mais c'était intense, je sentais le muscle se dilater, se distendre et la panique revenait dans ma tête, je tremblais.

De nouveau j'avais l'impression que mon anus allait se déchirer et une masse énorme m'envahissait le ventre, j'allais exploser sous la pression interne. Je sentais sa queue glisser contre l'ouverture distendue de mon cul, c'était pas le moment de serrer les fesses. Il venait de commencer, il ne devait pas être bien profond mais c'était déjà énorme et je sentais alors son ventre s'écraser contre mes fesses.

La vache ! Il était à fond, là je comprenais mieux pourquoi la sensation était si forte. Pas de douleur, mais c'était tout de même la panique dans ma tête … Dans ma tête et dans mon ventre aussi … Dans mon ventre et dans mon cul.

Il se retirait doucement, je hurlais de plaisir. Il ressortait presque … En fait je ne sais pas, ça c'est ce que je ressentais, mais je ne savais pas vraiment ce qui se passait. Sa queue devait être ressortie, je ne la sentais plus dans mon cul. Il passait un bras autour de mon cou, me tirait vers lui, il m'embrassait dans le haut de mon dos, sur l'épaule, il me pinçais doucement le téton, je relevais la tête et la tournais vers lui, on s'embrassait sur la bouche. Sa queue s'enfonçait de nouveau bien à fond, en fait elle n'était pas entièrement ressortie. Il me bâillonnait avec ses lèvres. Je convulsais, j'étais pris de de tremblement, déjà je jouissais comme un fou, comme jamais !

Quand nos lèvres se séparaient, je gémissait, je gueulais, je crisais, j'étais en larmes, je tremblais, je me cramponnais. Son ventre frappait mes fesses, cette fois ci il ne se contentait pas de les toucher avec douceur, il les frappait mais toujours avec douceur … Je m'effondrais sur le fauteuil ! Ted est musclé il me retenait fermement par le bassin.
Il se retirait de nouveau.

Je devinais qu'il devait lubrifier de nouveau. J'avais la tête dans le fauteuil, j'avais le souffle court, je tremblais toujours et ne parvenais pas à me contrôler. Ted glissait ses deux mains entre mes cuisses, par devant moi, juste à la base de mon sexe, je sentais ses mains se refermer, il me tirait ensuite vers lui, le mouvement était plus rapide et sa queue glissait sans résistance jusqu'au fond de mon gros intestin. Je hurlais de plaisir. C'était la panique dans ma tête, c'était le délire dans mon cul et dans mon corps, dans chaque partie de mon corps, depuis les orteils jusqu'au cheveux, c'était l'extase.

Je jouissais, je gueulais … '' Encore ! '' … '' Oui c'est bon !'' … '' Vas y défonce moi le cul '' ...

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