Folle Soirée...

En ce samedi soir j’étais en compagnie de Thierry, un pote en train de boire un cocktail au comptoir de la discothèque. Comme à son habitude il me parlait de tous et de rien. Chez lui la discussion n‘atteignait jamais des sommets de l’intelligence. Mais je l‘aimais bien ce brave Thierry. C‘était pour moi une agréable compagnie. C’est alors que je fus interpelé par les deux frangines D…, Claire et Elisabeth de leurs prénoms. Toutes deux avaient la vingtaine passées. Assez grande, Elisabeth avait des cheveux raides de couleur châtains, des hanches larges et un beau visage. Plus petite sa sœur, et plus de en rondeurs, Claire avait qu’en a elle les cheveux frisée, et était brune. Elles étaient vêtues ce soir là de jupes et de chemisiers qui leur donnaient une allure plutôt sage. Mais avec mon expérience j’ai souvent pu vérifier que l’habit ne fait pas un moine.
À cause de la musique, cette dernière a dut me coller sa bouche près de mon oreille pour que ces paroles me soit audible. Elle m’a demandé si j’avais de la place dans ma voiture, et si je serais susceptible de les ramener elle et sa frangine ainsi que Fabienne une copine à elles, habitant elle aussi dans la citée. Elle a justifié sa demande en m’expliquant que le chauffeur qui les avait amené, se sentant pas très en forme, était sur le point de partir sur le champ. Mais que cet épilogue n’était pas pour les enchanter toutes les trois. Et que c’était pour cela que depuis un bon quart d’heure elles faisaient le tour de la boite à la recherche d’un éventuel chauffeur de substitution.
Étant sujet à rendre des services, j’ai accepté de les ramener. Elle a reçut ma réponse positive avec allégresse. S’empressant avec sa sœur d’allé la relater à Fabienne. Bien entendu quand j’ai mis au courant Thierry des dernières nouvelles, ce dernier n’en fut pas moins mécontent. Tirant des plans sur la comète, se voyant déjà tirer sa crampe avec la fameuse Fabienne qui n’était pas pour lui déplaire.


Sitôt le dernier morceau terminé les trois filles se sont rapprochées de moi et du pote pour prendre la route du retour. Sur le chemin Elisabeth assise sur la banquette arrière au milieu des deux autres jeune filles, s’est glorifiée d’avoir la culotte toute mouillée. Une demande comme une autre à proposer ses faveurs, à qui soit tenté ! Arrivé au pied de leur immeuble, la même Elisabeth a demandé comme par hasard, qu’un de nous deux l’accompagne jusqu’à sa porte. Elle a justifié cette demande comme quoi elle avait peur de se retrouver devant une mauvaise rencontre. Sachant son emballement pour Fabienne, je me suis alors dévoué à monté avec les deux frangines. Laissant Thierry s’occupait de ramener Fabienne. Pour se faire il m’a demandé l’autorisation de se servir de ma voiture. Ce que j’ai tout de suite accepté. Au pire je n’avais que trois cent mètre à faire à pied pour rallier la distance jusqu’à chez moi.
Alors qu’il a démarré, moi et les deux jeunes filles nous nous sommes engagés dans le hall. Dans la cabine d’ascenseur Elisabeth s’est fait un plaisir de me faire part de l’absence de ses parents.
- Cela te dit de prendre un café ? Me fit-elle.
- Avec plaisir.
Une fois à l’intérieur de l’appartement, elle m’invita de passer dans le salon, alors qu’elle allait préparer le café. Claire après s’être déchaussé fut comme avalé par le couloir qui devait sans aucun doute desservir les chambres, Elisabeth est arrivée avec le café dans une main un soda dans l’autre alors que je regardais les photos de famille posés sur le bahut. Elle m’a invité à prendre place à côté d’elle sur le divan.
- Tu veux du sucre ?
- Non merci !
Après seulement quelques minutes de discussion que je dirai sensé, elle a commencé peu à peu à me provoquer. Mais comme on ne s’est jamais sur le genre de fille sur qui on tombe. Je suis resté sur mes gardes. J’en ai connu qui semblaient prêtes à vous sauter dessus mais qui hurlaient au scandale dès qu’on se permettait un geste osé.
Si elle était autre chose qu’une simple allumeuse, je ne tarderais pas à le découvrir. J’ai alors attendu sagement la suite. Une suite qui ne s’est pas fait trop attendre. Me faisant part d’une gêne un peu
Spéciale :
- Cela t’ennui si je retire ma culotte ?
- Tu fais bien ce que tu as envie, tu es chez toi.
- C’est qu’elle est tellement mouillée que cela devient très désagréable à porter. J’ai l’impression de m’avoir fait dessus.
- Parce que je n’ai pas le cas ? La provoquais-je.
Ces quelques mots eurent pour effet de la faire bien rire.
- Quelques gouttes peut-être !
- C’est de danser qui t’as mis dans un tel état d’excitation.
- Plus au moins !
- Alors quoi ?
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Oui !
Elle a prit une gorgée de son soda avant de lâcher :
- C’est de savoir que j’allais me retrouver en tête à tête avec toi.
- Oh ! Ça tu ne pouvais pas le savoir.
- J’obtiens toujours ce que je veux. La preuve !
Dans sa voix, dans ses yeux, je l’ai senti très attisé. Moi-même, j’étais tout émoustillé rien que de la savoir dans cet état.
- Tu permets que je constate l’état de sa lingerie par moi-même.
- Je t’en prie. Répliqua-t-elle en écartant le compas de ses jambes.
J’ai posais ma main sur son genoux gainé juste en-dessous de sa jupe. Puis je l’ai remonté à l’intérieur de sa cuisse enregistrant qu‘elle portait des bas. Puis elle est arrivée jusqu’à son entrejambe, pour constater qu’elle n’avait pas menti. La petite culotte était trempée. À tordre même. Pour ne pas rester en reste, elle a posé une main à la hauteur de ma braguette, tout en avançant ses lèvres jusqu’aux mienne pour y déposer un baiser. Sa main a continué son exploration sur ce qui était maintenant devenue une belle érection sous la caresse. Puis elle s’est activée sur ma braguette, écartant mon slip pour saisir d’une main ferme mais experte, ma verge. Après l’avoir mise à l’air libre, elle l’a regardé, l’admirant même, avant d’approcher ses lèvres.

Je n’ai pas pu m’empêcher de réprimer un râle sourd quand elle l’a introduit dans la chaleur de sa bouche. Qui faisait une gaine exquise. Elle s‘est activé de ses lèvres pulpeuses sur ma verge. De plus en plus dure et de plus en plus grosse et pleine. Cela semble l’inspirer beaucoup, elle m'a aspiré avec application. Je me suis agité de plus en plus nerveusement sur le canapé.
Elle a continué de me sucer avec une douceur qui me fit gémir doucement. Dans l’extase j’ai tendu mon bras pour glisser à nouveau ma main sous sa jupe et machinalement j’ai tiré à moi sa culotte. J‘ai pu enregistrer que son entrecuisse était inondé d’excitation.
Quand je pense que j’étais la cause de cette mouille. J’en étais très fier ! J’ai porté la petite lingerie à mes narines. Inhalant longuement l’odeur de femme en rut qui en émanait.
- Putain ! Je n’en reviens pas ! Fit-elle après avoir recracher ma verge. Un mec qui flaire ma culotte. Tu ne préférais pas mieux sucer mon minou. Ajouta-t-elle d’une voix rauque et une lueur salace dans ses yeux.
-Pourquoi pas. Répondis-je.
Elle me sourit et prestement prit position sur le canapé. Je me suis agenouillé entre ses jambes. J’ai ôté sa chaussure et j’ai posé mes lèvres sur la plante de son pied pour doucement arrivé jusqu’à sa cheville. Remontant le long de sa jambe. Sous l’effleurement, elle a frissonné. Ma tête a glissé sous la jupette tout en embrassant le haut de ses cuisses. J’ai sentis sous mes lèvres la chair de poule sur sa peau nue, au-dessus du bas. Ma bouche a cheminé à travers un système pileux soyeux, a trouvé l’entaille de la féminité, que j’ai remonté en un imperceptible effleurement jusqu’à l’infime protubérance du clitoris. Elle a eut un petit soupir rauque. Mes lèvres ont tourné sur le bouton de chair sans appuyer, dans une sorte de minuscule vibration. Elle a cambré les reins et sa respiration est devenue saccadé. Soudain elle m’a repoussé avec ses mains. Comme si je l’avais mordu.

- Cela t’ennui que ma sœur nous vois faire l’amour.
J’étais dans un tel état d’excitation que j’étais ouvert à tout. Et pourquoi pas à celle-là !
- Pourquoi pas. M’entendais-je lui dire.
Elisabeth ravie, s’est empressée d’aller chercher sa jeune sœur. Sitôt revenue elle prit la même place qu’elle avait quitté quelques instant plus tôt, alors que Claire a prit place sur le fauteuil.
Quand ma bouche s’est posée sur l’intimité de sa sœur pour la seconde fois, elle a eut comme un léger sursaut. D’une langue veloutée j’ai remonté au ralenti entre ses lèvres de son sexe et j’ai atteins le point sensible. Elle s’est raidit et a laissé échapper un petit gémissement entre ses lèvres. L’extrémité de ma langue s’est mise à œuvrer avec habileté sur le clitoris. Elle a haleté. J’ai fait pénétrer mon index dans son vagin sous les yeux envieux de sa jeune sœur. Avec un râle, elle a écarté davantage les jambes. J’ai continué mon jeu subtil avec ma langue, alors que mes doigts entraient et sortaient de ses entrailles, de plus en plus vite.
Émoustillé par un tel spectacle, Claire a fini par se tripoter. Prenant même plaisir de se faire du bien devant mes yeux. Alors que plus haut, sa sœur fut prise de spasmes, poussant un cri rauque et bruyant, presque animal, pour finir par jouir. Emprisonnant ma tête entre ses cuisses, comme l’aurait fait un étau. Et cela a duré longtemps.
Une fois libre, je ne lui ai pas laissé le temps de reprendre son souffle. La faisant se positionner à quatre pattes sur le divan. Avec l’aide de mon gland, et sous l’œil captivé de Claire, j’ai fouillé un instant sa cramouille avant de le guider devant l‘entrée du vagin, et pousser. Elle était si excitée que la chair de son sexe en était molle. Je me suis enfoncé comme aspirer jusqu’à la racine, dans une gaine brûlante. Elle m’a reçut avec un gémissement qui a résonné dans la pièce. Ma verge baignait dans sa mouille. J’ai exercé sur elle, de longs et lents va-et-vient, avant de la prendre vigoureusement. Allant et venant avec brutalité. À en oublier presque notre charmante observatrice, tellement le plaisir était intense.
D’ailleurs cette dernière s’est approchée à nous toucher, comme pour mieux observer la scène du coït, avec de grands yeux gourmands. Alors que sa sœur recevait mes coups de boutoir comme autant d’offrandes. M’encourageant avec de petits cris, ponctués par des mots beaucoup moins décents pour une jeune fille. Gigotant la tête de droite à gauche sous mes coups de butoir. Elle semblait comme folle, désarticulée, se tortillant dans tous les sens.
Emporté par la fougue, j’ai laissé se déchaîner ma frénésie d’homme. Dansant une danse endiablée derrière Elisabeth, fouillant ses entrailles avant d’y répandre mon hommage
Sitôt retirer pas le temps de débander, ou même de reprendre mon souffle, que je fus pris en charge par Claire surexcitée. Qui me m’à de m’asseoir sur le divan près de sa sœur. Esquissant un sourire coquin qui entrouvrait ses lèvres de manière explicite.
Toujours debout, Claire a retiré son chemiser découvrant ses seins généreux aux larges et sombres mamelons enflés qui donnaient l’envie d’y porter la bouche. Elle s’est accroupie sur moi en ouvrant son sexe du bout des doigts. Puis elle a fait lentement descendre son bassin pour envelopper ma verge dans son con chaud et moelleux. J’ai eu aussitôt la sensation comme quelques minutes plus tôt avec Elisabeth que mon sexe était comme aspiré au plus profond de son corps. Et mon plaisir s’est activé lorsqu’elle a ondulé des hanches. C’est l’instant que choisit Elisabeth pour me chevaucher à son tour. M’offrant son cul. J’ai collé mon nez entre les deux hémisphères. Que j’ai pris la peine d’écarter. Sa raie était moite de transpiration. Des senteurs acides s’évaporaient de la raie ouverte. J’ai reniflé le haut de la raie, à la base du coccyx. À ma grande surprise, dans sa cavalcade Claire a approché ses lèvres du son minou de sa sœur.
Elles m’avouèrent plus tard, qu’elles ne voyaient aucun mal de faire ça ensemble. Ça restait entre sœurs. Et ça elles le renouvelaient souvent. Et elles prenaient leur pied comme ça.
Avec un tel spectacle devant les yeux, j’ai tout de suite sentis monter en moi une chaleur, suivit d’une brûlure. Sans essayer de me retenir j’ai joui dans la chatte de Claire. Me vidant en gueulant. De nos corps en sueur est montée une odeur lourde, épicée. Claire s’est laissé tomber sur le parquet. Elisabeth en a profité pour prendre la chatte de sa sœur d’assaut. Lui suçant l’entaille qui dégorgeait de mon sperme.
Je me suis redressé pour me rajuster. Les deux sœurs étaient toujours en train de se gouiner quand j’ai quitté l’appartement. J’avais les jambes toutes flageolantes. Une fois sur le trottoir j’ai tout de suite repéré ma voiture. Sitôt assis derrière le volant j’eus droit à un interrogatoire de la part de Thierry. Quand je lui ai confessé mon aventure il n’en est pas revenu. Au point qu’il s’est décidé d’aller à son tour se dégorger le poireau. Mais alors qu’il s’apprêtait de descendre de la voiture il m’a demandé si je pouvais lui rendre un service :
- Tu peux ramener les croissants à Fabienne.
- Là tout de suite cela ne peux pas attendre !
- Je lui ai promis.
- Mais pourquoi ne pas lui avoir ramené.
- Parce que je t’attendais, figure-toi ! Mais monsieur avait d’autres chats à fouetter !
- Bon ! Bon ! J’y vais.
J’ai démarré, et après avoir quitté le trottoir j’ai regardé dans le rétroviseur intérieur mon cher Thierry disparaître dans le hall. Cela m’a fait doucement sourire.
Dix minutes plus tard je me suis retrouvé devant la porte du studio de Fabienne. À peine avais-je toqué que j’ai entendu sa voix de l’autre côté de la porte me lancer :
- Entre Thierry. Ce n’est pas trop tôt ! Tu les as fabriqué ses foutus croissants… !
Bien que ce ne soit pas moi que Fabienne attendait, j’ai pris la décision d’entré, le petit sac contenant les croissants en main. Je lus tout de suite de la surprise sur son visage, alors qu’elle était enfouie dans les draps de son lit.
- Euh…! Alain… quelle surprise… mais, Thierry ? Bafouilla-t-elle.
- Il a eu un empêchement. Alors il m’envois te remettre ce qu’il t’avait promis… Voilà ! Je te les pose sur la table.
Et alors que je m’apprêtais de prendre la porte, elle
M’interpella :
- Tu es pressé ?
- Non… enfin... Je ne sais pas…
- Tu n’as rien à me demander ! M’a-t-elle dit.
- Te demander quoi ? Lui ai-je répondu.
- Dis-moi que tu as envie de me baiser. M’a-t-elle précisé.
Et sans me laisser le temps de répondre, elle a rabattue le drap. Se présentant à mes yeux nus, jambes écartées. J’ai demeuré bouche bée face au sexe ouvert. À demi épilé aux grandes lèvres épaisses comme celle de sa bouche.
- Je ne sais pas pourquoi mais j’ai le feu au cul. Me précisa-t-elle, en se redressant sur sa couche.
- Oui ! Je vois ça.
- Alors qu’attends-tu pour me l’éteindre. Baise-moi ! Baise-moi fort ! Aller viens, a-t-elle ajouté ! Dépêche-toi ! J’ai envie, merde !
L’ambiance dans ce studio devenait très excitante. Malgré mes deux précédents orgasmes, j’avais déjà une bonne érection. Sous le regard d’obsédé de Fabienne, j’ai commencé à me masser par-dessus mon pantalon. La coquine a accroché sa proie, comme un chien a flairé un os. J’ai accéléré mes caresses à travers mon pantalon, alors qu‘elle croquait littéralement les mouvements de ma main. Comme si elle voulait les accompagner du seul battement de ses cils.
- Bon ! Tu viens ! Aller viens plus tôt me la mettre ! Me fit-elle. Je suis sûr que tu as envie de moi ?
Elle s’est laissée tomber en arrière et elle s’est appuyée sur les coudes, jambes pendantes.
- Baise-moi, maintenant, a-t-elle insisté ! Fais-moi jouir !
J’ai grimpé sur le lit et me suis installé à genoux entre les jambes ouvertes de Fabienne. J’ai baissé mon pantalon et son slip, exhibant mon pénis raide. Je l’ai saisi et j’ai promené l’extrémité entre le pubis et le nombril. Le gland a dessiné des lignes humides sur la peau pâle du ventre tandis que j’allais et venais en pressant de plus en plus fort.
- Ah, putain, j’aime ça ! M’a-t-elle lancé.
Je me suis saisi de ses deux jambes, que j’ai posées en appui sur mes épaules. Puis j’ai dirigé mon membre entre ses cuisses bien écartées et je l’ai introduis entre les lèvres molles, trempés par une mouille collante. Je la tenais par les hanches.
D’un coup de reins, je l’ai poussé en avant. L’enfonçant jusqu’au fond du vagin. L’attirant à moi, je me suis démené sur son sexe poisseux. Mes doigts ont lâché ses hanches pour malaxer ses seins. Fabienne haletait. Dans mon délire, je ne contrôlais plus rien. Martelant son sexe de mes va-et-vient. Ses seins ballotaient, alors que mon sexe, disparaissait et réapparaissait dans son orifice dans une cadence effrénée. Comme l’orgasme avait du mal à poindre son nez, je me suis déchaîné, à en perdre le souffle. La pistonnant encore plus vite. Pour le plus grand plaisir de Fabienne. Qui se mit à crier, à se tendre, se donnant à mon sexe. Entrecoupés d'une respiration forte et accélérée, au rythme de son plaisir.
J’ai bien sûr attrapé le mien. J‘étais tellement sur les rotules que j‘ai passé la nuit avec elle…
Pour ce à qui cela intéresse au réveil, je l’ai fait jouir avec ma langue. Vous comprendrez pourquoi ! À la prochaine…

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